les amateurs de BD independantes snobent-ils la BD grand public ?

Les 34 commentaires sont triés des plus récents aux plus anciens .



34. ben - 07/11/01 07:02 - (en réponse à : lereb@chez.com)
je cherche des chroniqueurs. Cela pour un site sur la bd alternative et d'auteur qui est en train de se monter!

merci d'avance!

33. ArzaK - 03/11/01 13:51 - (en réponse à : à RamoNash et Pierre-Paul)
Je suis désolé mais L'An O1 ne me semble pas une bd démodée! Il n'y a peut-être pas plus actuel. Les années 80 et l'ère des yuppies est passée, reviennent les interogations des années 60-70 sur nos choix éconimiques de société. A l'heure ou nous commencons à pressentir les conséquences néfastes du néo-libéralisme que les plus grands acteurs économiques actuels cherchent à nous imposer, il est temps de redécouvrir la révolution poétique qui était celle de Gébé.
"On arrête tout, on réfléchit et c'est pas triste" est à crier sur tous les toits, aujourd'hui plus que jamais. Il ne s'agit pas bien sûr d'appliquer ce qui est écrit dans l'An 01, c'est de la pure fantaisie, de l'humour et de la poésie. Il n'en a d'ailleurs jamais été question. Gébé est bien le dernier à se prendre au sérieux. Le seul rôle de l'An 01 est de secouer le cocottier. Ce qu'il a fait dans les années 70 et ce qu'il pourrait encore faire aujourd'hui.
Je pense que le choix de L'Asso. de republier l'An 01 n'est pas innocent. Non seulement nous sommes en l'an 2001, mais cette bd reste d'une actualité brûlante. A ce propos lisez l'intro que Jean-Christophe Menu fait à la nouvelle édition. Et la postface de Gébé.

32. Alan Moore - 01/11/01 11:58
Extrait d'une interview recueillie par B. Mouchart :

"Il y a quelques années, le mainstream, au moins aux États-Unis et en Grande-Bretagne, allait de plus en plus mal. Les ventes étaient en chute libre. On avait l’impression qu’une partie toujours croissante du public préférait les jeux vidéos à la BD. J’ai compris que l’industrie des comics était trop petite pour supporter différents secteurs. Si les comics mainstream disparaissent, alors les indépendants, les undergrounds et les éditeurs grand public plus petits, mais de qualité, disparaîtront aussi. C’est purement économique. Les librairies spécialisées ne peuvent pas survivre en ne vendant que des BD indépendantes. Elles survivent avec Spawn et X-Men. From Hell, parce qu’il est en dehors du mainstream, n’aura aucun effet pour elles. J’ai eu envie de créer une ligne entière de comic-books apparemment mainstream, qui ressembleraient aux comics de superhéros courants, mais qui contiendraient des valeurs dépassant celles du mainstream : de l’intelligence, des styles graphiques divers, des techniques narratives évoluées, de l’invention et de l’imagination. Ça a donné la ligne America’s Best Comics (ABC), dont je suis très content. Elle semble bien accueillie et a remis un peu de variété dans la scène mainstream, plutôt moribonde. Cela a plutôt marché et je suis satisfait du résultat. En ce moment, ça me paraît valoir la peine d’investir quelques années pour redonner de la vigueur à la BD grand public.. En même temps, je travaille aussi sur un autre roman graphique publié depuis presque aussi longtemps que From Hell, qui sera fini à la fin de l’année 2001 : Lost Girls. Il fait 240 pages, est très complexe et très détaillé. C’est une œuvre majeure. Je vais probablement avoir des tas d’ennuis. On brûlera mes livres, mais j’en suis fier. Il n’y a aucune raison de ne pas pouvoir faire ces choses. Je peux faire une compagnie de comics mainstream, je peux travailler sur un roman graphique non mainstream qui essaye de repousser un peu les limites du domaine, je peux aussi faire des concerts, des performances, des disques… Étant un écrivain plutôt prolifique, cela ne me pose pas de problème. Ça veut tout de même dire que j’ai un programme très serré et peu de temps, mais j’y arrive."

31. stef - 31/10/01 19:35
J'avais oublié la question du sujet ...
Je ne pense pas que les amateurs de BD indé snobent la BD grand public, mais peut-être sont-ils devenus plus exigeants quant à l'apport de ce qu'ils lisent. Souvent (je ne dit pas toujours!) la BD grand public se nourrit de ce qui a marché précédemment, d'ou un manque fréquent d'inovation. De plus, afin de rebuter le moins possible de lecteurs, elle a tendance à prendre le moins possible de risque (celui de faire chier l'amateur d'action par exemple), d'ou la platitude intellectuelle de certains récits. Il est vrai que la BD est avant tout un divertissement, et les gens qui la lisent n'ont pas envie de se prendre la tête. Je pense que les amateurs de BD indépendantes ont tout simplement envie d'aller plus loin que le simple divertissement qui tourne parfois à l'ennui.

30. stef - 31/10/01 19:28 - (en réponse à : ma play list)
1) le petit christian (blutch)
2) Putoche ! (tofépi)
3) Henri (Mathis)
4) Le val des ânes (Blanchin)
5) les mousquetaires de la résurection (pierre la police)
6) Black Hole (Burns)
... y en aurait des dizaines d'autres alors j'arrête la.

29. JDMorvan - 31/10/01 12:44
Excellent Djinne !!

28. Djinne - 30/10/01 23:58 - (en réponse à : Mon choix de BD indés)
*Léon la Came (De Crecy/Chomet), chez Casterman (groupuscule éditorial basé quelque part en Europe)
*Un peu de fumée bleu (Lapierre/Pellerejo), chez Dupuis (je ne sais pas d'où ils viennent, si quelqu'un sait...)
*Feux (Mattotti), Le Seuil (un micro-éditeur français)
*Perramus (Breccia), Glénat (je ne suis pas sûre de l'orthographe...)
*Adam Sarlech (Bézian), Les Humanoïdes Associés (une association d'étudiants loi 1901)

27. RamoNash - 30/10/01 23:28
Extra-Large
>Pour quelqu'un qui n'a pas du tout aimé le réducteur de vitesse (le dessin ne me branche pas, le scénario n'est pas terrible non plus), que conseilleriez-vous dans le style "Bd d'auteur" ?>
Si j'étais méchant je te conseillerais Largo Winch ou les Tuniques bleues, mais je ne suis pas méchant, alors fais un effort et relis ce bouquin, car je ne te permettrai pas de dire que le scénario n'est pas terrible.
ArzaK
Si je devais conseiller un Gébé, je choisirai plutôt Cracher dans l'eau ça fait plus de ronds, à la beauté intemporelle, on y retrouve tout le génie de cet auteur qui est fait de pessimisme déprimant et de noirceur lucide; connaissant un peu Pierre-Paul, je comprends que le discours alternatif de l'An 1 ne l'ait pas branché; à moi aussi ce bouquin parait un tant soit peu démodé.

26. ArzaK - 30/10/01 22:18 - (en réponse à : à Pierre Paul)
Et pourquoi la bd "post hippie des années 70" (selon tes propres termes) ne serait pas "Underground" (toujours selon tes propres termes). Peux-tu nous ré-expliquer ce que tu entend par "underground"?

25. ArzaK - 30/10/01 22:15 - (en réponse à : à Extra large)
Essaie "Le petit Christian" de Blutch.

24. Thirault - 23/10/01 14:22
Pour Extra-large, Pierre-Paul et les autres : Je viens de découvrir "Isaac le pirate" de Blain et j'ai été emballé par l'écriture subtile de cet album. Pleine d'inventivité, de poésie, et d'humour, cette histoire est un grand voyage pour le coeur et l'esprit.

23. Extra-Large - 23/10/01 13:04
Pour quelqu'un qui n'a pas du tout aimé le réducteur de vitesse (le dessin ne me branche pas, le scénario n'est pas terrible non plus), que conseilleriez-vous dans le style "Bd d'auteur" ?

22. RamoNash - 23/10/01 11:21 - (en réponse à : Pierre-Paul)
La prépu de Péplum dans (A Suivre) en 1996 relève plus du massacre que de toute autre chose: elle a été très partielle c'est-à-dire que les pages sans textes ont été évincées, d'autres pages ont semble-t-il été caviardées sans explication car Péplum selon Blutch lui même, "faisait royalement chier les gens de (A Suivre)". Cela vient sans doute de la situation confuse dans laquelle se trouvait la revue dans ses derniers moments d'existence.
C'est pourquoi la lecture de l'album est préférable, la mise en page donne plus de cohérance à l'oeuvre, qui est dès lors divisée en 10 chapitres et un épilogue, des pages ont été rajoutées pour rendre le recit plus clair. Et puis la couverture (sérigraphiée) est un chef d'oeuvre à elle seule.

21. Pierre-Paul - 23/10/01 11:00
Peplum de Blutch, c'est celui qui est paru dans les derniers numéros de (a suivre) ? Alors j'ai lu, j'ai aimé le scénario mais le dessin, c'est un peu dur. Enfin, c'était dur à l'époque, càd il y a 5-6 ans je crois.

20. Pierre-Paul - 23/10/01 10:57
merci à tous, reste à trouver une boutique qui vend ce type d'albums. J'irai faire un saut chez Brusel.
Si cela me plait, je vous le dirai.
Tiens, L'An 01, c'est indépendant ? Cela, j'ai déjà lu (et je n'ai pas aimé, notament en raison du dessin) et je trouve que cela tient plus de la BD post hippie seventies que de l'idée que je me faisait de l'underground.
Salutations à tous (notament à pm qui a du tomber de sa chaise quand il a lu ma demande. c'est que plusieurs amis m'ont vivement conseillé d'essayer "autre chose". Si même mes meilleurs potes me le disent, alors pourquoi pas !)

19. RamoNash - 23/10/01 10:55 - (en réponse à : Pierre-Paul)
Je vais un peu faire le perroquet mais parmi les lectures récentes qui m'ont impressionnées je conseillerai: Le réducteur de vitesse de Blain, Péplum de Blutch, Shenzen de Delisle. Sinon Maus est incontournable mais ça fait de nombreuses années que le l'ai découvert, en revanche ça me donne envie de le relire...

18. ArzaK - 22/10/01 22:48 - (en réponse à : à Pierre-Paul)
Personellement je te conseille:
-"Le petit Christian" de Blutch, un de mes albums préférés, tout genre confondu.
-"L'ascention du haut-mal" de David B.
-"Le voyage" de Baudoin
-"Je ne t'ai jamais aimé" de Chester Brown (USA) publié chez Les 400 coups, très minimaliste.
-"Journal d'un album" par Dupuy et Berbérian (les auteurs de Monsieur Jean)
-"L'AN 01" de Gébé (plus ancien mais réédité chez L'Association)

17. pm - 22/10/01 21:45
Pierre-Paul(tiens-tiens):Le voyage de Baudoin, Journal d'un album de Dupuy et Berberian,Shenzen,le petit christian ou Péplum de Blutch, L'ascension du haut mal...Maus bien sûr,les 4 fleuves, persépolis, le galérienou le passage du pourquoi pas...Pour y aller doucement je résume:Le voyage, maus,journal d'un album,persépolis, les 4 fleuves.Bonne lecture

16. Oook - 22/10/01 21:03
Essaye "la guerre D'Alan" chez l'Assoc par Emmanuel Guibert qui a réolté les mémoires d'un américain qui a vécu la seconde guerre mondiale. Dessin sobre et beau et très agréable à lire.
"Hicksville" de Dylan Horrocks chez L'Association, enquête dans le monde des comics indépendants, traduction française d'une bd américaine indépendante.
"Maus" d'Art Spielgerman, Le chef d'oeuvre traitant des camps de concentration, le pèré d'Art était un polonais juif et a survécu aux camps de concentration, on voit le récit du père et aussi la manière dont Art a récolté ses informations, la relation entre le père et le fils, et comment la guerre et les camps ont influencé sa vie actuelle. chez Gallimard (je crois)

15. Deben - 22/10/01 20:44
Le "ing" à speak, cher Pff est une faute grammaticale désirée. En effet, je désirais montrer par là l'erreur de langage de l'expression "fast read". Bien sûr, c'est trop subtile pour toi.

PS: Cependant, je suis un très mauvais anglophone, je te l'accorde. Enfin, je sais quand même écrire certaines phrases de base.

14. JDMorvan - 22/10/01 17:38 - (en réponse à : à Pierre Paul)
Tu peux essayer "le journal" de Fabrice Neaud, chez Égo comme X

13. Pierre-Paul - 22/10/01 17:15
Perso, je n'ai jamais lu de BD "indépendante", si ce n'est certains Sfar & Trondheim (qui sont efectivement devenu du "main stream") ou de Crecy. Je suis par contre tout à fait disposé à en faire la découverte si vous me conseillez un album que vous jugez incontournable. Rural, je connais. D'autres ? Help, j'aimerais élargir mes horizons (tout arrive).

12. Pfff again - 22/10/01 10:37
Deben, au lieu de passer ta journée sur internet, retourne à l'école....

11. Pfff - 22/10/01 02:09 - (en réponse à : Deben)
Do you speaking french???
Sure think, you don't speak english!!!

10. misterjack - 22/10/01 02:08 - (en réponse à : do you SPEAK French)
Deben, je peux remplacer "mainstream" par "grand public" et "Fast Read" par "lecture rapide", si ca peut te faire plaisir. Mais tu n'as rien de plus interessant dire ou faire que de faire la chasse a l'anglicisme ? ;o))))
Je n'utiliserais aucun anglicisme dans le reste de cette intervention (pas d'accent non plus, yapa sur mon clavier), en esperant que tu ne te mettes pas a chasser les abreviations comme BD. Desole pour mon pseudo (j'ai faille mettre 'nick'), mais il est enregistre.
Cedric, oui, je pense que la BD grand public offre des senstaions differentes que la BD independantes, et qu'elles sont complementaires. Mais autant certains amateurs de BD grand public ont une certaine repulsion pour les independants (voir le sujet "ce n'est pas parce que c'est mal dessine qu'on dire dire BD d'auteur"), autant certains amateurs d'independants dedaignent tout ce qui est 46 planches couleur, voire certains editeurs parce que ce sont des caracteristiques de la BD 'grand public'. Dans un cas comme dans l'autre, c'est courir le risque de rater de tres bonnes choses a cause d'a priori stupides.
A+

9. Cédric - 21/10/01 20:09 - (en réponse à : cedric@bdcool.com)
Moi par exemple c'est simple. J'aime les deux ;) !!!!
Je pense que la BD indépendante et la BD grand public, apportent chez le bédéphiles des sensations différentes. J'ai aussi l'impression que dans la BD indépendante, il y a un plus grand travail artistique. Par contre la "BD grand public", se veut avant tout "commerciale". Je mets des guillemets, parce que les auteurs de ces BD, font avant tout un travail artistique intéressant mais qui doit être exploité à des fins vraiment commercials. Ce qui bien sûre ne gâche rien puisque l'on trouve de magnifiques albums et que ce soit de la BD indépendante ou grand public, la passion est la même et le plaisir est tout autant ressenti.

8. Deben - 21/10/01 19:54
A Monsieur Jacques.

"Mainstream"? "Fast Read"? Do you speaking french???

7. pm - 21/10/01 18:36
"Tous les amateurs de bd indépendante (dont moi) ont d'abord été des amateurs de bd mainstream"
Je me suis fais tuer sur frab pour avoir pu émettre ce genre d'idée.Il paraît même que certaines personnes dotées d'un sens de l'humour et d'une joie de vivre à toute épreuve(sic) n'apprécient que Mattt Konture(;o)

6. ArzaK - 21/10/01 15:09
Tous les amateurs de bd indépendante (dont moi) ont d'abord été des amateurs de bd mainstream. Et une grande part le sont encore (dont moi, encore une fois). Si je me suis peu à peu intéressé à la vague indépendante, comme beaucoup d'autres, c'est que la politique des grands éditeurs était devenue, dans les années 80, plutôt frileuse et un peu trop traditionaliste. J'avais donc envie de lire d'autres choses que de la bd classique, de découvrir des auteurs qui avait une autre conception de la bd... mais je continue bien sûr à lire de la bd classique... mais la enieme série de héroic fantasy qui raconte l'histoire de l'élu qui.... très peu pour moi.
De toute manière il me semble que l'écart entre Bd indé et Bd mainstream se dissout petit-à-petit à cause de collection comme Tohu Bohu (humanos), Encrages (Delcourt) ou encore Poisson Pilote (Dargaud)... Certains auteurs qualifié d'"indé" il y a cinq ans encore peuvent être considéré aujourd'hui comme "mainstream" vu le nombre d'albums qu'ils vendent : Trondheim, Sfar...

5. jip - 16/10/01 08:27
Tout a fait d'accord (ouf, j'suis pas un pignouf). Et van hamme, c'est un....

4. toine - 16/10/01 08:19
Encore ce même débat sans grand intérêt et éternellement rebâché, vous verrez, si le sujet prend on va retomber sur VanHamme c'est nul/bien l'Assoc' c'est top/moche.
La division indépendant/grand public existe économiquement par la taille des structures mais les politiques éditoriales sont les mêmes partout : faire des albums dans lequel on croit pour les vendre et faire partager son envie de création au plus grand nombre. Certains albums sont peut-être plus exigeants à la lecture mais pas plus à l'Association que chez Dupuis. L'un ne vaut pas plus que l'autre. Passé l'effet snobisant de certain (qui existe aussi bien dans le grand public que dans l'indépendant : t'as vu mon TT de Glubs avec ses 120 exlibris vachement rares/quoi tu ne connais pas le dernier Glurbs édité dans sa cave en 18 exemplaires ?) reste des albums passionnants, rigolos et inventifs. A chacun de défendre ses goûts, qu'importe le flacon tant qu'on a l'ivresse.
Le passage grand-public/indépendant me semblent assez à sens unique, dans l'optique d'un lecteur depuis la tendre enfance au moins (je connais aucun enfant ayant appris à lire en lisant du Matt Konture o)))))) )
à la prochaine
toine
PS et pis toutes les BD que j'aime, c'est les meilleures, les autres gens qui ne sont pas d'accord c'est que des pignoufs parce qu'ils ne comprennent rien au bon goût ! ;o)))))))))))

3. jip - 16/10/01 07:32
Pour ma part, il est plusfacile de passer d'une BD grand public à une BD d'auteur. Pour un lecteur non averti, les Bd d'auteurs sont hermétiques, hermétiques.... Et le fait de lire une BD d'auteur ne m'empêche pas de lire autre chose, même si le choix devient plus limité. Et puis la recherche du truc que personne n'a lu et ne connait et qu'on trouve génial est une forme de snobisme intellectuel, que ce soit en BD, en musique, en cinéma. Et certains en profitent pour te fourguer n'importe quoi, c'est indépendant, coco, donc c'est bon...

2. loic - 16/10/01 06:53
je ne pense pas que la relation soit etabli comme descrit ci-dessous.
on ne trouve la même chose chez les petits editeurs que chez les majors...les politiques editoriales ne sont pas les mêmes donc forcement.

1. misterjack - 16/10/01 05:43
Est-il plus facile pour un Bdphile lisant des BD mainstream de decouvrir des auteurs independants ou pour un Bdphile lisant surtout des independants de decouvrir un auteur mainstream ?
J’ai parfois l’impression que certains amateurs d’independants finissent par considerer que mainstream veut simplement dire commercial dans le sans le plus pejoratif du terme, confondant grand public avec fast read. Fausse impression ou realite ? Et si oui, est-ce par snobisme ou parce que les auteurs grand public sont reellement moins interessants ?
A+



 


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