Code Apocalypse de Bruno Gazzotti Tome - 10 critiques
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Par :
Sep  
(22 oct. 2006)
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 Soda nous revient en très grande forme après quelques années d'absence. A nouveau, on note une forte évolution dans le caractère du personnage principal, de plus en plus désabusé par sa vie. Du coup, la série trouve un ton particulier. J'espère que Tome et Gazzotii resteront sur leur position, c'est à dire continuer ensemble cette série. Peut-être faudra t'il plus de patience pour le lecteur entre chaque album, étant donné les relations entre les deux auteurs et leur emploi du temps (Gazzotti vient de lancer avec Velhmann le premier tome de la série "Seuls"). Mais si la qualité est à chaque fois au rendez-vous et au niveau de "Code Apocalypse", alors ça ne me dérange pas d'attendre 3 ou 4 ans entre chaque aventure de Soda. |
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Par :
Durlow
(12 janv. 2006)
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Il nous avait manqué notre ami flic, Soda l'incorruptible (quoique dans le tome 11 "prières et balistique", il avait bien en tête de se tirer avec le pognon)! On retrouve donc notre héros, toujours autant enclin au doute et de plus en plus confronté à cette envie de foutre le camp, de tout balancer et de partir loin avec sa mère et pourquoi pas avec Linda, sa coéquipière! L'album est dure, l'ambiance toujours aussi sombre ! Tome continue à nous fournir cette image d'une vie de flic à New York vraiment merdique! Mais voilà, son scénario est tellement bon qu'on se laisse prendre et qu'on souffre en même temps que Soda ! Faut dire que dans cet album, il paraît franchement au bout du rouleau ! Chapeau aussi à Gazzotti, dont le dessin parvient vraiment à nous plonger dans l'univers de ce pauvre flic ! Comme quoi ça valait vraiment la peine d'attendre que nos deux auteurs mettent un terme à leurs divergences et reprennent en main le sort de leur héros new yorkais ! Espérons que pour le prochain, l'attente sera quand même moins longue ? |
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Par :
FatalJack
(20 juil. 2005)
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Il aura fallu attendre 4 ans mais que du bonheur une fois de plus. La série se perfectionne à chaque fois. Tout d'abord le dessin qui a bien plus de profondeur qu'au début (les débuts de Gazzotti je parle), une noirceur qui n'est pas pour me déplaire (autant par l'histoire que le dessin - "les yeux en noirs" je trouve ça particulièrement bien réussi et bien pensé même s'il y a qqs cases où je ne les aurait pas mis - que par l'histoire ) Mais cette noirceur est je trouve "normale" : le personnage est de plus en plus désabusé ce qui se remarque et peut tout naturellement se comprendre... En bref, du Soda, comme toujours très bon. A découvrir et consommer sans modération. En espérant pouvoir en lire encore de nombreux de cette facture. |
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Par :
Spock
(17 juil. 2005)
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S’il y a des séries qui se délitent avec le temps, ce n’est heureusement pas le cas de Soda. Ce tome est bien dans la lignée des précédents, même s’il est vrai qu’une ombre semble s’étendre sur l’atmosphère générale. Logiquement, l’humour perd du terrain dans l’affaire, mais c’était sans doute nécessaire pour la crédibilité de l’histoire. De plus, de mémoire, la série avait déjà ce goût de sang et de désespérance dès le premier album. Dessin toujours aussi soigné et efficace, scénario en osmose. Ceux qui ne connaissent pas Soda peuvent filer illico chez leurs libraires s’offrir toute la collection, ils ne seront pas déçus ! Si ce que soyphrenn rapporte à propos de l’avenir de cette série se révèle exact, ce serait franchement du gâchis, surtout quand on pense à toutes celles qui auraient dû s’arrêter depuis longtemps et qui poursuivent leurs routes malgré trois pneus crevées… |
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Par :
Zou
(13 juin 2005)
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La série Soda continue son bonhomme de chemin avec ce très bon album. Il est dans la lignée des deux derniers, un peu plus noirs et plus sombres qu'à l'accoutumée, ce qui n'est pas pour me déplaire. Le personnage de Soda gagne un peu plus en profondeur, il paraît de plus en plus éreinté et désabusé de son boulot de flic à New York. Cependant, il reste fidèle à ses idées de justice et de loyauté, et ne se laisse pas corrompre par les vautours qui lui tournent autour. Bref, un album bien typé "Soda", sans aucune mauvaise surprise, et qui se lit agréablement. |
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Par :
Bretwalda
(13 juin 2005)
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Soda revient et on ne lui fait pas que des fleurs dans cet album sombre (on retrouve les "yeux en noir" déjà vus dans un précédent tome). Avec une intrigue que certains scénaristes feraient tenir en 14 albums, on a ici une histoire ramassée, violente, à la Soda, avec des personnages secondaires qui gagnent eux aussi en épaisseur. Bref c'est du bon Soda qui pique à consommer sans modération. |
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Par :
Kieran
(13 juin 2005)
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Après le choix d'une orientation plus dure de la série avec le numéro 11, Soda revient avec ce "Code apocalypse". Il n'y a pas grand chose à révéler de l'histoire sinon qu'elle parle de meurtre. Dans un certain forum, des informations laissent penser qu'il s'agirait peut être du dernier Soda avec les auteurs principaux et c'est bien dommage. Avec ce numéro 12, les liens entre les personnages s'affirment et la série prend un corps qu'elle ne connaissait pas encore. Le précédent donnait juste un ton plus sombre, cet album-là a donné un vrai renouveau à une série déjà bien sympathique. On pourrait d'ailleurs rêver un peu qu'une historie plus longue se profile à l'horizon qui porterait en elle, les révélations manquantes (les doigts de Soda), qui emporterait les personnages en dehors du canevas devenu répétitif de la série et l'amener à une fin définitive et écrite. |
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Par :
Poukram
(09 juin 2005)
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Encore plus noir que le précédent volume, trop noir à mon goût. Le graphisme suit d'ailleurs. Dommage car l'humour disparaît. Même le fil rouge du fiston chez sa maman ressemble désormais plus à un fardeau pesant qu'au vaudeville marrant des précédents tomes et j'en ris... moins. |
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Par :
soyphrenn
(07 juin 2005)
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"Ces personnages s'étoffent, ce qui laisse présager d'autres albums d'aussi grande qualité". Oui, sauf qu'apparement, ce serait le dernier, vu que, entre Tome et Gazzotti, ça se regle au tribunal... |
Par :
Arnaud Reymann 
(07 juin 2005)
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"Code Apocalypse", Soda tome 12, par Tome et Gazzotti, Editions Dupuis, Collection Repérages. Ce dernier opus renoue définitivement avec le côté polar noir des deux premiers tomes. Le Lieutenant Soda ne retrouve pourtant pas son « physique originel ». Dans les deux premiers volumes, sous la plume de Warnant, ce flic-pasteur a tout de l'anti-héros. Petit, malingre et têtu. L'encre employée par Gazzotti pour la suite de la série doit contenir des anabolisants : grand et fort, il n'en conserve pas moins son caractère de flic désabusé. Ce douzième opus joue encore plus sur le désenchantement des valeurs américaines, sur un air de déjà-vu. Un scénario ancré dans une « réalité » pas si lointaine. Tome approfondit les rapports entre les protagonistes et leur caractère : le Captain Pronzini, le Sergent Linda Tchaïkowsky et Soda. Ces personnages s'étoffent, ce qui laisse présager d'autres albums d'aussi grande qualité. |
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