Topkapi de Ludwig AlizonFred Duval - 9 critiques

Série : Travis - T. 6.2
Edition : Delcourt
Collection : Neopolis
Pages : 48 pages en couleurs
Parution : septembre 04
Auteurs : Ludwig AlizonDessinateurFred DuvalScénariste

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Par : toubet Voir les critiques de toubet (12 nov. 2004)

Je suis vraiment déçu par le changement de dessins. Travis comptait parmi le top 5 des mes séries préférées justement grâce aux planches de malade de Quet!!! Et je m'explique : un trait superbement précis et dynamique, des cadrages très intéressants, des découpages de maître, le détail toujours poussé, des scènes de bastons qui nous donnent envie de regarder la même case pendant des heures, encore et encore et encore et encore etc. etc. Les personnages avaient un aspect beaucoup plus vrai, méchant et attachant..
Encore une fois, comme c'est extrêmement dommage.. désolé pour Alizon. Il a son propre style. Mais pour Travis, il n'y a et n'y aura qu'un seul et vrai duo et c'est Duval avec Quet. Je ne connais pas les raisons de ce changement, mais j'espère que s'il y a moyen de réparer cette erreur, que ça soit fait. Merci.

Par : Philippe Belhache Voir les critiques de Philippe Belhache (25 oct. 2004)

« Topkapi », Travis 6.2, d'Alizon et Duval. Editions Delcourt « Série B »

Disons le tout net, il n'y a pas de mal à se faire du bien. Et une bonne série B n'est jamais plus intéressante que lorsqu'elle est assumée comme telle. « Travis » remplissait jusqu'ici admirablement le cahier des charges. Jusqu'ici, car ce tome 6.2 est pour moi le premier vrai faux pas de la série. L'album n'est ni bon, ni mauvais, mais peut-être tout simplement inutile. Cette scission entre 6.1 et 6.2 était intéressante, permettant de suivre en parallèle le héros en titre, Travis, et son alter-ego devenu indispensable à la série, Vlad Nyrki. Un parti pris culotté bien que déjà exploité, dont le résultat laisse malgré tout dubitatif. Duval avait habitué ses lecteurs à mettre de la matière dans des intrigues carrées, à piéger le lecteur dans chaque album, à le manipuler jusqu'au but final. Hormis une louable tentative de donner corps à un Istanbul dévasté, Topkapi se révèle au final un album fantôme, prétexte au recrutement de Nyrki par une Anna Carlsen devenue inconsistante au sein d'une organisation désormais (bien) armée. Et à une nouvelle et vaine démonstration des capacités de l'ancien scientifique (hé si), reconverti mercenaire shooté aux nanomachines, à faire le vide devant lui. Bref, rien de comparable au cycle des Cyberneurs, monument du techno-thriller en BD. Alizon tente de faire sien cet univers avec plus ou moins de bonheur, son graphisme souffrant en tout état de cause d'un trop grand décalage avec l'approche réaliste de Quet. On lui souhaite plus de bonheur sur son prochain projet avec Duval. En résumé, Travis 6.1 et 6.2 auraient mérité de ne faire qu'un au sein d'une narration plus homogène. Raté, vivement le 7.

Par : tomtomtom Voir les critiques de tomtomtom (28 sept. 2004)

Ah, que c'est bon de lire du Travis. C'est frais, c'est rythmé et le scénario est toujours bien ficelé. C'est une BD qui se lit et relit avec autant d'entousiasme. Les dessins d'Alizon collent bien à la série et c'est rare qu'un dessinateur bis puisse aussi bien plaire... Vivement la suite.

Par : goodcarma Voir les critiques de goodcarma (18 sept. 2004)

Voilà, le nouveau Travis.
Bon, j'adore Travis, mais deux choses: Sans détester le nouveau dessinateur, je préfére Quet... Question de goût.... Je n'irai pas jusqu'à dire que le dessin est raté, ça serait faux, il apporte son style, différent de Travis, mais après tout dans cet album, c'est pas travis qu'on suit, c'est Vlad. Et Je trouve que le dessin s'adapte pas mal à l'action... Mais je préfére Quet... ;-)
Bon, le deuxième point, c'est que cet album est quand même beaucoup moins fouillé que les précédents et peut-être un petit peu trop orienté action... Quoique ?? Enfin, bon, ça reste quand même un album indispensable pour la suite et fin de ce cycle, donc à lire absolument...

Par : Hephaistos (16 sept. 2004)

Mouaif ! J’avais été déçu par le Travis 6.1., et je crois que je suis un peu déçu aussi pour ce 6.2. Le dessin ne me choque pas, au contraire. Je trouve qu’il colle mieux à la série que celui de Quet. Là où le bât blesse à mon sens, c’est au niveau du scénario. Les scènes d’action s’enchaînent, ce qui est sympa dans la mesure où on ne s’ennuie pas mais j’ai trouvé le scénario un peu faible, moins fouillé que dans les précédents tomes. En fait, on avance très peu et en refermant ce tome, j’ai eu l’impression d’avoir lu une BD d’action de 46 pages. C’est bien gentil mais ça fait un peu mince pour cette série. Disons que c’est un interlude correct entre le 6.1 et le 7, sans plus.

Par : Franz Voir les critiques de Franz (14 sept. 2004)

Travis est sans doute une des séries les plus sous-estimées du moment. Elle cache en effet un scénario très bien pensé, qui nous projette dans un futur peut-être beaucoup plus proche que l'on ne croit... Des transnationales en quête de profits tous azimuts (toute ressemblance...) se livrent une guerre sans merci. Au milieu de tout cela, des hommes, Steve Travis, héros éponyme, mais aussi son ami Vlad Nyrki, qu'on suit dans cet album, luttent pour ne pas être broyés et contrecarrer quelque peu les projets des grands groupes.

Ce tome 6.2, dont l'action se déroule en parralèle avec le 6.1, nous permet d'en savoir un peu plus encore sur la toile inextricable des relations entre tous les protagonistes et sur le rôle exact de Travis. Si le dessin peut rebuter (mais il en allait de même pour le dessin des autres tomes, assez particulier également), l'intrigue est comme toujours bien menée et agréable à suivre.

Un bon album, donc, agréable et prenant. On attend la suite de ce cycle, qui ne comptera que trois albums. Sera-t-il aussi fort que le premier?

Par : jay-jay (14 sept. 2004)

Faire un album sur Vlad est, dès le départ, une bonne idée. Changer l'univers graphique était disons osé, mais , pour ma part, je trouve le dessin plutôt original et stylisé (il n'y a qu'à voir le Vlad à l'arrière de la BD).
Les scènes d'actions sont réussies et notre anti-héros est un poseur né (sa faculté à bouziller un cargot de terroristes seul ou de faire des entrées fracassantes est plutôt jouissive).
Par contre, on apprend pas grand chose sur Vitruvia et au bout du compte, j'ai l'impression que scénaristiquement parlant, on aurait pu se passer de cet album. Mais ça permet de developper l'ambiance, ce qui est plutôt un luxe de nos jours et on peut faire confiance à M.Duval pour recouper toutes les intrigues en un finish grandiose (sept 2005, ça fait long à attendre, surtout quand ce n'est pas le même dessinateur...).
Une de mes meilleures lectures "Séries B" du moment et j'espère revoir le trait de M.Alizon pour de nouvelles aventures (sur Travis ou ailleurs)!

Par : Naud (13 sept. 2004)

Le scénario est toujours à la hauteur. Un album complet dédié à Vlad !!!! le bonheur!! Et puis, déception totale : le dessin est dégueu et les couleurs informatiques ne sont pas du tout maîtrisées. Résultat : on a le sentiment que les perso sont figés dans leurs petites cases. En plus, il y des gros traits inutiles un peu partout : vraiment déçu !

Par : CoolRaoul (11 sept. 2004)

Bon scenar, bons persos, mais le dessinateur aurait mieux fait de continuer à dessiner du comics ou du manga ! C'est dommage de ne pas respecter l'unite de dessin sur ce genre de série... Mais bon : Travis forever !


 


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