les états d'âme de Luc B.

Les 105 commentaires sont triés des plus récents aux plus anciens .



105. ha ha ha ha - 01/11/06 17:11 - (en réponse à : alias l´homme plein de fiel)
et je vai vou PLAT JIYAI !!!!!!!!!

104. ha ha ha ha - 29/10/06 14:06 - (en réponse à : pomlik)
ça fé une minute ke j'é posté et vou navé pas répondu. vou nete pa gens ti. je vé fer circulé une pétission pour boy coté vos bédés.

je ne vous salu pa, espess d'oteur!

PS: vou setes lait et ce ke vou zekrivé pue des piés. na!

103. ha ha ha ha - 29/10/06 14:03 - (en réponse à : alias l'homme plein de fiel)
tré chère meusieur (ne voulé vou pa me fér une risstourne?), jé encor yu une idé (oui je-je sé jeu-jeu swi zin-zin jéni) je ne voulé pas vou la dir., mai ma maman (qu yé tré joliyeu) ma poucet (le petit) à le fére. c de fer ke seu son dé jen du miliyeu de la bédé ki von ché luc. et com il parl beau coud, il disen ce qui spass dan leur milieu. par example, gui delcour c fashé avec sa fam: il ressoi bocou de projé é com il an mene les projet pour lé lir le soir, il n'yavé plu de plass pour sa fam dan le li. voilà.

moi je touv ça tro pipe hole (dapré lé messiyeu ki vienne voir ma maman -ki yé trè joliy- cé sa specialité, mé elle sé aussi fer dotr choses) et ke sa marchera. moi je trouv ke personn va émé (jaké) même pas les COns LLECteurs SI hONteusement et NEUneusement Risibles. et okin néditeure ne sera interessé (ils son soussyeu deux leur imaj.......de boulimik du frik). ma maman (ki yé byén roulé) a tort (pourtant elle é très bel).

et je voulé vou deux mandet, car ma maman (ki yé trè jolie -pitin je croi ke je vé finir par me la fér) a hantendu ke c tré importan la psi chauds lolos ji du personnaj. si je mé ke le coifeur tue parskil é mal bézé, ça ira?

102. Golem - 24/10/06 17:23
TARRATTATTA

101. Golem - 24/10/06 17:19
Ratta

100. Piet Lastar - 24/10/06 17:18
yek yek

99. Golem - 24/10/06 17:16 - (en réponse à : Just for Piet Lastar.)
Re-Hop...

98. Laurent CoIonnier - 24/10/06 17:14
Hop hop hop!

97. Golem - 24/10/06 17:13
Et hop

96. Coacho - 05/10/06 21:04 - (en réponse à : qui fait moins de 60 lignes)
Tiens coach, je viens de lire London Calling, t'en as pensé quoi ? (pas plus de 60 lignes s'il te plait...)

Pas lu. ;o)

95. larry underwood - 05/10/06 14:08
Sinon :


94. larry underwood - 04/10/06 19:34 - (en réponse à : au luc et au coach)
je vois qu'on complote dans mon dos pour parler du Pouvoir des Innocents quand je suis pas là... c'est mal les mecs, c'est très mal, je trouve ça petit je vous le dis !

Les Salines c'était top, cette après-midi je vais juste à côté de chez moi à la plage d'Anse-Madame, pour me rafraîchir un peu par cette chaleur...

Tiens coach, je viens de lire London Calling, t'en as pensé quoi ? (pas plus de 60 lignes s'il te plait...)

93. Coacho - 04/10/06 17:23
Merci Luc ! Et si j'avais le temps, je parlerais d'autres choses, et de notamment cet étrange affection pour la politique locale des banlieues que Luc a l'air d'affectionner entre le Sourire du clown et la Mémoire dans les poches...
Purée... Pas l'temps de me gratouiller moi...
Sinon, c'était bien l'underlessalines dude ?! ;o)

92. luc Brunschwig - 04/10/06 16:04 - (en réponse à : à L'Underwood)
Un petit lien pour mon copain Larry
http://www.bdtheque.com/main.php?bdid=345&action=6

91. larry underwood - 03/10/06 19:09
Je découvre que Coacho a menti et qu'il n'est jamais repassé nous parler du Pouvoir des Innocents... alors le coach' ? Tu le mitonnes à l'ail et aux oignons ton avis ?

90. ha ha ha ha - 03/10/06 17:51 - (en réponse à : alias l'homme plein de fiel à Luc B.)
tré chère meusieu. il paré ke vou zete lin dé méyeur dessinateur de votr jenerassion. c pour sa ke je vou zecri. jé une idé supere jenial pour une istoir de bédé: il saji de kelkin ki é koifeur le jour et cereales non serial kileur la nui. jenial non? maman ( ki é très jolie) di ke je sui le nouvo Erjé (el é ossi treize inteli jantes ma maman)

com je ne sé pa komen feton de scenes à rio (je nez jamé alé o brézil) jémeré ke vou médiyé. bien sur ce ne sera pa la paine ke vou metez votre non sur le devant. car c moi ki ya yu lidé kan mem. mé je vou doneré kelk bonbon (moi ossi je sui jenti!!!)

voilà. ma maman vou fé bizou avec la boush. ce ki yé in prix viléj. ya ke moi ki ya droi. dabitud, les otres garçon (comme les papa de mé copin) n'ont droi cassel den bas. vou voyé, cel qui ya bocou do. beeeeeeeeeerk!

Post Screctum: ah, jé eu lidé dapelé mon héro Luc com vou et car Lucki été déja pri. (je ne sui pa pljieur com certin). et com cé tin coifeur, j'ai trouvé marrant kilé com non de fami Brushing. maran nom?

re Post Scroctum: ah, com il é coifeur, il é ossi in peu pédé non omo. ce ki explik kil é tjr propr.


89. Baruch - 12/04/06 16:16 - (en réponse à : marcel et Coacho)
Arrêtez les gars z'allez me faire rougir !
Mais merci quand même.

88. Lien rag - 12/04/06 15:03
Ben pour répondre à M. B, disons que j'ai pris une vraie claque avec le tome 5 d'Arq, qui m'a accroché à la série qui prend alors vraiment une nouvelle tournure, tandis que le tome 7 que j'ai lu hier ne me paraît pas vraiment augurer du bon pour la série.
Je crois que ce qu'il y a c'est que la gigantesque surprise du tome 5 avait été quelque peu préparée auparavant, que la présence notamment du grand chauve borgne dans les deux "mémoires" montrait bien que quelque chose clochait dans l'univers d'origine des exilés, que la réalité était ailleurs... la vision fugace du macrocéphale triste (dans le tome 4 je crois)montrait également qu'un personnage inconnu allait prendre de l'importance.
En gros, Andréas nous avait préparé tout doucement et inconsciemment à une surprise, et finalement lorsque l'on se prend la méga-claque du tome 5 nous ne sommes finalement surpris que de l'ampleur de cette surprise, d'être amené à quelque chose de totalement différent de ce que nous avions prévu; nous ne pouvons nous sentir trahis que le monde de l'auteur que nous avions apprécié jusque-là s'effondre tout d'un coup sous nos pas, pour nous entraîner dans une direction que l'on n'apprécie pas forcément et qui n'était pas celle annoncée au départ. C'est ce dernier sentiment qui entraîne je pense souvent un problème lors des retournements complets de situation mal gérés.
Dans le tome 7 l'histoire tombe un peu comme un cheveu sur la soupe, et si le tome n'est pas inintéressant en lui-même on passe d'une SF bizarroïde à du grand-guignol (une irradiation ne peut en aucun cas faire muter quelqu'un, même avec une série d'injections en plus, sauf dans les comics de base) qui fait perdre à mon sens beaucoup de densité au monde construit patiemment par l'auteur. Enfin, on verra la suite...

87. marcel - 12/04/06 09:23
AH voui ! Je l'avais lue celle-la... Elle etait bien... Pis j'ai ouble...

86. Coacho - 11/04/06 20:14 - (en réponse à : pour mon Marcel à moi que j'ai et Forza Nissa)

Tiens, à propos d'Ex-Abrupto, et sans revenir sur les échanges fleuves au sujet de l'inspration du Monsieur, je trouve que la chronique de Baruch est d'une grande lisibilité, qualité, et que, si on a lu la même chose, rien ne sert d'écrire plus.
es détracteurs peuvent, bien entendu, mais là, c'est très très chouette ! ;o)

Il est des livres dans lesquels on ne sait pas très bien comment entrer, on ne sait pas très bien se situer ni comment avancer, encore moins comment suivre le chemin, et qui, pourtant, lorsqu'on parvient à en sortir, nous laisse cette impression étrange d'avoir apprécié, sans que l'on sache trop pourquoi. C'est le cas d'Ex Abrupto, de Manu Larcenet.
L’histoire est celle de ce cochon partagé entre trois mondes, celui de son intérieur ménager où repose un corps en souffrance dont il ne sait que faire et qui le terrorise, celui de l’art dans lequel il vit avec une joie évidente et dans lequel il s’épanouit, surtout lorsqu’il est reconnu, et celui d’une ville laborieuse aux hautes cheminées noires identiques jusqu’à leur fumée. Et de ces trois mondes, il en est au moins deux dont on ne peut ressortir que sali et meurtri. Et cette sortie s’apparente toujours plus à une évasion qu’à une libération.

Du premier monde que l’on découvre on sait que c’est un cosmos tout en angoisse, dans lequel on ne pénètre qu’à reculons et auquel on n’échappe pas vraiment, sauf à le détruire. Ce monde est d’ailleurs double, telle la caverne platonicienne : il y a ce que l’on voit ou devine, la souffrance, la douleur, l’impossible communication, la solitude face à l’autre, et ce que l’on ne voit pas et que l’on ne peut découvrir qu’au travers du rêve, le mal qui ronge, qui détruit les membres et empêche d’avancer, un mal incidieux qui, tout d’abord minuscule prend une place de plus en plus considérable, tant et si bien qu’on ne peut plus le détruire soi-même, et qu’il faut une aide extérieure qui l’enveloppe et le fasse disparaître. De ce monde, d’ailleurs, on ne peut commencer à en sortir qu’en s’évadant, il n’y a pas de remise de peine ou de libération. La sortie ne peut se faire que de soi-même et par soi-même.

On découvre alors un deuxième monde qui est lui-même libérateur. Monde lumineux, vivant, tout en contraste, aux larges perspectives où se déploient de multiples possibilités et où l’art peut donner sa pleine mesure. C’est aussi le lieu de la rencontre, de l’échange, du partage, de l’amitié, mais aussi du jugement, de la reconnaissance ou du renoncement. Car c’est le lieu de l’exposition. Celui où l’on met sa personnalité, au travers d’un média, en avant. Il se fait que certains aiment, d’autres n’aiment pas. Et lorsqu’on sort du premier monde, il y a toujours cette angoisse d’y replonger. Alors l’amour et la reconnaissance sont nécessaires – et donc à double tranchant. C’est aussi un monde assez mystérieux, où les personnages ne se dévoilent pas au premier abord et peuvent rester dans l’ombre un moment, avant d’apparaître au brusque détour d’un réveil, comme ce robot à la grande timidité qui se découvre une fibre artistique véritable.

Enfin ce troisième monde, technique, cosmopolite mais sombre, impersonnel, contraignant, immuable, qu’on ne peut contourner, réduisant les personnes à leur seule fonction sociale, où seules les règles comptent et ne doivent pas être dépassées sous risque de sanctions violentes et définitives. Ici toute possibilité de déviation est subversive, seul compte le rendement et la production. Dévier ne serait-ce qu’un peu, c’est déjà ne plus lui appartenir et donc être voué à la destruction. Se révolter contre les règles et leur application, c’est aussi se retrouver condamné à l’exclusion. Il est même impensable de vouloir le modifier, de lui vouloir lui donner d’autres couleurs ou d’autres formes, sous peine des mêmes sanctions. Et pourtant, c’est un monde dans lequel on est aussi reconnu, dans lequel il faut trouver sa place, sous peine d’être, une fois de plus, confronté à la solitude et donc à l’angoisse. De celui-ci aussi on ne peut sortir que par soi-même.

Et si ces trois mondes se croisent, s’il faut sans cesse les traverser, jamais ils ne se chevauchent, jamais ils en se retrouvent. Sans être tout à fait hermétiques, puisqu’il est possible d’apporter dans l’un ce que l’on a trouvé dans un autre, ceux-ci sont si hétérogènes, qu’il est impossible de vivre dans la conjonction de leur nature. Il faut donc en choisir un et ce choix ne peut se faire que dans le déchirement et l’abandon, et donc dans la violence. Déchirement de soi et abandon de soi qui procède de la violence de l’autre et celle faite à soi-même. Mais pour mieux se trouver.

Sans doute peut-on dire donc que c’est dans la réunion de ces trois mondes que se construit celui de Manu Larcenet, monde qu’il nous donne à visiter, sans concessions, un peu comme il vient. Plus proche de l’essai que de la bande dessinée à proprement parler, servi par un trait nerveux, Ex Abrupto est son ouvrage le plus personnel. Si dans les précédents chez le même éditeur il nous livrait des bouts de vie parfois difficiles, celui-ci nous propose, comme dans une confidence intime de nous livrer ce qu’il y a peut-être de plus profond chez lui. S’il dérange, c’est peut-être alors parce qu’il est parfois presque à la limite de l’impudeur ou de l’indécence. Mais si on l’apprécie, c’est aussi parce qu’il fait partie de ces livres auxquels le lecteur, parce qu’il faut y effectuer une plongée nécessaire, apporte tout autant à la construction que l’auteur.


Voilà, si ça peut te donner un bout de piste ! ;o)

85. marcel - 11/04/06 17:14 - (en réponse à : pseudoben)
Decu... J'attends toujours que quelqu'un m'explique...

84. pseudoben - 11/04/06 17:03 - (en réponse à : Marcel)
J'ai dit "chaud", pas "génial".

83. marcel - 11/04/06 14:17 - (en réponse à : pseudoben)
T'es sur ?... On va verifier : explique-moi Ex Abrupto de Larcenet.

(Ouais, OK, c'est un peu dur).

82. pseudoben - 11/04/06 12:59 - (en réponse à : Cubik)
Merci Cubik, je suis long au démarrage. En fait je lisais "sans bonus par rapport aux souples qui eux, en ont".
Là c'est bon je suis chaud, je comprends bien !

81. cubik - 11/04/06 12:56 - (en réponse à : cubik@caramail.com)
bah c'est ca
rien de plus que ce qu'il y a dans le souple

80. pseudoben - 11/04/06 12:54 - (en réponse à : cubik)
Kris a dit : "Intégrales cartonnées mais sans aucun bonus supplémentaire/albums souples".
Moi je comprends : Intégrales cartonnées mais sans aucun bonus supplémentaire par rapport aux albums souples. Je me trompe ? J'ai mal compris ?

79. cubik - 11/04/06 08:59 - (en réponse à : a pseudoben)
t'as po bien compris là
il n'y a pas de bonus dans les recueils par rapport aux souples, mais l'inverse est vrai également
aucune édition ne bénéficie d'un bonus

78. pseudoben - 11/04/06 08:45 - (en réponse à : Odrade et Kris)
> Odrade : Merci mais effectivement, difficile de trouver les infos dans la jungle des posts !

> Kris : merci pour les détails, c'est parfait. Une dernière question cependant : de quels bonus s'agit-il dans les souples ? (croquis ou choses de ce genre ?)

77. Kris - 11/04/06 07:44 - (en réponse à : Qui aime faire gagner du temps)
Intégrale de 3 albums sortant avec le tome suivant en général (exemple : l'intégrale du premier cycle sortira en même temps que le T4, celui du second avec le T7, etc.).

Intégrales cartonnées mais sans aucun bonus supplémentaire/albums souples

prix autour de 15 euros (non encore fixé je crois)

Une fois l'inrégrale sortie, les souples ne sont plus réédités.

Voilà. Je pense avoir à peu près devancer les questions de bases :-)

76. Odrade - 10/04/06 22:52
pseudoben, c'est dans les sujets
- Renaissance de Futuro
- Système Folio en bd

Mais quant à te dire vers quels posts, ça, c'est un peu trop demander... ;o)


O.

75. pseudoben - 10/04/06 22:03 - (en réponse à : larry)
Pour savoir que la chose a été dite 1000 fois, encore faut-il l'avoir lue ou entendue 1000 fois, ce qui n'est évidemment pas mon cas, pas même 1 fois.
Merci pour la réponse en tous cas (sais-tu combien de souples seront réunis dans un cartonné ?)

74. larry underwood - 10/04/06 21:57 - (en réponse à : pseudoben)
houlà, ça a déjà du être dit mille fois...

bon, je te la fais courte : OUI.

73. pseudoben - 10/04/06 21:55 - (en réponse à : Luc B)
Bonjour Luc,
Une question concernant la collection 32 que tu diriges : Les albums souples qui sortent bientôt seront-ils tous regroupés par la suite (par série bien sûr) en albums cartonnés (par 3 ou 4 par exemple) ou seront-ils toujours réédités ainsi ?

72. Mr Georges - 10/04/06 18:44
Un petit lien pour un petit papier.
Si Benn est de passage par ici, un petit dessin d'anniversaire pour mon site c'est possible?... On va m'accuser de marchander? Non, je n'ai que vrai et juste admiration pour leurs travail pour Mic Mac Adams. Et je ne suis pas non plus léche botte.

La critique de Mic Mac Adam

71. luc Brunschwig - 10/04/06 14:35 - (en réponse à : à Mr Georges)
Et tu as totalement raison.
On peut être d'avis différent (ce qui est même souhaitable le plus souvent) tout en restant respectueux les uns des autres. C'est aussi mon crédo (sauf avec quelques coincoins qui s'obstinent à mentir, traîner dans la boue, falscifier la vériter, prendre les autres pour des cons et j'en passe et des pires)...
Des bisous et merci encore pour ton avis.

70. Mr Georges - 10/04/06 14:18
Luc.
je ne mélange pas les choses.
D'un côté il y as ton travail et d'un autre tes opinions.
L'orage est passée, tu as dis ce que tu voulais et moi je t'ai répondu. Et ensuite, la vie continue son chemin.
Le plus important c'est que je te respecte en tant qu'homme.
Et je te respecte encore plus suite au faite que tu m'as répondu avec politesse.
Dans la côlére,dans la passion, on dit parfois des choses que l'on ne pensent pas vraiment, encore plus sur un forum.

69. larry underwood - 10/04/06 14:11
aaaaah... ! Ah bon ? Tu veux dire qu'il est nul en fait ? Je ne ferais donc que m'imaginer qu'il est excellent ? Ou bien est-ce ce que tu vas réussir à nous faire croire ?

Je m'incline toujours pas pour la couleur, mais les premières planches sont quand même très belles.

68. luc Brunschwig - 10/04/06 14:08 - (en réponse à : à Larry)
C'est malin, maintenant, tu vas t'imaginer des tas de trucs faux sur la suite et tu vas être super déçu par l'alboum...
Rogntudju !!!

67. larry underwood - 10/04/06 13:59
au fait, je viens de lire la preview de Après la Guerre sur BDgest... comment dire... ?

voyons voyons...

je sais pas, c'est un mot que je dis pas souvent... faut dire qu'on a rarement l'occasion de l'employer... euh... excellent ? ;o))

66. luc Brunschwig - 10/04/06 13:54 - (en réponse à : Mr Georges)
Je te rappelle que tu avais dit sur un autre topic, que "tu n'avais pas spécialement envie de me connaître", suite à quelques propos malheureux que j'ai tenus sur les éditions Dargaud...
Je rappelai donc que notre relation avait plutôt mal démarré et que je suis donc heureux que les choses aillent vers le "très bien" plutôt que vers le "pire".
Rien de plus.

65. larry underwood - 10/04/06 13:42
à J -3, voici la dernière photo de Luc B... (prise ce matin).


64. Mr Georges - 10/04/06 12:34
J'ai tellement réussi à te troubler que ton message a pris un bis.

Pourquoi:Dire que notre histoire a failli mal commencer.

Je ne comprend pas le sens ou le but de la phrase.
C'est perso ou cela concerne la série?

Quand un auteur fait un travail de qualité il faut le dire.
Et quand moi je fait une con... faut me le dire aussi, mais de loin sinon je peut taper.

63. luc Brunschwig - 10/04/06 11:21 - (en réponse à : à Mr Georges)
Dire que notre histoire a failli mal commencer :-)
Enfin, bon... hein, nous on fait ça pour faire plaisir, alors si plaisir il y a eu, c'est que du bonheur.
Merci en tous cas d'avoir posté ce petit mot qui me met en joie pour la journée.

62. luc Brunschwig - 10/04/06 11:21 - (en réponse à : à Mr Georges)
Dire que notre histoire a failli mal commencer :-)
Enfin, bon... hein, nous on fait ça pour faire plaisir, alors si plaisir il y a eu, c'est que du bonheur.
Merci en tous cas d'avoir posté ce petit mot qui me met en joie pour la journée.

61. Mr Georges - 10/04/06 10:22 - (en réponse à : bdtresor@free.fr)
Salut Luc.
Tu vas bien?
Moi oui et tu sais pourquoi? je me suis lever tôt ce matin pour aller prendre la paquet recommandé qui m'attendait depuis plusieurs jours à la poste. Tellement tôt que j'ai du attendre que les fonctionnaires ouvrent leurs portes avec quelques minutes de retard bien entendu.
Et quel belle et bonne surprise. Dans ce paquet de trouvait entre autre le nouveau Mic Mac Adam... T4 L'amazone des ténèbres.
Alors je veut te dire merci. Merci, car malgrés une grande peur face aux 2 premiers tome de la reprise qui m'ont à la fois surpris et fait un peu peur (surtout le T1)chose normal que la peur face à l'inconnu, j'ai eu à nouveau le même plaisir de lire cette histoire qui est digne (pour de vrai) du travail réaliser par Desberg.
Je viens même de relire pour la 2 fois l'album...
Benn à bien changer son style de dessin, mais il parait qu'il faut évoluer.
Ce nouveau Mic Mac Adam est very super.
Alors pour le plaisir que tu viens de m'offir ce matin (pour une fois que ce n'est pas ma femme...) je te dis merci.

60. luc Brunschwig - 07/04/06 09:09
Désolé, ami Larry.
Si je suis cité dans les remerciements, c'est uniquement parce que j'ai permis la rencontre entre Sylvain (le scénariste qui co-scénarise le dernier Mic Mac ADAM avec moi) et de Serge Pellé (talentueux bonhomme avec qui j'avais failli reprendre Urban Games, ami de mes deux compagnons de route Freddy martin et Etienne Le Roux)...
Voili.
and sorry !!!

59. larry underwood - 06/04/06 23:13
Salut Luc,

si tu nous parlais de Orbital paru chez Dupuis : tu es cité dans les remerciements, c'est donc que tu l'as lu ;o).

Le dessin m'a bien plu mais j'ai hésité à l'acheter, j'ai tendance à me méfier des énièmes histoires de SF... alors celui-ci en vaut-il la peine ?

58. Manu Temj - 26/02/04 17:29
Je ne suis pas de Chatenay Malabry, mais je suis tout à fait d'accord avec Ben, sinon...

57. cubik - 26/02/04 06:48 - (en réponse à : cubik@caramail.com)
hop!
ptite remontee du sujet pour signaler la mise en ligne sur bulledair d'une interview de Luc Brunschwig
c'est par la

56. Ben Ef His - 06/02/04 18:57
Je n'ai lu que le tome 1 de Makabi, mais c'est vrai que j'ai été scotché...
Pour Tito, c'est vrai que ses dessins n'expriment aucun mouvement, ce qui n'est pas le cas dans Makabi, a mon avis... Seulement, j'ai une certaine tendresse pour Tito, car sa tendre banlieue est celle de mon enfance (tous les décors viennent de Chatenay Malabry, dans les Hauts de Seine)



 


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