On en apprend tous les jours
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Quentin
28/05 19:27
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Merci. Heijingling, pourrais-tu me donner le nom d'une boisson à la salsepareille en Chine? Ou un lien vers une photo? Juste pour voir à quoi ca ressemble.
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feldoë
28/05 20:27
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Ce sujet me fait penser que j'ai appris il y a quelques jours la signification de "shukumeï" (titre d'un opus des "Innommables"), en lisant l'histoire du "Stradivarius de Goebbels" : shukumeï signifie destin, avec une part de hasard (l'auteur fait la différence avec un autre mot japonais, proche, "unmeï").
L'histoire (tirée de la réalité) est celle d'une violoniste japonaise qui reçoit en cadeau de Goebbels un violon (spolié), une recherche intéressante, surtout par le lien particulier entre la musicienne et l'instrument...
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Que venez-vous de lire et qu'en avez-vous pensé? (22)
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froggy
29/05 00:26
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Les Bidochon 17, Les Bidochon usent le forfait
Ce n'est pas vraiment une nouveauté. C'est même carrément ancien puisque cela date de 2000 mais comme je me suis fait un point d'honneur à chroniquer tous les albums que j'achète, vous avez droit à celle-ci même si parfois, j'ai l'impression d'être un orateur du Speaker's Corner de Hyde Corner à Londres, on me regarde et on passe sans rien dire.
Dans cet album. Robert et Raymonde, toujours au faîte de la modernité, découvrent les joies du téléphone portable. Et 23 ans après, car entre temps, les smartphones sont apparus sur le marché, c’est toujours aussi drôle. Il faut voir comment Binet decrit l'emerveillement de Robert a l'idee qu'il peut telephoner d'une cabine telephonique sans se servir du telephone apres avoir fait l'acquisition d'un forfait d'une heure et Raymonde de s'etonner que son mari peut soutenir une conversation interessante d'une heure. Le reste est du meme calibre.
C'est du Bidochon donc 100% pur jus qu'un Binet au mieux de sa forme a concocte la. On peut dire que l'irruption du telephone portable dans la vie quotidienne a particulierement bien inspire l'auteur. Il faut dire qu'il y a de quoi. quand j'etais petit, ma grand-mere, nee a la fin du 19eme siecle, ayant connu deux guerres mondiale, l'eclairage a la bougie et a la lampe a petrole, n'arrivait pas a etre blasee d'avoir un poste de television dans sa cuisine, chose que je trouvais parfaitement normal. Personnellement, je n'arrive pas a l'etre non plus avec le smartphone, une merveille technologique qui vous permet d'avoir le monde dans votre poche, ni plus, ni moins. L'histoire se repete comme l'a ecrit si bien ce bon vieux Karl Marx.
Note finale, 4/5. C'est un excellent cru que Binet a realise, on y retrouve tout son mordant et meme sa mechancete vis-a-vis de ses infortunees creations. Comment ne pas rire en lisant cet album?
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Quels sont les meilleurs Jap-animés?
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Quentin
28/05 19:29
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Mon fils a carrément détesté ce film, à cause de la fin si triste. Il avait tellement espéré que ca finisse autrement. Je l'ai rarement vu autant en colère. Il m'a fait jurer de le revendre le plus vite possible car il ne voulait plus jamais le revoir. Il était peut-être un peu trop jeune quand il l'a vu...
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Odrade
(à Quentin) -
28/05 20:50
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J'ai arrêté de regarder les films japonais, animes compris.
Tellement déprimants.
O.
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froggy
(Odrade) -
28/05 23:30
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C'est un tort. Et les films d'Ozu, de Kurosawa et d'Oshima que j'ai vus sont tout ce qu'on veut sauf deprimants. Je presume que Philippe t'en dira autant sur les films de Mizoguchi, cineaste qu'il aime tant.
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Soyons Woke
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egoes
(tant qu'on y est..) -
28/05 14:50
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et il "éclaire" même par nuit sombre (je n'ose dire "noire"), si on en croit la chanson "Woke l'air de la Lune".
Me raccompagnez pas, je sors...
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Quentin
28/05 19:26
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Moi je le conseille pour faire sauter les nouilles avec crevettes et légumes.
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froggy
28/05 23:32
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Je rappelle aux apprentis cuisinier et autres cuisiniers en herbe qu'il ne faut jamais couper les nouilles au secateur.
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