Les 25 critiques de géraud sur Bd Paradisio...

Je ne vais pas me faire des amis auprès des critiques précédents, mais je trouve quant à moi que cet album est un ratage complet. Si l'on commence par le dessin, on ne peut que constater la baisse flagrante de qualité énorme chez Le Gall. Que ce soit dans le trait, les perspectives, la maîtrise des personnages (regardez les traits de Champignac, la tête de Fantasio, etc...c'est comme si Le Gall était redevenu un débutant un peu limité), etc...Je me demande s'il a bien tout réalisé lui-même, sachant qu'il a eu beaucoup de difficultés à finir son album... Enfin, le comble du ridicule a, selon moi, été atteint avec le portrait de Fantasio par un grand maître de la peinture... Ma fille de 6 ans fait mieux ! Alors qu'il aurait pu montrer toute l'étendue de son talent, il réalise là un dessin complètement râté. Je terminerai rapidement par le scénario, qui tient sur la moitié d'une feuille de papier toilette: récupérer Zorglub dans le passé en jouant avec une faille dans l'espace temps.... De plus, il est bourré de contradictions, jouant la carte de : on a résolu des problèmes de cohérence que retour vers le futur et les visiteurs n'ont pas solutionnés, tout en faisant des gaffes énormes... Bref, selon moi, ratage complet, allourdi par l'attente suscitée par les belles promesses initiales du projet.
Il est de bon ton de dire que l'on aime cette bande dessinée, qu'elle est "forte", bien dessinée, émouvante, etc. C'est dans cet état d'esprit que j'ai entamé sa lecture. Et bien à l'autopsie, j'avoue que je suis déçu. En effet, qu'est-ce que Muchacho en regard de ce que Lepage a réalisé avant ? Un mélange de ses thèmes favoris (la résistance, la découverte de soi-même à travers une épreuve, les relations humaines, l'homosexualité, etc...), de ses situations favorites (une traversée de la nature), de ses images favorties (jungle luxuriante, décors, couleurs, etc), que l'on trouve déjà présents dans ces autres bd. Ils sont en effet présents dans Névé, la Terre sans mal et ses carnets de voyages, comme si Muchacho était une sorte de "Best of" pour les fêtes... Vous me direz: oui, mais c'est mieux réalisé, mieux construit, plus mature...Je vous répondrai: moins frais, éculé, peu émouvant (comparez avec névé et dans une moindre mesure avec la terre sans mal et vous verrez), peu novateur...Je préférais ses débuts et me lasse de cette bd qui n'apporte rien.
J'adore Gazzotti, je trouve Velhmann très bon comme scénariste. J'ai beaucoup aimé la lecture de cette bd... et pourtant... Et pourtant, je ressens une énorme frustration après la lecture de cette BD; Avec un sujet pareil (un super "pitch"), pourquoi s'en tenir encore aux codes la BD européenne traditionnelle ? Pourquoi faire un faire un 44 pages cartonné en couleurs qui prend 1 an à 1 an et demie à réaliser ? Plutôt que de dire: que vont-ils faire, ces enfants seuls sur terre (en apparence) ? N'aurait-on pas du dire: que vont-ils faire, ces auteurs franco-belge, avec ce matériau ? Que ce serait-il passé, si le même sujet avait été traité par un mangaka de qualité ? Et bien, on aurait eu un premier tome de 250 pages, dense, intéressant, développant l'intrigue, plantant le décor, les personnages, dans un récit plus détaillé, plus fouillé que cette rapide mise en bouche frustrante qui ne donne que peu d'éléments et ne développe rien. C'est comme un long générique de début de film, sans substance, juste les prémices d'une bonne idée... Bref, je me demande si j'aurai la patience d'attendre 1 an pour 44 planches de ce qui sera la suite de l'introduction, et ainsi de suite, quelle que soit la qualité des auteurs. Pour conclure, on n'arrête pas de nous parler des ponts à établir avec les mangas, de nouvelles collections de mangas à l'européenne (par exemple "Feux"), de BD scénarisées par des européens et réalisés par des mangaka (par exemple avec Morvan) et bien ceci aurait été une vraie bonne idée... Je suis très déçu par cette version.
Ces derniers temps, je ne trouve plus beaucoup de plaisir à lire de la BD franco-belge commerciale "adulte". Je trouve par contre beaucoup plus de qualité dans certaines séries dites pour "enfants", qui ne baissent pas de niveau. Celle-ci en est le parfait exemple. Je dirais même plus, elle bonifie avec les années et avec l'apport (pour un album) d'un nouveau scénariste. Captant l'essence de la série (l'amitié, l'école, une saine nostalgie pleine d'ambiance, etc...), Sergio Salma a réussi à la transcender pour y apporter un renouveau intéressant. En effet, outre une modernisation des dialogues, il relance tout à fait l'intrigue, en incorporant un nouveau personnage central (la fiancée de papa), qui ouvre assurément de nouvelles portes pour les futures aventures de Jojo. Contrairement à Cédric/Kid Paddle/Petit Spirou, voici une série qui évolue dans le bon sens. Enfin, que dire du graphisme au top de Geerts, qui illustre parfaitement cette histoire, tirant un profit maximum de l'utilisation de la couleur directe (nouvelle technique qu'il utilise depuis le précédent album). Une belle réussite, qui donne envie de la lire la suite...
Un peu déçu de ce dernier album. Non pas au niveau du bestiaire, toujours aussi imaginatif, ni au niveau de la création d'un monde cohérent (si loin, si proche), mais bien au niveau des dialogues et de l'interaction entre les personnages. Le côté mauvais feuilleton AB productions dépasse ici tout entendement. Certains dialogues sont risibles, certaines scènes ridicules (Inge et Marc qui sans se connaître font directement l'amour, car il est top canon...) et certains débats, euh, pas intéressants (l'obsession des filles à gros seins par exemple). Bref, un beau gâchis, qui pouvait être prédit, Léo ayant déjà montré auparavant cette propension à faire du roman de gare à l'eau de rose un peu daté...
Dommage ! Un bon premier tome, des pistes intéressantes, un graphisme impressionant et puis : plus rien... Dans ce deuxième tome, on s'y perd, les personnages n'ont plus de consistance, le graphisme se fait lourd (où sont les superbes doubles planches, les cadrages adaptés, les couleurs réussies, les grandes cases du premier volet ?) et le scénario tourne à vide. Le plus grave, c'est que j'ai perdu tout plaisir à lire cette série...
Parfois j'ai l'impression d'être un extraterrestre. Bref, en un mot : alors que les autres critiques sont bonnes, moi je n'ai pas aimé du tout. Conseillé par un libraire Brüsellois, j'ai acheté ce premier album qui paraissait prometteur. Et bien, je suis déçu : dessin approximatif, hyper retouché pour donner une impression de modernité, très peu clair (on ne reconnaît pas bien les personnages, les lieux, les actions), scénario mélange de plein de choses sans queue ni tête (on change de lieu sans cesse, de dates, de scènes, les ellipses sont énormes, incompréhensibles, les dialogues se veulent érudits mais tombent à plat) et couleurs parfois trop sombres pour une lecture cohérente. Il semble que c'est très à la mode de parler de religion, de mélanger anciennes croyances, cathares, pseudo-fantastique, encore faut-il se démarquer et innover. Cela a déjà été fait et mieux à mon avis (Décalogue, Triangle Secret, Troisième Testament, etc.). Tout le monde se lance dans ce créneau, même la littérature (Code Da Vinci), espérant récolter du succès. Bien que je souhaite du succès à ces nouveaux auteurs, je dois avouer que ceci ne m'a pas convaincu.
Si vous aimez les Etats-Unis sans apprécier Bush, le politiquement correct, le capitalisme à outrance (source d'inégalités) et le racisme, si vous voulez voir un Arnold et Willy trash, mâtiné de Calvin et Hobbes, si vous voulez savoir pourquoi les illuminati veulent contrôler le monde à travers le Père Noël, si vous voulez apprendre quelque chose sur la culture afro, si vous avez un peu de références en culture américaine (cinéma, MTV, Rap, politique,...) et si vous désirez rire en devenant un peu plus intelligent, jetez-vous sur cette petite perle, injustement peu mise en avant. Je ne sais pas pourquoi, mais on ne parle pas beaucoup de cette très bonne série de gags en strips, intelligente et bien réalisée. L'éditeur devrait un peu mieux faire son boulot, car c'est du tout bon et cela nous change des séries d'humour traditionnelles !!!
Je ne sais pas quoi dire, ni comment structurer cette critique : - le coup d'ancrer l'histoire dans Bruxelles avait tout pour me plaire, mais ici, c'est hyper caricatural (les couques, la saleté, les transports en commun, les flics, etc...) et râté. Je ne sais pas comment il faut le prendre, c'est tellement réducteur et à côté de la plaque. A mon avis, Morvan n'y connaît rien sur la Belgique et sur Bruxelles, se bornant à reprendre des clichés éculés. Bon, passons; - le dessin manga. Pas trop mal, mais à la différence d'un bon manga (Monster par exemple), il demeure peu expressif et donne finalement peu de relief à l'histoire. Et puis dans un bon manga, on a le temps de savourer une bonne histoire, ce qui n'est pas totalement le cas ici; - en effet l'intrigue n'est quand même pas très évoluée...Un deal de drogue, une course à la valise, on a déjà vu cela de maintes fois. Même les personnages se disent à la fin du livre: tout cela pour cela ! C'est exactement ce que je me suis dit... - l'humour à deux balles : A quoi cela sert-il de voir la journaliste américaine (qui n'a aucun intérêt dans l'histoire) dire à al togo qu'il est beau en slip ? C'est n'importe quoi... Bref, j'ai pas aimé et j'arrête là les critiques, car si vous avez envie de le lire, je m'en voudrais de vous en dégoûter totalement.
C'est marrant comme les spéculations peuvent aller bon train après un premier album d'une telle qualité (courronné de surcroît à juste titre). Depuis quelques mois, je lis sur certains forums que Larcenet ne pourra pas faire mieux que le 1, qu'il aurait dû s'arrêter là, que s'il fait un deuxième tome, c'est pour le fr... et autres inepties du même style. Rien de tout cela n'est donc vrai: il a bien fait de continuer, il avait prévu plusieurs tomes dès le départ, sans tenir compte d'un succès potentiel, ce deuxième tome n'est pas une rallonge de la même sauce, il se justifie pleinement et surtout, il procure autant de plaisir que le premier. Attendu (comme on peut le constater) au tournant, Larcenet a magistralement réussi son pari, pour clairement s'afficher comme un des auteurs les plus complets et intéressants du moment. Graphiquement sans reproche (exercices de style et changements très bien réalisés), Larcenet allie l'humour, la gravité, la psychologie, la profondeur, la sensibilité avec égal bonheur pour son lecteur. L'histoire est captivante, émouvante et les personnages demeurent toujours aussi attachants. Je ne vais même pas ici vous dévoiler un peu de cette histoire, qui doit se savourer pleinement. Je pensais ne plus pouvoir m'émouvoir. C'est raté. Merci Monsieur Larcenet !
C'est facile de faire une critique élogieuse d'une telle BD (une réédition, les trois tomes ayant déjà été publiés antérieurement par Casterman), tant elle offre du plaisir à son lecteur. Comme c'est rare, je pense utile de mentionner que j'ai fini cette bd avec les larmes aux yeux. Taniguchi réussit en effet à nous parler aux tripes, à remettre la famille et les relations avec nos proches au centre des préoccupations, au centre de ce que devrait être notre vie. Ces regrets, la découverte d'un être cher, délaissé par orgueil ou par pudeur, sur un malentendu, m'ont fait réfléchir à la relation que nous développons avec nos parents, nos enfants, à ces actes manqués. Je ne veux pas vivre malheureux, ni m'apesantir sur le passé, sur mes regrets. Cet album m'a donc servi de révélateur, de coup de pied salvateur à mon quotidien et au laisser-aller de mes relations avec mon entourage. Un album sur la vraie vie. Indispensable.
Si vous avez des doutes sur vos capacités, si vous doutez de votre utilité dans ce bas monde, si vous pensez que vous êtes un looser et que votre vie ne sert à rien, faites comme moi, lisez ce livre. Bien que quelque peu déprimant, ce livre installe un mal-aise qui peut être salvateur... Si comme moi, vous attendez d'un livre qu'il vous surprenne, qu'il vous touche, qu'il suscite chez vous une prise de conscience et qu'il vous fasse vous poser des questions, lisez ce livre. Une des belles découvertes de cette année, malgré son prix et la difficulté de le trouver. Définitivement à tenter.
Typiquement un album qui me met hors de moi, et qui ne mérite pas une longue critique. Après un premier album bourré de bonnes idées (le bonheur comme une drogue, la différence entre la réalité sordide et l'illusion), bien dessiné et bien scénarisé, on touche le fond. Le dessin est très mauvais (regardez certains détails, certaines tronches,...). On croirait presque que pour faire quelque chose d'aussi râté, on a changé de dessinateur en cours de route. Quant au scénario, même combat: c'est confus, les seconds rôles n'ont aucune profondeur, l'intrigue ne ressemble plus à rien, les bonnes idées ont disparu ou n'ont pas été développées. Ce tome 2, tant attendu, n'est ni plus ni moins que de l'arrachage de sac à mains (surtout quand on voit toutes les bonnes choses à lire en ce moment !).
Un petit mot en passant... Je discutais du rôle des femmes dans les temps de crise, de la façon dont les jeunes voient les représentantes du "sexe faible" dans notre société d'aujourd'hui (voir la façon dont les filles sont traitées dans les banlieues, où tout respect a disparu...), illustrant mn propos avec le dernier tome de Sillage. Quelques jours plus tard, je relis Betelgeuse et je me rends compte qu'un des thèmes est quasi le même, tant dans le fond que dans la forme. Kim/Navis arrive (nt) sur une nouvelle planète, rencontre (nt) une population soumise à un grave problème, qui nécessite de prendre des mesures afin de préserver la race. Le pouvoir militaire (un des deux clans sur Betelgeuse, les "humains" dans Sillage) ont donc ravalé la femme à un rang de nourrice/reproductrice, un "objet utilitaire" soumis au bon vouloir des hommes. Dans Sillage, les femmes doivent plaire aux hommes et se soumettre (comme des prostituées), dans Betelgeuse, elles passent de l'un à l'autre, sans pouvoir aimer et rester avec un seul homme. Bien évidemment, Kim/Navis vont s'offusquer de la condition de la femme et refuser cet ordre établi... Heureusement que dans Betelgeuse, il y a d'autres sujets abordés, un formidable bestiaire et la création très originale d'un monde différent, car je ne retrouve pas cela dans ce tome de Sillage. J'y retrouve juste Terminator + Matrix, ce qui m'amène à conclure que Sillage tourne en rond, copiant à qui mieux mieux des recettes déjà éprouvées. Ou bien, dois-je me dire que tous les thèmes ont déjà abordés et que certaines recettes font plus voir les ingrédients que les autres ?
Typiquement l'album pour avis tranchés. On aimera ou on n'aimera pas. Il y aura peu d'avis mitigés comme le mien...J'aime parce que c'est Frank Pé, parce que son dessin est merveilleux et parce que l'idée est intéressante. J'aime le plaidoyer, la défense d'une certaine humanité, de la nature et la critique de la mondialisation. Je n'aime pas le scénario pas toujours lisible, le manque d' "ambiance" de l'ensemble (ah, l'ambiance de la nuit du chat ou des baleines publiques !) et les contradictions de son auteur. Il critique la mondialisation mais ne dédaigne pas un Mc Do. Il critique le monde de l'argent, mais n'est pas le dernier à rentabiliser au mieux son travail (il n'a pas tort, mais il ne faut pas blâmer les gens qui, pour vivre, travaillent dans des multinationales, sans pour autant se travestir et perdre leur lucidité sur le monde dans lequel ils vivent). J'ai néanmoins une certaine tendresse pour Broussaille et son auteur, qui apportent un éclairage original sur notre présent et futur, ce qui est rare dans le monde de la BD.
Kuklos par Géraud
Profitant du peu de sorties cet été (tant mieux pour nos portefeuilles) pour me laisser guider par mon libraire, je me suis laissé mettre sur la voie de Kuklos. Ne sachant pas du tout de quoi il s'agissait, n'ayant pas prêté attention au dessin, je me suis décidé à investir les quelques euros nécessaires à sa lecture. Le moins que je puisse dire, c'est que je n'ai pas été déçu par cet important volume, illustrant sans concessions les mouvements klanistes américains. D'une froideur chirurgicale, le récit nous entraîne dans un tourbillon de violence et de haine qui devrait en faire réfléchir plus d'un. Comme un reportage sans complaisance, c'est un récit qui illustre, ne condamnant que par les faits qu'il rapporte, sans avoir besoin de les interpréter. Comme dans beaucoup de films américains et comme le laisse un peu présager l'histoire au début, je regrette néanmoins un peu que la partie relative à l'intégration du jeune héros dans le Klan et à sa formation n'ait pas été plus développée. Il grandit bien vite, sans que l'on ait pu parcourir avec lui les étapes de son initiation. Cela peut toujours faire l'objet d'un autre album...
Une des séries les plus injustement méconnues de ces deux dernières années !!! Tant au niveau du dessin qu'au niveau de l'intrigue, le Marquis d'Anaon vaut dix fois plus que la moyenne écrasante des sorties dont nous sommes innondés. Perdue dans la masse, cette série n'a pas eu la mise en place, ni le temps nécessaire de s'imposer...Je suis même surpris de la retrouver chez certains soldeurs, alors que la cote d'autres séries beaucoup moins intéressantes crève des plafonds parfois (souvent) sans raison. Bon, l'intrigue est toujours très sombre, froide, cruelle, traduisant une ambiance sans pareille (une véritable BD qui vous transporte dans un autre siècle, dans d'autres contrées, très fort !). Le dessin est vif, clair, stylé, joli mais sans fioritures, un cran au dessus de la moyenne. N'en disons pas plus et allez-y ! Une belle découverte.
Il existe certaines séries qui au départ, n'ont rien de particulier susceptible de me plaire, mais qui au bout du compte, me séduisent pleinement. Acheté du bout des doigts car ne m'ayant pas convaincu dans Bodoî (sans vraiment le lire, juste graphiquement), le premier tome avait déjà laissé entrevoir de belles possibilités, tant par l'originalité du sujet (les organisations humanitaires, un mystère familial, des pays très divers et peu explorés en BD, les gens du voyage...) que finalement par son dessin (très clair et réussi, je dois l'avouer). Le tome 2 continue dans la même veine, procurant un réel plaisir de lecture. Une bonne série à conseiller donc, en espérant que la suite sera aussi intéressante et que le dénouement nous surprendra positivement.
Si comme moi, vous aimez la représentation de l'art en bandes dessinées et que les mystères de la création vous intéressent, sautez à pieds joints dans ce nouvel album de Makyo et de Faure. Une fois la barrière du dessin passée (on aime ou on n'aime pas le style un peu daté mais très personnel de Faure), on ne peut que se laisser envoûter par cette histoire passionnée et très originale. Le mieux est de découvrir celle-ci par vous-mêmes...
J'ai suivi Carmen depuis ses débuts, attendant avec impatience chaque nouvel album. Et bien, je suis arrivé à saturation ! Je n'ai pas pu finir cet album, qui tourne en rond, n'apporte rien de neuf, se complaît dans la facilité... Aimant aussi Travis, je frémis à l'idée de fusionner ces deux séries. J'espère juste que cela redynamisera l'ensemble...
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