La Comtesse Volodine de Olivier Berlion - 5 critiques
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Par :
titine  
(27 août 2004)
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 Pour ceux et celles qui aiment le polar, celui-ci a le mérite de se mettre à l'heure d'été. Un nouvel enquêteur séduisant, fouinant dans le milieu de la jet set à Saint-Trop'. C'est un album à placer dans la valise, destination palmiers et à lire en sirotant un pamplemousse-kiwi fraichement pressés. De plus, l'enquête est bouclée dans cet unique album. A lire lors de vos prochains séjours en bordure de mer... Et dire que c'est la rentrée, pffffff |
Par :
Michael Day 
(12 juil. 2004)
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« La Comtesse Volodine » tome 1 de « Tony Corso », par Berlion. Chez Dargaud. Vous vous souvenez de « Magnum », cette série TV - tellement mythique quelle donnera lieu à remake hollywoodien d'ici peu - dans laquelle le beau Tom S. roule en Ferrari, ennuie l'intendant de la propriété dans laquelle il « squatte », et résout des enquêtes, chemise hawaïenne au vent et jolies nanas au bras. Prenez les mêmes ingrédients, quittez Hawaï pour Saint-Trop' et vous obtenez « Tony Corso ». C'est efficace et rafraîchissant comme un cocktail pris en terrasse une journée de canicule... mais aussi vite oublié. Outre le professionnalisme de l'auteur et de l'éditeur un vrai récit « tout public » suffisamment aguicheur (et aguichant), mais dénué de vulgarité -, ce premier tome possède deux qualités indéniables. Tout d'abord, sa date de parution : voici un livre parfait pour les vacances, la plage et les voyages en train. Ensuite, ses 56 pages qui en font un récit complet (on évite ainsi le traditionnel diptyque à la sauce diluée ou, pire, l'enquête saucissonnée en une série interminable). « Tony Corso » est donc une production estivale des plus honnêtes, qui remplit pleinement son cahier des charges : nous faire passer un bon moment. |
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Par :
zoom
(03 juil. 2004)
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Mais qu'est-ce qui arrive à Berlion? Il nous a habitué à mieux... Le graphisme est tellement baclé, que même la couleur ne sauve pas les meubles ! Le personnage principal (une sorte de "Magnum" à la française mais sans le charme et la moustache) n'est pas suffisamment étoffé pour que l'on puisse s'y attacher. Et alors les dialogues... non, laissons tomber, je préfère allez lire un "Voici", au moins je suis sûr de ne pas m'ennuyer ! |
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Par :
Seb
(30 juin 2004)
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Dans un contexte où les séries BD sont de plus en plus des suites interminables, cet album a quelque chose de rafraîchissant. Ainsi, l'affaire est bouclée à la dernière page et le scénario nous laisse un petit arrière-goût pas désagréable à défaut d'être mémorable. S'il n'est pas sans rappeler les séries de la collection "Troisième vague" (IRS, Vlad, N. koda) des éditions Le lombard, ou bien encore les aventures d'un certain milliardaire bien connu, ce premier opus de Berlion a la particularité de nous faire évoluer dans un environnement atypique pour ce type de BD, car français. Ainsi, on retrouvera le vaillant héros, intelligent bien sûr, beau gosse, tombeur de ces dames et un tantinet débrouillard. Côté dessin, l'auteur a visiblement voulu se conformer au moule. Il nous sert donc un dessin semi-réaliste, à peu près réussi, mais parfois tout juste sauvé par la mise en couleur. Au final, un album assez réussi, qui sans être à tomber par terre, laisse une bonne impression. |
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Par :
herve
(11 juin 2004)
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Dialogues très percutants, scénario accrocheur, cette nouvelle série de Berlion démarre sur les chapeaux de roues. Résolument tourné vers cette mode omniprésente de la "jet set", l'auteur arrive tout de même à nous surprendre, bien que l'enquête menée par Tony Corso soit quelque peu simpliste. Non, tout l'intérêt réside dans le héros, un Magnum de la Côte d'Azur, aux réparties cinglantes et aux chemisettes voyantes. Pour ne rien gâcher à notre plaisir, le dessin est très agréable et les couleurs de Christian Favrelle sont à l'image des chemisettes du personnage principal : flashies ! Cet album ne va pas révolutionner le monde de la BD mais il fait passer un agréable moment... et c'est tout ce qu'on demande à une BD ! A conseiller aux fans de séries policières car tous les ingédients y sont : le détective, la mafia, les belles femmes, les portes-flingues, le commissaire dépassé par les évènements, etc. |
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