Tchiii-tchaaa: du pop corn caramel dans le Gesamtkunstwerk (4e partie)

Les 1312 commentaires sont triés des plus récents aux plus anciens .



1062. pm - 09/09/21 09:57
Les films de Verneuil ( on ne peut pas parler de cinéma ) sont une insulte à la culture populaire ( faire nul pour faire peuple est le summum du mépris ) et sont tout sauf de bonne facture puisqu’il n’y a pas de mise en scène ( caméra placé n’importe comment, aucun sens du rythme, direction au mieux aléatoire des acteurs…). Certains ont encore un intérêt grâce au talent des acteurs, malgré Verneuil on pourrait dire.

1061. pm - 09/09/21 09:43
Verneuil c’est de la merde.

1060. suzix@bdp - 09/09/21 09:17
Godard snobait donc Verneuil!?

J'ai pas tout vu de Verneuil mais il a qd même fait des films que j'aime bcp comme La vache et le prisonnier (1959), Un singe en hiver (1962), Mélodie en sous-sol (1963) et Les Morfalous (1984). Du cinéma populaire de très bonne facture. J'imagine que c'est ce que Godard critiquait ?

1059. suzix@bdp - 09/09/21 09:09
1053. Victor Hugo - 08/09/21 12:08
Un homme qui me plait est sur Netflix, mais c'est super chiant.

Ses polars des 70' 80 sont pénibles, pourtant ça commençait bien avec Peur sur la ville de Verneuil, j'adore cette poursuite qui dure 20mn, sur les toits des Galeries Lafayette, à moto, en voiture, sur le toit du métro et puis il y a Charles Denner, qu'il retrouve après l'Héritier de Labro (plagié par Van Hamme pour Largo Winch).

1052. Mr Degryse - 08/09/21 10:32
Non c'est un homme qui me plait de 1969

1051. marcel - 08/09/21 10:03

Celui avec Annie Girardot, je l'ai mais les 60's n'étant pas ma tasse de thé, même chez Lelouch, je traine les pieds.

Je sais pas duquel tu parles. Si c'est Les misérables, c'est apres l'Itineraire.


Voilà! Le premier film de Bébel avec Lelouch c'est "Un homme qui me plait" avec Annie Girardot fin 60's. Déjà les films anciens sont peu souvent ma came car je les trouve souvent trop simples, monolithiques mais de plus ayant vu plusieurs des premiers Lelouch, je sais aussi que ses films ne commencent à me plaire qu'à partir des 80's et surtout des 90's. Donc celui-là ben, il attend depuis bien un an minimum.

1058. suzix@bdp - 09/09/21 09:04
1055. froggy - 09/09/21 00:54
Suzix:

Je vénère "Un singe en hiver" qui est le film qui l'a fait entrer dans l'histoire du cinéma. Tu me permettras de hausser mes sourcils et d'expreimer mon etonnement apres avoir lu cela. J'espere que Jean-Luc Godard ne nous lit pas car il nous aurait fait un klaxus du staphylet si ses yeux s'etaient arretes sur ta phrase, lui qui considere Henri Verneuil comme un des pires cineastes ayant jamais exerce cette profession.

Cependant, ce n'est pas parce que Godard a ecrit cela qu'il a raison. Il a souvent eu tort. Et je ne pense pas comme lui au sujet de Verneuil quia fait quelques bons films quoi qu'on puisse penser de lui. Cependant ecrire ce que tu as ecrit est tres ose parce que ce n'est pas possible. Belmondo est entre dans l'histoire du cienam grace a A bout de souffle qui est est indiscutablemnt un des films les plus importants du cinema. Il y a un avant et un apres A bout de souffle, sa liberte de ton, son insolence, son humour, son charme, ses plans, son montage, tout cela a fait que le film est encore une reference et est incontournable.


Je me suis mal exprimé. Et ce n'est pas de moi mais d'un spécialiste du cinéma lors d'une émission que j'ai suivi mardi soir à la radio. Alors pour une fois que je me réfère à un mec qui dit savoir plutôt qu'à ma propre opinion, tu peux me donner un peu de crédit stp (;o). Il fallait lire "Si Belmondo s'est fait connaître avec "A bout de souffle" qui a fait évolué le cinéma notamment du fait de son jeu, il a été adoubé par la profession lorsqu'il a donné la réplique à Gabin qui l'a pris sous son aile dans "Un singe en hiver".

1057. suzix@bdp - 09/09/21 08:56 - (en réponse à : mon pote froggy)
Tu devrais faire la liste de tes films préférés! (;o) ... maintenant tu dis fabuleux mais ça doit ^entrer dansd la liste aussi! (;o)

1056. froggy - 09/09/21 01:08
L'emploi du temps de Catherine Deneuve va etre charge en visite aux cimetieres puisqu'en 24 heures, ses partenaires masculins dans deux de ses films les plus importants de sa carriere sont decedes. Belmondo lundi qui a joue avec elle dans un des joyaux de la carriere de l'acteur, de l'actrice et du metteur en scene, Francois Truffaut, La Sirene du Mississippi. Le lendemain, c'etait au tour de Nino Castelnuovo, qui joue le role du mecanicien garagiste dont elle est follement amoureuse dans le film qui lanca la carriere de l'actrice, Les Parapluies de Cherbourg. Je n'ai pas vu beaucoup de film, ses plus notables sont Rocco et ses freres de Visconti et L'emmerdeur ou il joue le garcon d'etage dans la desopilante comedie d'Edouard Molinaro avec Lino Ventura et Jacques Brel.

Je rappelle que Les Parapluies de Cherbourg est un merveilleux film. :))

1055. froggy - 09/09/21 00:54
Suzix:

Je vénère "Un singe en hiver" qui est le film qui l'a fait entrer dans l'histoire du cinéma. Tu me permettras de hausser mes sourcils et d'expreimer mon etonnement apres avoir lu cela. J'espere que Jean-Luc Godard ne nous lit pas car il nous aurait fait un klaxus du staphylet si ses yeux s'etaient arretes sur ta phrase, lui qui considere Henri Verneuil comme un des pires cineastes ayant jamais exerce cette profession.

Cependant, ce n'est pas parce que Godard a ecrit cela qu'il a raison. Il a souvent eu tort. Et je ne pense pas comme lui au sujet de Verneuil quia fait quelques bons films quoi qu'on puisse penser de lui. Cependant ecrire ce que tu as ecrit est tres ose parce que ce n'est pas possible. Belmondo est entre dans l'histoire du cienam grace a A bout de souffle qui est est indiscutablemnt un des films les plus importants du cinema. Il y a un avant et un apres A bout de souffle, sa liberte de ton, son insolence, son humour, son charme, ses plans, son montage, tout cela a fait que le film est encore une reference et est incontournable. On en voit des exemples partout depuis meme dans des films aux thematiques aux antipodes du Godard. Pour te donner un exemple, l'ultra-celebre coupe de Lawrence d'Arabie avec l'allumette soufflee par Lawrence/Peter O'Toole en tres gros plan suivie immediatement sans transition par un plan montrant le soleil qui se leve sur le desert de Syrie vient directement d'A bout de souffle selon David Lean, le metteur en scene de l'epopee. Et peut etre que Kubrick y a pense aussi pour le passage du plan de l'os qui vole a celui du vaisseau spatial dans 2001, l'odyssee de l'espace.



Quand tu vois ca, tu ne peux que te dire qu'Henri Verneuil n'a pas du inspire beaucoup de cineastes du mondeentier malgre toutes les qualites d'Un singe en hiver, qui en a mais certainement pas dans sa mise en scene. Elles resident dans le sujet du film, le scenario et les dialogues d'Audiard et surtout sur son interpretation, Gabin et Belmondo y sont fabuleux. Mais Belmondo etait deja rentre dans l'histoire comme son partenaire precedemment l'avait fait dans ses films d'avant guerre, les Renoir et Carne en tete.

Les films de Belmondo avec Verneuil sont inegaux, je n'aime pas Week-end a Zuydcoote, je m'y ennuie. Ne parlons pas du Casse qui est insupportable tellement les dialogues sont mauvais malgre les cascades, ma preferee est celle ou l'acteur est accroche au bus. Par contre Peur sur la ville est tres bien, il faut dire que cette fois ci, ils ont fait appel a Francis Veber pour les dialogues. Le corps de mon ennemi est, a mon avis, un des derniers Belmondo majeurs. Au contraire de leur dernier, Les morfalous que Belmondo a pris apres que Gerard Lanvin l'ait refuse, celui-la est une catastrophe malgre une des meilleures repliques jamais ecrites par Audiard mais une replique ne fait pas un film, ou alors cela se saurait.

1054. Lien Rag - 08/09/21 21:58
J'avais revu l'As des As (également souvenir d'enfance) il y a peu, c'est resté sympathique je trouve.

En plus en tant qu'adulte on comprend mieux le contexte, évidemment...

1053. Victor Hugo - 08/09/21 12:08
Un homme qui me plait est sur Netflix, mais c'est super chiant.

Ses polars des 70' 80 sont pénibles, pourtant ça commençait bien avec Peur sur la ville de Verneuil, j'adore cette poursuite qui dure 20mn, sur les toits des Galeries Lafayette, à moto, en voiture, sur le toit du métro et puis il y a Charles Denner, qu'il retrouve après l'Héritier de Labro (plagié par Van Hamme pour Largo Winch).

1052. Mr Degryse - 08/09/21 10:32
Non c'est un homme qui me plait de 1969

1051. marcel - 08/09/21 10:03
Mais puisque tu as ecris que ce sont des souvenirs d'enfance, on ne peut rien contre ca.

Je les ai jamais revus, et je prefere rester sur ce souvenir.

Celui avec Annie Girardot, je l'ai mais les 60's n'étant pas ma tasse de thé, même chez Lelouch, je traine les pieds.

Je sais pas duquel tu parles. Si c'est Les misérables, c'est apres l'Itineraire.

1050. suzix@bdp - 08/09/21 08:58
1048. marcel - 08/09/21 01:35
C'est pas que j'aime pas (il m'est infiniment plus sympathique en tant qu'acteur que Delon), mais je m'en fous. A bout de souffle m'avait gonfle (j'ai un meilleur souvenir de Pierrot le fou, mais c'est loin pour moi), l'Itineraire, sorti de la scene avec Anconina qui dit bonjour, bof, et les gamineries, meme enfant, ca m'a jamais plus enthousiasme que De Funes. J'ai plutôt des bons souvenirs d'enfance de L'as des as et Joyeuses Paques, mais les autres trucs... Et je parle pas des "polars a cascades", ca, c'est comme James Bond, je me suis toujours ennuye a mourir.


Je suis plutôt du même avis. Bcp de sympathie pour l'homme et l'acteur mais ses films rocambolesques ne m'ont jamais plu. Je plussoie aussi pour les James Bond que je trouve artificiels et les De Funès. C'est une généralité, il y a toujours des films que j'ai aimé regarder. J'ai peu vu des "Belmondo" des 60's. De ce que j'ai entendu depuis hier (j'ai notamment suivi une longue émission sur France Inter (il me semble) "Léon Morin, prêtre de Jean-Pierre Melville (1961)" est à noter et je vénère "Un singe en hiver" qui est le film qui l'a fait entrer dans l'histoire du cinéma, "A bout de souffle" ayant permis son succès. Ses films des 70's et début 80's en flic ou en clown, ne m'ont jamais plu, même enfant. Pas encore vu tous ses Lelouch. Il y en a 3 c'est cela? "Itinéraire d'un enfant gâté" (qui est repassé mardi soir) me plait assez. Celui avec Annie Girardot, je l'ai mais les 60's n'étant pas ma tasse de thé, même chez Lelouch, je traine les pieds.

1049. froggy - 08/09/21 04:51 - (en réponse à : Marcel)
Bizarre ca, L'as des as et Joyeuses Paques sont parmi les mauvais films de cette periode et terriblement ennuyeux, cela a autant de rythme qu'un cancan qui serait danse par des escargots cacochymes, c'est te dire, Mais puisque tu as ecris que ce sont des souvenirs d'enfance, on ne peut rien contre ca.

1048. marcel - 08/09/21 01:35
C'est pas que j'aime pas (il m'est infiniment plus sympathique en tant qu'acteur que Delon), mais je m'en fous. A bout de souffle m'avait gonfle (j'ai un meilleur souvenir de Pierrot le fou, mais c'est loin pour moi), l'Itineraire, sorti de la scene avec Anconina qui dit bonjour, bof, et les gamineries, meme enfant, ca m'a jamais plus enthousiasme que De Funes. J'ai plutôt des bons souvenirs d'enfance de L'as des as et Joyeuses Paques, mais les autres trucs... Et je parle pas des "polars a cascades", ca, c'est comme James Bond, je me suis toujours ennuye a mourir.

1047. froggy - 08/09/21 01:09
Sans googler pour trouver la reponse, quelle est la particularite au generique du Magnifique?

1046. froggy - 08/09/21 01:07 - (en réponse à : Bertrand #1043)
Quelques repliques du Magnifique que j'adore:

- Que lui est-il arrive?
- Il a ete devore par un requin dans une cabine telephonique!
- J'vous demande pardon?

- C'etait un pope.
- Ils sont partout

- St Clar? Comment allez-vous?
- La routine, mon colonel, la routine!

- Vous voulez un cachou?
- Vous savez ce que vous pouvez en faire de vos cachous?

Et combien d'autres du meme acabit? Tellement drole!

1045. froggy - 08/09/21 00:59 - (en réponse à : Marcel #1042)
Tu n'aimes pas Belmondo?

C'est dommage car dans les titres que tu as mentionnes, les immanquables sont A bout de souffle, Le magnifique et Le voleur. Itineraire d'un enfant gate est tres bien aussi mais c'est un plus un film qui permet de rehabiliter l'acteur apres ses annees d'errance dans ces nanards que Philippe n'arrive pas a voir. Les autres sont largement evitables bien que dans L'animal, il y a une scene etonnante de par sa distribution puisque dans un meme plan, on voit Belmondo et sa partenaire feminine Raquel Welch, mais aussi Claude Chabrol, Johnny Hallyday et Jane Birkin. Je les avais vus a leur sortie et ne les aimait deja pas. J'en ai revu quelques uns sur TV5, sevre de films francais, et ils sont encore pire maintenant qu'ils ne l'etaient alors. C'est hallucinant de nullite.

Dans le film qui a provoque ce choix de carriere, Stavisky, film que je recommande chaudement tellement il est excellent grace a son scenario, sa mise en scene, sa superbe distribution et sa tres belle musique originale du grand compositeur americain, Stephen Sondheim (excusez du peu), il y a une scene devenue emblematique, c'est celle de la rencontre entre Belmondo et Gerard Depardieu alors au debut de sa carriere. Ils se rencontrent dans un escalier, Depardieu en est en bas et Belmondo le regarde d'en haut. C'est mon regrette beau-frere, Emmanuel, qui m'a dit un jour que ce plan, apparemment banal, etait devenu metaphorique. Belmondo regardant son successeur alors sur les premieres de la gloire et d'une exceptionnelle carriere cinematographique. Et puis tous les amateurs de bandes dessinees se doivent de voir ce film car parmi les figurants, il n'y a rien de moins que Jean-Michel Charlier. On se rappelle qu'Alain Resnais fut un grand amateur de bandes dessinees. Cette annee-la, 1974, le scenariste de Blueberry avait d'ailleurs sorti un livre sur l'escroc.

Sinon, pour en revenir a ses refus, il y a Calmos de Bertrand Blier ecrit pour lui. Et Le cercle rouge de Jean-Pierre Melville, celui-ci voulait reunir aux cotes de Delon, Lino Ventura, Belmondo et Paul Meurisse. Personne ne sait pourquoi le metteur en scene voulait reengager se acteurs du Deuxieme souffle et du Doulos sachant que les deux s'etaient jures de ne plus jamais retourner avec lui, il avait ete absolument ignoble avec Ventura sur le tournage de L'armee des ombres et Belmondo avait quitte le plateau de L'aine des Ferchaux avant la fin du tournage insultant Melville. Les deux acteurs avaient ete sollicites, ils ne lui ont meme pas repondu. Pour Melville, ce silence fut amer.

1044. Mr Degryse - 07/09/21 19:14
J'adore le voleur (à la fois le livre mais aussi le film)

1043. Bert74 - 07/09/21 16:21
J'ai refait un petit tour du côté du Magnifique, hier soir, mais vraiment pour la forme (ça devait pas faire 2 mois que je l'avais re-re-re-re-re-re-re-re-....-re-revu), qui ne prend pas une ride, bien sûr, mais dont je connais les répliques par cœur.
Je vais peut-être quand même montrer à ma progéniture Les Tribulations, un des film fétiche de mon enfance ("Monsieur, mon cœur lache !" "Serrez les fesses !"), et je pense que je vais aussi me libérer pour Cartouche, because Claudia-Bellissima...

Un que je voudrais bien revoir, c'est Les Mariés de l'An 2, finalement souvent absent des programmations bebeliennes...

Les autres proposés, à part A bout de souffle et Le Voleur, font partie du tout venant.

1042. marcel - 07/09/21 15:50
La, sur les chaines traditionnelles, ils ont ou vont diffuser : Itineraire d'un enfant gate, L'as des as, Flic ou voyou, L'animal, Le professionnel, A bout de souffle, Le magnifique, L'alpagueur, Cartouche, Le voleur et Les tribulations d'un chinois en Chine.
Pfiiiu. Sacree liste. Et aucun que j'ai envie de voir.

1041. torpedo31200 - 07/09/21 15:42 - (en réponse à : Bert74 - post # 1040)
+ 1000

1040. Bert74 - 07/09/21 12:01
Deux films qui passent un peu sous silence depuis ces dernier 24h d'hommages, qui sont pourtant excellents, c'est Week-End à Zuydcoote et Le Voleur. Avec une partition particulièrement fataliste à chaque fois, Belmondo y est grandiose. Ainsi, son jeu hyper sec dans le Voleur est vraiment à prendre en considération dans la palette de son talent (en plus, on assiste à un défilé d'actrices magnifiques). Je vous recommande la longue et muette scène finale très impressionnante.

1039. pm - 07/09/21 10:21
La sirène du Mississipi est probablement mon film préféré avec Belmondo et un de mes Truffaut préférés.

1038. pm - 07/09/21 10:09
J’aimais beaucoup Jean-Paul Belmondo mais j’avoue avoir totalement zappé, jamais vu, même à la télé, et c’est vrai, toute sa période nanars/cascades qui fut tout de même très longue, les Verneuil, Labro, Lautner, Deray.
Du film Les acteurs de Blier il ne reste plus grand monde: Dussolier, Arditi, Delon et quelques autres ( une petite dizaine sur la trentaine).

1037. heijingling - 07/09/21 07:40
Une série de belle photos, qui permet aussi de connaitre les noms de ses films en anglais.

https://www.theguardian.com/film/gallery/2021/sep/06/jean-paul-belmondo-a-life-in-pictures

1036. froggy - 07/09/21 06:08

1035. froggy - 07/09/21 05:31
Ce n'est rien d'ecrire que je suis tres touche par la mort de Belmondo. Ce n'est pas une surprise evidemment, il avait 88 ans et son AVC d'il y a 20 ans l'avait atteint tellement que cela avait quasiment mis un terme a sa carriere. Pendant longtemps, il fut mon acteur prefere.

Je crois que le premier film de lui que j'ai vu au cinema et par chance un des ses meilleurs est Les maries de l'an II. Mes parents nous avaient emmene voir le film et pendant 90 minutes, j'avais ete completement transporte emporte par le rythme enleve mene par Jean-Paul Rappeneau, le metteur en scene, la musique toute aussi enlevee de Michel Legrand et les acteurs jouant a une vitesse folle. J'avais adore. Puis la television nous montrait regulierement ses films des annees 60 et des annees 70. J'avais 14 ans quand j'ai vu Peur sur la ville et depuis, comme beaucoup de monde, je pense toujours a lui quand je suis dans le metro de la ligne 6 et que la rame enjambe la Seine au Pont de Bir-Halkeim. A partir de la, j'ai vu tous ses films en salles jusqu'a mon depart de France. C'est aussi a ce moment la que je commencais a frequenter assidument les salles obscures.

Le probleme est que c'est aussi a partir de ce film que leurs qualites est devenu inversement proportionnel aux nombres de spectateurs allant les voir. Il avait depasse largement de Funes au box office laissant Delon dans les starting blocks. Belmondo etait devenue la premiere star francaise du cinema avec Flic ou voyou. On allait voir le Belmondo annuel tous les ans en octobre. Et j'enrageais de voir mon acteur prefere dans des films dont les titres etaient tout un programme en soi, Le guignolo, Le professionnel, L'as des as, Le marginal, Le solitaire, on aurait pu utiliser tous ces titres comme des qualificatifs pour figurer la place qu'il occupait alors dans le cinema francais. Il alternait comedies et films policers avec une regularite metronomique et quand je voyais ses anciens films qui passaient regulierement a la television, j'etais effondre de voir a quel point il avait sombre dans la facilite alors qu'il pouvait etre formidable. Comment se faisait-il que lui, qui avait tourne avec les plus importants metteurs en scene de la Nouvelle Vague, lui qui avait represente une fraicheur inattendue et bienfaitrice dans ce cinema francais si sclerose des annees 50 ou les jeunes premiers devaient avoir un physique de jeunes premiers justement, les Jean-Claude Pascal, Jacques Charrier et autres bruns bellatres qui disparurent des ecrans aussi vite qu'ils etaient venus. Comment se faisait-il que ses metteurs en scenes etaient Jacques Deray, Henri Verneuil, Gerard Oury, Georges Lautner, bons en soi mais qui eux aussi avaient fait de biens meilleurs avant de rentrer dans le systeme Belmondo du debut des annees 80. Comment se faisait-il que les cineastes les plus interessants des annees 70 ne l'engageaient pas? Bertrand Tavernier, Alain Corneau, Claude Miller, Bertrand Blier entre autres, c'etait dans leurs films que cela se passait, pas chez ceux que j'ai cites.

Il faut dire qu'il avait refuse quelques roles, celui qui sera tenu par Jean-Pierre Cassel dans L'ours et la poupee de Michel Deville, la rencontre Bardot/Belmondo a l'ecran aurait ete un agreable film a voir. mais cela ne se fit pas au dernier moment. Plus interessant et je meurs que cela n'ait pas eu lieu, il a refuse le role de David qui sera joue finalement par Samy Frey dans Cesar et Rosalie de Claude Sautet, vous voyez l'affiche, Montand/Schneider/Belmondo? Un peu lourde certes mais siderante. Il a refuse car c'etait un deuxieme role. L'africain avec Noiret et Deneuve a ete ecrit pour lui au depart. Et quelques autres comme cela. Quel dommage!

Revele par Godard avec A bout de souffle, il devint instanement une grande vedette et a part Eric Rohmer et Jacques Rivette, il a tourne avec tous les metteurs en scene les plsu importants de la Nouvelle Vague, Godard donc, Chabrol, Truffaut, Malle, et Resnais. En meme temps, il tournait avec Verneuil, Molinaro, Jean Becker, Oury avec leurs films plus populaires et generateurs d'entrees. C'est ainsi qua la meme annee, en 1969, sortent sur les ecrans deux films aux antipodes l'un de l'autre, La Sirene du Mississippi de Truffaut, un gros echec commercial et Le cerveau de Gerard Oury qui restera son plus grand succes en salles et qui a l'epoque etait le film francais le plus cher. Il faut dire que la distribution est consequente, Belmondo, Bourvil, et David Niven dans un film de celui qui venait de realiser le plus grand succes du cienma francais avec La grande vadrouille. Il y a tres peu d'acteurs qui ont ete capables de faire de tels grands ecarts aussi regulierement que Belmondo le fit a cette epoque. Il ravissait tout le monde, les critiques et le grand public, avec cette alternance entre films d'auteurs et films a grand spectacle ou il procedait a ses propres cascades dont certaines sont devenues legendaires, (cf Peur sur la ville). Malheureusement, l'enorme echec de Stavisky d'Alain Resnais sur scenario de Jorge Semprun (rien que ca) et la douche glacee que l'acteur recut a Cannes en 1974 apres sa presentation mit fin a cette alternance et il alla vers des valeurs sures et ne tourna plus qu'avec des metteurs en scene qui ne prenaient pas de risques artistiques.

De ses metteurs en scene, je mets volontiers Godard a part parce que c'est un cas. Je vais en retenir deux qui synthetisent le mieux ce que Belmondo fut dans les annees 60. Le premier, c'est Jean-Pierre Melville avec qui il tourna 3 films, dont un qui est absolument superbe extraordinaire, que j'ai decouvert tres tard, et ou l'acteur, encore jeune, est excellent, c'est Leon Morin pretre, il faut dire que sa partenaire est excellente, c'est Emmanuelle Riva. Le deuxieme est un film noir dont Melville deviendra un des maitres, Le doulos. Le troisieme est rate est rate car Belmondo, ulcere par le comportement de Melville sur le plateau vis a vis de son partenaire, Charles Vanel, quitta le plateau avec lui et ils ne revinrent pas. Sans ses deux acteurs principaux, le cineaste monta son film tant mal que bien et la fin est incomprehensible.

Le cineaste qui a compris le mieux l'acteur et avec lequel celui-ci fit ses meilleurs films dont deux sont parmi ses plus populaires, c'est Philippe de Broca, un des meilleurs metteurs en scene de comedie. Ils se sont rencontres sur Cartouche mais firent des etincelles qui eclatent encore sur leur suivant tellement le film est une reussite, L'homme de Rio. J'ai vu ce film tres souvent, je le connais par coeur. Je ne m'en lasse jamais. J'adorais Tintin quand j'etais enfant et je ne savais pas que le film en etait une adaptation non litterale, j'avais remarque des similitudes bien sur, avec les 3 documents qu'il faut superposer mais le bidasse, Adrien Dufourquet, et sa fiancee, jouee par l'adorable et petillante Francoise Dorleac etaient bien loin du reporter et de son fox-terrier. J'avais 12 ou 13 ans quand je l'ai vu la premiere fois et je le regarde regulierement avec le meme enthousiasme juvenile. Je fais l'impasse sur leur suivant qui est moins rigoureux malgre toutes les allusions a Tintin, une fois de plus, Les tribulations d'un chinois en Chine. Ils se retrouverent 8 ans plus tard pour une des meilleures comedies francaises de tous les temps, Le magnifique qui est follement drole ou l'acteur excelle. Leur suivant est mixte car la premiere partie du film est brillante, mais pas la deuxieme, laborieuse, c'est L'incorrigible. Dans mon canon personnel, je mets les 45 premieres minutes du film au sommet de ce que j'ai vu de mieux au cinema. Ce n'est pas du Hitchcock ou du Renoir, mais c'est absolument desopilant. Le jeu outrancier de Belmondo qui en fait des tonnes dans le role de l'escroc mythomane, seducteur et charmeur avec des dialogues ecrits par un Michel Audiard au mieux de sa forme me ravissent a chaque fois que je vois le film. Il faut dire que son partenaire a l'ecran, Julien Guiomar, a ete aussi ete particulierment bien servi par le dialoguiste et que Genevieve Bujold etait bien adorable en 1975. Malheureusment la deuxieme partie fait bien pale figure apres un debut aussi brillant, Audiard a perdu un de ses fils dans un accident d'automobile alors qu'il en ecrivait le scenario et les dialogues. Officiellement, il l'a ecrit entierement mais quand on voit le film, je me dit que ce n'est pas possible, que c'est de Broca qui a ecrit la fin, le changement de ton est brutal et la verve et le charme du debut ont disparu. C'est regrettable car sans cela, le film aurait ete du niveau de L'homme de Rio et du Magnifique.

De la filmographie, outre ceux que j'ai mentionne, il y a un autre incontournable, Pierrot le Fou son dernier Godard, il faut aussi voir Un singe en hiver, sa rencontre avec Jean Gabin, La Sirene du Mississippi dont je trouve qu'il vieillit tres bien, Borsalino tient tres bien la route avec la rencontre au sommet Belmondo/Delon, L'heritier resiste bien au temps, et finalement Le corps de mon ennemi, que j'ai toujours aime alors que mes amis lui preferait Le professionnel, film qui a ete toujours ete tellement mauvais que je l'ai toujours appele Le professionul, ce qui allait bien avec l'autre Le marginul.

Heureusement, il accepta la proposition de Claude Lelouch pour l'Itineraire d'un enfant gate et je revis enfin le Belmondo acteur que j'aime, qui prenait plaisir a jouer alors qu'on sentait qu'il s'emmerdait dans ses derniers films policiers, Le solitaire est vraiment le film de trop.

En 1987, annee de ce film de trop, il revint sur scene dasn Kean d'Alexandre Dumas et avec ma bande d'amis les plus proches, nous allames le voir. Vous n'imaginez pas l'emotion qui a envahit la salle quand on a vu Jean-Paul Belmondo apparaitre sur la scene du theatre Marigny. Nous avions la plus grande star du cinema devant nous et de mon cote, devant moi. Vous allez peut-etre me trouve completement con mais j'etais tres emu. Devant moi, j'avais Cartouche, Leon Morin, Adrien Dufourquet, tous ces roles qu'il avait joue, qui m'avaient enchante. J'avais une legende bien vivante devant moi. Il etait arrive a un tel de starification qu'il etait devenuu irreel, on parlait de lui comme si c'etait quelque chose d'abstrait. Et la, il etait bien vivant, allant de gauche a droite de la scene, jouant, gesticulant, bref vivant. Les saluts de la fin durerent longtemps, c'etait une veritable vague d'amour du public vers l'acteur.

Je me rends que j'ai ete un peu long mais ce n'est pas grave, je m'en fous. Je n'avais rien a faire de Johnny Halliday, une autre star du meme calibre que Belmondo aisement. Mais pas pour lui, si BDP avait ete d'abord un forum de cinema, je vous aurais enquiquine avec lui au lieu de vous parler de Ric Hochet et de Charlier a tort et a travers. En regardant Facebook et Instagram aujourd'hui, je sais que je ne suis pas le seul a etre triste ce soir. Il etait tellememt populaire. Belmondo est mort peut etre mais il nous reste ses films, grace a eux, il est toujours vivant.

1034. Bert74 - 06/09/21 19:25
Sayonara Bebel !


1033. froggy - 06/09/21 19:12 - (en réponse à : suzix)
Tu es à bout de souffle?

1032. suzix@bdp - 06/09/21 17:18
La mort de Bébel, j'en ai le souffle coupé!

1031. marcel - 06/09/21 17:03
Assez récemment dans Le prenom ou 10%.
Elle chante, meme.

1030. pm - 06/09/21 16:56
Apparemment Françoise Fabian faisait également partie de la bande, elle est toujours vivante et joue encore il me semble.

1029. pm - 06/09/21 16:49
Jean-Paul Belmondo, Bebel, Blueberry, le dernier de la bande.
RIP

1028. torpedo31200 - 06/09/21 14:17 - (en réponse à : post # 1027)
En dehors de la Cinémathèque de Paris, 4 films de Dino Risi sont ressortis en salles cet été en versions restaurées = Parfum de femme, L'Homme à la Ferrari, Une vie difficile et Au nom du peuple italien (distribués par Les Acacias, qui avaient restaurés et ressortis plusieurs Mikio Naruse l' année dernière, merci à eux !).
Je vous conseille fortement Une vie difficile/ Una Vita Difficile (1961) avec Alberto Sordi et Lea Massari.
Dernière séance à la Cinémathèque, sam 16 oct à 18h30.

1027. froggy - 06/09/21 01:19
Tous a la Cinematheque de Paris.

Si vous voulez combler certaines de vos lacunes dans vos connaissances sur le cinema italien, c'est le moment ou jamais avec cette retrospective Dino Risi qui comprend au moins un chef d'oeuvre, Le fanfaron, il y en a d'autres je vous rassure.

1026. froggy - 06/09/21 01:04
Qu'on n'aime pas ce film, j'en conviens. Mais le detester? Pourquoi cela grands dieux? Quelles sont les raisons de ton abhorration?

1025. torpedo31200 - 05/09/21 20:32 - (en réponse à : Citizen Kane - post #1024)
Je déteste ce film, faudrait que je le revoie (la récente polémique anglo-saxonne sur le "Rosebud"... Des génies !)
Un film de haine sur un personnage détestable, inspiré de Hearst, le multimillionaire le plus important de la bande dessinée (King Features Syndicate)
Apparaît dans le récent et très bon Fatty le premier roi d' Hollywood, de Frey & Nadar chez Futuropolis.

1024. froggy - 05/09/21 18:50
Aujourd'hui, on celebre les 80 ans de Citizen Kane. Faut-il encore presenter ce film?

Si on veut resumer le cinema en 4 films vraiment important, independemment de leur qualite intrinseque, le film de Welles serait a la troisieme position dans un ordre chronologique, le premier etant evidemment La sortie de l'usine Lumieres (1895 )car il est qualifie comme le premier film de l'histoire du cinema; le deuxieme serait Le chanteur de jazz (1927), le premier film parlant bien que muet pendant une bonne part; le troisieme est donc Citizen Kane (1941) et le dernier serait A bout de souffle (1960).

On qualifie Citizen Kane de chef d'oeuvre, c'en est un certes et pas qu'un peu tellement il est novateur. Mais c'est d'abord et avant tout un film absolument formidable, extraordinairement distrayant et profondement intelligent. On a beaucoup ecrit sur le film, et de toutes les citatiosn que je connais a son sujet, j'aime bien celle de Francois Truffaut, qui a ecrit que c'est probablement le film qui a donne le plus envie de faire du cinema a de nombreux metteurs en scene.

C'est le seul film de Welles ou il fut entierment libre de faire ce qu'il voulait, ce qui est quasiment unique a Hollywood. L'echec du film mis un terme a cette liberte, il ne la retrouva jamais , des son film suivant, La splendeur des Amberson, les producteurs refirent le montage original et procederent a des coupes, nous ne saurons jamais ce que le film etait avec la vision de Welles.

Pour en revenir a Citizen Kane dont le but de mon intervention est de vous inviter a le voir ou a le revoir si vous ne l'avez pas fait depuis longtemps, je vous mets deux videos, d'abord la bande annonce, digne d'un film de Sacha Guitry et la celebrissime scene d'ouverture qui est purement et simplement extrordinaire, c'est bien simple, c'est genial, il n'y a pas d'autres mots pour la qualifier.

Enjoy!




1023. froggy - 03/09/21 17:20
Une penseee pour Mikis Theodorakis qui a compose une des musiques de films les plus celebres, celle de Zorba le Grec, aussi connue que le theme du Troisieme homme. Je n'ai jamais vu le film mais j'adore ce morceau, il est tellement entrainant qu'il vous donne immediatement envie de danser.

Il avait aussi ecrit d'excellentes musiques pour Costa-Gavras, Z et Etat de siege et Sidney Lumet,Serpico. Et ceux la, que j'ai vus, je ne peux que vous les recommander.


1022. froggy - 30/08/21 05:57
C'est l'ete. Il fait tres chaud et tres humide ici, on transpire enormement. Bref, ce n'est pas drole.

Je me suis donc dit, regardons les John Wick avec Keanu Reeves. On va se detendre avec un film pop-corn. J'ai bien aime le premier bien que le pretexte soit un peu beta, la Ford Mustang me plaisait bien aussi.

Cela commence a se gater serieusment au deuxieme et cela devient encore pire dans le troisieme. Ce n'est pas que c'est un mauvais film, c'est que c'est completement con, purement et simplement, cela sombre dans le grotesque. Lors d'une scene de fusillades, elles sont nombreuses ET ennuyeuses, je me suis pris a eclater de rire tellement c'est ridicule. Il tue tout le monde grace a un pistolet qui doit avoir de nombreuses cartouches, il canarde a tout va.

Ce n'est pas le film prise de tete assurement, si le coeur vous en dit.

1021. torpedo31200 - 13/08/21 11:52 - (en réponse à : post # 1019)
Ce n' est pas un montage, mais une accumulation désordonnée et inutile d' extraits.
En école de cinéma, ça serait synonyme de renvoi immédiat.

1020. marcel - 13/08/21 10:05 - (en réponse à : Moumoute)
Vu le 3e volet d'OSS 117 hier et je me suis franchement bien marré. J'ai vu ça et là pas mal de critiques pas forcément positives mais perso je trouve qu'on est bien dans la continuité de la saga, et certaines répliques sont appelées à devenir cultes. Et pour les bédéphiles que nous sommes sommes il y a un gag très bien trouvé.

J'avais rate ton message. Vu avant-hier. Tout pareil que toi.
Et visuellement, c'est tres annees 80, ca fonctionne tres bien.
Accessoirement, le film fonctionne tres bien malgre la situation sanitaire.

1019. froggy - 13/08/21 05:16
J'aime bien ces petits films de montage, ce ma fait aimer encore plus le cinema quelque soit la qualite des films qui y sont presentes.

J'espere que je ne vais pas faire deborder la marge cette fois.


1018. froggy - 13/08/21 05:14
Ayons une pensee pour Patricia Hitchcock, la fille unique d'Alfred, qui vient de tirer sa reverence. Elle n'a tourne que 3 films avec son pere qu'elle accusait de ne pas avoir succombe au nepotisme, un qui n'est qu'interessant, il l'a fait alors qu'il etait un peu dans le creux de la vague, Le grand chantage. Par contre, les deux autres sont majeurs, L'inconnu du Nord-Express et Psychose qu'on ne presente plus.

A son sujet, j'aime beaucoup la dedicace pleine de delicatesse et d'elegance qu'avait faite Francois Truffaut a son livre d'entretiens avec le metteur en scene; "Alfred Hitchcock a fait 53 films et une fille, je dedie ce livre a Patricia Hitchcock O'Connell".

1017. helmut perchu - 05/08/21 10:00
Vu le 3e volet d'OSS 117 hier et je me suis franchement bien marré. J'ai vu ça et là pas mal de critiques pas forcément positives mais perso je trouve qu'on est bien dans la continuité de la saga, et certaines répliques sont appelées à devenir cultes. Et pour les bédéphiles que nous sommes sommes il y a un gag très bien trouvé.

1016. helmut perchu - 04/08/21 18:02 - (en réponse à : marcel)
Tu m'as devancé, j'allais justement en parler.

OSS 117 pour moi ce soir !

1015. marcel - 04/08/21 14:46
Et merci froggy !

1014. marcel - 04/08/21 14:45
Comme ca, on en parle plus.

1013. marcel - 04/08/21 14:44
Putain de marge qui fait chier.



 


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