Alors oui, très bien, une pointe de Moebius, une touche de Cosey aussi, un réel talent pour mettre en place un univers tangible, cinematique même. 9a fourmille de bonnes idées qui se répondent bien. Puis l'edifice s'effondre sous son propre poids, surement un manque de maturité question scenario, la fin est au mieux decousue, au pire baclée, c'est selon. Je salue totalement l'inventivité et l'ambition, la liberté du propos, du format, mais au final, un album plutot creux et decevant.
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