Rock'n Troll Attitude de Christophe ArlestonClaude GuthJean-Louis Mourier - 8 critiques
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Par :
Greg de Troy
(09 janv. 2006)
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 Y en a marre de ces critiques négatives envers des auteurs comme Van Hamme, Arleston... ou des BD comme le dernier Astérix... Il est vrai que les histoires ne sont pas très fouillées, le dessin n'est pas toujours très beau... mais le but premier est de nous faire plaisir, nous faire passer un bon moment et je pense que le but est atteint avec la série des trolls... même le numéro 8. Il faut arrêter de considerer la BD comme un art élitiste et de considérer comme extra ordinaires des BD que seul l'auteur comprend!!!! Quant aux critiques concernant le manque d'inspiration du dessinateur.... le dessin reste toujours agréable. Qui se permettrait de critiquer Bilal sur le choix graphique ??? En tout cas, Amis de la BD, continuez à vous faire plaisir... |
Par :
goodcarma  
(30 nov. 2005)
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Mais quelle merde ! J'adore Arleston, j'adore Van Hamme, deux auteurs de BD souvent critiqués et je suis souvent le premier à sortir le bouclier et le parapluie pour pas qu'ils ne se prennent trop de tomates sur la figure. Mais là...pfff, même avec toute la bonne volonté du monde, j'ai du mal. Bon, je vous rassure, ça reste au dessus du dernier Asterix, y a pas Goldorac qui débarque avec les télémachins, mais y a les i-pod. Pourquoi, mais pourquoi ? Tiens, je vais poser la question une troisième fois : pourquoi ? La série semble manquer de souffle en ce moment, d'inspiration. Arleston a peut-être lancé trop de séries en même temps ou alors il a voulu en faire trop et c'est dommage : y avait-il besoin de mettre dans la même BD les Rolling Stones et l'équipe de Mission Impossible ? La partie avec Mission Impossible est pas mal, ça sauve un peu la BD, le reste, nul. On ne rit plus autant en lisant Trolls de Troy. Faut-il arrêter là les frais ? Pas nécessairement, Arleston n'est pas mort, il peut en sortir un nouveau très bien, ce qui n'est pas le cas du seul qui avait du talent dans le duo Goscinny-Uderzo. On pense tous très fort à toi Goscinny, c'est triste que de là haut, tu n'aies pas plus inspiré ton vieux compère. Donc voilà, une mauvaise note, la première pour Arleston, si on était dans une star Ac', ça serait une première nomination, heureusement, c'est pas le cas, mais faut se reprendre, sinon... Mon cher Arleston, si tu as la gentillesse de venir sur ce site et de lire les critiques, tu réagiras. Car tu le sais. Nous, on aime ce que tu fais, on achète tes BD pour passer de bons moments. Fais en sorte que ça coninue... |
Par :
Philippe Belhache 
(20 sept. 2005)
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« Rock'n troll attitude », Trolls de Troy 8, de Christophe Arleston et Jean-Louis Mourier. Soleil. Nouvelle livraison du prolifique Arleston, sur le plus ancien et le plus porteur des spin off de Troy. L'homme est un amuseur public et le revendique, affichant haut et fort sa vocation à faire rire et rêver son monde (lire sa récente réaction aux propos de Jean-Chistophe Menu dans le Bo Doï n° 87). A ce titre, ce nouvel opus est plutôt réussi. Passé la couverture outrancière dans la parodie, « Rock'n troll » s'ouvre sur une intrigue plutôt bien balancée et rythmée en diable, agréablement truffée de gags et de ces références et calembours dont on sait Arleston friand depuis les premiers Lanfeust. A condition bien entendu d'apprécier l'humour troll, plus proche de la grosse farce que du Desproges trois étoiles. Mention spéciale au MP3 Mourier relève le challenge avec son talent habituel, sans baisse de tonus. Un bon moment de détente et de rire régressif. |
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Par :
yvan
(02 août 2005)
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Prenez la série d’Astérix, remplacez les romains par des humains, les sangliers par de petites créatures bleues et la tribu de valeureux gaulois par une tribu de trolls. Cette tribu est, comme dans Astérix, plus redoutable que les autres et aucun humain n’arrive à les exterminer. Ajoutez un peu de magie (chaque humain est doté d’un pouvoir spécifique), des références à des films (Mission Impossible), des chansons (Rolling Stones, Beatles), des pubs et autres et vous obtenez la série Troll de Troy. Si les gags, les dialogues et les références amusent durant les premiers tomes, l’idée a été suffisamment exploitée et ce huitième tome est donc dépourvu de toute originalité et carrément lassant. Il y a un air de déjà-vu dans de nombreux gags et le ressort comique, tout comme le scénario d’Arleston, commencent à s’essouffler. Quand la finesse fait place à la vulgarité et la grossièreté il est grand temps de s’arrêter ! |
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Par :
Sep
(31 juil. 2005)
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Trois étoiles, pour le dessin. O pour le scénar. Si Arleston a toujours pleinement revendiqué vouloir du Astérix avec les trolls, alors je lui conseille de relire le chef-d'oeuvre de Goscinny et Uderzo en intégralité. Non mais franchement, que vient faire un groupe de rock n' roll (pardon : rauque n' rill) dans ce type de série. De là, il était facile à l'auteur de faire des tonnes de jeu de mots. En fait, ce ne sont même pas toujours des jeux de mots, mais simplement des paroles de chansons mal traduites. Car dans cet album, Arleston a en plus le culot de se foutre de la gueule des musiciens de rock. S'il veut se foutre de la gueule de quelqu'un, qu'il le fasse au moins en étant lui-même inattaquable. Ce qui n'est franchememnt pas le cas ici. Par contre, il se fout bien de ses lecteurs, là il faut avouer que c'est réussi. Il a certainement chié son scénar en 10 minutes, et est passé à autre chose. C'est dommage de massacrer ainsi une aussi bonne série. Je lisais dans une autre critique que le dessin de Mourier était moins fouillé que dans les autre tomes. Mais franchement, il faut se mettre à la place du dessinateur. Moi, personnellement, je n'aurai pas eu non plus envie de dessiner une histoire pareille. C'est à se demander si Arleston n'a pas fait pression sur le pauvre Mourier pour dessiner un truc pareil. Je crois sincèrement qu'il est temps de mettre la série Tolls de Troy en attente quelques temps, le temps par exemple de terminer Les feux d'Askell. Au moins, Mourier pourrait retravailler sur un vieux scénario d'Arleston, datant de l'époque où il se creusait encore un peu les méninges afin de sortir des BD lisibles. Un troll à n'acheter que pour compléter la collection... |
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Par :
Ultimusproutkill
(20 juil. 2005)
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Il y a des bd qui se lisent facilement. Celle-ci en fait certainement partie. En effet, qui pourrait être perdu par ce scénario, un des plus mauvais d'Arleston, quoi que... Elixir était une perle de ce type là. Quand au dessin, sûrement qu'il est facile à suivre : il est vide, non-inventif. Et pourtant, les quatre premiers tomes étaient remplis de petits détails qui faisaient le charme de cette série, et là on pouvait se perdre dans le dessin... Et enfin, un troll sans jeux de mots n'est pas un troll. Celui-ci en regorge... aussi mauvais les uns que les autres. Cette bd se lira très facilement, se refermera avec autant d'aisance, et servivra de magnifique cale-meuble pour mon étagère où se trouvent les quatres premiers épisodes...mais maintenant, on peut s'arrêter, mon meuble est bien en équilibre, j'aimerai le remplir... |
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Par :
FatalJack
(20 juil. 2005)
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Bah on pourrait penser qu'à force on se lasserait de lire du Arleston... mais quand on a un album de cette carrure on peut pas. Je me suis rarement autant marré devant une BD de cette série. Un scénario classique : Fuquatou veut encore enchanter les trolls. Mais le monde autour duquel l'histoire est racontée et tout simplement génial. La musique avec les Rolling Stones enfin leur caricature. Avec du mission impossible. Quand tout cela sonne à merveille, que demander de plus? Un prochain aussi bon, peut-être? |
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Par :
founzy
(04 juil. 2005)
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S'il est des albums qui se lisent agréablement, ce tome 8 en fait partie. Ok, le scénario est plutôt banal mais cet album est une belle caricature du monde de la musique. Les fans des Rolling Stones et des Beatles seront surpris de constater avec quels déhanchements leurs sosies trolls interprètent (et en français, s'il vous plaît) leurs plus grands succès. Question technique, il est tout à fait surprenant de constater que les MP3 et autres Ipod faisaient déjà partie, à leur manière, du vocabulaire de ce monde-là. Un très bon moment de détente ! |
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