13. pierrecédric
- 06/11/11 17:34
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12. pfloyd2
- 06/11/11 14:38
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et dans le " a suivre" special HS silence on reve il y a 2 superbe planche de ARNO qui traite de ce sujet
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11. nem°
- 31/10/11 22:11
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SVP ou SPV? On saura jamais.
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10. nem°
- 31/10/11 22:11
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Sinon j'aime bien les drogues imaginaires, genre... bon j'ai pas d'exemple là, j'ai dormi quatre heures, mais disons l'Epice dans Dune. Ou le Cocalfol du monde de John Difool.
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9. nem°
- 31/10/11 22:06
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Ah ouais, Ouin il fait pas semblant! Je me souviens d'une planche (Psykopat? Métal? Sais plus.), son héros punk se bat avec une seringue recalcitrante et, à la fin, il s'ouvre le bras avec l'aiguille. Brrrrr...
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8. Zgarled
- 31/10/11 17:13
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ça me fait penser que le coffret DVD des émissions SEX MACHINE sort bientôt. Quand on sait comment à finit Pauline Laffont, ça va être un peu duraille de se branler sur le générique comme à la grande époque.
Je me demande si les urnes virtuelles seront données à ma descendance quand je serai mort. Sinon je veux être insinéré avec ma clé usb.
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7. Zgarled
- 31/10/11 17:09
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Les bd de Pierre Ouin étaient assez particulières dans le style. En droite lignée du romantisme prosélyte d'un Lou Reed qui nous a vallu quelques journalistes de Rock dans le caniveaux, mais en pire parceque se voulant drôle, il me semble que Pierre Ouin était lui-même junkie. On était loin de William Burroughs, mais pour un Burroughs ou un Keith Richards combien de Tchao Pantin ?
Ouhla ça c'est de la formule concernée. C'est digne de l'almanach des meilleurs poèmes de Fleury-Poésie 1983, celui avec la photo de Bernard Lavillier en trecking Camel à Barbés.
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6. longshot
- 31/10/11 12:56
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C'est très courant, non ? Et je ne me rappelle pas que ça m'ait jamais choqué. Ça ne fait pas partie des trucs auxquels je suis sensible.
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5. nem°
- 31/10/11 11:45
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Jean d'Ormesson en descente perpétuelle
Je sais pas ce qui s'est passé, j'ai soudain visionné Jeannot à ski, avec un gros bonnet rouge à pompon. Quel irrespect!
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4. Zgarled
- 31/10/11 11:12
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Sinon tout Astérix et tout les Schtroumpfs, tout l'univers Champignacien, sont des ôdes décomplexées à la prise de drogue (acquisition de super pouvoir, montée d'adrénaline etc.) les Freaks Brothers à côté sont englués dans leur petit quotidien minable à la recherche d'un bout de chichon. Comme la plupart des fumeurs casse-couilles, leur discours tourne autour du shit.
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3. Zgarled
- 31/10/11 11:07
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Justement je finis l'album de Crumb et sa copine. C'est vraiment étrange. Crumb c'est un peu Jean d'Ormesson en descente perpétuelle, Syd Barret qu'aurait trouvé une copine, Célines mariée à une juive, Cioran chez Marc Dorcel, je reviendrai en parler si j'y pense.
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2. nem°
- 31/10/11 01:30
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J'ai encore mangé un mot, je voulais dire "Pas dans le milieu (de la BD)".
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1. nem°
- 31/10/11 01:28
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Pas le milieu (encore que...), mais dans sa représentation ou son traitement. Ca vous choque? Y'a-t'il une différence entre un nez qui sniffe un rail ou des ballots de poudre? Est-ce la présence de drogue qui peut vous déranger, ou le rapport des personnages à celle-ci? Interroge-t'il le notre?
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