500 mille chevaux de Alain HenrietDaniel Pecqueur RosaPierre Schelle - 7 critiques
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le régulateur  
(03 sept. 2005)
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 Je me méfie toujours des séries dérivées et des suite à rallonge etc... Et après avoir été agréablement surpris par le T 1 qui est plus que correct, le T 2 me navre... C'est un scénario avec peu de ficelles , ficelles ici aussi grosses qu'une ancre de bateau ! (pour mieux couler certainement). Peu de surprises voire pas du tout ! Le grand méchant se venge ah ah ah... pufff... Un conseil, passez votre chemin ... |
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Par :
Sakharine
(10 déc. 2004)
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Pas grand chose à reprocher à cette série très commerciale qui reprend les ingrédients qui ont fait le succès de Golden City. Les différentes intrigues initialisées au premier tome se développent et s'entremèlent sans surprise dans cet épisode. Le résultat est assez simpliste et plein de clichés. Le dessin est sobre, les couleurs parfaitement maîtrisées sont plutôt crillardes. Le design book est là pour aider à la vente de la première édition. Heureusement il y a plus intéressant dans les bacs actuellement. |
Par :
Arnaud Reymann 
(07 déc. 2004)
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500 mille chevaux, Golden Cup, tome 2 par Pecqueur et Henriet, chez Delcourt. L'Aventure avec un A majuscule. Il n'y manque aucun ingrédient. Un héros, son mentor, les copains du mentor (des papys à la retraite qui étaient les meilleurs dans leur domaine mais qui rempilent par amitié), des moteurs, des méchants, des vengeances et des jolies femmes. Vu ainsi, cela fait un peu cliché. Mais dosés savamment par Daniel Pecqueur, tous ces éléments (indispensables à une bonne histoire d'action) font de Golden Cup une réussite. Un récit très dense où plusieurs histoires s'entremêlent, sans que l'on s'y perde. La course, la destruction de Golden City, un kidnapping, la vengeance de l'ancien boss de Daytona ; toutes ces histoires devraient se résoudre au fil des étapes de la Golden Cup. Il est aussi amusant de constater que cette série qui se situe pourtant dans l'univers de Golden City, née sous les doigts du même scénariste, démystifie un peu la série-mère. La maman du jeune Banks n'apparaît pas ici sous des traits des plus sympathiques. Le dessin d'Alain Henriet est en harmonie avec le scénario, ainsi d'ailleurs qu'avec l'univers de Golden City. Clair, sans surcharge, et assisté au design des véhicules par un Manchu au mieux de sa forme. Le seul élément un peu inquiétant, dans cet opus, est la place grandissante du narratif dans les cases. Il n'en faudrait pas beaucoup plus pour atteindre la saturation. Cela mis à part, ceux qui ont apprécié Golden City ne seront pas déçus par cette série. Pareille, mais très différente. |
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Par :
founzy
(29 nov. 2004)
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Qui aime la série Golden City aimera la série Golden Cup. En effet, cette série nous fait découvrir les coulisses de Golden City et la jeunesse des différents protagonistes, le tout, sur fond de courses de voiture pour le moins spectaculaire. La première édition de cet album est, en plus, agrémentée de croquis des différents véhicules. Un petit plus qui en vaut la peine. Avec ce second album, les pions sont placés et la partie peut commencer. Il est vrai que les méchants sont de vrais méchants et les gentils de vrais gentils mais cette deuxième tome répond aux attentes, c'est un très agréable moment BD ! |
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Par :
goodcarma
(24 nov. 2004)
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Et bien moi j'ai aimé cet album et le précédent aussi ! Je crois qu'il faut juste le prendre pour ce qu'il est : un bon divertissement avec un dessin soigné. Alors c'est vrai, à priori, l'histoire, un enfant de 10 ans aurait pu l'écrire... Il y a des méchants vraiment méchant, plutôt parodique l'image du "Boss" petit énervé qui veut conquérir le monde qui a une base secrète immense et super sofistiquée et finalement, y rien ne marche. Et puis il y a des gentils très gentils, trop ? Peut-être un peu lisse, il manque un peu de caractère le jeune homme. Pourquoi ne pas s'être inspiré de Schumacher ? Froid, calculateur, ambitieux et doué... Enfin bon passons, c'est pas trop grave même si finalement les personnages secondaires ressortent plus que le principal... Bon toujours est-il que je vous recommande de lire cette BD avec un paquet de popcorn et une boisson gazeuse: ça vaut un film au ciné. Une dernière chose, une critique fait mention des 24h du monde de la série "Mâchefer" en signalant que les auteurs avaient fait une histoire sensiblement pareille en 1 tome. C'est vrai et il était très bien avec des très beaux dessins. Seulement, il faut préciser qu'il s'agit d'une série qui développait des histoire en 1 tome à chaque fois avec des personnages récurrents et qu'il s'agissait du troisième tome, donc les personnages avaient déjà été présentés au lecteur. Et si je parle au passé, c'est parce que la série s'est arrêtée après le tome 3 "les 24h du monde" faute d'avoir trouvé son public (dommage!!!!). Aussi il subsiste une question: les "24 h du monde" se déroulent sur un tome par choix des auteurs ou par obligation ? La réponse est à demander aux auteurs. |
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Par :
Seb
(24 nov. 2004)
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Autant le premier opus était prometteur (il n'était que ça, puisque rappelons-le, ce n'était ni plus, ni moins qu'une vaste introduction), autant celui-ci m'a d'emblée déçu. Déjà graphiquement. Le gros point négatif est qu'à plusieurs reprises, les dessins ne correspondent pas au dialogue. Citons ces quelques sourires lumineux - en plein dans les moments un peu dramatiques - placés là comme par défaut par le dessinateur. On a parfois l'impression de regarder une pub pour un dentifrice. Le scénario pêche avec quelques incohérences, un suspens (mais quel suspens ?) quasi-inexistant (En fait, on sait que Daytona va gagner, c'est clair comme de l'eau de roche, que la ville de Golden City sera épargnée - dixit la série du même nom qui se déroule 40 ans après - et qu'à tous les coups la fille à papa enlevée sera retrouvée - probablement avec la complicité du génie du volant cité plus haut) et des dialogues moyens. Mais gardons espoir, Pecqueur nous a montré de ce dont il est capable, et l'aventure ne fait somme toute que commencer (le début = 2 tomes. Combien d'albums pour le développement ?). |
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Par :
yannick
(22 nov. 2004)
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Que faire pour attirer des bédéphiles vers une série proposant des courses de voitures sans lasser les lecteurs passionnés par les aventures de "Michel Vaillant" ? Une des réponses en lisant "Golden Cup" consiste à mixer enlèvements, soupçons, attentats, belles nanas, beaux gosses… le tout dans un environnement futuriste en récupérant l’univers de Golden City. Les fans de cette dernière série ne seront pas déçus car la mise en page, le cadrage, le graphisme et surtout la mise en couleurs sont très fidèles à la série-phare. On retrouve donc des personnages assez attachants et un découpage efficace. Ces qualités sont hélas entachées à mon avis par la pauvreté des dialogues et un scénario faible. De nombreux clichés, grosses ficelles et situations convenues parsèment tellement "Golden Cup" qu’il vaut mieux de ne pas être pointilleux au risque de trouver tout cela indigeste. Malgré tout, la sauce prend son effet et j’ai trouvé "Golden Cup" relativement agréable et divertissant. Je regrette qu’il ait fallu attendre un album et demi pour voir les premiers bolides s’élançaient alors que "les 24 heures du monde" de Sébastien Vastra racontait une superbe course d’automobiles en un seul album ! Je donne une mention spéciale à Manchu pour le design futuriste des voitures toutes aussi belles les unes des autres et qui font l’objet dans la première édition d’un cahier graphique gratuit en supplément. "500 mille chevaux" est une bédé dont le traitement graphique est dans la tendance actuelle avec ses tons fashys (mais pas trop) informatisés et des cadrages spectaculaires. "Golden Cup" est née pour être une série de pur divertissement et rien que pour ça, il faut avouer que les auteurs ont tenu cette promesse ! |
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