Blake et Mortimer au Cinéma : du nouveau

Les 33 commentaires sont triés des plus récents aux plus anciens .



33. François Maingoval - 12/09/02 21:37 - (en réponse à : pour Lanfeust)
"Cher Monsieur Mouchart, racontez-moi donc COMMENT l'Echo des Savanes et Fluide Glacial ont pu passer à travers cette loi ? "

Parce que ce n'étaient PAS des publications destinées à la jeunesse, elles ne tombaient donc pas sous le coup de la Loi.

François

32. Benoît Mouchart - 12/09/02 20:53
Je ne suis pas un spécialiste de la censure : Bernard Joubert saurait mieux vous répondre que moi. Mais il faut croire que les temps avaient changé au milieu des années 70, période où, pour mémoire, le cinéma X a enfin pu sortir des salles clandestines...
(Pour info, la synthèse que j'ai copiée / collée est de mon cru, je l'avais écrite pour le site comicsworld, il y a deux ans...)

Tout ceci nous éloigne beaucoup de Blake et Mortimer...

31. longshot - 12/09/02 20:52 - (en réponse à : Benoît Mouchart )
Merci pour cette réponse érudite et passionnante. On peut fermer la parenthèse.

30. Thierry - 12/09/02 12:19
ou, ca visait surtout les productions etrangeres, mais Hara-Kiri et Charlie-Hebdo ont pas mal souffert a l'epoque ;o)

29. Sp|ne - 12/09/02 10:49
Si tu relis bien le texte reproduit par B Mouchart, tu liras à la fin que cette censure est plus économique qu'autre chose. En effet, ce sont surtout les productions de maisons d'édition belges qui sont touchées. Or Fluide et autre Echo sont des mags français.

28. Thierry - 12/09/02 10:40
peut-etre que ces publications ont ete epargnees parce qu'apparues plus tard, a une epoque ou on appliquait cette loi avec moins de zele.

27. Lanfeust - 12/09/02 01:53
Cher Monsieur Mouchart, racontez-moi donc COMMENT l'Echo des Savanes et Fluide Glacial ont pu passer à travers cette loi ? Dans le genre "incitation à la débauche et à la cruauté", ça y va, pourtant !
Car si je ne m'abuse, même si ces publications ne sont pas vraiment destinées aux enfants, elles POUVAIENT tomber entre leurs mains , non ? Après tout, "la BD c'est pour les gosses" ... :D
Je précise que je suis fervent lecteur de Fluide Glacial...

26. Benoît Mouchart - 11/09/02 23:13
C'est vraiment hors sujet...
Pour résumer : au moment où elle fut votée, une foule de motivations semblait justifier cette loi. Marquée par quatre années d’Occupation, la France cherchait alors à se reconstruire sur de nouvelles valeurs, afin que les jeunes générations ne retombent pas dans la barbarie et l’obscurantisme passés. (C’est en tout cas l’état d’esprit dans lequel se trouvait, selon son propre aveu, l’un des promoteurs de cette loi, M. René Finkelstein.)
Il fut donc décidé de créer un Comité de lecture pour vérifier le contenu des publications destinées à la jeunesse. Celles-ci ne devaient en aucun cas présenter sous un jour favorable le “banditisme”, le “mensonge”, le “vol”, la “paresse”, la “lâcheté”, la “haine”, la “débauche” et (à partir de 1954) les “préjugés ethniques”.

La recrudescence de la délinquance juvénile observée à l’époque tendait à justifier, aux yeux de l’opinion, de telles mesures : professeurs et éducateurs jetaient encore un regard plein de suspicion sur les “illustrés”, qu’ils considéraient souvent comme des instruments “d’analphabétisation de la jeunesse”... Derrière les intentions morales avouées (louables en apparence, au lendemain des horreurs de la Seconde Guerre mondiale, mais qui n’étaient, en fait, pas très éloignées du conservatisme de Vichy) et les visées strictement “pédagogiques” se dissimulaient une collusion d’intérêts n’ayant souvent que bien peu de rapport avec les professions de foi affichées... Les interdictions et/ou les censures dont furent victimes les bandes dessinées de Pierre Mouchot (alias Chott, auteur et éditeur lyonnais condamné à un mois de prison parce qu’il avait dessiné un squelette et montré un peu de violence dans ses histoires…), mais aussi Tarzan et Le Fantôme du Bengale sont la preuve que les motivations des membres de la Commission dépassaient bien souvent le cadre de la “protection de la jeunesse”: il y avait là, sous le voile hypocrite de la moralité, un véritable abus de protectionnisme (alimenté par un antiaméricanisme caractéristique de l’esprit cocardier), mais aussi une volonté à peine masquée d’éliminer la concurrence. En effet, les enseignants et les éducateurs n’étaient pas les seuls à siéger à la Commission de surveillance : quelques professionnels bénéficiaient également de ce privilège. Pour les éditeurs, la fonction de membre de la Commission s’avéra bien souvent pratique pour se débarrasser de rivaux encombrants...

En fait, le véritable problème posé par cette loi toujours en vigueur est, comme l’analyse fort justement Jean-Paul Gabilliet, le glissement sémantique qui s’est opéré entre “publications destinées à la jeunesse” et “publications de toute nature présentant un danger pour la jeunesse”. Sur ce point précis (qui figure dans l’article 14), la loi du 16 juillet 1949 est en complète contradiction avec la notion de liberté d’expression. L’impact de cette loi, au-delà des interdictions qu’elle prononça, fut énorme sur la production franco-belge : la crainte de la censure corseta pendant des années la bande dessinée. L’absence de femmes et de violence dans les séries les plus célèbres est une conséquence directe de l’existence de la Commission de surveillance des publications destinées à la jeunesse. Mais cette dernière n’empêcha pas pour autant les auteurs de BD de livrer (envers et contre tout) une flopée de chefs d’œuvre, tout comme le Code Hayes n’empêcha pas les réalisateurs américains de donner le jour à de grands films...
L’ire de la Commission de surveillance des publications destinées à la jeunesse s’est souvent abattue sur des bandes dessinées dont on se demande bien aujourd’hui ce qu’elles pouvaient avoir de pernicieux ou d’amoral… Au chapitre des incongruités les plus célèbres, il fut réclamé à Franquin de gommer les revolvers que tenaient ses personnages dans Spirou et les héritiers. Résultat : ses héros étaient menacés par des index pointés... Dans le même ordre d'idée, Lucky Luke, bien qu'il n'ait jamais fait couler une goutte de sang en plus de 50 années d’aventures, fut un jour jugé beaucoup trop violent... En 1962, Morris et Goscinny virent leur album  Billy the Kid interdit à l’importation en France, parce qu'une image de cette histoire représentait Billy, bébé, téter un revolver... Quel mauvais exemple pour les jeunes lecteurs !
Plus surprenante encore fut l’interdiction levée contre un album de… Boule et Bill ! Dans la première édition de  60 gags de Boule et Bill#2, on voyait le chien Bill faire l’hélicoptère avec ses oreilles. Ce gag, plutôt attendrissant, fut qualifié par la Commission d’acte de torture envers un animal, et, par voie de conséquence, d’incitation à la cruauté… Les éditions Dupuis furent souvent dans le collimateur des Censeurs, moins pour la violence et les aspects " amoraux " des bandes dessinées qu’elles publiaient que pour… leur nationalité ! Dupuis, tout comme Le Lombard et Casterman est un éditeur belge, ce qui, dans l’esprit protectionniste de la Commission de surveillance, était une tare rédhibitoire… Tout devint un prétexte pour empêcher les albums imprimés en Belgique de traverser la frontière. Sans doute sous l’impulsion des communistes, la Commission chercha des noises à Buck Danny pour les albums Ciel de Corée et  Avion sans pilote. Les commissaires trouvèrent également déplaisantes les caricatures de policiers de Maurice Tillieux dans une enquête de Gil Jourdan :Popaïne et vieux tableaux… Mais les éditions Dupuis n’eurent malheureusement pas le triste monopole des interdictions à l’importation.

Aux éditions du Lombard, les aventures de Blake et Mortimer connurent les mêmes soucis : selon les commissaires, les histoires de Jacobs étaient, elles aussi, des " incitations à la haine et à la violence "… Tant de mauvaise foi, concernant des bandes dessinées manifestement peu propices à l’incitation à la débauche, ne trompe pas : derrière les décisions de la Commission de surveillance se dissimulaient bien souvent des arguments de censure économique très éloignés des motivations premières de la loi du 16 juillet 1949.

Voilà dans les grandes lignes ce qu'on peut dire sur cette loi...

Les sources principales sur la question sont Images interdites d’Yves Frémion et Bernard Joubert (éd. Syros/Alternatives) et On tue à chaque page coordonné par Thierry Crépin et Thierry Groensteen (éd. du Temps/ Musée de la bande dessinée), ainsi que Haro sur le gangster de Thierry Crépin.

Pardon à tous les internautes pour lesquels ces quelques lignes sont un territoire bien connu...

25. judex - 11/09/02 23:13
à Longshot.
C'était la loi qui règlementait la parution des publications pour la jeunesse,qui ne doivent présenter aucune illustration aucune chronique présentant sous un jour favorable le banditisme,le mensonge,la haine,la débauche, les préjugés ethniques etc...
Fais "loi du 16 juillet 1949" sur google francophone et tu pourras la lire,parce que c'est long! tu l'obtiens tout de suite..

24. longshot - 11/09/02 22:39 - (en réponse à : Benoît Mouchart)
Pouvez-vous m'éclairer sur cette fameuse "loi du 16 juillet 1949" ?

23. Moi - 11/09/02 18:07
C'est quoi cette version-ci au fait (si ça se fait c'était vraiment prévu pour un téléfilm de la RTBF)...
Sinon, moi j'étais pas parti pour dauber sur le projet de film, c'est juste la phrase que j'ai relevé qui m'a un peu intrigué, mais je pense plutôt que c'est le journaliste qui a un peu extrapolé...
Par ailleurs, le fait de mettre un personnage féminin est assez louable et sûrement destiné à ce que le film ne passe pas pour misogyne (d'ailleurs les adaptations en dessin animé, bien que pas terribles, "rajoutaient" aussi des femmes), mais cela ne veut pas dire que ledit personnage est censé se charger d'un quelconque quota de scènes d'amour ou quoi que ce soit de ce style...
Enfin, je ne dauberais pas non plus sur james huth et son "serial lover", film très original et bien ficelé, bien qu'à 180° de l'univers B&M, par sa propension à l'humour (noir) et au second degré.

22. Yuk! - 11/09/02 17:52
C'est horrible!!! Vous avez vu la tronche des comediens? Fausses barbes, etc... On dirait un telefilm produit par la RTBF.

21. Olrik - 11/09/02 17:16
Moi aussi, Morti !
Par contre, je pense que cette version aurait été trop "BD" et pas assez cinéma... Mais c'est affaire de goût !

20. Morti - 11/09/02 17:13
Sinon cette version-ci, moi j'aurais bien aimé la voir quand même...







19. Olrik - 11/09/02 17:10
Très bonne remarque, c'est vrai, et je ne m'en souvenais plus ! L'histoire de l'absence de présence féminine était dû à l'époque de sortie des albums. Nous n'y sommes plus, alors profitons en, comme Jacobs l'aurait fait

18. Benoît Mouchart - 11/09/02 17:06
A propos de Gong Li, je signale aux fans que Jacobs avait déclaré à François Rivière que, s'il avait pu, il aurait donné vie à une comparse féminine d'origine asiatique (Cf. recueil d'entretiens paru aux éditions du Carabe ou, à défaut, le numéro Jacobs des "Cahiers de la BD"). Si la direction artistique du journal et la loi du 16 juillet 1949 n'avaient pas plané au-dessus de sa tête, EPJ aurait sans doute mis en scène au premier plan des femmes, comme c'est le cas, de manière légère, dans Le Rayon U...

17. Thierry - 11/09/02 17:01
"Serial Lover" n'est pas un chef d'oeuvre mais n'est pas honteux pour autant. C'est une comedie tres noire qui demarre tres fort mai qui retombe en cours de route. Il y a quelques tres bonnes idees et une approche visuelle interessante, dans mon souvenir. Quoique ce soit aussi tres loin de ce qu'on attende d'un Blake et Mortimer ;o)

16. Olrik - 11/09/02 16:54
Pour revenir à Blake et Mortimer (mais ca vaut aussi pour les autres adaptations), il faut se dire que ces films sont destinés à un public plus large que celui de la BD.
Je trouve tout à fait normal d'apporter des éléments nouveaux aux albums et de ne pas s'y tenir fidèlement. Si c'etait le cas, ca ne donnerait pas un film très long...
De plus, comme Morti et moi l'avons dit, il faut être patient avant de critiquer. Si on s'en tient aux infos que l'on connait, on peut penser que Ch. Gassot (production de Tanguy, un Air de famille, le gout des autres, tous les Chatillez !) est un producteur consciencieux. Est également entrainé dans l'affaire, le chef décorateur des Rivières Pourpres qui a fait un superbe boulot sur ce film. Le seul point d'intérrogation est James Huth, dont le film Serial Lover (que je n'ai pas vu) n'a pas une réputation de chef d'oeuvre.
La distribution internationale et la co-production prévue promet un budget conséquent (mais ca ne veut rien dire : voir La Planete des Singes).
La présence de Gong Li (superbe !) ne me choque pas. Une présence féminine, surtout si le personnage est conséquent est souhaitable, nous ne sommes plus en 1947. Donc ne vous attendez pas à une adaption fidèle. Pour ma part, je me réjouis de voir ce film. S'il est bien, je serai heureux, si c'est une daube, et ben...tant pis ! Je relirai toujours les albums de B&M avec autant de plaisir qu'avant, si ce n'est plus.

15. Sp|ne - 11/09/02 15:04
Gageons qu'il y ait quand même une mine....à mon avis une Chihuahua Pearl à forte poitrine, ça il y aura... par contre un vieux pottepeï comme Mc Clure c'est pas gagné...

14. Thierry - 11/09/02 14:55 - (en réponse à : la flemme de faire les liens)
tout ce qui suis vient de cet URL
http://www.bdcouvertes.com/forum/topic.asp?TOPIC_ID=116

C'est Philippe Charlier (aka Philactere ;o)) qui parle:

"Petite information en passant : L'adaptation au cinéma de "La mine de l'allemand perdu" ainsi que du "Spectre aux balles d'or" ne devrait pas utiliser le nom de Blueberry. Ce qui n'est pas vraiment génant cat l'adaptation n'a plus rien à voir avec les albums"
"Le générique devrait indiquer l'une des deux choses suivantes :
"D'après la série de bande dessinée "BLUEBERRY" créée par Jean-Michel Charlier et Jean Giraud" dans le cas ou après visionage il y a l'approbation des auteurs.
Par contre s'il n'y a pas approbation des auteurs c'est la mention suivante qui sera insérée dans le générique:
"Librement adapté de la série de bande dessinée "BLUEBERRY".
Tout me porte à croire que l'on se dirige vers la deuxième version car le film n'a plus grand chose à voir avec l'album."
"Le titre qui m'est revenu aux oreilles est celui de..."Nez Cassé". C'est le titre d'un autre album, ce qui va créer la plus grande confusion chez les connaisseurs de la série. Bref...c'est le bordel !"
A+

13. Sp|ne - 11/09/02 14:10
A mon avis Nasir a disparu pour éviter des problèmes de racisme. D'ailleurs en Inde, les aventures de Blake & Mortimer sont devenues les Aventures de Nasir & Mortimer (et leur brave et loyal serviteur Francis).

12. Helium - 11/09/02 14:02
La professeur Sexymus ne peut fréquenter bibliquement que le professeur Mortimer. Il y a beaucoup trop de mépris de la part des militaires envers les femmes de science.Ou alors elle se fait peut-être Nasir,dans un moment de folie,ce qui pourrait expliquer la disparition dudit Nasir,qu'on ne revoit plus dans les albums qui suivent, ce bougre de Nasir serait parti vers Hong Kong avec son épouse chinoise....affaire à suivre....

11. Moi - 11/09/02 13:50
C'est quoi cette histoire de Blueberry sans Blueberry (mais avec un nez cassé quand même) ??

10. Sp|ne - 11/09/02 11:41
Oui moi je mise sur une idyle entre Blake et le prof Sexymus...

9. Morti - 11/09/02 11:27
C'est un peu comme Nessie, ça revient régulièrement sur le tapis...espérons que cette fois sera la bonne...et attendons au moins de voir quelques extraits avant de taper dessus svp...

D'autre part si c'est comme les projets Blueberry (plus rien à voir avec les albums, même le nom Blueberry disparaît et ils vont reprendre le cycle de l'Allemand perdu sous le titre Nez Cassé...superbe logique...) ou Jeremiah (voir autre sujet), je préférerais qu'ils ne fassent rien.

Bon ceci dit Charles Gassot a plutôt bonne réputation et le réalisateur n'a pas l'air manchot donc attendons...

Par contre l'introduction d'une femme (et quelle femme...Gong Li n'a rien d'un thon...) risque d'être plus dure sans dénaturer tout à fait l'histoire et les personnages. Je ne vois pas vraiment l'intérêt de faire apparaître une femme dans La Marque Jaune mais bon, à part dans certains films de guerre, quel est le film qui ne comporte pas de rôle féminin, même secondaire, aujourd'hui ?

8. Sp|ne - 11/09/02 11:21
Oups, j'avais mal lu l'article... il s'agit donc d'UNE scientifique... répondra-t-elle au doux nom de "professeur Sexymus"??

7. Sp|ne - 11/09/02 11:16
Oui mais comment vont-ils faire pour inclure une nana et qui va se la taper?? Faut toujours une nana dans un film et pas un thon mayo hein... Ou alors la créature ne sera point Olrik mais Olrika...

6. Olrik - 11/09/02 11:07
Wait & see !
Il sera temps de tirer à boulets rouges quand on verra quelques images ou le film en entier.
De plus, Olrik en Guinea Pig est bien "une créature maléfique aux pouvoirs surnaturels"

5. Moi - 10/09/02 20:49
"Le film raconte l'histoire d'une créature maléfique aux pouvoirs surnaturels qui tiendrait l'armée et la police en échec dans une Angleterre plongée sous hypnose"? euh... J'avais pas vraiment l'impression qu'il s'agissait d'une créature maléfique aux pouvoirs surnaturels... Ou alors on a droit à une adaptation style Vidocq avec effets spéciaux à gogo et personnages pourris...
enfin, je m'emporte. Au fait on sait pas qui jouera Olrik ?

4. olrik - 10/09/02 19:37
Pas compris...
Tu te trompes de personne, je vois pas ce que le fait que ce soit Charles Gassot me gêne, au contraire ! (cf ces dernières productions)

3. dupont - 10/09/02 17:50
zut alors...mais c.gassot,il est francais....comment tu vas faire.....?

2. Olrik - 10/09/02 17:46

1. Olrik - 10/09/02 17:41
Vu sur Allocine :

Gong Li dans l'univers de Blake & Mortimer
Celle qui présida cette année le jury de la Mostra de Venise a profité de sa présence au festival pour annoncer en compagnie du producteur Charles Gassot et du réalisateur James Huth sa participation au projet amorcé voilà déjà deux ans (voir notre article Blake et Mortimer au cinéma). Le tournage, dont le budget s'élève à 35 millions €, débutera en février à Londres pour une durée de seize semaines, dont douze en studio. L'adaptation du plus célèbre épisode des aventures de Blake & Mortimer écrit en 1953 par Edgar P. Jacob est annoncée par son réalisateur pleine "d'aventure, de glamour et de comédie. Il y aura la lutte du bien et du mal, avec du suspense, le tout dans le Londres des années 50, au temps de la guerre froide". Le film raconte l'histoire d'une créature maléfique aux pouvoirs surnaturels qui tiendrait l'armée et la police en échec dans une Angleterre plongée sous hypnose. Le Premier Ministre n'aurait d'autre recours que de faire appel au capitaine Blake et à son ami le professeur Mortimer, incarnés respectivement par Rufus Sewell et Hugh Bonneville.

Gong Li en neuropsychiatre :
La scientifique interprétée par Gong Li a personnellement été présentée par James Huth comme "un personnage d'ombres et de lumières, au tempérament de feu et de glace, dont l'intelligence n'a d'égal que la beauté". L'actrice, qui avait aimé "le style frais et nouveau" du premier film de James Huth Serial lover, a également déclaré que même si elle ne parlait pas anglais "la langue n'avait pas d'importance. Que ce qui comptait était une bonne histoire, un bon réalisateur et un personnage fort".

Le film au titre provisoire "M" devrait sortir en octobre 2004.


Le lien sur l'article




 


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