A l'automne de sa vie, Jacques Martin nous restitue calmement une période heureusement révolue, celle de d'une Europe sous le joug nazi, dont la jeunesse était soit chair à canon (sur le front de l'Est, y compris pour nos compatriotes alsaciens), soit main d'oeuvre à bon marché de l'Organisation Todt, ou de l'industrie de guerre allemande, dont les responsables n'ont, contrairement à leurs salariés forcés, le plus souvent jamais subi d'opprobre...
voir http://unehistoirepersonnelledelabd.blogspot.com/2009/02/jacques-martin-carnets-de-guerre.html
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