Cet album ne laisse pas indifférent, mais ne marque pas les esprits. Le scénario est bon mais il manque un peu de rythme à mon gout. Autant Etienne Davodeau m'avait touché avec le bel album "Chute de vélo", autant avec "Le constat" je reste sur ma fin. Les premières pages commencent comme un film, avec une certaine envie de continuer, mais au fil de la lecture, on s'essouffle. Dommage.