593. Laurent CoIonnier - 08/11/07 20:05

Ce soir sur France 5, un documentaire de 1998 "René Goscinny, profession humoriste" à 20h45.

592. LaurentV - 08/11/07 14:03

C'est pour ça qu'on a inventé le terme "roman graphique", non ? pour pas confondre avec les petits miquets.

591. marcel - 08/11/07 11:37

L'inenarable Marie Colmant, ce matin : "Le nouveau Riad Sattouf est edite par l'Association, la maison d'edition dirigee par Joann Sfar". En revanche, juste apres, pour Aya de Yopougon, elle dit juste que c'est sorti chez Bayou. Pis la phrase d'introduction de sa rubrique etait pas mal aussi : "On ne peut meme plus parler de bandes dessinees tellement c'est au-dela". Oui, parce que BD, c'est pour les merdes. La, c'est tellement bien, ca peut plus s'appeler comme ca.

590. RamoNash - 07/11/07 13:04 - (en réponse à : Captivé)

Bravo Laurent, je n'y ai vu que du feu !

589. Laurent CoIonnier - 07/11/07 12:53

Personne n'a reconnu ce texte paru en guise de remerciements à la fin de l'album "Captivant" de Chaland et Cornillon en 1979. En voici l'intégralité non-bidouillée. REMERCIEMENTS Nous vivons une époque de confusion totale. On veut nous faire passer du pipi de chat pour du gateau de semoule et il serait temps de laisser la place aux dessinateurs qui racontent de vraies histoires et qui, c'est peut-être un paradoxe, savent dessiner. Les meilleurs sont morts dans la misère, et ceux qui restent et non des moindres ont plus de talent que ces jeunes m'as-tu-vu dont le physique agréable peut peut-être influencer les directrices artistiques mais pas nous. De plus, ce que ces gens racontent participe a un grand travail de démoralisation de la jeunesse, et mine les valeurs traditionnelles qui, quoiqu'en disent certains,existent (et c'est peut-être a cause de cela qu'on ne fait plus d'enfant, car ces derniers n'ont plus rien a quoi s'accrocher) et c'est pourquoi j'en finirai là. Il faut aujourd'hui, puisque nos dessinateurs en sont incapables, reéditer des BD qui n'étaient ni underground, ni yéyé, ni des tableaux sans queue ni tête ou Ie texte placé en depit du bon sens n'a ni queue ni tete. C'est pourquoi nous remercions : Jean-Claude Filiperni Jean-Pierre Pionnier Claude Pouperi Numa Gutin Pierre Lethargie Pierre Lebedeau Andre Laveugle... ...qui nous ont gentiment autorisé, avec leur aimable accord, de fouiller dans leur collection, afin de reunir la meilleure quasi totalité de « Captivant ", édité par les sympathisants du mouvement des jeunes Croix de Lumière. Et on pardonnera aisement certains sous-entendus racistes car, enfin, qui n'était pas raciste en ce temps-là, je vous Ie demande ? Pour Ie reste il faut reconnaitre que ces histoires extraordinairement rafraichissantes et bien documentées satisferont petits et grands, du specialiste chevronné au lecteur moyen qui en a décidement assez de supercheries. Andre Laveugle, président du S.P.I.R.O. B.D. C.L.U.B. En préparation: Nous réunissons une compilation du fameux incunable l'Impeccable afinde mettre a la portée de tous ce classique connu uniquement par quelques exégètes belges. Je recherche en particulier Ie numero 523 de l'Impeccable nouvelle formule (janvier 1954). Ecrivez-nous pour nous encourager.

588. RamoNash - 07/11/07 12:26 - (en réponse à : 586)

Il faut dire qu'Anne Goscinny se rêve écrivain(e). Ceci explique peut-être cela.

587. nem° - 07/11/07 11:45 - (en réponse à : LC)

J'ai lu ce matin dans Libé, au sujet de l'Europe, que la France avait un gros défaut : ne pas apprécier le talent. On met les gens dans des cases, et ensuite ils ne doivent surtout pas en sortir. Quand tu fais de la BD, t'es un clown. Voilà voilà...

586. LaurentV - 06/11/07 16:56

A l'occasion du trentième anniversaire de la mort de Goscinny, les perles se ramassent à la pelle dans les médias. Quelques unes entendues sur France Inter : "le père d'Astérix" : et Uderzo, c'était qui ? la mère porteuse ? "le créateur de Lucky Luke" : Morris apprécierait. Du classique, me direz-vous ? M'ont plus énervé les propos de sa fille Anne faisant la promotion d'un recueil de chroniques écrites par son père entre 1964 et 1976 (tire : Du panthéon à Buenos Aires) : "un bon scénariste doit être avant tout un bon écrivain" : et pourquoi pas le contraire ? "mon père était avant tout un écrivain" : toujours cette vieille honte de faire de la BD, qui n'est pas un vrai métier comme chacun sait, mais venant de la fille de Goscinny, qui vit avant tout des BD de son père, c'est pour le moins désolant.

585. torpedo31200 - 05/11/07 17:51 - (en réponse à : post # 584)

Joli.

584. Laurent CoIonnier - 05/11/07 14:40

Pour répondre au post 563, je dirais: Nous vivons une époque de confusion totale. On veut nous faire passer du pipi de chat pour du gateau de semoule et il serait temps de laisser la place aux dessinateurs qui racontent de vraies histoires et qui, c'est peut-être un paradoxe, savent dessiner. Les meilleurs sont morts dans la misère, et ceux qui restent et non des moindres ont plus de talent que ces jeunes m'as-tu-vu dont le physique agréable peut peut-être influencer les directrices artistiques mais pas nous. De plus, ce que ces gens racontent participe a un grand travail de démoralisation de la jeunesse, et mine les valeurs traditionnelles qui, quoiqu'en disent certains,existent (et c'est peut-être a cause de cela qu'on ne fait plus d'enfant, car ces derniers n'ont plus rien a quoi s'accrocher) et c'est pourquoi j'en finirai là. Il faut aujourd'hui, puisque nos dessinateurs en sont incapables, reéditer des BD qui n'étaient ni underground, ni "nouvelle bande-dessinée", ni des tableaux sans queue ni tete ou le texte placé en dépit du bon sens n'a ni queue ni tête.

583. brigand - 05/11/07 11:30

J'avais pas vu...c'est un ramassis de lieux communs cet article...

582. Altaïr - 05/11/07 08:31

oui j'aime bien les passages du genre "NG nous apprend que..." (ça revient plusieurs fois), qui montre bien que d'une part le journaliste n'y connait rien, et surtout qu'il n'a même pas cherché à creuser ailleurs. Le pire, c'est que le journalisme donne ses sources avec une naïveté qui ferait presque sourire... pas du grand journalisme en effet.

581. Le Commentateur - 02/11/07 18:52

C'est surtout de voir ce journaliste (du 2e plus grand hebdo culturel de Montréal, bordel) qui était visiblement convaincu que les mangas sont de « simples divertissements pour ados attardés » et dont les convictions sont ébranlées, uniquement par ce que le National Geographic y consacre un article, qui me renverse. Mais notez le conditionnel, il n'est pas trop sûr encore... Et il n'a visiblement rien consulté d'autre et n'a demandé à personne de valider son article non plus. Bref, du grand journalisme, quoi...

580. torpedo31200 - 02/11/07 15:42 - (en réponse à : dens - post # 579)

C' est le nouveau journalisme, pas le temps de se relire...

579. dens - 02/11/07 12:49

c'est vrai que les deux se ressmblent et on a tendance a les confondre .. un peu comme Robespierre et Jean-Marc Thibauld

578. torpedo31200 - 02/11/07 11:20 - (en réponse à : LaurentV - post # 576)

Confusion avec Katsushika Hokusai.

577. longshot - 01/11/07 21:29 - (en réponse à : iarl)

Je suis prêt à tout pardonner à Midam, de toute façon. J'ai feuilleté le dernier album au super marché, je ne me souvenais plus de la (double, en fait) planche : elle est quand même assez réussie dans le style manga violent pas très malin - mais je ne suis pas très impartial quand il s'agit de Kid Paddle.

576. LaurentV - 01/11/07 20:42

Euh... Osamu Tezuka en 1814 : y a un problème, non ?

575. Le Commentateur - 01/11/07 18:17

Parlant de Manga, voici ce qu'on peut lire en éditorial du journal «Ici», une publication culturelle hebdomadaire de Montréal. Merci à Michel Viau, du forum de www.bdquebec.qc.ca pour la transcription. MANGA! Dans sa plus récente livraison, la version française du magazine National Geographic nous propose un formidable dossier sur lomniprésence des mangas dans le Japon daujourdhui. Loin dêtre de simples divertissements pour ados attardés, ces bandes dessinées typiquement nippones seraient, selon la revue, le véritable porte-étendard dune culture à part. Les mangas définissent des modes de vie, des schèmes de pensée, des habitudes vestimentaires et influent grandement sur le langage courant des jeunes Japonais. Difficile de trouver un équivalent de ces BD et de leur impact au Québec ou ailleurs en Occident.Véritable industrie de près de sept milliards de dollars par année, les mangas sont extrêmement lus. Selon le National Geographic, ce serait 50% de la population japonaise qui lirait au moins un manga par semaine. Qui plus est, certains créateurs de mangas sont de véritables stars, pour ne pas dire davantage. Il suffit de penser à Shigeru Mizuki, 85 ans, que lon appelle «le sauveur» dans sa ville natale de Sakai Minato. Dans ses mangas,Mizuki met régulièrement en scène des personnages surnaturels appelés yokai. Eh bien, les autorités de Sakai Minato ont décidé dériger 120 statues de yokais le long de la rue principale de la ville, une rue qui débouche sur un immense musée consacré à Shigeru Mizuki. Le magazine nous apprend également que les mangas ne sont pas une invention récente. Le terme manga, qui signifie «dessin libre», fut créé en 1814 par un maître de lestampe répondant au nom dOsamu Tezuka. Tout au long de son histoire, le manga a servi des causes, que ce soit le pacifisme au sortir de la Deuxième Guerre mondiale ou encore la contestation étudiante durant les années 60. Un dossier vraiment passionnant à découvrir.

574. Bert74 - 01/11/07 17:37 - (en réponse à : querelle d'expert où j'y connais rien de toute façon)

Désiroire peut très bien se dire de quelque chose pauvre de signification et d'importance, c'est pour ça que ça m'y faisait penser...

573. brigand - 01/11/07 17:30

Dérisoire ne veut pas dire pauvre et violent...

572. Bert74 - 01/11/07 17:07 - (en réponse à : iarl)

Cela dit, dans sa définition, il colle quelque part à l'éthymologie du manga qui est, si jeune Mabuse, "image dérisoire", non?

571. iarl - 31/10/07 13:46

Une perle par un auteur, c'est assez rare... Pour le fantasme du papa héros de manga, cette parodie ma demandé un boulot dingue, parce que les Japonais ont des studios et des logiciels pour réaliser tous ces effets graphiques. Je ne suis pas un fan de mangas, cest un genre trop pauvre, trop codé, trop violent. Chez le Kid, la violence reste toujours imaginaire. Il ny a jamais de passage à lacte. Cest juste un bouillonnement intérieur, comme nous en connaissons tous un jour ou lautre, en faisant la file au supermarché, quand la vieille dame devant a oublié le code de sa carte bancaire. (Midam) Je n'ai pas vu cette planche, donc évidemment, je ne sais pas ce qu'il a fait comme planche "style manga" Mais réduire le manga à "UN" genre "trop pauvre", "trop codé" et "trop violent", c'est aussi fin que de réduire Kid Paddle à de l'humour pour gamins puisque c'est publié dans Spirou.

570. marcello - 29/10/07 17:08

filipini c'est quand meme une connerie par ligne et ça fait trente ans que ça dure. alors franchement, il n' y a rien à en dire.

569. torpedo31200 - 17/10/07 21:50 - (en réponse à : post # 563)

Plus que passéiste, c' est surtout déprimant que Filippini focalise autant sur les grands succès... Comme si le medium devait perpétuellement générer un certain nombre de titres au-dessus de 50 ou 100 000 exemplaires pour éviter une forme de déclin économique. Personnellement, vu le nombre de trucs médiocres qui atteignent ces scores, je préfère croire en une multitude de titres qui se vendraient entre 5 et 30 000 exemplaires et qui manifesteraient plus d' ambition ou de talent... Quitte à ce que les plus grosses structures en crèvent. Après oui, on peut se poser des questions sur les bases d' apprentissage de jeunes dessinateurs. Mais peut-être que ces 10, 15 ans ou + d' apprentissage généreraient plus de talents ("réalistes" ou pas) si des gens ou entités juridiques qui se prennent pour des éditeurs n' envoyaient pas des QCM à leurs jeunes artistes leur demandant en combien de temps ils pourraient finir un album (ou marchandise) au plus vite... Le jour où ces plus ou moins jeunes auteurs recevront des courriers personnalisés, évoquant la structure de leurs récits, le rythme, la caractérisation de leurs personnages, leur storytelling, leur découpage, leur ambition formelle et narrative, leur propos, l' harmonie et l' équilibre entre le travail du scénariste, dessinateur, et coloriste... On aura peut-être moins de jeunes auteurs occupés à réfléchir et conceptualiser un art pour le faire rentrer dans les cases d' un QCM administratif. Ou dans les discours de vieux messieurs s' inquiétant d' un marché économique...

568. nem° - 17/10/07 19:08

*tout

567. nem° - 17/10/07 18:55

Très bon exemple de cette aberration, le catalogue édité par la librairie lyonnaise Expérience réunit une trentaine de candidats dessinateurs (pour beaucoup issus de lécole Emile Cohl de Lyon) mais ne compte pas un seul projet réaliste. CA je connais très bien pour avoir fréquenté l'école en face d'Expérience, et bu pas mal de kawas avec le vendeur biker du magasin. Emile Cohl j'habitais à deux pâtés de maison à l'époque, c'est pas très loin d'où je vis maintenant d'ailleurs, et en effet les gens qu'on en voyait sortir sont tous sauf de vrais artistes pour la grande majorité. Des gamins friqués que leur parents tentent d'aider sur une voie dont ils se foutront (tous) quelques années plus tard. La plupart finira sans doute à "designer" les paquets de pâtes que bouffent chaque jour les vrais artistes qui eux, en chient des caisses. Je ne partage pas la petite colère contre une tendance qui ne sera jamais que ce qu'elle est : une tendance. En revanche je suis assez d'accord avec la vision "passéiste" d'un artisanat populaire. Et j'espère bien que la BD restera comme ça, tant pis si on se moque d'elle.

566. marcel - 17/10/07 15:05 - (en réponse à : Altair)

Ce a quoi il te repondrait sans doute qu'Uderzo dessinait aussi Tanguy et Laverdure et Franquin faisait beaucoup de croquis realistes... Mais je suis bien sur de ton avis, hein.

565. Altaïr - 17/10/07 15:02

Quand bien même, je ne suis pas sûre que des succès populaires comme Astérix ou Spirou soient à classer au rang du sacro-saint dessin réaliste :)

564. marcel - 17/10/07 15:00

Filippini a toujours eu un point de vue pour le moins... passeiste sur la BD, qui selon lui doit absolument rester un artisanat populaire, uniquement divertissant.

563. Altaïr - 17/10/07 14:39

Je me rends compte qu'on n'avait pas débattu ici de ce savoureux billet d'humeur de monsieur Filippini, publié dans DBD, et recopié par SydN sur BulleDair : Billet dhumeur Henri Filippini Cherche successeurs désespérément ! De plus en plus de jeunes fréquentent les écoles spécialisées en graphisme, avec pour rêve de devenir dessinateurs de bandes dessinées. La médiatisation que connaît la BD depuis quelques années favorise ces vocations, bien que les élus soient peu nombreux. Lexercice est dautant plus difficile que les écoles semblent privilégier lenseignement des graphismes à la mode, encouragées par le succès de jeunes auteurs dont le trait plus simpliste permet un rythme de travail rapide. Cest oublier que les grands succès sont principalement obtenus par des dessinateurs travaillant avec un trait bien plus classique. XIII, Largo Winch, Le triangle secret, Le scorpion, Murena, Les stryges, Le décalogue, Blueberry, et bien dautres, nont rien de commun avec avec les graphismes moins perfectionnés, enseignés dans les écoles. Mais seuls certains albums de Sfar, Sattouf, Blain, ou encore Larcenet réalisent des ventes importantes. La plupart des auteurs oeuvrant dans ce créneau se contentent de maigres performances qui pourtant font ladmiration de la critique. Il est certain que produire une planche par jour, sans trop deffort, en se contentant de raconter son quotidien, est plus simple que de construire un récit dense qui exige au dessinateur de réunir une importante documentation. Cest dautant plus tentant que, le prix des pages étant souvent le même, il vaut mieux livrer deux cents pages (voire plus) par an quun seul album  rythme de travail dun auteur réaliste. Très bon exemple de cette aberration, le catalogue édité par la librairie lyonnaise Expérience réunit une trentaine de candidats dessinateurs (pour beaucoup issus de lécole Emile Cohl de Lyon) mais ne compte pas un seul projet réaliste. Loin de moi le souhait de voir disparaître ce nouveau créneau de lédition BD qui comprend de très bonnes choses, mais pourquoi cette intolérance de la part de certains à lencontre de ceux qui souvent, permettent aux éditeurs de financer leur travail ? Jai limpression de revivre le début des années 70 où, dans les revues branchées, on annonçait déjà la fin de la bande dessinée classique au profit de Reiser, Moebius et consorts. 35 ans plus tard, cest toujours Blueberry qui nourrit Moebius ! Cette pénurie de dessinateurs réalistes oblige les éditeurs à recruter des auteurs à létranger (Italie, Espagne, Bosnie, Serbie&) où la bande dessinée classique demeure prépondérante. Ecoles et élèves doivent se rendre enfin compte que la bande dessinée classique recrute et quil est grand temps de trouver des successeurs à Giraud, Bourgeon, Francq, Vance, Kraehn, Yslaire, Juillard& Henri Filippini Larcenet en fait le sujet d'un billet d'ailleurs assez drôle...

562. Lien Rag - 08/09/07 09:53 - (en réponse à : Petite perle sur un média dans la BD...)

Dans "Comment je suis devenu stupide", Nicolas Witko fait lire à son héros un numéro du Monde Diplomatique (je suppose que c'est pour lui l'archétype du journal intello et catastrophiste), mais il dessine la maquette d'un quotidien ordinaire... En gros, il n'a même pas pris la peine de chercher un numéro du Diplo avant! Comme travail de documentation, on a fait mieux (par exemple l'ours dessinateur du court récit d'Andréas)...

561. nem° - 07/09/07 20:30 - (en réponse à : ma che?)

A l'instant, en zappant sur Canal+, la giga-pétasse Monica Bellucci faisant la promo du dernier film crétin dont le nom m'échappe : "Ce film, c'est un peu comme une bande dessinée... mais quand même, ça laisse la place aux acteurs de jouer de vrais rôles."

560. iarl - 16/08/07 09:03

Lu sur Yahoo News : La première intégrale de la pétillante hôtesse de l'air "Natacha", sous le titre "Panique à bord!", voit le jour avec les trois premiers tomes et une histoire inédite en album. Série imaginée par Walthéry, venu du studio Peyo, qui fit appel au scénariste Gos, pointure des mots à qui l'on doit entre autres "Spirou et Fantasio" pour finaliser l'opus 1 "Hôtesse de l'air", titre donnant le ton aux aventures aériennes de l'héroïne.

559. Lien Rag - 25/01/07 17:08

Faut voir aussi que vue la façon dont la BD (ou en tous cas les responsables marketing de la BD) communiquent à destination du grand public, la prédominance des préjugés sur ce qu'est la Bd dans ce même grand public n'est pas vraiment étonnante. Le Sacrifice de Thorgal s'affiche comme un film, sur son contenu (ou plus exactement sur un acmé de son contenu) et à la fois entretient un certain mystère et joue sur la connivence avec un public censé connaître la série, ne serait-ce que par ouï-dire; mais c'est vraiment une (heureuse) exception que ce respect porté à la BD par une affiche de pub. Spirou à Tokyo et Sillage jouent elles clairement sur le préjugé "de toutes façons ce n'est qu'une BD donc vous ne la prendrez pas au sérieux", et franchement c'est pas comme cela que les choses avanceront...

558. Gill - 24/11/06 12:30

C'est comme dans les forums : on part d'un sujet tout simple et très vite, ça part en c... en vrille ! "On peut rire de tout... mais pas devant n'importe qui". Le seul problème fut la dichotomie entre le public visé et le public atteint, suite à une erreur idiote, dont sont certainement autant gênés l'auteur de la BD que son "éditeur"... Tout le reste n'est que billevesées, jeux politiques et conversations de bars ou de sorties d'églises....

557. Lien Rag - 24/11/06 12:03 - (en réponse à : stanislas)

Faut avouer que ce n'est pas vraiment du grand public... Mais comme Feydau le faisait dire à un de ses personnages, à qui ne comprend pas cela ne peut faire de mal, et à qui comprend cela n'apprend pas grand-chose.

556. angus - 24/11/06 11:59

Plus d'infos ici...

555. angus - 24/11/06 11:55 - (en réponse à : Stanislas)

Merci pour l'info. Ca faisait un petit moment que je cherchais l'objet du sacrilège.

554. stanislas - 24/11/06 11:50 - (en réponse à : angus post 505)

La bd qui a fait scandale eut se voir a cette adresse (tout en bas de la page) : http://www.bdangouleme.com/actualites/index.ideal?action=consulter&id=873#0

553. nemO² - 22/11/06 13:46 - (en réponse à : Hem)

Cette jeune femme a des enfants, je prierais donc de vouloir condescendre à fermer vos gueules. J'ai pas toujours raison mec, c'est juste que quand j'ai tort, je la boucle.

552. Sitcom - 22/11/06 13:24 - (en réponse à : post à caractère informatif)

"Amélie n'a pas voulu te faire de pipe que t'es aigri comme ça?" Bon Dédé en fait ça dépend du moment de la journée : fellation du matin repos du vagin mais sodomie du soir repos des mâchoires. Vala.

551. Denisdenice - 22/11/06 12:55

Enfin tu avoues avoir été refroidi monsieur "j'ai toujours raison".

550. nemO² - 22/11/06 12:09

Catégorie "Douche écossaise".

549. Danyel - 22/11/06 11:32

One man-shower, douche pour homme seul. Y'a des Molières pour ça ?

548. nemO² - 21/11/06 19:13

J'ignorais qu'il y eut une catégorie "one man show" aux Molières. En tout cas Edouard Baer n'en fait pas partie, à moins que tu considères Cravate club comme un spectacle comique, voire un one man show, tant qu'on y est. Ses prestations télés ne comptent pas, y'a les 7 d'or pour ça (humour de comédien).

547. Denisdenice - 21/11/06 18:54

Et si tu attends que Bigard soit récompensé, je te rappelle qu'il faut être acteur pour avoir un Molière, et en être un bon, c'est un minimum. Etre une sale merde lepéniste comme Bigard n'entre pas dans ces critères.

546. Denisdenice - 21/11/06 18:51

Et je te rappelle que les "one-man showers" sont récompensés dans la catégorie "one-man show".

545. Denisdenice - 21/11/06 18:48

Ta mauvaise fois est sans limite. Tu as dis: "les Molières (récompense théatrale) n'ont JAMAIS couronné un comique" Darry Cowl et Edouard Baer entrent parfaitement dans cette catégorie, les autres cités sont des acteurs réputés pour leur drôlerie et leur sens du comique (et la plupart COURONNéS pour une comédie).

544. nemO² - 21/11/06 18:28

Ouais, aucun one (wo)man shower, j'ai toujours pas tort donc. Et tu es de plus en plus lourd.

 

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