Où le regard ne porte pas - T. 2 de Georges AbolinOlivier Pont - 15 critiques
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Par :
Bapti
(24 janv. 2005)
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 J'aime beaucoup ces 2 tomes car on y aborde un sujet qui fait réfléchir : la mort et ce qu'il y a après. A travers Lisa, William et les autres, on découvre une possibilité d'un aperçu de ce qu'il y a après la mort. Peut être qu'on se réincarne vraiment. Beau scénario, beau paysages et beau "acteurs". Une bonne Bd comme il en existe encore. |
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Par :
smanou
(21 janv. 2005)
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Désolée de briser le charme en ajoutant ma critique acerbe juste après l'éloge symbolico-mystique du 20 octobre... Et oui, il est possible de ne pas aimer du tout cette BD. J'ai tout d'abord été attirée par ces dessins bien colorés, une mise en page intelligente, une histoire d'hommes très attachante et intéressante vu le lieu "paradisiaque" où elle se déroulait. Le mystère qui reste mystère, ça me plaisait. Et quelle immense déception en découvrant dans le T.2 la clé de ce mystère, totalement dans l'air du temps des bobos mystiques, la réincarnation. Quel manque d'imagination ! Quel dommage ! Certains trouvent ça innovant, génial, plein de réflexion. Pour ma part, la réflexion me parait bien simpliste. Ces personnages d'abord attachants sont pris dans le cercle vicieux de l'éternel retour, et de quelle vie ? Le message d'espoir que pourrait évoquer ces vies multiples me paraît davantage désespérant : ce sera toujours la même fin, même si l'on cherche à influer sur son "destin", on ne peut rien faire puisque c'est précisément le destin ! Et qui plus est le même atemporellement ! Quelle triste idée, le destin ! |
Par :
joël  
(20 oct. 2004)
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Quelle meilleure date que le 20 octobre pour complimenter cette oeuvre ? Ayant entamé la lecture du second tome ce lundi 18 octobre, j'ai poursuivi hier soir ma lecture pour me retrouver en phase avec cette case " Trois heures avant le 20 octobre ...". J'en ai encore des frissons. Certains auteurs et dessinateurs ont la capacité de me transporter dans l'univers de leur histoire, telle une pierre magique ces tomes y sont parvenus. Graphisme, proportions, couleurs, matière, ... mêmes les tableaux dans les cases peuvent être appréciés. Et l'histoire, quel plaisir ! Merci. |
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Par :
sybaris
(08 oct. 2004)
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Il convient de dire que ce livre en est un beau, une oeuvre profonde, pénétrante, troublante et savoureuse qu'on ne se lassera pas de déguster. C'est bien cela le propre d'une bonne BD, plaire avec démesure et divertir jusqu'à la dépendance totale. Qu'on se le tienne pour acquis, ce regard sur la complexité de la nature humaine ne vous laissera nullement indifférent. |
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Par :
cycy
(24 sept. 2004)
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J'ai adoré le premier volume et je dois dire que pour celui-ci mon sentiment est exactement le même. A la première lecture, j'ai été un peu déçu, puis j'ai relu les deux albums et, en fin de compte, ce deuxième tome de cette courte série est très réussi. D'abord parce que les auteurs répondent à toutes les questions que l'on se posait à la fin du premier volume. L'union des enfants, leurs rêves, l'objet et son arrivée dans le village. Ensuite, il y a cette histoire de vies antérieures et surtout celle avec la famille du Costa-Rica qui est poignante. Puis il y a les dessins, j'aimais beaucoup l'ambiance de petit village de l'Italie, mais ce voyage au Costa-Rica est pas mauvais non plus, et l'ambiance de la jungle est très réussie. Une autre raison est que les deux albums ont chacun leur style sans être trop different. Un grand plaisir à la lecture de cette série, où l'on passe un très bon moment. Bonne lecture. Tchô. |
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Par :
Poukram
(20 sept. 2004)
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C'est vrai que l'histoire est belle, et les deux tomes sont très différents, la poésie à la Pagnol du premier volume fait place à une tragédie à la Lelouch dans cette suite. A ne pas manquer. |
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Par :
troglo92
(19 sept. 2004)
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J'ai acheté le T1 à sa sortie et je l'ai rangé religieusement dans ma bibliothèque sans le lire. A la sortie du T2, j'ai lu les 2 albums : quel plaisir et quel délice cette histoire !!! Pour moi, la magie opère sur les 2 tomes, différemment certes, mais bougrement bien distillée. Rien à redire sur le scénario. L'histoire est captivante du début à la fin. Le dessin est splendide et les couleurs rudement bien posées. Pour l'instant et pour moi, c'est l'HISTOIRE de l'année 2004 !!! |
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Par :
Vassili
(16 sept. 2004)
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Autant le dire tout de suite : si vous cherchez dans ce tome 2 la même chose que dans le 1, vous allez être déçus. On le devinait à la fin du tome 1, toute l’action du tome 2 se passe 20 ans après le tome 1. Exit donc l’Italie, les criques de sable, le soleil et l’innocence des enfants. En cela, le tome 2 perd un peu de sa magie. Pour autant, ce tome 2 est excellent. On comprend enfin tous les rouages de l’histoire, la magie est différente mais elle opère quand même. On ressent merveilleusement bien ce qui lie les personnages. Bref, on conserve toute l’émotion du premier tome. Il y a toujours ce je ne sais quoi de nostalgie et des paysages superbes. Pour résumer, on peut dire que le tome 2 est très différent du premier mais qu’il est tout aussi beau et grandiose. |
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Par :
James
(13 sept. 2004)
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Le dessin semblait toujours aussi bien, la couverture aussi belle, j'avais beaucoup aimé le premier tome, Thierry Bellefroid a écrit du bien sur le second.... alors pourquoi n'aurais-je pas acheté ce second ? Et pourtant me voici déçu en le refermant. L'histoire nous mène "où le lecteur ne l'attendait pas" mais ici ce n'est pas un compliment, car ce qui avait été mis en place de profondément humain dans le 1er, on ne le retrouve qu'en partie ici. J'ai l'impression que les deux albums sont deux styles d'histoires différentes que les auteurs ont voulu mettre ensemble de manière artificielle. Dommage. Comme quoi on ne peut jurer de rien quand l'histoire est à suivre. |
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Par :
Piet Lastar
(10 sept. 2004)
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Un peu moins de tendresse et de fraîcheur que dans le tome 1, mais une belle tranche d'émotions avec de véritables personnages humains et attachant. |
Par :
Thierry Bellefroid 
(09 sept. 2004)
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« Où le regard ne porte pas », d'Abolin et Pont. Tome 2. Chez Dargaud. Incontestablement, « Où le regard ne porte pas » restera une des sorties phare de l'année 2004. En deux volumes d'une centaine de pages chacun, les auteurs ont réussi à camper des héros attachants, à trouver un ton tant graphique que narratif et à maintenir un suspense et une attente chez leur lecteur. Le tout, publié en moins de dix mois ! Après le premier album qui se présentait surtout comme la chronique d'un village de pêcheurs italien du début dix-neuvième, le second, lui, nous propulse vingt ans plus tard, sans nous ménager. Les trois garçons ont vieilli, mais ils vont se retrouver comme « un seul homme », à l'appel de Lisa. Les voilà partis pour une aventure costaricaine qui vient, on s'en doute, résoudre les mystères laissés béants à la fin du premier volume. Sans dévoiler le fond de l'histoire, disons que le second tome s'attaque au thème de la réincarnation avec autant de brio que le premier jouait sur un registre proche de « Jean de Florette ». Georges Abolin fait à nouveau preuve d'une belle maîtrise des dialogues, ciselant comme il le faut les silences et les réponses courtes, les envolées plus poétiques comme les questions que se posent naturellement ses personnages. Quant à Olivier Pont, son dessin reste magnifiquement épuré. Et même si l'on n'est pas tout à fait sûr qu'il soit allé un jour au Costa-Rica, ses décors sont suffisamment suggestifs pour emporter le lecteur. L'ensemble apparaît comme une histoire à la fois fantastique et humaine, d'une belle cohérence tout en étant très différente d'un volume à l'autre. Quant à la seconde couverture, elle n'a rien à envier à la première. S'il y avait un prix de la couverture à Angoulême, ce joli diptyque y aurait toutes ses chances... |
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Par :
sbi
(07 sept. 2004)
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C'est juste touchant. Je n'avais plus ressenti cela depuis "Le voyage en italie" de Cosey dans la collection Aire Libre. |
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Par :
nickel
(03 sept. 2004)
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Où un magnifique diptyque trouve sa conclusion… L’âge adulte fait bien des ravages, s’efforçant de réduire à néant l’innocence et les rêves enfantins qui, comme le souligne William, l’un des protagonistes, sont "laissés en chemin pour pas trop s’encombrer… pour garder la tête froide face à la vie, la vraie vie…" Pourtant, parfois, il suffit d’un rien pour que les rêves resurgissent et redonnent espoir. C’est le credo de Lisa, l’héroïne, autour de laquelle se réunissent les trois autres personnages, vingt ans après leur séparation. Aujourd’hui, les trentenaires, emmenés par la fascinante jeune femme, vont aller au bout de leur quête et percer le secret de leur profonde amitié. Où le regard ne porte pas est un récit écrit avec le cœur, l’histoire d’une amitié réelle, sensible, comme la bande dessinée n’en offre pas si souvent, la mise en scène d’un lien fort que chacun espère connaître au moins une fois dans son existence. L’émotion est souvent palpable, à travers les joies et les peines des personnages. Par le biais de certaines zones d’ombre aussi, puisqu'il est dit dès le titre que tout ne peut être vu ou compris. Mais vous, si vous croisez ces deux albums, n’hésitez pas une seconde et portez votre regard sur cette magnifique aventure ! |
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Par :
tails
(02 sept. 2004)
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Que dire face à une telle Merveille ? Les 2 albums méritent d'être lus et relus à volonté. Le 1er album est magnifique par son côté enfantin, son découpage sur chaque planche et surtout par ses personnages si attachants. Le 2ème volume est génial pour d'autres raisons encore : l'histoire est riche, le dessin parfaitement adapté au scénario, mais surtout la fin est assez troublante, pleine de reflexion. Les 96 pages se dévorent malgré quelques retours en arrière sur le précedent album. C'est pour moi la MEILLEURE oeuvre de ma BDthèque. Merci beaucoup aux auteurs. |
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Par :
Akasha
(02 sept. 2004)
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Que dire ? Un vrai bonheur, ces deux volumes se dévorent, l'histoire vous prend corps et âme. On ne lève plus la tête tant qu'on n'a pas fini. C'est pour moi aussi l'une des meilleures oeuvres de ma bédéthèque. |
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