la renaissance de FUTUROPOLIS

Les 785 commentaires sont triés des plus récents aux plus anciens .



135. philma - 18/01/05 14:54
C'est un truc de pub/Marketing qui je crois à fait ses preuves, si l'image de marque est nulle on peut faire quelques coups mais au bout d'un moment ça ne marche plus. C'est le syndrome Jacques Borel, du nom des premiers restauroutes infâmes, société qui a fini par lacher le morceau. Pour l'instant Soleil ça marche mais ça s'achète sans gloire.

134. UDG - 18/01/05 14:37
merci Luc Brunschwig (cette fois je l'ai bien orthographié) pour la réponse.

vu qu'il y a des intérrogations autour du rôle de Soleil, j'espère que Futuro 2 ne se laissera pas influencer à faire des livres aux rapport qualité/prix exécrables. la collection Latitude c'est n'importe quoi, le prix plombe la vente. pour vendre une BD de 80 pages à 20 Euros, faut que ce soit un chef-d'oeuvre.

133. Somerset - 18/01/05 14:16 - (en réponse à : Philma)
Je ne suis pas tout à fait d'accord. D'abord parceque je ne vois rien chez Soleil qui puisse laisser penser que ce n'est pas une maison d'édition perenne. Voilà maintenant plus de dix ans que cette maison existe avec tout de même quelques boosters à son actif (SkyDoll, Lanfeust et autres). Mais il est vria que je ne connais pas vraiment sa situation (ses entes s'effritent t'elles ?)
Je ne vois pas non plus trop en quoi le fait d'éditer des albums plus confidentiels garantira l'avenir de sa maison d'édition. D'autant que nous parlons bien de structures complètement séparées (juridiquement mais aussi commercialement ). Il est donc peu probable que les nouveaux albums Futuro aient un impact quelconque sur Soleil.

Par contre, si tu penses à un problème d'ego du style Mourad a publié de la m... avec Soleil et en ayant un peu marre, décide de redorer son propre blason en travaillant sur Futuro. Pourquoi pas. C'est peut-être la vraie raison de son choix mais je ne le trouve pas particulièrement critiquable.

132. Bert74 - 18/01/05 14:14
Moi, j'aimais bien les "historico-cul" de Glénat à l'époque.... ;0).

131. philma - 18/01/05 13:40
je ne connais pas les conditions de la "vente" à Gallimard mais je crois qu'il y a eu deux étapes, tout d'abord une association qui a édité les romans illustrés(céline-Tardi, Baudoin-Genet...) et puis comme la situation n'a pas dû beaucoup s'arranger, Futuro croulait sous les déficits et les dettes , Gallimard a racheté le fond et il faut bien avouer qu'il n'en a rien fait ou presque. J'imagine que d'une part Robial n'a pas eu beaucoup le choix et d'autre part Gallimard ça avait plutôt de la gueule ( pas franchement la même image que Soleil) sauf qu'ils n'ont jamais vraiment eu l'intention de devenir un éditeur BD. robial lui n'a conu son aisance financière que le jour où il est devenu l'habilleur des chaines télés comme canal+. A vrai dire ce que je dis est tellement imprécis qu'il n'a que peu d'intérêt.
En revanche ça me parait totalement évident que Soleil cherche à améliorer son image de marque. Il est pas idiot Boudjellal et sait très bien que sa boite ne sera vraiment pérenne qu'à condition que son image s'améliore, sinon quel intérêt? A moins qu'il en soit à s'acheter une danseuse pour éditer correctement le petit frère( je crois que c'est la seule condition imposée par Soleil)!

130. alban - 18/01/05 13:26
> Au premier album HF scénarisé par Arleston, je reverrai bien sûr ma position....

et encore il faudrait le lire avant ... pourquoi ne serait-il pas capable de faire sur ce thème un truc qui renouvelle le genre ?

Wait and see ... un peu comme sur l'affaire du siècle. Attendons de voir.

Pour soleil je trouve aussi que vous êtes durs, dans ce que j'ai lu ils vont surtout intervenir pour la distribution ...

129. Somerset - 18/01/05 13:23
Pour l'instant, je n'ai pas l'impression que Futuro devienne une collection de Soleil. Je ne connais pas la nature du partenariat entre Soleil et Gallimard mais , d'après celui qui semble le plus au courant ici, à savoir Luc B., il ne paraît pas flagrant que Soleil veuille se "racheter une image". Et quand bien même cela serait le cas, je n'y vois pas de mal tant que le nouveau Futuro ne produit pas d'album type Soleil. Au premier album HF scénarisé par Arleston, je reverrai bien sûr ma position....
Quant à l'attitude de Robial sur le sujet, elle semble un peu bizarre. Quelle obligation avait il de vendre le nom si, comme cela a été évoqué plus bas, cela ne lui a rien rapporté ?

128. Manu Temj - 18/01/05 13:19 - (en réponse à : philma)
Je crois qu'il faut appeler un chat un chat et des éditeurs comme Futuropolis puis l'association existent et ont existé CONTRE un certain type de bd, contre les séries historico-cul Glénat à l'époque futuro, contre les bd d'aventures et d'HF de type Soleil maintenant. Les oppositions sont absolument radicales et à tous les niveaux, esthétique, économique et finalement celui de la raison d'être de ces éditeurs en inversant fin en moyens.

Tu as raison Philippe, mais reconnais que sur ce point le contre-argument "Oui mais il l'a quand-même vendu à Gallimard" est assez radical.

Dans sa démarche Menu est plus radical. Si l'Asso. venait à faire faillite, crois-tu qu'il préférerait tout casser, laisser mourir sans concessions, ou vendre pour sauver les meubles ?

Après que Robial dise "cette reprise va contre l'esprit de ce qu'était mon label à sa création", c'est compréhensible... mais en acceptant de le vendre à un grand éditeur, il a signé l'acte de décès de cet esprit, en pleine connaissance de cause, pourquoi y revenir aujourd'hui, sinon pour ré-alimenter une vieille polémique ? Amertume ?

A moins qu'il ne soit pour rien dans la vente, qu'il ait raccroché les gants avant et que la décision soit venu d'autres personnes. Je ne connais pas assez bien le dossier de l'époque... Si tu as des éléments de cet ordre ?

127. philma - 18/01/05 13:06
Je crois qu'il faut appeler un chat un chat et des éditeurs comme Futuropolis puis l'association existent et ont existé CONTRE un certain type de bd, contre les séries historico-cul Glénat à l'époque futuro, contre les bd d'aventures et d'HF de type Soleil maintenant. Les oppositions sont absolument radicales et à tous les niveaux, esthétique, économique et finalement celui de la raison d'être de ces éditeurs en inversant fin en moyens.
Arrêtons de feindre que tout le monde s'aime bien, Robial a mal au cul en voyant que Soleil est dans le coup pour se racheter une image et on peut le comprendre.
Qu'il y ait quelques trucs sincères et pas trop mal même dans ces maisons n'a rien à voir, à la limite c'est un hasard éditorial.

126. Manu Temj - 18/01/05 13:02
c'est qu'il semble que sa principale raison de douter de cette reprise est qu'"Il éprouve un profond malaise de voir le propriétaire de la maison d’édition, Gallimard, s’associer avec Soleil " (dixit Actua BD).

Argument qui ne vaut pas grand chose, presque tout le monde est d'accord.

...et comme par hasard Actua-BD s'en fait l'écho. La nouvelle ligne éditoriale c'est "une polémique par mois" ???

125. Somerset - 18/01/05 12:00
Les raisons du désaccord de Robial ne sont quand même pas limpides. Il doute de retrouver l'esprit Futuro ? OK, attendons de voir avant de juger. Compte tenu des informations actuelles, c'est tout de même un peu difficile de savoir exactement ce que cela va donner.
Ce qui me gêne c'est qu'il semble que sa principale raison de douter de cette reprise est qu'"Il éprouve un profond malaise de voir le propriétaire de la maison d’édition, Gallimard, s’associer avec Soleil " (dixit Actua BD). Je n'aime pas le catalogue Soleil mais publier Kuklos ou Banquise me semble une preuve qu'il est un peu simpliste de généraliser. Enfin, les noms Gnaedig/Brunschwig contrebalancent largement celui de Boudjellal, non ?

124. philma - 18/01/05 11:46
Le stock Futuro disponible est soldé depuis des années( du coup on peut vraiment acquérir les bouquins pour une bouchée de pain), encore faut-il que les libraires commandent les albums. A force il ne doit plus rester tant de choses que ça . Mais relancer le fond, quelque soit la maison qui est derrière on ne peut être que pour, et c'est un travail que Gallimard n'a jamais fait sérieusement. C'est le renouveau qui pose problème, qui semble peu en adéquation avec le passé ou même en contradiction avec celui-ci.
Je note simplement qu'Etienne Robial, le créateur de Futuropolis n'est pas d'accord avec les bases cette relance.

123. Manu Temj - 18/01/05 11:42 - (en réponse à : Looping)
N'importe quoi... Qui a écrit ça ?

Parce que l'un ou l'autre ose émettre des doutes sur la continuité entre l'ancien label Futuropolis et le nouveau (et ceci sans pour autant préjuger de la qualité de ce qui sera publié), sur la base d'information données - quand même - par Luc Brunschwig lui-même, il y a cabale contre soleil et sectarisme et compagnie...

Qui est un fauteur de polémique ici ?


122. Looping - 18/01/05 11:35
Gallimard a un gros stock d'albums futuro à écouler, ils n'allaient pas mettre des stickers sur le nom !
Quand aux arguments des anti-New-Futuro, je ne parviens pas à les comprendre. Il vaut donc mieux ne rien faire, pilonner les stocks en question, ne pas lancer une nouvelle boîte axée sur la qualité, et laisser tout ça aux oubliettes ?
L'important n'est-il pas de voir publier des bouquins interessants ?
Quelle aurait par ailleurs votre réaction si le partenariat de Gallimard avait concerné Dargaud et non Soleil ?
Et enfin, les anti Soleil devraient être heureux: les albums ambitieux dans leur contenu ne sont hélas presque jamais des best sellers: le méchant Mourad risque de perdre des sous !
La réalité, c'est qu'on a affaire à quelques sectaires qui ne supportent pas qu'un individu ou une boîte puisse avoir plusieurs casquettes, s'interesser et publier des choses différentes... que chacun rentre dans sa case, derrière son étiquette, et tout le monde au pas ! Ils ont sorti un bon bouquin ? M'en fous, brûlez-le quand même, ils n'avaient pas le droit ! Et flinguez les auteurs, ce sont de sales collabos !
Constructif, tout ça...

121. Odrade - 17/01/05 22:22
Je me fais bêêêtement l'echo de la question en cours... Pourquoi alors avoir repris le nom de Futuropolis ?
En prenant par exemple Aveniropolis comme dénomination, vous pouviez partir de Zéro et innover à donf sans avoir à vous justifier. ;o)

Sur ce, j'attends avec curiosité de voir ce que ca va donner.

biz
O.

120. luc Brunschwig - 17/01/05 22:06
Bien sûr qu'il y aura du noir et blanc chez Futuro nouvelle formule plus riche en enzymes gloutons... on n'est pas là pour obliger les auteurs à se plier à des formats, des avec ou sans couleurs. On est là pour capter des projets, en capter le sens et leur donner une forme qui soit adapté à la philosophie du fond...
Regardez autour de vous... ça, ça reste encore avant gardiste (ou nécessaire)... et si certains auteurs ont envie de faire de la série, je ne vois pas pourquoi nous les empêcherions de le faire. Réaliser une histoire sur 2000 pages, c'est aussi un choix artiste. Réaliser la même histoire sur 100 pages, c'est un autre choix, très différent.

119. Gillix - 17/01/05 21:27 - (en réponse à : Pat)
Je te prie de ne pas me cataloguer dans la catégorie des pros-futuro nouvelle formule, mais dans celle de ceux qui attendent pour voire.

non paske je commence à te connaître... ;o)

118. UDG - 17/01/05 21:19
après Bertie, Choupinette, les pro futuro nouvelle formule battent le rappel.

N'empêche j'ai posé une question simple à laquelle j'espère monsieur Brunchwig répondra par oui ou non.

117. Gillix - 17/01/05 21:18
Bon allez, je m'était juré de pas intervenir mais tant pis :

J'ai commencé à m'interressé sérieusement à la BD à la fin des année 80. J'ai brusquement arrêté en 1993 jusqu'en 2000. "Futuropolis", au début je connaissais pas. J'en avais très vaguement entendu parler comme étant de la BD un peu "snob" (je précise que ce n'est pas ce que je pense!). Ce n'est que très récemment que j'ai commencé à saisir l'importance qu'a eu cette maison à l'époque.

Je peux vous dire que pour pas mal de monde pas forcément intéressé par la BD "indé" (et ce qu'on lui fait recouvrir, même chez les gros) que ce nom est gage de qualité point barre! La philosophie, le contenu (nombre de pages, n/b ou couleur, format, etc), ils s'en badigeonnent le nombril avec le pinceau de l'indifférence. Ce qui les intéressent c'est l'image de qualité de Futuro. Maintenant , si les gens de Gallimard et Mourad ont compris cela et mettent en avant un nom pour présenter quelque chose de qualité... le reste prrrt! (et là c'est ce que je pense même si c'est pas dit finement!)

116. philma - 17/01/05 20:24
Le sujet de ce forum est Futuropolis pas Luc Brunshwig !

115. choupinette - 17/01/05 20:05
il me semble que Luc Brunschwig n'est pas responsable du fait que Gallimard ait préféré reprendre ce nom, plutôt que d'en trouver un autre.

114. philma - 17/01/05 19:48
Toucher à certains thèmes peu en vogue ou offrir une nouvelle façon de faire de la série en France (très loin des classiques 46 pages), voila peut-être la vraie raison d'être d'une structure innovante aujourd'hui.

Mais absolument.

zucco
17/01/05 18:25 - (346117)

Qui n'a donc pas besoin de s'appeler FUTURO


Bah voilà, tout est dit.

113. choupinette - 17/01/05 19:34
et sous prétexte que d'autres le font, ils n'éditeront pas de couleur non plus. Très fin UDG, bravo.
Il me semble avoir compris des propos de Luc Brunschwig, que faire du Futuro comme ce que faisait Futuro dans les années 80 n'a pas grand sens.
Futuro a coulé c'est bien dommage, d'autres, L'asso en tête ont repris le flambeau, et c'est tant mieux. La situation a évolué, des choses se sont faites entretemps (c'est pour ça que la question de philma sur ce qu'on penserait de la reprise de l'asso par soleil n'a pas vraiment de sens, encore faudrait-il compléter la question en disant "si l'asso coule aujourd'hui et que soleil la remonte dans 15 ans, qu'est-ce que ça vous ferait?" Réponse: rien, je ne suis pas devin, qui sait ce qui se sera passé entre temps) et la moindre des choses est d'en tenir compte. Faire du Futuro d'il y a 20 ans aujourd'hui, c'est marcher aussi un peu sur les plates bandes d'autres éditeurs qui font ça très bien.
Tout ce que Luc Brunschwig tente de dire, c'est qu'ils vont essayer d'exister par eux-mêmes, de se trouver une place à eux, sans se fixer de contraintes précises sur le format (ça c'est dans l'esprit futuro), ça peut éventuellement être du 46 planches couleurs cartonné, si ça se justifie, etc... C'est tenter de se trouver leurs auteurs (ça Gnaedig semble assez compétent pour le faire), c'est aussi tenter de faire venir à la BD un public parfois non habitué. C'est surement très prétentieux, mais c'est aussi un peu de Futuro, ça ;)

Enfin bref, ergotons, jouons surles mots, offusquons nous dès que Soleil met ses sales pattes et son argent qui pue dans nos bd à nous qu'on aime, c'est bien plus dynamique, sur un forum.

112. zucco - 17/01/05 18:25
Qui n'a donc pas besoin de s'appeler FUTURO...

111. UDG - 17/01/05 18:18
"Refaire de l'édition noir et blanc n'aurait alors pas de sens"

Sous prétexte que d'autres le font, vous n'éditerai pas de N&B ?


110. luc Brunschwig - 17/01/05 17:38
Voila... ca m'apprendra, j'ai lancé une phrase malheureuse... j'en lance donc d'autres en attendant que ça me retombe sur le coin de la gueule... l'intérêt ou plutôt la raison d'être de l'ancien Futuro était de proposer aux auteurs des façons d'éditer qui ne se retrouvait pas dans l'édition du moment. Refaire de l'édition noir et blanc n'aurait alors pas de sens dans cette perspective puisque de nombreux éditeurs indépendants ou non offre aujourd'hui cette possibilité, à des vieux croûtons comme à de jeunes pousses.
Toucher à certains thèmes peu en vogue ou offrir une nouvelle façon de faire de la série en France (très loin des classiques 46 pages), voila peut-être la vraie raison d'être d'une structure innovante aujourd'hui.

109. philma - 17/01/05 16:49
Quand Fiat a racheté Ferrari ça pouvait aussi paraître comme une aberration mais pour le moment l'image de Ferrari n'a jamais été galvaudée

Ah mais je ne suis pas contre ce rachat par principe je suis contre (enfin contre est un grand mot, ça me désole un peu) le projet exposé par Luc Brunschwig de faire du Aire Libre sous label Futuropolis.
Est-ce que Ferrari a fait des Mercedes depuis que Fiat les a racheté ?

108. philma - 17/01/05 16:45 - (en réponse à : alban)
Futuropolis n'a jamais publié d'album (A suivre), chaque album se suffit à lui-même. Les "séries" que tu cites sont dans le même univers tout en étant complètement indépendant. l'appellation de séries pour Bob Robert est même assez limite. Mais bien évidemment si le matériel était important sur les rééditions de bandes du patrimoine ils étaient bien obligés de le sortir en plusieurs tomes, déjà que les Copyright étaient de gros bouquins.

107. bertie - 17/01/05 16:31 - (en réponse à : UDG)
désolé d'en remettre une couche, il se trouve que je connais quelques jeunes auteurs (de futurs vieux croutons) qui participerons au lancement dès janvier 2006 de Futuro, je ne sais pas tout mais à ce sujet j'en sais plus que toi.

106. UDG - 17/01/05 13:53
oui oui, bertie je-sais-tout.
en attendant, il y a de simples faits qui me font plutôt débander, là, pour l'instant.


105. alban - 17/01/05 12:40
Philippe : > Apparemment je ne suis pas le seul à être surpris et un peu écoeuré par ce rapprochement contre nature Soleil-Futuropolis

euhh tu es un peu excessif là ... je n'aime pas non plus trop Soleil (surtout pour sa politique de couper après les tomes 1) mais pourquoi cela ne marcherait-il pas ?
Quand Fiat a racheté Ferrari ça pouvait aussi paraître comme une aberration mais pour le moment l'image de Ferrari n'a jamais été galvaudée.

104. alban - 17/01/05 12:35 - (en réponse à : Philippe)
Sauf que Futuro a déja publié des séries ...

cf bedetheque :
Bob Robert (Les aventures de ) (3 albums)
Buffalo Bill (3 albums)
Luc Leroi (9 albums dont 2 chez Futuro)

etc ...

103. philma - 17/01/05 12:23
Plus que la couleur, je crois qu'il y en avait un peu parfois(rumeur sur le Rouergue), l'idée qu'une bande dessinée est un livre et pas un succédané de série télé était au centre des préoccupations de cet éditeur. Idée que Gallimard avait quand même conservé pour les deux albums parus( je sais c'est ridicule deux titres) ainsi que les romans illustrés mais qui semble être passée sous les fourches caudines des nouveaux repreneurs. Voir "suite au prochain n°" sur un Futuropolis ça va faire bizarre.

102. alban - 17/01/05 12:09
> Quel effet cela vous ferait ?

Aucun, pour le moment attendons de voir ce que cela va donner ... Si finalement la production du nouveau Futuro est excellente il n'y aura pas grand chose à dire.
A partir du moment où cet éditeur a été vendu à Gallimard s'était leur choix d'en faire ce qu'ils voulaient.

Je trouve que pour le moment les personnes qui ont été recrutées pour mener à bien cette seconde expérience plaident plutôt en faveur d'un gage de qualité.

Sur le débat N&B ou couleur ... je dirai simplement qu'il faut savoir évoluer. si le nouveau Futuro fait de très bon albums couleurs alors ce sera tant mieux.

101. philma - 17/01/05 10:54
Futuropolis a eu de gros problèmes financiers et s'est rapproché de Gallimard qui peu à peu a pris le contrôle de cette maison d'édition.Et égard à la gestion parait-il assez hasardeuse de Robial(tirages trop élevés en particulier) et à la crise de la bande dessinée des années 80, je doute fort qu'il ait reçu un gros chèque, s'il en a reçu un!
Pour info Robial est toujours propriétaire deu Logo, c'est justement tout ce qu'il lui reste.
j'ajouterai que ce n'est pas tellement mon problème, le mien est celui d'un lecteur attaché à Futuropolis.
le parallèle avec l'asso est assez bon. L'association marche bien pour le moment(mais a failli couler au moment de Comix 2000) mais imaginez cette marque reprise par Soleil(avec la caution de Gallimard ne l'oublions pas)! Quel effet cela vous ferait ?

100. Manu Temj - 17/01/05 10:47
Il n’empêche qu’à l’origine Futuropolis est une bande dessinée de René Pellos, restée dans les mémoires comme très à l’avant-garde de son temps et comme un chef-d’œuvre historique de la BD française. Le choix de ce nom de label collait donc comme un gant à l’ancienne ligne qu’il défendait : rééditions exigeantes et jeunes auteurs « difficiles »…

Sur le fond, je rejoins donc Philma dans ses préoccupations. Futuropolis n’est pas forcément le nom idéal pour une collection qui se veut concurrente d’Aire Libre (des albums de qualité, mais cherchant à coller aux goûts et préoccupations des lecteurs de leur temps).

Sur la forme… Boaf ! Faisons le diplomate onusien :
En attendant de pouvoir nous faire une idée précise sur cette nouvelle collection, nous notons que l’adoption du nom de label « Futuropolis » est maladroit d’un point de vue historique, mais reconnaissons que c’est un choix commercial intelligent et saluons la présence de Luc Brunschwig qui nous semble être un gage de qualité.

Mais au fait ?… La collection Latitudes ce n’était pas déjà censé être le Aire Libre de Soleil (d’ailleurs le rapprochement dans le choix des noms est facile à opérer) ?…

Yatta, rebelotte et dix de der ?

99. Looping - 17/01/05 10:22
Juste une remarque concernant Robial: il râle (comme plusieurs habitués de la mauvaise foi ici) sans savoir ce qui va être fait.
En attendant, c'est bien lui qui a vendu son si fameux label.
C'est bien lui, l'artiste désintéressé, qui a pris le chèque.
Et qui après renaude qu'on l'a trahi...
Fastoche !
Lorsqu'on est pur, on ne vend pas. Vous imaginez Menu vendant le logo de l'Association, vous ?

98. philma - 17/01/05 09:58 - (en réponse à : loic)
Je ne critique évidemment pas les albums qui seront peut-être excellents, mais l'utilisation abusive de l'image de marque prestigieuse de Futuropolis, et je comprends bien la colère de Robial.
Je critique ce que Luc brunschwig annonce sur tous les forums, c'est à dire des albums haut de gamme dans le genre d'Aire Libre mais en couleurs et en séries relativement courtes. Il s'agit d'un projet non seulement différent mais aussi totalement contradictoire avec ce qu'ont réalisé pendant plus de 20 ans les éditions Futuropolis, et l'image de marque qui en a découlé.
Je sais bien que Brunschwig considère cet aspect comme secondaire et ce qui l'intéresse en tant qu'auteur c'est la qualité des albums. Ce qui m'intéresse aussi en tant que lecteur rattrapé par le virus de la bd grâce à des éditeurs comme Futuropolis, et donc historiquement attaché à ce label, c'est qu'on ne mélange pas tout. S'ils prenaient un autre nom je n'aurai évidemment rien à dire mais tiens, il est quand même plus facile pour Soleil de s'acheter une image que de la construire sur un projet exigeant.

97. bertie - 17/01/05 09:08 - (en réponse à : UDG)

"depuis que je crois savoir qu'il n'y aura que des "vieux croutons", entendez pas un seul vrai jeune auteur jusqu'à fin 2006 "




ceci est entierement faux vous pouvez me croire...UDG tu ne sais rien

96. loic - 17/01/05 08:37
moi, je suis super positif !
vous critiquez alors que vous n'avez rien vu !
c'est tres francais.

95. UDG - 16/01/05 13:48
assez enthousiaste et naïf, j'étais, au début.
depuis que je crois savoir qu'il n'y aura que des "vieux croutons", entendez pas un seul vrai jeune auteur jusqu'à fin 2006 (et dedans, si j'ai bien suivi aussi, déjà 3 Luc Brunchwig), je déchante un poil.
Evidemment, faut le temps de lancer la machine et de voir arriver les projets, les accompagner, etc.

94. philma - 16/01/05 12:54
Apparemment je ne suis pas le seul à être surpris et un peu écoeuré par ce rapprochement contre nature Soleil-Futuropolis, qui va voir cette marque éditer des albums comme les autres(qu'ils soient bons ou pas n'est à la limite pas le sujet), en couleurs et en séries. Pour rappel c'est l'antithèse du projet Futuroplis, mais Luc Brunschwig, qui est sans doute trop jeune pour avoir connu la glorieuse époque futuro, nous expliquait que finalement le nom on s'en fiche(gasp! si c'était vrai ils en prendraient un autre). Robial vient de donner un coup de gueule(lu sur actuabd), sa seule possibilité étant d'interdire l'utilisation du Logo.

93. my name is not Bond - 14/09/04 22:47
DONC effectivement, rien à voir avec l'optique d'origine de futuro qui faisait un travail dedeffrichage,exigeant,aventureux avec au final un POINT DE VUE, peut etre sectaire comme peuvent le paraitre l'asso ou autres, lesquels se demarquent du tout venant!Donc ce nouveau futuro, me semble t il, ne sera qu'un "logo", peut etre en quelque sorte une maniere pour soleil de dire "ouais moi aussi j'chail'faire!".alors sans mauvais jeu de mot, rien de neuf sous le soleil...

92. belakun - 14/09/04 21:01 - (en réponse à : revenons-en au débat.)
une touche de pessimisme ? je ne sais pas si l'exaltation que produit ce projet, chez les lecteurs comme chez l'éditeur(discours visiblement passionné de Luc) , ne sera pas un peu vite rattrapé par la réalité des choses, soit d'un point de vue artistique soit d'un point de vue financier. d'excellentes BD, accessibles se vendent mal et sont arrêtées.

enfin, si c'est uniquement le créneau Aire
Libre/Signé/Ecritures/etc... je pense pas que ça soit la peine.
mais je pense que justement, toute les niches ne sont pas encore occupées, notamment parce que l'Asso comme les Requins Marteaux ne promeuvent pas vraiment des masses de jeunes auteurs, et appliquent des politiques éditoriales parfois sectaires, tout comme les grands éditeurs.

91. david t - 14/09/04 19:23
très heureux personnellement de ce soldage de vieux titres futuropolis, qui m'a permis d'acquérir à peu de frais le 30/40 de willem... miam! bon, les auteurs pensent peut-être différemment...

90. un destin grêle - 14/09/04 18:57
le rapport c'est qu'il faut faire table-rase du passée.

89. kris - 14/09/04 18:41
Apparemment oui c'est le cas. Mais je voulais juste préciser qu'il s'agissait d'un phénomène déjà ancien et qui n'a donc rien à voir à priori avec l'actualité récente de Futuro (je ne vois d'ailleurs pas où serait le rapport de cause à effet entre une relance du label et la liquidation de son ancien stock)

88. alban - 14/09/04 17:35
à Kris
cela fait belle lurette que les albums Futuro ont été "bradés".
Je sais mais il y a des stocks qui sont ressortis cette année pour être encore bradés (et non dans le circuit des soldeurs mais chez les libraires vendant du neuf).

87. yancomix - 14/09/04 14:13
Aucun de ces fameux stocks n'est arrivé jusqu'à chez moi. :(
Et pourtant il y a encore pas mal de livres du catalogue Futuro que je cherche encore…

86. rahan - 14/09/04 14:07
Les tirages de Futuropolis étaient vraiment très important(la gestion n'était peut-être pas le point fort de Robial) d'où un stock énorme que Gallimard a fait solder à vil prix depuis des années et qui n'est toujours pas entièrement écoulé.



 


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