Wanted : Yoan Sfar !?!

Les 289 commentaires sont triés des plus récents aux plus anciens .



289. larry underwood - 26/11/03 12:13
T'es un vrai taré nemO, tu savais ça... ?

Presque autant que moi. J'adore.

288. nemOrtel - 26/11/03 11:45

287. lolob - 26/11/03 11:40 - (en réponse à : Larry)
...ou alors j'écris à télérama? ...euh! moi j'ai rien compris au triplodocus, mais c'est pas grave!

286. lolob - 26/11/03 11:28 - (en réponse à : Larry)
"Jamais lu un article aussi mou et consensuel (à part dans Télérama peut-être... ?)

...pfff!!! t'es jaloux? ...non je deconne, c'est vrais que quand toi tu parles d'un auteur, ça a plus de gueule, et c'est clair que ça donne plus envie de lire ses BD. Mais bon! la c'est un portrait...Boah! moi j'aime bien "pousser tintin dans les cactus", c'est parceque "faut pas pousser mémé dans les orties" ça me fait toujours rire. Sinon, il est plutôt bien croqué et il le fait un peu parler...Bon je vais écrire a libé pour que tu puisse ajouter une vraie critique sur ces BD, c'est sur ça manque!

285. Twils - 26/11/03 11:08 - (en réponse à : twils@free.fr)
Formidable l'article de libé sur Joann !!

Je pense que Mr Sfar est un auteur majeur d'aujourd'hui et un grand defricheur de mentalité ... (Ah, les belles histoires de Fernand le vampires, du Golem de Prague etc.) et qu'à ce titre, il merite qu'on s'interesse à ces pieds de table ... heu ... à l'influance de sa vie et de sa culture sur son oeuvre. Maintenant, un article sur le monde de "dongeon" serait egalement le bienvenue ... mais le dongeon, c'est un peu un monde à lui tout seul, vous ne croyez pas ?

284. pm - 26/11/03 10:53
Une très longue interview de Joann vient de paraître dans le dernier numéro du DBD, il y a un particulier un assez long passage sur l'approche autobiographique chez Neaud qui prolonge bien ce sujet. Sur le fond l'opposition est quand même assez totale même si Joann semble davantage respecter le travail de Fabrice que l'inverse.
Sinon dans ce numéro(intéressant mais 18 euros c'est cher pfff) il y a un truc marrant dans la partie magazine où l'actualité bd est traitée: Appollo sera ravi d'apprendre qu'il s'appelle en fait Appollon(;o)
Ah oui Bosser a retiré immédiatement l'exposition de la rue Dante car rien n'était à vendre, c'était juste pour promouvoir le démarrage de la collection Bréal et le lancement de ce DBD.Un peu minable quand même, elle était bien jolie cette expo.

283. yannick - 26/11/03 09:46
Donjon est une bédé bobo ?

282. Bert74 - 26/11/03 09:41
J'ai pas dit que c'était pas sérieux Donjon, j'ai juste sous-entendu que ça devait pas être assez intello pour que Libé en fasse part...
Ca doit trop bien se vendre pour qu'ils "s'abaissent" à en parler.

La question n'est pas d'ailleurs de savoir si Donjon c'est sérieux ou pas : Donjon c'est jouissif !!

281. jeam - 26/11/03 02:51
" les zélateurs de la BD alternative lui envoient des lettres d'insulte. Trop commercial, trop reconnu"
QUI?
Qui sont ces alternativistes jaloux?

280. larry underwood - 26/11/03 01:35
"Au fait...moi je trouve Donjon assez serieux contrairement a ce que vous dites"

ça, c'est parce que tu oublies toujours de prendre la médecine du Dr Larcenet avant de lire Donjon...

279. larry underwood - 26/11/03 01:14 - (en réponse à : geOrges)
Ça y est, figure-toi que je viens enfin de voir la pub Diplo, et donc de comprendre ta blague débile ! Je suis trop heureux. Qu'est-ce qu'elle est nulle cette pub, c'est génial.

278. nemOrtel - 26/11/03 01:09 - (en réponse à : instant replay)
Pouquoi diplo? Y'en a trois de plots! Hein?

277. jean-no - 25/11/03 23:23 - (en réponse à : kikipow)
pourrais-je avoir une definition exacte de "bobo"?

NON. Cette question a fait assez de morts comme ça.

276. Kikipow - 25/11/03 18:42
ah aussi joann...pour la MLDONJON...Ton nom se prononce Joann ou Yoann?

275. Kikipow - 25/11/03 18:39
pourrais-je avoir une definition exacte de "bobo"?

Au fait...moi je trouve Donjon assez serieux contrairement a ce que vous dites, je suis sur que nos auteurs se font plus chier a scenariser un donjon qu'un grand vampire par ex!

Quand je pense que ca partait d'un delire entre pote.

Au fait, Joann si tu repasse par le forum, j'ai oui dire que tu passais par Nice dans pas longtemps...Est ce vrai?

274. larry underwood - 25/11/03 18:25
Ouais, faut se casser à lire des bouquins au lieu de n'en lire que les critiques. Je sais, le traitement est rude.

273. yannick - 25/11/03 18:22
C'est contagieux ? Y a un vaccin contre ça ?

272. larry underwood - 25/11/03 18:20
Le bobo, te dis-je ! (*réplique célèbre*)

271. yannick - 25/11/03 18:17
m... j'ai encore mal lu... en fait, j'aurais du écrire : qu'est ce que ça peut nous apporter de savoir qu'il met des livres sous chaques pieds de sa table pour la stabiliser...
Toutes mes excuses...

270. larry underwood - 25/11/03 18:16 - (en réponse à : yannick)
t'as pas compris, c'est parce que ça fait bobo !

269. yannick - 25/11/03 18:13 - (en réponse à : pm)
Oui, oui, je sais que Sfar a fait des autobiographies mais c'est pas une raison pour que Libé fasse tout un baratin sur des livres qui lui sert de cale à sa table...

268. pm - 25/11/03 18:08 - (en réponse à : yannick)
Ils feraient mieux de s'intéresser aux oeuvres qu'au personnage de Sfar

Euh, tu as dû sécher le cours sur l'autobiographie toi!

267. yannick - 25/11/03 18:01
Ils feraient mieux de s'intéresser aux oeuvres qu'au personnage de Sfar chez Libé... Sinon si ça continue, ils vont en faire un héros national...

266. larry underwood - 25/11/03 17:16
Jamais lu un article aussi mou et consensuel (à part dans Télérama peut-être... ?)

J'ai décroché dès la brillante métaphore filée top-bob "tintin dans les cactus... oreille cassée."

Marf ! On dirait les jeux de mots pourris que je fais avec nemO sur le forum.

265. pm - 25/11/03 11:26
Visiblement ils ont lu ce forum aussi(4ème phrase)!

264. Bert74 - 25/11/03 11:10
Font iéch, Libé, à tout tourner intello !
Pourquoi y parle pas du Donjon ?

263. pm - 25/11/03 10:58
Libé aujourd'hui

il voudrait qu'on lui foute la paix. Il se voit bien en homme-arbre, un personnage récurrent de ses histoires, «un être rugueux qui va se réfugier dans la forêt». Il cite encore le conte de la petite fille qui ne voulait pas se marier, Lenz dans sa montagne, le romantisme allemand relu depuis les bésicles pessimistes de Schopenhauer. Maintenant qu'il est riche et célèbre, les zélateurs de la BD alternative lui envoient des lettres d'insulte. Trop commercial, trop reconnu. Les habitués des rondeurs et de la clarté belge le trouvent trop pointu. Faut pas pousser Tintin dans les cactus. Même ses amis ont commencé à l'entendre d'une oreille cassée à partir du moment où il a été reconnu. Mais Joann n'est pas que Sfar.Assis derrière son bureau, le croquignolet ténébreux prévient : «C'est la contradiction qui me constitue.» Et de même : «Je suis d'une duplicité totale à l'égard de la presse.» Si bien que lorsque passe en chair et en os Imhotep, le chat du rabbin, plus ressemblant que nature, on se prend à soupçonner le maître de céans d'avoir tout aménagé pour tromper l'ennemi, d'avoir suborné un félin de race orientale, disposé une guitare et des partitions bidons, passé un tee-shirt à tête de mort et un peu de gras au bide, pour faire tout bien identique, comme dans ses carnets autobiographiques. Car, signe que l'autofiction ne dévore pas la réalité, tandis que ces mêmes carnets surexposent sa femme et ses deux enfants, on ne surprend de ceux-ci que quelques sons perdus dans l'épaisseur de l'appartement parisien.Son alter ego de papier ironise : «Maintenant que j'ai un appart de vieux, j'ai une gueule de vieux.» L'homme culpabilise : «Ça me fait drôle d'avoir un bureau grand comme celui de Balladur.» Il se reproche aussi d'avoir voté Chirac, comme tout le monde. Par terre, ses propres oeuvres servent de cales à la table : «J'avais d'abord mis les bouquins d'un pote, mais il a changé de couleur quand il a vu ça, alors maintenant je ne prends plus que les miens.» Joignant le commentaire à la métaphore involontaire, il tire de son fouillis une planche du Grand Vampire. Là, s'étale un gros plan hommage à Paulette, la pulpeuse héroïne de Georges Pichard. Aucune dénégation n'empêche Sfar de se renier : «C'est raté, hein ? On ne la reconnaît pas. Je vais être obligé d'expliquer ce que je voulais faire.» Il raconte ensuite comment il loupe tous ses pastiches, comment il n'arrive à la hauteur ni de Tardi, ni de Reiser, ni de Crepax, surtout pas de Moebius/Giraud. Comment il se retrouve toujours à faire du Sfar quand il veut s'appuyer sur autrui, échec tout à fait enviable. Les livres, ce n'est pas pour caler la table, il y en a un sous chaque pied, «c'est pour la rehausser».Il n'a pas fallu dix ans à ce jeune trentenaire pour apparaître au générique d'une centaine d'albums, réalisés seul ou en compagnie, pour un total de huit éditeurs. Alors que la terre entière se demande comment il fait pour produire autant et aussi bien, «Jojo» semble ne pas puiser son génie dans la coke ni le pastis, mais dans l'humilité. «Rester en posture d'élève» et se sentir «à l'égard du dessin comme le philosophe à l'égard de la vérité : non pas prétendre la détenir, mais cheminer avec justesse dans sa direction». Puis, modeste ou ignorant de la RTT : «Mais je ne vais pas si vite que ça, en fait. Une page de Grand Vampire me prend sept heures environ. Sauf que ce sont sept heures où la plume ne décolle pas du papier.» Des plumes Atome, modèle supermarché, et des stylos-feutres à deux balles, pas de surenchère techniciste ici. En dehors des longues déconnades de l'apéro, Sfar est donc plutôt le type appliqué, toujours entier à dix projets menés rubato. Aussi bien n'a-t-il pas émergé dans le paysage de la nouvelle bande dessinée comme Marjane Satrapi à la faveur d'une série phare ou d'une palme angoumoise comme Christophe Blain, mais petit à petit, album après album, par une sévère concurrence à l'état civil des monstres gentils. Etre le Balzac des fantômes et des chiens qui pètent lui conviendrait assez, la nomenclature en moins, la maladie de la mort en plus, puisque Sfar ne craint pas d'exposer ses lecteurs, jeunes ou pas, à des problèmes de deuils chelous.En ce moment, trois projets l'occupent avec Sandrina Jardel, Mme Jojo herself : Petit Vampire passe en série animée et Grand Vampire en film. Il s'angoisse aussi pour la nouvelle collection jeunesse qu'il vient de lancer. Seul bédéaste estampillé philosophe par l'Université (une maîtrise intitulée le Complexe du Golem, sur le problème de la figuration chez les peintres juifs), il trouve en effet que la France est très en retard dans le domaine du livre illustré, incapable de donner aux peurs contemporaines un «visage» autre que naturaliste : «Il y a bien des bouquins sur la drogue ou les trucs comme ça, mais rien de symbolique, rien de fort. Le modèle du genre, pour moi, c'est les Trois Petits Cochons de Disney, qui raconte à sa façon la grande dépression.» Son programme arrive directement des lumières, il s'agit de sortir de la minorité, de s'autodéterminer. La nouvelle collection n'aura ni coeur de cible, ni tranche d'âge, car «les lecteurs doivent être capables de choisir tout seul». Et ses carnets autobiographiques (pour adultes) ajoutent cette injonction très laïque : «Faisons une littérature enfantine anticléricale. Laisser des gamins entre les mains des prêtres, sans leur donner accès à la moindre possibilité de bâtir un discours critique, c'est non assistance à personne en danger.»Dans ces mêmes carnets, il est beaucoup question d'antisémitisme. Du jour où, dans une ZEP où il conférençait, il entendit crier «Le Pen sale juif !» Son rapport à la judéité, pourtant, il n'a pas trop envie de l'évoquer en ce moment, parce que c'est «impossible d'en parler sereinement et intelligemment. Je vois surtout deux culpabilités, Auschwitz et la guerre d'Algérie, qu'on essaie de solder à bon compte au Proche-Orient». Et surtout, pas question de se retrouver dans la peau du dessinateur juif de service : «Avant de publier le Chat du rabbin, des juifs, j'en connaissais pas. Enfin, je veux dire, en dehors de ma famille. Sinon mon père va pas être content !» On rembobine : Joann Sfar est né d'un père séfarade et d'une mère ashkénaze morte quand il avait trois ans, on lui raconta qu'elle était en voyage, il l'attend toujours. Le grand-père maternel faillit être rabbin. Sans être consacrés au sujet, les albums de Joann sont habités par des références kabbalistiques et un certain rapport à la lettre, au signe. Aucun dogmatisme, juste un questionnement, des coups de coude dans l'identitaire, pour faire réfléchir : «Aujourd'hui, je me sens un peu cocu. Quand j'étais jeune, à Nice, on allait manifester contre les skinheads qui s'en prenaient aux Arabes. Maintenant, je vois Sarkozy qui rachète la paix civile à coup de communautarisme. Moi, je voudrais plutôt qu'on soit autorisé à ne pas porter ses ancêtres sur le dos. Qu'il n'y ait pas de loi qui permette aux parents d'imposer le voile ou la kippa à leurs gamins.» Moralité : avant que la religion ne s'intéresse de trop près aux gosses, il faut intéresser ceux-ci à la religion. Alors si judaïsme il y a, peut-être n'est-il chez lui que dans cette phrase qu'il aime à répéter, et qui sonne comme du Lévinas : «Le dessin, c'est avant tout un rapport à l'autre.

262. Twils - 24/11/03 10:37 - (en réponse à : twils@free.fr)
Info : Je ne suis pas Twils - mais la representation virtuel de Twils, NUANCE ;))

261. jean-no - 22/11/03 17:19
un imposteur peut fonctionner pour un message, mais pas pour dix, surtout quand il évoque des éléments que seul le posteur peut connaître (ex. : savoir que F Neaud, J Sfar et L Trondheim se connaissent mieux que ne l'auraient laissé penser certains messages de F Neaud justement...).
Donc bien sûr que ce n'est pas un imposteur.

260. pm - 22/11/03 17:12
Qu'est-ce qui prouve...? Les mouettes un peu quand même. Je sais que tu es le vrai jean-no par exemple(;o)
Et puis vu le barouf, l'intervention de Trondheim, la crise publique entre ces deux auteurs, les remous...

259. jean-no - 22/11/03 16:00
Aucun doute c'était bien Joann Sfar.

Mais qu'est-ce qui nous prouve que tu es bien le vrai pm ? et moi le vrai jean-no ? Tout s'imite.
Ceci dit je crois bien qu'il s'agissait de Joann.

258. pm - 22/11/03 14:28 - (en réponse à : mdarphilippe@hotmail.com)
Aucun doute c'était bien Joann Sfar.

257. stanislas - 21/11/03 18:22
Il ne me reste qu'un doute : était-ce bien Joann Sfar ? Cette histoire des deux pseudonymes me chiffonne un peu. Et si un farceur avait réussi à tous nous berner (y compris Fabrice) ?

256. stanislas - 21/11/03 18:21
Ce sujet est de loin le meilleur de tout BDparadisio (sauf la fin peut être) !

255. BFH - 20/11/03 23:42
Le très beau dossier DBD Joann Sfar, signé Frédérique Pelletier, sort ces jours-ci. A ne pas rater tant les propos sont passionnants et les visuels superbes... sans parler des images inédites reproduites. Pour les fans, un tirage offset reproduisant la couverture (dessin inédit spécialement réalisé pour DBD) va être dispo très bientôt.

254. pm - 18/11/03 16:44
Pour les parisiens je signale que Joann Sfar, Emile Bravo et Riad Sattouf seront ce soir à partir de 18h à la galerie Bosser rue Dante pour le vernissage de l'exposition des dessins issues des livres Bréal jeunesse. Je ne serais pas à la galerie ce soir mais je viens de voir l'expo qui est bien jolie.

253. pm - 11/11/03 23:46 - (en réponse à : madarphilippe@hotmail.com)
Je viens de trouver le numéro 5 de la revue Lapin(difficile à trouver les 5 premiers numéros), à l'époque il y avait encore un éditorial(non signé mais sans doute Menu) et on peut y lire:
"En revanche, peu doivent connaître Joann Sfar, très prometteur jeune auteur que l'on reverra probablement souvent à l'Association, dont le récit du présent Lapin et "Noyé le poisson" son patte de mouche qui paraît simultanément, sont les premières parutions.
C'était en janvier 1994 il y a quasiment de dix ans et les quelques pages publiées sont les premières pages du petit monde du Golem.
Il a du nez ce Menu quand même.

252. jean-no - 11/11/03 17:52
Avant l'execution vous auriez pu mieux étudier le phénomène de contraction des muscles

Il y a eu cet américain, je crois, qui a accepté d'être disséqué quasi-vivant, il a été congelé et découpé en tranches au laser. Le résultat est ahurissant de précision.

251. pm - 11/11/03 17:13
Dans les facs de médecine c'est plutôt les clodos et autres morts inconnus du coin et il y a plein d'anecdotes à ce sujet, comme l'étudiant qui redécouvre son père à cette occasion...
Avant l'execution vous auriez pu mieux étudier le phénomène de contraction des muscles(;o)

250. jean-no - 11/11/03 16:35
Avant l'execution?

Non, après. Puis ça a été remplacé par les innombrabres "dons du corps à la science".

249. pm - 11/11/03 16:32 - (en réponse à : Jean no)
"Jean-François Debord, connu notamment pour avoir supprimé la sale manie des dissections pratiquées à l'école des beaux-arts (sur les condamnés à mort à l'époque). "

Avant l'execution?

248. pm - 11/11/03 16:30 - (en réponse à : Ramo Nash)
"jean-no et pm ont peut-être eu tort de vouloir vous faire aimer Sfar contre votre gré" alors qu'il semble s'agir pour vous d'une question de principe (la défense d'une certaine conception de la bd : donner votre aval aux carnets de Sfar serait comme un reniement de votre propre démarche ?), ce qui leur échappe dirait-on.

Non, ça ne m'échappe pas, je ne pense pas, au contraire j'ai même parlé d'opposition idéologique les concernant, et je ne pense pas non plus avoir cherché à faire aimer Sfar(en fait il s'agit des carnets pas tellement du reste) à fabrice Neaud, j'ai juste exprimé que ce qui le gênait( et qui ne me semble pas hyper bienvenu non plus) n'était pas pour moi très important(c'est comme les partoches, je passe vite) et ne devait pas occulter tout ce qu'il y avait d'intéressant à les lire.

247. jean-no - 11/11/03 13:43 - (en réponse à : lolob)
Tu as raison, c'est une occasion unique pour les auteurs de s'expliquer et de dissiper les malentendus. Par contre je ne te rejoins pas sur l'anonymat, beaucoup d'intervenants se connaissent de visu et se fréquentent, qu'ils soient VIP ou non.

246. lolob - 11/11/03 13:37
...Joann Sfar! et pas Sfrar, mea maxima maxima culpa!

245. lolob - 11/11/03 13:35 - (en réponse à : Fabrice Neaud et Joann Sfrar)
...ça avait commencé avec des mots doux, ça fini avec des mots doux. Entre temps il y a eu d'autres mots, comme si Van Gogh critiquait Monet et vis verca (remarque je crois qu'ils ne sont pas gené!)...heu! je crois qu'on regrette tous, on passe sur ce qui a dépassé votre pensé, puisque il y a ce piège de la discution via internet, derrière son écran. Nous nous sommes anonyme et pas vous, donc c'est encore plus périlleu pour vous. C'est bien que les auteurs s'expriment et répondent aux critiques eux mêmes, alors ne partez pas! Ca me rappelle un film de Woody Alen (je fait pas exprès) ou dans la file d'attente avant d'entré voir un film, quelqu'un derrière lui fait part a haute voix de ces considérations savantes sur le travail d'un cinéaste. Woody alen n'en peu plus d'entendre ça et va chercher l'auteur pour qu'il réponde lui même a ce monsieur qui analysait son oeuvre. Ce dernier lui dit: Vous n'avez rien compris a mon travail! et Woody Alen conclus par: Si ça pouvait être comme ça dans la vie! Alors ne partez pas!

244. jean-no - 11/11/03 13:33
T'es content de toi quand tu fous la merde comme ça? T'en mets pas partout au moins? Ca reste localisé?

On se connaît ? tu es qui/quoi ? Quel rapport est-ce que tu as avec cette conversation ?

243. nemOrtel - 11/11/03 13:19 - (en réponse à : jean nuit)
T'es content de toi quand tu fous la merde comme ça? T'en mets pas partout au moins? Ca reste localisé?
Allez je t'aide : Blain a dit l'autre fois que Sfar avait une petite bite, et que c'était pas de peau. Ris, c'est un ordre.

242. jean-no - 11/11/03 13:16
Tu as l'air un peu couillon en disant ça. Si tu pouvais un peu te remettre en qestion des fois

non, je ne peux pas, désolé. Excuse-moi de ne pas comprendre ce que j'ai fait de mal, un souci neurologique m'en empêche. Ce qui est chiant c'est que je ne peux pas dire "puisque c'est comme ça je me casse de ce forum" vu que tout le monde s'en fichera. Alors désolé, ton plan a échoué, je reste ;-)

241. RamoNash - 11/11/03 13:08 - (en réponse à : j-no)
>Mais ça n'empêche pas que la participation d'auteurs (et notamment d'auteurs ayant quelque chose à dire) est une grande richesse des forums. >

Tu as l'air un peu couillon en disant ça. Si tu pouvais un peu te remettre en qestion des fois ...

240. jean-no - 11/11/03 12:55
C'est sûr que les auteurs ont tort de s'impliquer dans les discussions en tant que collègues d'autres auteurs, ou pour défendre leur propre travail (au delà des informations factuelles), mais ce n'est pas aux participants aux forums à vous tenir par la main - on n'est pas moins irresponsables ou inexpérimentés que vous. Je me rappelle sur frab deux auteurs qui se sont engueulés pour la première fois de leur vie (Thierry Cailleteau et Frédéric Duval pour être précis) alors qu'ils se connaissaient très bien depuis des années. Ils se sont réconciliés ensuite mais il me semble que ça les a traumatisé et il y a pas mal d'histoires de ce genre, mais ce n'est pas tout, il y a aussi des lecteurs vexés à vie par leurs auteurs ou éditeurs favoris parce qu'ils se sont pris en pleine poire une réflexion blessante.
Sans compter certains malentendus nés de la mauvaise appréciation de certains rapports hiérarchiques : le lecteur se pense égal à l'auteur sur les forums mais l'auteur se laisse facilement prendre à voir les choses tout à fait différemment.
Mais ça n'empêche pas que la participation d'auteurs (et notamment d'auteurs ayant quelque chose à dire) est une grande richesse des forums.



 


Actualité BD générale
Actualité editeurs
Actualité mangas
Actualité BD en audio
Actualité des blogs des auteurs
Forum : les sujets
Forum : 24 dernières heures
Agenda : encoder un évènement
Calendrier des évènements
Albums : recherche et liste
Albums : nouveautés
Sorties futures
Chroniques de la rédaction
Albums : critiques internautes
Bios
Bandes annonces vidéos
Interviews d'auteurs en videos
Séries : si vous avez aimé...
Concours
Petites annonces
Coup de pouce aux jeunes auteurs
Archives de Bdp
Quoi de neuf ?
Homepage

Informations légales et vie privée

(http://www.BDParadisio.com) - © 1996, 2018 BdParadisio