David Mazzucchelli

6. Thierry

- 10/03/10 13:05

Surtout que c'est parfait et inattaquable, en effet. Un des rares exemples ou le terme "chef d'oeuvre" n'est pas galvaude.

5. Coacho

- 10/03/10 13:02

Merci connard ! ;o))

Sans déconner... Je reluque cet album depuis sa sortie et je me suis bien tenu depuis, en restant sage et en attendant la traduction française...

Mais là, ça commence à faire beaucoup et ça met ma patience à rude épreuve !

4. Jean-pierre Tréber

- 10/03/10 11:26

je parlais pas pour toi, il va sans dire.
Dupuy&Berberian n'ont pas atteint ce niveau de maitrise dans la narration.
Ici, l'élégance rime avec efficacité.
Il relie ses éléments avec finesse et tout coule de source.
Dès qu'on est à l'intérieur de l'appart, l'orage reste à l'état latent à l'esprit du lecteur grâce aux fenêtres dans la chambre et la pluie dessus.
la transition entre le couloir et la piaule s'articule sur le son de la TV et c'est presque tout (il y a aussi le désordre en fond).
les cercles de la pluie au sol autour des camions de pompier posent l'ambiance.
C'est bien simple, c'est juste parfait et inattaquable.

3. Bert74

- 10/03/10 10:31

"Merci bande de gros con"

Nan, franchement c'est sympa quand même.
Dommag tout ce beau mobilier de collection qui brule (du Le Corbusier, du Miles Van der Rohe, ...)

Faut que j'essaye de me procurer les trucs que fait Mazzuchelli maintenant. Je n'ai que les Batman - Vengeance Oblige (Year One), qui sont sensiblement différents dans le style (là, il se rapproche un peu de ce que font Dupuis et Berberian, je trouve), même s'ils gardent toute leur puissance graphique, même 20 ans après.

2. Jean-pierre Tréber

- 10/03/10 09:56

vous pourriez dire merci bande de gros cons.

1. Jean-pierre Tréber

- 09/03/10 12:28

Intro Asterios Polyp (+ de 300 pages)