Vos critiques de Bd's

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C'est mon copain qui m'a ramené cet album à la maison. Je ne suis pas fan d'histoire très violente, et j'ai eu un peu de mal au début. Mais en fait, cette BD est tellement bien faite et drôle qu'on s'habitue aux horreurs. Les dessins sont élégants, les couleurs très graphiques et l'histoire psychologiquement très crédible. Il y a pas mal de sensualité aussi. On a lu ça ensemble et ça nous à beaucoup fait rire et aussi frissonner. Je conseille vraiment aux amateurs de livres originaux et qui sortent de l'ordinaire.
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Les critiques que j'ai pu lire sur cet album sur le net sont accompagnées de beaucoup de superlatifs. Ca m'étonne relativement. Autant l'histoire est sympa, bien menée, je reconnais avoir eu du plaisir à la lire, rien à dire de ce côté. Mais cette espèce d'empathie avec le héros qu'on retrouve un peu partout me met mal à l'aise. Il se fait quand même pas mal d'argent grâce à une arnaque exercée sur un con - certes un gros con - mais qui l'a plutôt aidé dans ses difficultés et qui n'est pas l'homme qui est la cause de ses malheurs. C'est donc tout sauf le héros de la débrouillardise. C'est un procédé purement malhonnête qui ne trouve même pas sa justification dans une vengeance quelconque. L'histoire est comme ça mais l'admiration que ce personnage suscite dans les critiques que j'ai pu lire m'étonne. A une toute autre échelle ,est on admiratif devant 'le tueur' ?
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Quand Delcourt se rend compte du succès d’une série comme celle-ci et qu’elle pousse son auteur à allonger la sauce, voilà comment je perçois cet album. Attention, je ne suis pas en train de me méprendre sur les intentions purement mercantiles et de l’éditeur, et de l’auteur, ça me semble un jeu justifié. Non, je m’interroge sur l’intérêt réel que représente une énième digression sur le territoire d’Eaux-Folles ? Et je dois avouer que je suis bien embêté. Tout simplement parce que malgré cette impression de me faire balader en attendant la fin, j’avoue prendre plaisir néanmoins à errer en compagnie des personnages dans ce 48cc. Parce que cet univers surréaliste, cette espèce de monde que l’on croit sans fin mais qui est pourtant bien contenu dans un contenant, se prête parfaitement à ces chemins labyrinthiques qu’emprunte Turf. De plus, avoir le plaisir de se brûler les pupilles sur ces cases splendides, ces couleurs chatoyantes, ce n’est pas non plus forcément pour me déplaire. Il y a toujours des trouvailles, de l’inventivité, et un vrai plaisir à enricir chaque fois un peu plus l’univers déjanté d’Ambroise Premier. Alors sentiment mitigé dont le plaisir immédiat est contrebalancé par l’absence de progression. Mais rien qui ne m’empêchera de me perdre dans le ou les tomes suivants !
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Ce livre est vraiment intéressant. Sa conception, son ton et son environnement, si je puis dire, sont vraiment justes. L’histoire est simple, un dessinateur, à la ressemblance étonnante avec l’auteur du présent livre, se rend faire des courses en supermarché avec sa famille et passe alors en fond une allocution du Président de la République à laquelle il ne prête pas attention. Et c’est une erreur puisqu’il ne se rendra pas compte de la teneur du propos, à savoir la fin des réserves en carburant sur toute la planète… De ce postulat, il va tisser un récit qui s’articule sur la survie, la réorganisation, mais pas d’un niveau mondial, juste autour de lui, dans son microcosme. Avec finesse et humour, il brosse les contours d’une vie sans ressources pétrolières, et démontre les conséquences que ça pourrait avoir sur les choses les plus simples. Il va montrer aussi de possibles alternatives à cette pénurie, mais aussi des revers violents, extrémistes, qui ne sont pas loin des ambiances post apocalyptiques à la Mad Max ! Il va malgré cela tracer son chemin, en emmenant son fils chez ses grands-parents, à la recherche du savoir ancestrale, intégrant ainsi une dimension affectueuse, ce qui donnera lieu à des très belles scènes sentimentales, comme celle de la page 65… Il y a un peu de tout, et, avec de bonnes proportions, le mélange est gouteux, et le livre très bien équilibré, comme un Dauvillier en béquilles ! Un coup de crayon simple, efficace, des couleurs douces, le récit est lui aussi bien calibré oserai-je dire. Est-ce encore la façon que Futuropolis a de manger les parts de marché ? Gros livre, dos rond, cartons épais, papier au gros grammage, tout pour faire une belle BD d’auteur ? Mais comment dire… Malgré cela, on ne peut pas occulter qu’il y a de bons livres qui sortent à la pelle chez Futuropolis, et celui-ci en fait partie ! Une belle fable sur le courage, la survie, la démerde, l’amour, la pénurie, mais sans catastrophisme. Un livre que je vous conseille de lire tranquillement, vous apprécierez sûrement.
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Je ne m'attendais pas à un chef d'oeuvre, mais pas à un tel ratage non-plus. Cet album est inutile après le film avec Sylvie Testut et Julie Parmentier sorti il y a quelques années, surtout que le scénario est extrèmement mal bati, confus et terriblement mal écrit. Reste le dessin qui est une aberration, une telle laideur non voulu, autant d'erreurs d'amateur, je me demande comment un éditeur peut valider quelque chose d'aussi manifestement raté. A éviter.
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Désespérant, c'est le seul mot qui me vient à l'esprit. Une des rares bd's que je n'ai pas terminée. Les jeux de mots sont effectivement désespérément stupides pour ne pas dire dignes "d'ado boutoneux attardés", le dessin est baclé, le tout a du être fait à la va-vite pour profiter d'un créneau commercial. L'idée était sympa mais comment peut-on à ce point transformer un concept à l'origine porteur en boudin de foire ? Ca peut faire penser à L'affaire Corse mais de très loin, tant les ficelles sont grossières. Les pseudonymes Carla Bruti et Dominiqye de Grillepin ne font même pas sourire. Les auteurs ont voulu ratisser large en mettant une petite note d'humour (?) sur tous les évènements maintenant connus car sur-médiatisés de la captivité de Ingrid Betancourt mais à force, on passe à côté de tout. Vraiment pas à conseiller.
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Etrange sentiment après la lecture de cet opus. On ne sait si, malgré sa couverture,cet opus est dedié plus au futur général Wittaker qu'au fameux major Jones, dont on connait enfin le prénom dans le présent volume. Car le scénariste Yann a choisi une curieuse option, celle de décrire l'histoire de Jones dans une amérique recrée, avec un clone d'Angéla Davis,un Roman Polanski dégénéré (auteur du "pal des vampires"), un Edgar HooPer -chef du FBI-bref des allusions qui finissent par lasser. Certes au début de la série mère, Jean Van Hamme avouait ne pas vouloir citer nommément les Etats Unis , mais à ce niveau là, le parti-pris de Yan me parait discutable. Certes Il reprend, assez rapidememnt, le synopsis de Van Hamme sur Jones dans le "XIII mystery", mais il prend une certaine liberté avec la série mère: la présence de la mangouste sur la scène du crime me parait douteuse et le final est vraiment sujet à caution. Même si l'affaire Polanski-celle de 2010- revient sur le tapis, j'ai du mal à comprendre la présence de l'affaire Polanski- coté Sharon Tate- dans cet opus. J'ai eu en fin de compte l'impression de lire un catalogue, avec les personnages que j'ai déjà cité, auquel j'ajoute un certain Martin calvin X, aautrement dit Martin Luther King, un général Standwell déjà antipahique,et un colonel Carrington amateur de cigares, sans oublier l'infâme Franck Giordino. Ce dernier avatar de XIII se lit avec attention tant les dialogues sont nombreux et riches mais les références sont telles, si nombreuses et si lourdres qu'elles finissent par lasser. Par contre le dessin d'Eric Hennninot ne souffre d'aucun défaut et vivement qu'il retourne à "Carhago", si le diiférent avec C.Bec est réglé
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C’est en souvenir du dessin animé « Vic le viking » (Eh oui, rappelez-vous, c’était pendant les années 80 !) que je me suis mis à feuilleter « Ingmar ». Je ne sais pas trop pourquoi mais je trouve que cette bd a un air familier et sympathique qui se rapproche du dessin animé : Est-ce ceci a un rapport avec le graphisme qui m’est apparu très agréable à contempler ? Est-ce parce que les tronches des personnages ont quelque chose de ressemblant avec « Vic le Viking » ? En tout cas, j’étais enthousiaste à me replonger dans l’univers de ces anciens guerriers nordiques. « Ingmar » est le nom d’un des deux fils d’un chef viking. Ingmar est un homme peureux, ayant un physique désavantageux et qui n’a que pour seul atout sa malice, bref, c’est tout le contraire de son frère qui est repu aux combats ! Tout va donc pour le meilleur des mondes pour Ingmar, l’antihéros, qui mène une vie tranquille et faite de fainéantise jusqu’au jour où son père perde sa tête, ce jeune garçon qui possède tout de même de la fierté devra affronter son frère pour prouver à tout le village qu’il peut assurer la succession de son géniteur ! Avec un tel résumé, le lecteur peut deviner qu’ « Ingmar » sera un récit drôle plein de rebondissements. La bd est finalement amusante mais souffre, à mon avis, de son passage à la fin du premier tome à un récit plus classique teinté d’une réflexion sur la religion. Je comprends que les auteurs aient voulu surprendre les lecteurs mais moi, tout ce que je voulais, c’est de passer un bon moment de rigolades entre vikings et non un glissement du scénario vers une romance à mille lieues de la dureté du monde barbare ! De plus, l’histoire, de tomes en tomes, m’est apparue décousue comme si le scénariste avait écrit ce récit au fil de ses inspirations… Graphiquement, j’aime bien le coup de crayon assez particulier de Rudy Spiessert. L’auteur semble laisser ses crayonnés, puis les encre discrètement pour enfin passer à une mise en couleurs parfaitement adaptée aux situations. Le tout donne une bd très agréable à contempler d’autant plus que la narration m’est apparue bonne. Le premier tome d’« Ingmar » me laissait présager une série intéressante à suivre pour tous amateurs de récits de vikings. Hélas, dès la fin du premier tome, les aventures de cet antihéros vont prendre une tournure qui me satisfait guère car l’histoire s’écarte de plus en plus du monde des vikings qui, à la base, m’intéressait fortement. Dommage car avec le dessin de Rudy Spiessert qui me plait beaucoup, « Ingmar » était bien partie pour être une série sympathique tout en restant dans l’univers des guerriers du nord.
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Je ne suis pas contre les expérimentations dans la bande dessinée. Au contraire, j’aurais même tendance à encourager ces nouvelles approches mais pour « La Nouvelle pornographie », c’est complètement naze ! En effet, comment peut-on réellement prendre du plaisir à feuilleter ce « truc » ?! Il faut être vachement dérangé du ciboulot pour s’exciter en lisant ce « machin » ! Certes, après lecture, on comprendra que ce sont vraiment des actes sexuels que Lewis Trondheim a dessinés mais il faut vraiment avoir une sacrée dose d’imagination pour trouver ça bandant ! C’est comme si vous vous mettiez à regarder un film de cul avec des protagonistes représentés d’une façon très très très minimaliste, c’est à dire avec des ronds, des carrés, etc… alors de là à dire que vous aurez envie de « sauter » votre partenaire juste après avoir lu « La Nouvelle pornographie », il ne faut vraiment pas être bien (à moins d’être un obsédé grave de chez grave !) ! Ce n’est même pas la peine que je parle du graphisme, ma note donnée pour « La Nouvelle pornographie » parle d'elle-même… En conclusion, si c’est vraiment comme ça que la pornographie va se renouveler, je préfère nettement revoir les premières bd de cul que ce truc ! Au moins, c’était vraiment du concret !
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La fiche résumé de « Cadavre exquis » en dit un peu trop –à mon avis- sur cette histoire présentée par Pénélope Bagieu, je m’abstiens donc d’en raconter plus… Que dire sur cette bd ? J’ai passé un très agréable moment à suivre les péripéties de l’héroïne qui cherche à sortir de son quotidien d’hôtesse d’accueil et de sa vie sentimentale bien norme et lamentable. J’ai eu l’impression de suivre un bon petit film bien français ou plutôt une pièce de théâtre avec trois comédiens principaux se déroulant dans un huis-clos. L’histoire proprement dite ne m’est pas apparu très originale, le dénouement est irréaliste mais j’avoue que l’intrigue m’a semblé très accrocheuse et bien menée. Et puis, j’y ai apprécié l’humour employé à la fois léger, bien vu et amer (parfois). Les personnages sont –à mon avis- assez attachants (surtout l’héroïne). Au niveau du dessin, j’ai aimé le coup de crayon de Pénélope Bagieu. D’un style simpliste, il permet de focaliser notre attention sur les expressions (réussies) de ses personnages et c’est heureux ainsi car son récit justement se concentre sur la relation entre les protagonistes. La mise en couleurs m’est apparue très agréable à l’œil à défaut de bien marquer les ambiances. Au final, j’ai vraiment passé un bon moment de lecture avec « Cadavre exquis ». A défaut d’être original, le récit m’est apparu sympa à suivre, j’ai gardé le sourire aux lèvres tout au long des péripéties de l’héroïne. Un bon divertissement…
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Grandiose ce nouvel cycle du troisième testament. Pourtant , j'ai eu peur en débutant la lecture: cela commencait comme "Quo Vadis", le roman de Henryk Sienkiewicz (le triomphe d'un général à Rome, l'idée de brûler la Rome éternelle , faire porter la responsabilité aux chrétiens....) puis se transformait en "Ben-Hur" avec la déchéance de Julius, le tout sur un fond de naissance du christianisme, sans oublier la fille naïve...bref que du déjà vu. Mais le scénario de Dorison et d'Alex Alice vient tellement apporter de méandres dans ce récit qu'on en oublie les références à ces péplum pour évoluer plus vers une histoire mystérieuse que vers une aventure classique. Et que dire des dessins de Robin Recht à la fois si proche de l'ambiance défini par Alex Alice dans le précédent cycle mais aussi très personnel. Quelques scènes font d'ailleurs écho à certaines situations du livre IV du "troisième testament" : le combat sur le pic de Nigmigiv et celui de Julius avec l'énigmatique et imperturbable chrétien. Le dessin de Recht est beaucoup moins sombre que dans "Todendom", avec des décors et personnages beaucoup plus travaillés. Je vous invite à dévorer ces 80 premières pages d'une saga qui , avec ce premier volume, sera aussi fascinante que le précédent cycle
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L'Île de Jamais Jamais, le deuxième volume des Voyages de Juan sans terre, de Javier de Isusi, confirme tout le bien que je pensais du premier : c'est vraiment très très bon. L'ombre d'un célèbre marin de la bande dessinée (non, pas le Capitaine Haddock... Quoique...) plane plus que jamais sur cet album, qui conduit le héros Vasco sur l'île d'Ometepe au Nicaragua. Encore plus que dans l'album précédent, Isusi joue des références littéraires pour conter, sans avoir l'air d'y toucher, l'histoire récente de ce pays. Ce mélange des genres, entre les légendes et la réalité, ce double niveau de lecture donnent au livre une force inattendue. On est à la fois très loin et très proche des albums-témoignages, comme Pyongyang de Delisle ou Le Photographe de Guibert, Lefèvre et Lemercier : ici, l'Histoire avec un grand H n'est pas le sujet du récit, seulement son contexte. Il n'est pas nécessaire de s'y intéresser a priori pour prendre du plaisir à la lecture, mais on referme le livre avec l'envie d'en savoir plus. C'est drôle, bien écrit, passionant, bourré de références pas forcément attendues (je suis sûr d'en avoir loupé) mais sufisemment discrètes et bien amenées pour ne pas alourdir le récit... Bref, un bouquin très intelligent, chaudement recommandé. La seule toute petite chose que je regrette, c'est le choix de la traduction littérale du titre : l'Île de Jamais Jamais, en français, tout le monde la connait sous le nom de Pays Imaginaire... Dommage d'être passé à côté.
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J'ai beaucoup aimé ce premier volume des Voyages de Jean sans terre, La pipe de Marcos, de l'espagnol Javier Isusi — lu en traduction portugaise. Le héros, Vasco, y débarque avec ses faux airs de Corto Maltese dans une communauté Zapatiste au Chiapas, à la recherche de son ami Juan, dit Juan sin terra, qui aurait rejoint l'EZLN — l'Armée Zapatiste de Libération Nationale. Il y rencontre des indigènes évasifs, des militants humanitaires un peu alumés et de mystérieux zapatistes — sans compter l'armée mexicaine. L'ambiance est à la fois réaliste et teintée d'un humour légèrement décalé, comme le récit d'un voyage pas si imaginaire, l'auteur ayant précédé son héros en Amérique du Sud. Comme Vasco, on est là en tant qu'observateur de la petite communauté, bien obligé d'en percer les secrets pour obtenir l'information qu'il recherche. Qu'est devenu Juan ? Et le sous-commandant Marcos fume-t-il toujours la pipe ?
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Un peu compliqué à suivre ce premier tome de « Metropolitan » ! En fait, il faut piger dès le départ qu’il y a trois principaux protagonistes dans cette bd au risque de passer à travers cette histoire ! Qui sont ces trois personnages ? Le premier est un gus qui s’est retrouvé foudroyé par un malaise dans le métro parisien, il doit sa vie sauve à un flic qui a eu le réflexe d’appeler le SAMU. Le deuxième est le policier qui a sauvé ce pauvre mec et qui est sur une affaire d’argent sale. Le troisième est un protagoniste dont on ne sait pas trop d’où il vient, ce qu’il fait… bref, apparemment, il joue le rôle du méchant… Le lien entre ce trio ? Pour le flic et le gus, il parait évident qu’ils se voient de temps en temps. Mais pour le méchant monsieur, on ne sait pas trop… Ce qui m’a marqué le plus dans ce premier album de « Metropolitan », c’est son ambiance de polar : on est en plein dans un récit pessimiste sur la nature humaine et sur la vie à Paris : les gens sont blasés et égoïstes, la capitale française y est montrée sous la mauvaise image d’une ville polluée et inhumaine… Bref, ce n’est pas la joie à Paname quoi ! Pour le reste, quoique dotée d’une histoire accrocheuse (on est tout de même curieux de savoir qui sont ces personnages et où les auteurs veulent nous emmener !), j’avoue avoir été déçu par la lenteur du récit. A la fin de ce premier tome, on ne peut pas dire que l’intrigue ait beaucoup avancée ! Parmi les trois protagonistes, seul le « méchant monsieur » m’a réellement fasciné… Quant au dessin de Laurent Bonneau, je le trouve fascinant à contempler. Ce style est assez personnel avec son mélange de décors réalistes finement illustrés et, sa représentation des protagonistes aux traits épais et expressifs. A noter que les arbres y sont dessinés d’une manière très sommaire qui tranche avec les décors architecturaux sont représentés d’une façon fouillée. Le tout donne un graphisme qui m’a vraiment emballé par son originalité et sa capacité à donner une atmosphère pesant et très adapté au récit. Malgré son intrigue qui évolue très lentement et ses nombreux allers-retours entre ses personnages qui peuvent désorienter le lecteur, je suis curieux de voir comment cette histoire va évoluer dans le prochain tome car j’ai apprécié le dessin de Laurent Bonneau et l’atmosphère pesante qui règne dans ce premier album de la série.
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« Quoi ? Encore une autobiographie ???!!! » « Oui mais là, c’est un gars, Martin, qui nous conte son premier poste dans l’éducation nationale en tant que remplaçant et non sa vie privée. » « Ah, mais ce n’est pas vraiment original comme thème, au cinéma par exemple, on a bien eu le droit au « Maître d’école » avec Coluche au premier rôle ! » « Tiens, c’est marrant comme comparaison parce que dans cette bd « Le journal d’un remplaçant », le personnage principal m’est apparu également un professeur sympathique. »… Mais à la différence du « maître d’école », Martin va se retrouver pratiquement dès son entrée dans l’éducation nationale dans un institut de redressement pour élèves ultra-violents et évidemment, ce n’est plus exactement la même chose… J’ai énormément apprécié le sang-froid de Martin envers ses élèves et sa façon de nous raconter ses difficiles épreuves sans pleurnicher. Et surtout, j’ai ressenti énormément de tendresse de sa part envers ses élèves alors que plus d’un d’entre nous aurait craqué. J’ai également été rassuré de voir que des jeunes vrais enseignants comme Martin -c’est-à-dire des gens qui aiment vraiment ce métier et qui l’ont fait par vocation- existent encore ! J’ai été réconforté aussi par le fait de découvrir des professeurs comme Martin qui s’investit beaucoup pour redonner, à force de patience et de respect, l’envie aux élèves, d’apprendre. Alors, bien sûr, le lecteur n’échappe pas à la critique (constructive et sans méchanceté) d’un enseignant envers l’éducation nationale. A la décharge de Martin, il faut dire qu’aussi cette administration ne lui a pas fait de cadeau en l’envoyant dans cet institut à la hâte sans le former et avec pratiquement aucun soutien de la part de ses autres collègues ou supérieurs… Bref, Martin se retrouve parfaitement isolé au sein de cet institut dans lequel il va passer pratiquement une année complète en tant que remplaçant ! Dès lors, le lecteur a droit aux réflexions, interrogations, espoirs, recherches de solutions envers le métier de Martin et envers le système scolaire qui me sont apparus tout de même très intéressants ! « La ligne claire » (cette fameuse terminologie désigne tout dessin ayant un trait fluide, encré, achevé et pratiquement sans utilisation de hachures) est le style de l’auteur, c’est un dessin qui ne m’attire pas plus que ça. Dans cet album, j’ai apprécié la simplicité de la mise en page et la fluidité de la narration. Par contre, j’ai été gêné par la représentation de certains de ses élèves que j’ai eu énormément de mal à distinguer au premier coup d’œil. Au final, « Le journal d’un remplaçant » m’est apparu comme une autobiographie intéressante sur la carrière professionnelle d’un jeune instituteur. Cette bd est très agréable à lire. « Le journal d’un remplaçant » m’a fait découvrir quelques travers du système éducatif français à propos desquels Martin nous livre des réflexions constructives et sans (grosse) dérive militante à laquelle le lecteur a souvent droit lorsqu’il lit ce genre de sujet. Note finale : 3,5/5
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Il est assez étonnant de découvrir chez l’éditeur Bamboo, le spécialiste des bd « humoristiques », des albums mettant en scène des personnages dans une période sombre de l’histoire de France. Avec sa nouvelle collection « Angle de vue », « Bamboo » propose désormais des récits émouvants ou ayant fait l’objet de loin ou de près d’une mise en situation réelle comme « L’envolée sauvage ». « L’envolée sauvage » raconte le destin d’un jeune garçon prénommé Simon pendant la seconde guerre mondiale en France. Celui-ci est orphelin juif et va être contraint comme la plupart de ses semblables à fuir la milice et l’occupation allemande. Dans le premier tome, le lecteur est invité à suivre les péripéties de Simon qui va, naïvement par la force de son jeune âge, découvrir le racisme et la folie des hommes. Ce premier album de la série m’est apparu intéressant par son ton assez neutre et l’absence de mélodrame que j’ai pu découvrir dans d’autres albums similaires traitant ce thème, ce parti pris est à mon avis intelligent de la part des auteurs car cela amène les lecteurs à s’interroger tout en étant capté par les aventures de Simon. Malgré l’absence d’une ambiance pesante, le récit se révèle émouvant et je me suis pris d’affection pour ce jeune garçon. Le seconde tome m’a semblé en deçà du premier album, les personnages me sont apparus assez stéréotypés surtout ceux de la milice et des soldats allemands qui jouent le rôle du grand méchant. Simon possède une chance incroyable (par rapport à ses compagnons), la plupart des gens qu’il croise se révèlent un peu trop fraternels avec lui à mon goût et n’hésitent pas à l’aider… Bref, j’ai eu l’impression de suivre les péripéties du jeune juif sans en être convaincu (Par exemple : Simon est le seul à trouver l’idée d’utiliser les pigeons…). Au niveau du dessin, la bd se révèle très plaisante à contempler. Le dessin d’Arno Monin est agréable d’autant plus que la mise en couleurs m’est apparue très bien adaptée au récit. La représentation des jeunes personnages est mignonne et leurs expressions bien rendues. La mise en page est correcte. Cependant, le deuxième tome m’a semblé moins travaillé graphiquement que le premier album : les décors sont plus sobres et quelques erreurs narratives parsèment la bd. « L’envolée sauvage » est une bd intéressante et assez émouvante à lire. Son traitement graphique m’est apparu agréable et m’a motivé à lire cette bd. Les jeunes personnages notamment Simon, le héros de ce récit, sont attachants. Hélas, le second tome est, à mon avis, bâclé par rapport au premier album à cause notamment d’un scénario qui va de plus de plus se révéler un peu trop simpliste : Simon va avoir plusieurs fois un peu trop facilement la main heureuse. Bref, avec un premier tome réussi, j’ai eu le gros sentiment qu’il n’a pas fallu de grand’chose pour que « L’envolée sauvage » devienne un incontournable…
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Je sais, j’avais émis des doutes à la lecture du tome 2 que je trouvais un peu en deçà du très bon premier. Mais il me faut avouer maintenant que mon entêtement a payé et que le tome 3 est à la hauteur de mes espoirs ! Ce qui forme un tout globalement compact et très intéressant. Ce tome 3 renoue avec l’étrange, le déjanté, le curieux… Et on remonte la piste des origines, disons, exceptionnelles, de Raymond Koppola, le père de Lydia. Un destin exceptionnel dont notre héroïne est la continuité dans une histoire en trois actes qui vaut le détour !
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Ah mais qu’il est fort cet Etienne Davodeau. Sa faconde unique de traiter de sujets banals, de parler du quotidien sans le sublimer, mais en y donnant assez de sel pour y être attaché comme à un bon thriller. Etienne Davodeau n’est pas une star du dessin, rien d’envoûtant comme Giraud pourrait faire, mais il pose une ambiance comme personne. Avec l’histoire banale de Lulu qui s’offre une respiration dans une vie commune et triste, il va tisser un intéressant et intelligent discours sur la remise en question que tout un chacun peut avoir à un moment de sa vie. Et il va nous livrer les informations au compte goutte, de façon détournée, intégrant lentement les personnages centraux, et en ménageant un suspense assez hallucinant. Les dernières pages sont un modèle du genre quant à l’ambiance et à la relance pour préparer le deuxième tome. Des histoires de ce genre, j’en redemande !
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Autant la surprise avait été excellente lors de la lecture du premier tome, autant le deuxième n’est clairement pas du même acabit. Ce qui faisait la force du premier, c’était cette empathie que le lecteur pouvait ressentir pour Simon. De plus, le tome était plus fluide dans sa narration, les scènes plus éloquentes. Je ne veux pas non plus dire que la suite n’est pas un bon album mais il se révèle assez classique, rien de particulier ne le faisant dépasser la production actuelle en fait. Cela étant, même si on peut reprocher certains chemins narratifs dans les camps de la mort, le récit reste tout de même sans concession sur l’horreur qui y est violente et quotidienne. Cela reste finalement une assez bonne surprise car Bamboo ne s’est pas fait spécialiste de ce genre de récit mais on lui préfèrera d’autres albums qui traitent du sujet. Un peu dommage mais je pense que ce diptyque trouvera néanmoins son public, mérité.
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Ca s’annonçait mal… Dès la première case, un horrible « Que ce passe-t-il ? », oui, avec un « c », venait d’emblée me crisper mâchoire et mains… Y’a des choses comme ça qui vous irritent plus que d’autres… Faisant fi de cette erreur que je croyais annonciatrice de nombreuses autres, je me suis plongé dans l’univers d’un Dufaux dont je ne suis pas spécialement amateur. Un fond assez classique de société animale qui se dresse contre une société humaine, torts partagés, cruauté égale pour chacune des parties, c’est à un moment crucial pour les 2 peuples que nous prenons l’histoire en route. Avec l’espoir de cesser les massacres respectifs des 2 camps, les 2 plus puissants seigneurs de guerre loups et humains décident de marier leurs enfants respectifs en gage de paix. Mais les choses vont déraper très rapidement, embrasant les 2 peuples de la pire des colères. Il s’agit d’un tome introductif mais j’aimerai pourtant dès à présent savoir si ça se résoudra en 2 ou 3 tomes ou si on est partis pour une chiée d’album. Parce que bien qu’intéressant, plantant bien le décor et brossant de bons portraits des personnages centraux, ce tome n’en est pas moins un peu lent, ce qui laisse présager une longue série pour décrire quelques épisodes de guerre… De plus, même si c’est très bien écrit, on n’évite pas quelques écueils classiques dans cette représentation belliqueuse animalo/humaine… Les caractères, les situations, rien de grandement novateur, mais pourtant un album qui se lit avec intérêt, sans grande passion, mais avec une accroche assez forte pour tenir éveillé le lecteur. Béatrice Tillier, qui nous avait enchanté avec les 2 premiers tomes de « Fées et tendres automates » nous revient là dans un album lumineux, coloré, et vraiment très plaisant à lire tant on peut s’immerger dans son dessin. Comme à son habitude, une plume gracile pour les pourtours, des couleurs délicates et toujours bien choisies, et un souci du détail qui comble le lecteur, sans pour autant le dérouter par une abondance qui pourrait nuire. C’est un travail de longue haleine qu’elle a très sûrement fourni sur cet album et cette diligence à l’égard de ses lecteurs est un gage de qualité et de respect de ce dernier. Un album qui se laisse lire avec plaisir, sans être la révolution ultime, mais ne serait-ce que pour Madame Tillier, dévorer ce livre les crocs à l’air, ça le fait !
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Loup Le bois des Vierges   (1)
L'histoire des aquarelles - T. 2 Blacksad   (1)
Mer noire Largo Winch   (2)
Ernest Latulippe Magasin général   (2)
Corps de rêves   (2)
Episode 2 Namibia   (1)
Son altesse Honesty Wayne Shelton   (1)
L'enragé - Intégrale L'enragé   (1)
Croix de sang L'ambulance 13   (1)
L'Héritage du Kaiser - Allemagne, 1936 Le casse   (1)
Esclaves Barracuda   (2)
Opération Caraïbes Nico   (1)
Deuxième période (1917-1918) Mattéo   (1)
Bludzee   (2)
L'affaire des soeurs Papin   (1)
Trois Christs   (1)
Gauguin - Deux voyages à Tahiti   (1)
La mort de l'oncle Joe (Cycle 2 - T. 3) Sir Arthur Benton   (1)
Liz & Beth   (1)
Gold Rush - Yukon, 1899 Le casse   (1)
Asterios Polyp   (2)
Baron Samedi   (2)
Une histoire vraie soviétique La mort de Staline   (2)
Little Jones XIII Mistery   (1)
Ecce homo Le rêve de Jérusalem   (1)
Julius Livre 1 Le troisième testament, Julius   (2)
Change de camp Joséphine   (2)
Saison 3 - Pouvoirs Le chant des Stryges   (1)
Château de sable   (2)
Les déesses de la route Les enquêtes auto de Margot   (1)
L'enfer, le silence Blacksad   (5)
Deuxième complainte Notre mère la guerre   (1)
Entre les ombres   (1)
Volume 2 Casino   (1)
Fais péter les basses Bruno   (1)
L'affaire Dominici   (1)
Ingrid de la jungle   (1)
Les gens honnêtes - 2ème partie Les gens honnêtes   (1)
Chagall en Russie - 1ère partie Chagall en Russie   (2)
La colère de Ying Long La dynastie des dragons   (1)
Arnaque, banane et cacahuètes Monkey Bizness   (1)
A corps perdu Dieu   (1)
Omni-visibilis   (1)
Gretchen Zombillénium   (2)
Inch'Allah L'or et le sang   (1)
Page noire   (3)
Jeronimus T. 3 Jeronimus   (1)
1957 Spoutnik La guerre secrète de l'espace   (1)
L'intégrale en noir et blanc - T. 1 Jerry Spring   (1)
Léa ne se souvient pas comment fonctionne l'aspirateur   (1)
Alertes à Pen Dru Les sauveteurs en mer   (1)
Borderline Metropolitan   (2)
L'ombre de l'ange Le Scorpion   (1)
Les cahiers ukrainiens   (1)
Soul Man Le casse   (1)
Seconde partie L'impertinence d'un été   (1)
Cadavre exquis   (1)
Le bleu est une couleur chaude   (2)
Volume 1 Casino   (1)
Grasse carcasse Blast   (2)
Première complainte Notre mère la guerre   (1)
La main verte   (2)
Günther Pulst Immergés   (1)
Hache Le bois des Vierges   (1)
Aya de Yopougon - T. 4 Aya de Yopougon   (1)
Lulu Femme nue - T. 1 Lulu Femme nue   (3)
Première époque (1914-1915) Mattéo   (3)
Les gens honnêtes - 1ère partie Les gens honnêtes   (3)
Lîle de jamais jamais Juan sans Terre   (1)
Les Autours des palombes L'envolée sauvage   (1)
Aya de Yopougon - T. 3 Aya de Yopougon   (1)
L'empire de Monsieur Jospeh Il était une fois en France   (1)
Le Camp-Volant   (1)
I love Plunk ! Plunk   (2)
L'escorte Malefosse   (1)
Dernière demeure Carnets d'Orient   (1)
Tempus fugit Raghnarok   (2)
Frère Joyeux   (1)
Les remords de l'aube L'auberge du bout du monde   (1)
Tu n'es qu'un pion Chess   (1)
La momie bleue Lefranc   (4)
Le pays de vérité Messire Guillaume   (1)
Fêlures Quartier M   (1)
Petites éclipses   (2)
La balade des 4 As Les 4 As   (1)
Poco-Woki, prince des chasseurs Poco-Woki, prince des chasseurs   (1)
Spectre Code Mc Callum   (1)
Pierres de lune Le monde d'Arkadi   (1)
Episode 1 Antarès   (5)
Lili Fleur Bleue L'Ivresse des fantômes   (2)
Rezystor Marzi   (1)
Les marais du temps Une aventure de Spirou et Fantasio par..   (7)
Reconquista Channel Reality Show   (1)
Le maître des couteaux Seuls   (5)
La France a peur Nic Oumouk   (1)
Adieu Calder Le Maître de Benson Gate   (2)
L'élue Mortelle Riviera   (1)
Futur - T. 1 Voyageur   (2)
Les trois yeux des gardiens du Tao Largo Winch   (10)
Le Lagon de Fortuna Carthago   (3)
Les yeux de Leïla Aarib   (1)
Dikhil   (1)
Kiki de Montparnasse   (1)
Quatre ? Le sommeil du monstre   (1)
Smoke City - T. 1 Smoke City   (1)
Deuxième saison, partie 1 Le donjon de Naheulbeuk   (2)
Down   (1)
Du sang sur les mains Miss pas touche   (1)
Là où vont nos pères   (4)
L'otage Wayne Shelton   (5)
Secret Présidentiel Elysée République   (2)
Latitzoury Nävis   (1)
Bataille Weëna   (1)
L'Afridienne Les Hydres d'Arès   (1)
Les collines de Waterly Pandemonium   (2)
L'immeuble d'en face T. 2 L'immeuble d'en face   (2)
Les chemins énigmatiques La Nef des Fous   (1)
Mutation Tatanka   (1)
Un été top secret   (1)
Manhattan Kaputt Spoon & White   (3)
La Malédiction d'Edgar   (1)
Le cadavre et le sofa   (1)
Les Couleurs de Marcade Le Cycle de Cyann   (3)
Légendes Urbaines   (2)
Hori ou le courroux d’Ishtar Sur les Terres d'Horus   (1)
La Reine Sombre Showergate   (1)
Ile Bourbon 1730   (2)
Crâne noir Ingmar   (1)
La milice sacrée Le rêve de Jérusalem   (1)
Madame Protecto   (2)
Bêtes et méchants Les Goblin's   (2)
Louis Belladone   (2)
Profession de foi Valamon   (2)
Opération Gremikha Corpus Hermeticum   (2)
Les âmes sombres   (1)
Le songe de Médine Le légataire   (1)
Le marquis Chéri-Bibi   (1)
Projet Cold Fusion Le syndrôme de Caïn   (1)
Les jambons d'Ysengrin Le roman de Renart   (1)
1951 Mertownville   (1)
Fleurs d'ébène   (1)
L'ordre des pierres Valérian   (4)
Les disparus de la ville dorée RAJ   (1)
L'actu tue   (1)
La folie du Hollandais (2ème partie) Mafia Story   (1)
La main de Krothal Anachron   (2)
Au-delà Eclipse   (2)
Jazz Club   (1)
Faux pas Malone   (1)
Dieu n'a pas réponse à tout   (2)
Rosangella   (4)
La dame de Berlin Les aventures de Boro, reporter photographe   (2)
La crypte écarlate Dark   (1)
La terre entre les deux caps War and Dreams   (1)
Le Cercle de Patmos (2/2) Arcanes   (1)
L'espace d'un soir   (1)
L'île des Lestrygons Les aventures extraordinaires de Nelson Lobster   (1)
Le Journal d'un remplaçant   (2)
Le Cycle de la terre (1ère partie) Okko   (1)
Coraline Songes   (1)
L'écharde - T. 2/2 Secrets   (1)
Jérusalemd 'Afrique Le chat du Rabbin   (2)
O.P.A. sur le Kremlin Insiders   (1)
La flemme des étoiles Les aventures du Gottferdom Studio   (1)
Le râle du flibustier Lanfeust des Etoiles   (2)
Torpedo - Intégrale Torpedo   (1)
The Mood - T. 1 The Mood   (2)
Transylvania Sur les traces de Dracula   (2)
L'Armée du Nécromant Kaamelott   (2)
Le sacrifice Thorgal   (17)
Trois petits tours et puis s'en vont Outre-Tombe   (1)
La face karchée de Sarkozy   (2)
Patrick Capricorne   (2)
Quartier lointain - Intégrale Quartier lointain   (3)
Points de chute Halloween Blues   (2)
Deux cons   (1)
J'ai tué Adolf Hitler   (2)
Comme un lundi   (1)
From outer space   (1)
Traversée du désert Abdallahi   (3)
Le menteur Enchaînés   (3)
Belles des camps Les campeurs   (1)
La proie des louves Bouncer   (2)
Duels Au-delà des nuages   (4)
L'invulnérable Captain Biceps   (1)
Le maître de l'atome Lefranc   (7)
Muchacho T. 2 Muchacho   (4)
Le Bouddha d'Azur - T. 2 Le Bouddha d'Azur   (1)
Cindy, mon journal d'une blonde   (1)
L'arrière boutique du magasin général - T. 2 Magasin général   (1)
L'Afghan - Massoud Rebelles   (1)
Le jeu des maîtres Niklos Koda   (1)
La perle noire Djinn   (4)
Au nom du père Le Scorpion   (7)
Fikrie   (1)
Missy   (3)
Volunteer - T. 3 Volunteer   (4)
Medrawt le traître Arthur   (1)
Le triangle de la soif T.N.O. - Terra Nostra Organisation   (1)
La forteresse de sable Aquablue   (5)
Le sabre de Bin-Laden SAS   (1)
La corde au cou Lucky Luke (Les nouvelles aventures)   (10)
Serge Magasin général   (3)
Intégrale Le Choucas T. 1 Le Choucas   (1)
Dol   (1)
L'oeil privé   (1)
Les voies de l'hérésie Les trois imposteurs   (1)
Traqués Le voyage d'Esteban   (1)
Lili District 77   (2)
Le marchandhomme Les guerriers du silence   (1)
La malédiction du parapluie Les petits riens   (2)
C'était à Khorsabad Alix   (4)
Alphonse Le grand siècle   (1)
Les carnets de Costanza Rapaces   (2)
Tu m'aimeras encore si je fais pipi au lit   (1)
Les pirates d'Héliopolis L'Anneau des Sept Mondes   (2)
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