Scénaristes !

Les 64 commentaires sont triés des plus récents aux plus anciens .



64. yaneck - 02/10/01 13:44 - (en réponse à : à Beji Werka)
Je vais me contenter de te dire comment je fait moi, si ça t'aide ce sera tant mieux. Je commence par trouver un début et une fin à mon histoire. Une fois que j'ai ça, j'essaye de trouver plusieurs évènements majeurs. Ensuite, je décompose ces évènements en d'autres moins important. Quand j'ai tout ça, soit une version presque complète du scénario, je prends un tas de feuilles blanches, et je commence le story-board écrit. J'enrichit l'histoire au fur et à mesure quand les idées me viennent. Voilà comment moi je me débrouille, d'autres t'aideront surement encore.

63. ... - 02/10/01 13:28
...

62. Beji Werka - 01/10/01 22:46
j'ai un léger problème avec la mise en pratique du scénario. en effet, j'ai plusieurs histoires en tête, des ambiances, des personnages, parfois même des story boards précis qui me hantent de temps à autres. je pensais pouvoir m'exorciser en écrivant, mais le mal redouble : le support doit être une bd, rien d'autre. mon dessin est très passable, pas très développé, donc j'essaye tant bien que mal de formuler (en amatrice) tous ces petits récits pour présenter quelque chose d'intelligible à un dessinateur éventuellement intéressé. un petit conseil serait le bienvenu, ou juste un exemple... merci.

61. yaneck - 01/10/01 14:16 - (en réponse à : diegleracomics@m6net.fr)
Voilà, je remonte le sujet, dès fois que des apprentis scénaristes (et d'autres) comme moi viennent y discuter de leur passion. D'ailleur, je vais pas tarder à monter un site pour les auteurs amateurs de BD. Je le redis, si certains sont intéressés...

60. NicoJ - 13/09/01 18:39 - (en réponse à : http://perso.club-internet.fr/jehanno)
Va sur le forum de BD Amateur ça s'organise pas mal en ce moment sur Paris.

59. Strato - 13/09/01 01:09 - (en réponse à : francois_guillot@yahoo.fr)
Salut! J'ai 19 ans et suis étudiant en licence "arts du spectacle", et je débarque d'ici un mois à Paris pour continuer mes études.
Je cherche donc des dessinateurs amateurs qui HABITENT PARIS (je ne travaille pas à distance) et qui souhaiteraient éventuellement prendre contact avec moi dans l'éventualité de travailler ensemble sur un projet.
J'ai déjà fait l'année dernière une histoire de huit planches avec un dessinateur étudiant de Montpellier. Je suis principalement intéressé par la SF comme moyen de parler de l'époque présente, que ce soit sous forme humoristique (un de mes projets) ou de thriller (un autre projet). Mais je peux aussi étudier d'autres propositions de projet.
En prose, j'ai un roman et trois nouvelles à mon actif, et en cinéma, j'ai fait trois courts métrages, dont un que j'ai écrit et réalisé seul (les autres en groupe).
Mes références en BD? Plutôt du populaire, mais pas trop con de préférence : Cailleteau, Duval, Van Hamme, Bajram, Ayrolles, Arleston, Gotlib, Franquin, Maëster, Tome, Seron, Trondheim, Sfar, Loisel...
Mais j'ai tout autant apprécié "Maus" de Spiegelman...

58. yaneck - 12/09/01 15:05
Pour l'instant, le titre officiel, c'est "attentats aux USA".

57. Non, non! - 12/09/01 14:33
Le film est en préparation et s'appellera: "World Trade Center"...
On parie?

56. yaneck - 12/09/01 14:25
A tous ceux qui passent et essayent d'êtres des scénaristes, vous cassez plus la tête. Le plus grand film-catastrophe de l'histoire du cinéma a déjà été tourné! Ca s'appelle "Attentats à New York"!

55. yaneck - 31/08/01 13:23 - (en réponse à : à Jip)
Peut-être, mais au moins j'aurais un avis sur mon travail. pour l'instant, je me crois pas trop mauvais alors que je suis peut-être en fait la pire des daubes.

54. Simon_25 - 31/08/01 04:55
Oui... scénariste, y'a moi aussi. Je dois être un des très rares au Québec. On dit que les gens comme moi sont très en demande. Puisque je cherche des dessinateurs à gauche et à droite pour mes millions d'histoires et que personne ne veut les dessiner, j'imagine que les dessineux aiment mieux rester dans leur coin et faire leur propre petite affaire. Tant pis pour eux, j'écris pourtant si bien...

53. jip - 30/08/01 16:51
A yaneck : attention, si tu te fais refouler, tu ne sera pas plus avancé pour autant. Tu recevras une lettre type et puis c'est tout. pas très enrichissant si tu veux progresser.

Pour cibler l'éditeur, deux méthodes, soit on travaille à la carte, en fonction de ce que l'éditeur publie en gros (mais ils font plus ou moins tous la même chose à quelque variante, soit on travaille sa propre Bd avec ses envies, ses attentes et puis on essaie de trouver un éditeur qui convient. Certains éditeurs prennent aussi des risques et peuvent avoir un coup de foudre et créer une collection rien que pour un album au départ, quitte à la compléter ensuite (vent d'OUEST avec rabaté, Tohu Bohu chez Humanos). Ou alors, ils ont des projets invisibles de l'extérieur et on peut, par hasard, rentrer dedans.
Et puis, lorsque l'on soumet un projet, il existe le risque de recevoir une réponse du type : on prend le scénar mais pas le dessinateur qui est trop nul, ou on garde le dessinateur et on vous confie un scénar maison. Quand on a bossé un an ou deux avec un copain, dur à avaler et décisions difficiles...

52. Beachcomber - 30/08/01 16:14
En effet, il faut cibler les maisons d'éditions, qui doivent respecter leur "ligne éditoriale" (CQFD !). Par exemple, mes scénars iraient bien chez Dargaud ou Dupuis. J'ai un two shot qui serait chez Delcourt. Se déterminer par rapport à un éditeur est indispensable.

51. yaneck - 30/08/01 15:46
J'ajouterais à la remarque de JP que moi, j'aimerai d'une certaine façon me faire refouler. je saurais où j'en suis. Là, c'est le flou en ce qui me concerne, ainsi que l'attente, oisive. c'est long.

50. JP - 30/08/01 15:42
Pour ma part je parals de one-shot dans le sens ou je l'entends, c'est à dire une série type Sillage, Soda...Ou les protagonistes et le trame générale se retrouvent d'albums en albums et ou chaque tome constitue une histoire "indépendante". L'avantage est, comme je le disais, de moyennemnt réussir certains albums et de pouvoir se faire la main pour améliorer les autres sans que la trame ne soit altéré.
a Sp\ne: tu as parfaitement raison, gardons les pieds sur terre!!Mais il faut, comme le disais Arleston, croire un minimum en soi. Ce que je réalise ne ce moment n'est pas mon premier scénario. Avec mon frère qui dessine nous avons réalisé un album de 44 planches, une histoire avortée de 18 planches, une petite histoire, et là nous publions bientôt dans un fanzine(mois de septembre) une histoire de 8 planches.Je ne me prends pas pour un scénariste de génie mais je crois en moi (il faut bien..) et je préfère avoir un refus maintenant et savoir que je dois encore bosser, que de rester dans l'expectative!!

49. vince - 30/08/01 15:23 - (en réponse à : Louis)
Je me trompe peut-être mais j'ai quand même plus l'impression qu'il faut raisonner en terme de collections plutôt que d'éditeurs. Par exemple Dupuis, plutôt grand public, enfants et adolescents, séries. Néanmoins une des plus prestigieuses collection de bd d'auteurs (où la guerre est abordée en tant que thème), Aire Libre, est éditée par Dupuis. Delcourt, même chose, tout est "séparé" en collections : histoires noires/polars, humour, HF, etc. D'autres sont très très généralistes (ou l'étaient) comme Casterman, d'autres sont spécialisées histoire comme Glénat mais ont néanmoins des collections policier (Bulle noire) ou Vents d'Ouest qui est une filiale de Glénat etc.

48. yaneck - 30/08/01 15:19 - (en réponse à : à Louis.)
En effet, on a une certaine spécialisation des maisons d'édition. Si tu fais de la SF, tu iras plutôt voir Soleil ou Les Humanoïdes associés. je ne m'y connais que peux, je laisse les autres compléter.

47. Louis - 30/08/01 15:13 - (en réponse à : lderoys001@noos.fr)
J'aimerai continuer sur ce que disais Jip sur ce que publient les principaux éditeurs Français. Plus précisemment est ce que chaque éditeur a t il fait d'un genre d'histoire sa spécialité ?.
Par exemple peut on dire que Soleil est le spécialiste des histoires de guerre par rapport à Dupuis ?.
Je pose cette question car si je travaille une histoire genre guerre il est peut être inutile de l'envoyer à un éditeur dont ce n'est pas la spécialité ?.
Une autre question liée à cela est de savoir quelles sont les spécialités de chaque éditeur en terme de genre d'histoires.
Merci de vos réponses.
Louis

46. Ichabod - 30/08/01 14:52
Je crois qu'on s'éloigne du sujet qui était "le partage de ses expériences de scénariste". Je suis amateur et j'essaie de comprendre et "d'étudier" ce support qui permet le voyage dans l'imaginaire (par l'image et le texte).
Personnellement j'ai besoin de beaucoup de recherches quand je me lance dans l'écriture d'un scénar, je pense que ça permet de mieux sentir le potentiel d'une histoire, de même que j'ai besoin d'intégrer des détails de la réalité quotidienne pour que le rapprochement ou l'identification avec le lecteur soit compléte. Il y a une frontiére entre la lecture et le voyage imaginaire. Cette puissance du voyage est immense et difficile à atteindre, elle se construit de diverses maniéres, chacun(e)a ses propres ficelles (jalousement gardées) mais ce serait constructif de pouvoir échanger sur ce théme.

Une des notions qui me paraît fondamental est celle de la création d'un espace-temps (voir les entretiens d'hitchcock avec Truffaut). Je crois qu'il permet de captiver le lecteur de façon à ce qu'il fasse abstraction du monde alentour mais aussi de changer sa perception du temps. Le voyage imaginaire peut commencer, le lecteur est entré (corps et esprit) dans l'histoire.

C'est ce que j'essaie de créer actuellement avec mon dessinateur, la construction du récit est une chose difficile car on s'y perdrait volontiers (et pourquoi pas, le résultat serait autrement intéressant).

Amicalement.

45. fulcanelli - 30/08/01 14:37
Dans les trois premiers pavillon rouge delcourt, il y a tout un dossier sur la manière idéale de présenter un projet chez un éditeur. C'est peut être intéressant de voir ce qu'eux entendent par un projet présenté idéalement

44. yaneck - 30/08/01 14:31 - (en réponse à : à Jip)
Merci du conseil, on fera ça. Je suis loin d'être le meilleur scénariste du monde, et je n'ai pas le bestof the best des dessinateurs. Je le sais. Mais j'avoue quand ça me ferait un peu chier d'avoir à recommencer. Mais quand on veut être publié, faut être prêt à tout.

43. Sp|ne - 30/08/01 14:30
Encore un truc : je pense que dans un couple Dessineux/scénariste il vaut mieux que ce soit le scénariste qui fasse les démarches. Histoire que l'éditeur ne propose pas au dessineux (s'il est bon) d'abandonner son projet initial pour travailler avec un scénariste maison...

42. jip - 30/08/01 14:28
Oui mais tu dois alors bien préciser que tu es prêt à recommencer les planches. Quand il recoivent un projet complet, les éditeurs ont un peu peur de tomber sur le genre : je change rien, vous prenez tout comme ça ou je m'en vais voir ailleurs. Beaucoup d'auteurs vachement balèzes techniquement se sont fait remballer parce qu'ils étaient trop rigides sur leurs production (c'est moi le meilleur, je change rien...°

41. yaneck - 30/08/01 14:16 - (en réponse à : à jip)
Tu as raison, mieux vaut envoyer 5 planches léchées que 44. Mais même si par chance on est pris et que le directeur de collection nous demande de refaire 38 planches, au moins on aura montré je pense une certaine forme de volonté et de travail qui ne peut pas être inutile.

40. jip - 30/08/01 14:09
je suis assez de l'avis de Spine, ne poussez pas la charrue avant d'avoir trouvé un acheteur pour la peau de l'ours qu'un tien vaudra mieux que deux...
Quand j'entends que je sais déjà le début et la fin et pas le milieu, je me pose des questions. Et puis, ça ne sert à rien, strictement à rien, d'envoyer 44 planches terminées à un éditeur. Il faut envoyer un projet sérieux, entre 5 à 10 planches terminées, mises en couleur, un synopsis précis pour le premier volume, la moitié découpée de manière précise, ou mieux, story bordée, un résumé des autres volumes pour la suite et puis, basta..
Pourquoi ne pas envoyer les 44 pages ? parce que si vous signez, le boulot du directeur de collection est de vous encadrer, de vous dire ce qu'il ne va pas, ce qu'il faut changer, quelle page, quelle case(s) il faut recommencer et tutti quanti. Des 44 pages, vous risquez, au mieux, d'en recommencer 38. De mémoire d'éditeur, aucun album n'a été publié sans qu'au moins un directeur de collection ou collaborateur n'y ai mis son grain de sel. C'est leur boulot, et c'est des gens qui connaissent la Bd sur le bout des doigts (souvent des scénaristes maisons en fait). Enfin, si c'est refusé, n'attendez pas d'eux des conseils, c'est pas leur boulot.

39. yaneck - 30/08/01 14:07 - (en réponse à : à Franck)
tu peux m'écrire à: diegleracomics@m6net.fr fais moi passer ton adresse aussi.

38. yaneck - 30/08/01 14:03 - (en réponse à : à Descartes)
"je pense donc je suis". :-) Si tu le dit. moi, j'avais eu l'info par Glénat, mais peut-être tu as raison, qu'ils bluffent.

37. Descartes - 30/08/01 14:01
Tu ne dois pas dire que Glénat reçoit 900 dossiers par an et qu'ils n'en prennent que 10, parce que ce n'est pas vrai. Il faut avoir une vue d'ensemble et se dire qu'il y a 10 maisons d'éditions qui prennent par exemple chacune 10 projets, cela fait 100 pour tout le marché, mais il n'y a pas eu 9000 dossiers envoyés mais 900 puisque les gens qui envoient un projet l'envoient à toutes les maisons d'éditions.
Cela dit, les éditeurs aiment bien gonfler leur masse de travail, à les entendre, il y a un camion postal qui se déverse chaque semaine dans leur bureau. ce n'est pas vrai, il n'y a pas tant de projet que ça. C'est de la foutaise, des excuses pour ne s'intéresser qu'aux projets envoyés par des mecs connus donc porteurs commercialement. Cela fait deux ans que j'ai envoyer deux projets chez Dupuis (Cl Gendrot) et je n'ai toujours pas de nouvelles, ça va faut pas déconner, il n'a même pas ouvert l'enveloppe.

36. yaneck - 30/08/01 13:47
Y'a de bonnes interventions, ici, c'est agréable de discuter sans s'énerver. Sp|ne a raison dans un sens de nous ramener un peu les pieds sur Terre. Rappelons que chez Glénat, ils reçoivent 900 projets par an, alors qu'ils n'en prennent qu'une dizaine. Ceci dit, comme le dit si bien Jean-Claude Van Damne, Il faut penser que tu es fort et grand, sinon tu sera petit et faible. OSONS! En ce qui me concerne, j'ai fait les story-boards des deux premiers tome de notre histoire, (sur 9 tomes je le rappelle) et mon dessinateur a reçu celui du tome 1 il y a à peu près un an. Mais il n'est pas vraiment lent, c'est juste qu'il ne passe pas le temps qu'il devrait à dessiner.

35. Sp|ne - 30/08/01 12:10 - (en réponse à : à Deçu)
Allez hop, j'dis plus rien : vous allez tous devenir des superstars de la BD, on vous adulera et on fera une rubrique dans BDP "Question a Déçu"... :-)

34. Deçu - 30/08/01 12:03 - (en réponse à : à pin's)
C'est po pasque t'es frustré du seul neurone qui te sert à tailler tes crayons qu'il faut venir nous empecher de rever...

33. Sp|ne - 30/08/01 11:49
Le zine c pour se donner un but... mais de toute façon n'allez pas trop vite... vous êtes peut-être moins bons que vous le pensez...

32. franck - 30/08/01 11:38
Même sans parler Fanzine, le fait de faire des courtes histoires permet de s'entrainer sur du concret et de se creer un book, chose essentielle pour la suite.

31. Sp|ne - 30/08/01 11:36 - (en réponse à : aux scénaristes)
Sans dec, vous voulez aller trop vite : vous êtes débutants, n'avez encore scénarisé aucun récit déjà dessiné et vous voulez foncer chez un éditeur. Vous risquez de tomber de haut...
Un conseil : faites une histoire courte, découpez-la du mieux que vous pouvez. Trouvez un dessineux valable et ensuite tentez de la placer dans un fanzine.

30. Michaël - 30/08/01 11:15
Yaneck: en ce qui concerne mon histoire je sais déjà à peu près comment elle se termine. Mais disons que c'est au milieu que je sais pas exactement ce qui se passe. Mais bon je vais laisser ça germer tranquillement dans ma tête, je suis encore jeune j'ai le temps, et je verrais bien si ça va aboutir un jour à quelque chose ou non. Sinon je veux bien moi aussi en savoir un peu plus sur ta bd. En gros c'est quoi?
Et je pense que sur ce forum circulent des scénaristes confirmés qui pourraient peut-être donner des conseils, dire comment ils ont débuté... hum Morvan? Arleston? Vous êtes là?

29. jip - 30/08/01 10:59
L'important est de cibler les éditeurs à qui vous allez présenter les projets et de formater votre Bd dans cette optique. Delcourt ne fait des one-shots que dans la collection encrage, les autres collections sont des séries, ou des cycles de longueur variable (2 à 5 albums). Dupuis fait des one-shot en collection aire libre, les autres collections sont des séries. Dargaud, one-shot en Long courrier, one-shot ou série en poisson pilote, le reste en série. Soleil, que des séries. Casterman, un peu de tout....

28. Y.L. - 30/08/01 10:44
Les deux systèmes sont intéressants. C'est vrai que c'est plus simple de placer un projet de série, mais il ne faut pas oublier que certaines maisons d'éditions admettent volontiers que le premier album d'un auteur soit un one shot. Il y a d'ailleurs des collections faites pour ça. je suis persuadé que le meileur mode de narration est le one shot ou le cycle (c-a-d une série d'albums avec une fin définitive) C'est vrai que l'on doit condenser et aller à l'essentiel, mais ce qui est condensé est souvent plus fort. Les one shot permettent de travailler sur des nouvelles bases, sans héros véritables par exemple.
Je pense que si le projet est bon, et à moins que l'on ne s'adresse à un type perclus d'a priori, il y a toujours moyen de discuter. Il ne faut pas, non plus, y aller en se disant que l'on ne bougera pas d'un cm. Tous les conseils sont bons à être entendus, de la part de l'éditeur ou du dessinateur... Ne pas oublier que one shot, few shot ou série, le plus important c'est d'être édité.

27. sylged - 30/08/01 10:12
Hé oui, les éditeurs préférent les few shot, pour des raisons purement commerciales ! Le bouche à oreille fonctionne sur la durée pour une série, et un lecteur qui découvre un tome trois va ensuite acheter les précédents et donc gonfler les ventes de chaque album. Et puis, en magasin, le lecteur (et acheteur potentiel, surtout...) va plus s'attarder sur une série qu'il ne connaît pas que sur un album isolé qu'il n'aperçoit qu'une fraction de seconde.
La BD est aussi un business, tout comme la littérature (il suffit de compter les 600 romans de cette rentrée littéraire 2001 !). Les créateurs doivent souvent se plier à ces impératifs commerciaux s'ils veulent être publiés et avoir un lectorat. L'idée d'être scénariste BD me tente énormément, mais c'est vrai que pour commencer je me tournerais sans doute vers une série (3-4 albums), le one-shot étant un exercice plus délicat.

26. NIcO - 30/08/01 08:22
ben si c bien les one shot
surtout pour les jeunes auteurs qui ont pas forcement le temps necessaire pour s'investir a mort ds un projet
hein js?
je parle pas ds le vide la?
:o)

25. Bidule inutile - 30/08/01 01:17
Les one shot c'est ce que j'aime le plus. Les série ca m'ennui. Je travaille actuellement sur un scénario pour un album qui parleras de la révolte de rivière-au-renard, en gaspésie en 1909!

24. JS - 29/08/01 22:37 - (en réponse à : js19@caramail.com)
ben le problème c'est que presque aucun éditeurs ne veut de one-shoot !

ils préfèrent les séries qui sont plus facile à rentabiliser sur la longueur

j'en ai fait l'expérience

@+

js

23. JP - 29/08/01 21:53
Pour ma part, je trouve que le one-shot est peut-être plus facile pour démarrer et il permet , à la fois, une grande liberté et une contrainte. Une contrainte car il faut en peu de planches développer une histoire cohérente, mais le rythme est plus facile à tenir et l'intrigue avance plus vite. Autre avantage: le lecteur n'est pas frustré:-)) Ceci étant dit, je pense que pour commencer, cela est mieux car il permet de prendre ses "marques" et si les premiers albums ne sont pas formidables, les autres peuvent être meilleur sans que le fil de l'histoire en soit altéré.L'histoire en plusieurs cycles me semble plus trappu. C'est pour cette raison qu'avec le dessinateur avec qui j'ai l'honneur, vu son talent, de travailler nous bossons sur une série de one-shot.

22. temsin - 29/08/01 18:09
Ben dit donc yaneck ton dessinateur t'on dessinateur et toi sa doit sonner grave ,non?
TEMSIN

21. Beachcomber - 29/08/01 16:28
C'est génial d'avoir un dessinateur, moi j'en cherche un.
Le one-shot et le cycle ont des difficultés différentes. Le cycle doit maintenir un intérêt constant, un suspense, doit aussi surprendre mais jamais lasser. Le mieux est de faire progresser l'intrigue en même temps que l'intérêt du lecteur.
Le one-shot implique une histoire courte, style evênement dans la vie du perso (plutôt une quête dans le cas d'un cycle), et doit en principe ne pas appeller de suite, sinon c'est plus un one-shot. Mais le one-shot est sympa a pratiquer entre deux épisodes d'un cycle. le one-shot peut aussi s'intégrer dans une série (on parlera plutôt de "loner" a ce moment-là).
donc je pense qu'il faut pratiquer les deux. Moi je suis incapable de mon concentrer sur une seule série. Les one-shot me permettent donc de varier un peu mes scénarii.
et puis je crois qu'on écrit avant tout pour ce faire plaisir (j'ai la chance d'avoir un petit comité de lecture).
amicalement.

20. franck - 29/08/01 16:28
je pensais pas au chat mais par mail.
Ton dessinateur a juste fait le story board ou les planches en crayonnés ? Pasque tout de suite, c'est pas pareil !
A+ et bonne soiree
franck

19. yaneck - 29/08/01 16:24 - (en réponse à : à Franck)
pour le chat, je vais partir. Raté donc. Mais je suis là demain entre 13h30 et 16h15. Mon dessinateur ne fais rien d'autre pour l'instant. pour l'instant, ilse force pas, ça fait un an qu'il a le story-board du tome 1.

18. franck - 29/08/01 16:21 - (en réponse à : franck-mac-farlane@voila.fr)
de quoi ca parle ? c'est quel genre ? en combien de temps a t il fait ses 44 pages ? Il fait quoi a part dessiner ??
si ca gave les autres, on peut passer en pv si tu veux...
A+
franck

17. yaneck - 29/08/01 16:18 - (en réponse à : à Franck)
Pour l'instant, c'est pas visible, mais ça pourrait venir. Moi j'ai 19 et mon dessinateur 24

16. franck - 29/08/01 16:16
y a moyen de voir ca qqpart ?
Il a quel age ton dessineux ? et toi ?

15. yaneck - 29/08/01 16:15 - (en réponse à : à Franck)
Je ne parlerai pas pour les autres, mais en ce qui me concerne, j'ai bien un dessinateur, qui a fait les 44 planches du tome 1 au brouillon, et qui en est à le 26 au propre, avant encrage.



 


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