Fantaisies meurtrières de Denis BodartFabien Vehlmann - 3 critiques
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Par :
Zou
(18 déc. 2006)
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 Un album légèrement inférieur aux précédents, mais qui reste très agréable à lire. Comme d'habitude, les multiples nouvelles présentées mèlent efficacement récit policier et humour noir. J'avoue cependant que la fin de "l'intrigue principale" m'a fortement déçu : je m'attendais à un retournement de situation ou quelque chose de vraiment étonnant, mais non, il n'en a rien été. Dommage ... Mais bon, mis à part ce petit détail, cet album est vraiment excellent et Green Manor reste une très bonne série policière. |
Par :
Sep  
(14 sept. 2006)
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J'aurai dû mettre 5 étoile pour cette série, malheureusement le dernier tome est un peu moins bon, scénaristiquement parlant, que les deux précédents (par contre le dessin de Bodart est bien meilleur). Cette série est un pure moment de bonheur, je me régale à la lecure de ces histoires courtes à l'humour très british. Mais je regrette vraiment ce dernier tome qui est "l'album de trop". Velhmann a voulu conclure sa série, ce qui est une intention très louable, mais hélas l'inspiration n'était semble t'il pas au rendez vous. Attention, ne vous méprenez pas, il ya de bonnes choses dans cette BD, elle vaut le détour, mais les tomes 1 et 2 étaient tellement exceptionnels, que celui-ci fait bien pâle figure à côté. Malgré ce petit impair, "Green manor" demeure une série de référence pour les amateurs d'humour noir. Un régal !! |
Par :
Philippe Belhache 
(25 mai 2005)
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« Fantaisies meurtrières », Green Manor 3, de Bodard et Vehlmann. Dupuis, collection Expresso. Saluons le passage en collection Expresso de cette excellente série signée Fabien Vehlmann, avec à la clef un troisième opus tout aussi jubilatoire que les précédents. Le principe reste le même, une série de courtes nouvelles policières de sept planches chacune, dont le seul lien apparent est de prendre racine dans les salons du Green Manor, un club de la haute bourgeoisie londonienne dont les murs semblent renfermer tout ce que le Royaume Uni peut compter de perversité et de cynisme. Un format que Vehlmann affectionne, aussi bien dans « Green Manor » que dans l'excellent « Des lendemains sans nuages » ou le plus récent « Wondertown ». L'album se démarque de ses aînés par une tonalité particulière, les énigmes purement policières faisant place à la folie comme aux destins brisés. Cela n'empêche pas la magie d'opérer. Grâce notamment au graphisme somptueux de Denis Bodard, décidément trop rare. Et à une couverture cette fois à la hauteur de la série... Et de nos attentes. |
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