Quelle forme adopter pour l'écriture d'un scénario?

Les 54 commentaires sont triés des plus récents aux plus anciens .



54. Lien Rag - 25/09/06 15:51 - (en réponse à : Je sais pas si c'est le bon sujet...)
Mais la question de Bert "dans un couple scénariste/dessinateur, qui raconte?" me paraît extrêmement intéressante...

53. Lef' - 01/02/02 17:43
Je remercie jean-David (MORVAN bien sûr) de m'avoir remonter le sujet.

PS : ça m'a vraiment aidé.

52. Yves - 31/01/02 12:16 - (en réponse à : bedepreview@free.fr)
Bonjour,

Pub gratuite : pour les scénars, en kiosque tous les 2 mois "Synopsys", et un hors série spécial scénario qui vient de sortir.
Pas que de la BD, loin de là, mais plein d'infos.

Sinon, sur mon site (bedepreview.free.fr), j'avais débuté quelques explications sur les façons de quelques auteurs de faire leurs scénars.

Et, bravo à JDM pour ses nombreuses et pertinentes interventions.

Bonnes lectures,
Yves

51. JDMorvan - 30/01/02 18:51
Je le remonte pour Lef
Tu verras, il y a un lien pour les exemples.

50. Jérémy - 19/09/01 18:59 - (en réponse à : stephanie.jeremy@wanadoo.fr)
Merci à tous, et plus spécialement à JD Morvan pour ses scénarios, c'est exactement ce que j'attendais comme aide. Je reviens de vacances et je suis comblé.

49. Florent - 17/08/01 14:31
Le decoupage de La Mandiguerre Tome 1 (JDMorvan et Stefano Tamiazzo) est disponible ICI.

48. Sp|ne - 17/08/01 11:03 - (en réponse à : b.daubresse@euronet.be)
'lo Jip
Tu lis dans mes pensées... j'en cherche justement... mais des bons et pas chers hein ;-).
Tu peux envoyer la marchandise sur mon mail.
Thanx.

47. jip - 17/08/01 10:53
Salut SpIne, j'ai des scénars à vendre, ça t'intéresse...

46. Sp|ne - 17/08/01 09:53
Ptêt que Bidule n'est autre que le GRAND A. Douchet...

45. Uyl - 17/08/01 03:06 - (en réponse à : A Bidule)
C'est pas parce que tu es en pré-production d'un long métrage que cela te dispense d'écrire en français.

44. Bidule inutile - 17/08/01 01:50
C'est comme en cinéma, car je tourne des cours et je suis a la pré production du premier long...

La bd, le ciné, n'importe quel création a un style bien particulier a son auteur. Tu écris comme tu veut.

43. JDMorvan - 16/08/01 21:12 - (en réponse à : à JIP)
Si, bien sûr. Mais au moins, même si tu changes, tu as quand même un point de repère.
Sur le Sillage 3 par exemple, j'ai changé le déroulement de la fin vers la page 25 à cause d'un personnage.
Dans Nomad aussi, toute la série a changé d'orientation à cause d'une scène que j'ai rajoutée dnas le tome 2 vers les pages 70. Du coup, rien n'est comme j'avais prévu... Et c'est tant mieux !
Il faut savoir aussi se laisser surprendre, c'est pour ça que je n'écris jamais mes albums d'un coup au niveau des pages. Je les fais 5 par 5 environ.
Les autres scénaristes, je ne sais pas...
Mais c'est finalement le résultat qui compte.

42. jip - 16/08/01 20:07
le fait d'avoir un plan précis, un chemin de fer, n'est-elle pas un frein pour la créativité ? N'y a t'il pas des idées qui arrivent en route et qui remettent pas mal de choses en cause, y compris ce qui a déjà été ecrit en détail ? N'est-ce pas un frustant, parfois ?

41. JDMorvan - 16/08/01 17:39 - (en réponse à : Pour Florent)
Je veux bien mais je ne retrouve plus ton adresse...
Si tu peux me la renvoyer sur la mienne !!
Merci

40. Florent - 16/08/01 15:46 - (en réponse à : Pour JDM)
Comme pour les planches de 7 secondes, si tu veux bien me faire passer les descriptions d'une ou 2 pages de la Mandiguerre je ferais une page ou on verra bien le tableau :-)

39. C'est très bien - 16/08/01 15:00
...mais n'oublie pas de passer le tout au correcteur orthographique...

38. Bidule inutile - 16/08/01 14:57
Quand je rédige le scénario, avant l'étape de ce dernier, je me crée toujours un plan détailler de A à Z de mon histoire... prenant par tiret tout les point de l,histoire...
Le scéna vient ensuite.

37. JDMorvan - 16/08/01 14:04
Non, ça, c'es juste le scénario qui me sert de guide.
Ensuite, j'écris chaque pagee, chaque case, chaque dialogue. Tout ça se fait dans l'ordre.
Je travaille en tableaux pour les pages mais je ne peux pas les passer sur le forum, le tableau disparait.
Donc, en plus de ce que vous avez lu, j'écris 46 pages par album.

36. dominium - 15/08/01 10:32 - (en réponse à : domynyum@hotmail.com)
A JEAN DAVID MORVAN

Je vais peut-être t'emmerder ,mais à l'occasion pourraits-tu une fois balancer sur ce sujet l'écriture du second tome de la mandiguerre une fois l'album ou l'écriture terminée.

Merci

35. Dominium - 15/08/01 10:21
Tu veux dire que les 43 ou47 pages dessinées du scénario entier du 1er tome de la mandiguerre fais 4 pages ???
Wow soit t'écris vachement petit soit tu as l'art de condenser au maximum ton scénario.
Déjà que moi dans mon scénario je pensais que quinze pages écrite au clavier en serrant bien le tout je trouvais ça trop peux.Mais bon à chacun sa méthode de travail.
Et le second tome de la mandiguerre ??? T'en es ou ???

34. JDMorvan - 15/08/01 10:15
Je vous passe la première version du cycle de Tschaï tome 4 qui a pour l'instant trop de pages. Il va falloir que je coupe dedans, que je fonde des scènes...
Si ça peut vous servir.
TSCHAï 4
Le Wankh 2
VANCE
Morvan – Li-an

Chemin de fer

1 /
Intérieur matin
Chambre de Reith
- Reith rêve à tout ce qui lui est arrivé sur Tschaï : Explosion de son vaisseau, crash de la navette, rencontre avec Traz quand les Hommes-emblèmes l'ont descendu de ses cordes, rencontre avec Anacho devant le Pnume mort sous la pluie, sauvetage de Ylin-Ylan lors de la cérémonie des prêtresses, fuite de la caravane pendant attaque des Chaschs verts, sa navette cassée dans le hangars des bleus, Nuit d'amour avec le belle, victoire à Dadiche, rencontre avec Dordolio sur les prés Azurés, mort de Ylin-Ylan sur le bateau, sa colère contre Cizante avec Helsse présent dans le jardin, En train de regarder la Terre dans la cave du culte, et enfin, il voit 12 horribles assassin s'approcher avec des pointes alors qu'il est contre un mur. Et le réveil sonne, il s'éveille.
Traz toque à sa porte, Anacho est déjà descendu déjeuner. Il demande au Terrien s'il veut venir mais ce dernier reste un peu apathique sur son lit. Traz voit que ça ne va pas et s'assied à côté. Il s'attendait à trouver des aventures mais pas à ce point là. Traz lui fait remarquer qu'il a aussi connu des moments d'espoir, de triomphe, de joies simples et même d'amour !
Reith se lève en disant qu'en effet, même s'il doit mourir demain (plutôt dans 12 jours), il aura vécu une vie miraculeuse !! Son horrible jeunesse dans le Maine est presque oubliée. Traz demande à son ami s'il veut en parler, l'autre répond juste en s'habillant qu'il a faim ! 2/2

2 /
Intérieur matin
Salle du petit-déjeuner
- Anacho se plaint contre le formalisme des Yaos. Il incendie leur société en s'empiffrant, disant que ce formalisme les fait vivre comme dans un poussin mort en train de pourrir dans sa coquille. Traz qui mange est un brin dégoûté.
Il dit à Reith que ce n'est pas ici qu'il réalisera ses desseins ! Reith est d'accord mais il dit qu'il a quand même besoin d'argent ! Dès qu'il en aura, ils se barreront. Comme son entreprise est dangereuse, il leur propose de partager l'argent de Cizante et qu'ils pourront se séparer. Ses amis n'ont que des ennuis à gagner en restant avec lui.
Anacho veut rester et il fait croire que c'est par curiosité, pour savoir comment Reith s'en sortira. C'est un pudique Anacho. Il veut prendre part à l'expédition secrète de Reith, étant sûr qu'elle n'est pas si folle.
Reith dit qu'il veut acheter un astronef au Wankhs ! Et ce même s'il doit finir en prison ou dans le ventre des molosses de la nuit. Anacho fait du sarcasme (117). Traz, lui veut connaître la Terre. Il a vu le vaisseau dans lequel Reith est arrivé et sait qu'il n'est pas fou ! Anacho veut en savoir plus et les deux causent. Comme ils veulent tous les deux rester, ils doivent établir un camp.
Ils ont rendez-vous avec Helsse au lieu de la communion pathétique, ils discuteront de ça en route. 1/3

3 /
Extérieur matin
Où tu veux (combats dans l'arène ?)
- Nos amis regardent le spectacle de combat dans les gradins. Un marchand ambulant passe et Anacho lui achète un beignet (genre). Traz lui dit qu'il n'est décidément qu'un gros intestin, il ne fait que bouffer. Et les deux se prennent la gueule, comme d'hab'.
Helsse arrive et dit que Cizante est prêt à accepter une demande raisonnable. Il conseille de détruire le papier trouvé sur l'espion. Reith refuse bien entendu et rappelle à Helsse qu'il a promis de le faire traduire. Avec un soupir, il dit qu'il s'en souvient et il leur demande de le suivre. 1/4

4 /
Intérieur / Extérieur jour
- Anacho, Traz, Reith et Helsse sont dans un carrosse luxueux. Ils se rendent au foirail d'Ébron sud pour rencontrer un Lokhar capable de traduire. Il explique que les Lokhar travaillent pour les Wankhs parce que chez eux, ni les Hommes-Wankhs ni les gris ou rouges ne travaillent. Ils ont trop peur de toucher un objet de l'autre caste. Reith se demande à quoi ils servent, Helsse dit qu'ils sont là, c'est tout. C'est dans l'ordre des choses. Ils parlent aussi un peu de politique (118) et des coutumes de Cizante (119).
Enfin, ils arrivent sur place (décor de blocs trapus en brique) et repèrent des Lokhars, des êtres mats et blancs (120). Helsse montre l'un d'entre eux qui joue avec un enfant et est considéré comme le meilleur interprète. Il s'appelle Zarfo Detwiler et a la réputation d'aimer l'argent. Reith veut entendre la négociation alors que Helsse pensait la faire seul. Ils vont donc voir le personnage qui négocie sec. C'est un malin (121-122).
Il commence à lire en parlant des harmonies Wankhs. Il ne pense pas qu'il s'agisse d'une carte au trésor mais plutôt d'un rapport commercial (123) entre Hommes-Wankhs et Wankhs. Mais c'est un peu compliqué et Reith remarque que Helsse se détend un peu. Il dit qu'ils ne sont pas plus avancés et veut renvoyer Zarfo avec juste 20 sequins. Ce dernier s'en va en râlant mais Reith veut lui parler seul à seul. Helsse essaye de le retenir mais rien à faire. Il repart avec les boules et aussi Traz et Anacho qui le chambre. 3/7


5 /
Extérieur jour
- Reith veut payer un verre à Zarfo mais il ne boit pas d'alcool. Il veut bien de la saucisse en revanche. Ils vont dans une épicerie/scnack pittoresque et parlent sur le trottoir où sont installées 3 ou 4 tables. Zarfo parle de sa vie et des travailleurs immigrés (126). Reith dit que Helsse voudra sûrement savoir de quoi ils ont parlé et Zarfo dit que s'il le paye assez, il le lui dira. Remarchandage, avec Reith cette fois (126).
Dans ce qu'a dit Zarfo dans la traduc, Reith a entendu le mot "chef". Pourrait-il l'identifier ? Zarfo semble ne pas vouloir trop en dire.
Reith essaye de savoir s'il y a des Lokhars spécialistes en aéronautique qui seraient revenus à Settra. L'autre veut encore du fric pour l'info. Reith lui rachète juste une saucisse. Alors Zarfo dit que la plupart vivent à Smargash. Reith demande si certains d'entre eux seraient assez motivés pour participer à une expédition (128). Si le profit est plus élevé que le risque, c'est jouable répond l'autre. Quel est le but ? Reith se lance et demande combien de gens compétents il faudrait pour voler un astronef Wankh et partir pour une destination inconnue. Zarfo dit que c'est faisable mais pas à moins de 50000 sequins. Il ne risquerait pas sa liberté et sa vie à moins.
Reith dit au revoir à Zarfo (129) alors qu'un homme mystérieux arrive et les regarde.
Zarfo, voyant le profit s'en aller, essaye de le retenir. Il dit que dans ses blocs, il n'est pas si libre et qu'il est vieux. Ils devraient pouvoir s'en sortir pour 30000 (Reith met son manteau), 20000 (Reith le regarde), 10000 (Reith se rassied en disant que c'est plus raisonnable). Zarfo pense qu'il faudrait 5 ou 6 hommes. Le voyage sera long ? Reith ne le dira qu'une fois en route. Mais si ça fonctionne, ceux qui viendront gagneront bien plus que 10000 sequins à l'arrivée. Reith dit que ça doit se faire au plus vite et qu'il faut rester discret. La ville semble fourmiller d'espions. Zarfo se marre en disant que s'il ne voulait pas se faire remarquer, il fallait venir dans un véhicule plus discret ! Il a d'ailleurs remarqué le type qui les surveille. Reith le trouve trop voyant pour un espion. Zarfo pense qu'il s'agit plutôt d'un assassin !
Tandis que l'homme repéré s'approche, rendez-vous est pris pour le lendemain matin à l'hôtel à midi.
Le type mystérieux se présente comme un très officiel membre de la guilde des assassins. Il dit à Reith qu'il a été mais sur contrat pour les 12 touches et il lui demande de relever sa manche (129-130). Reith refuse en croyant que c'est une blague tandis que Zarfo engueule le mec, lui disant de se barrer. S'il tue celui qui peut faire sa fortune avant qu'il ait versé le moindre sou, il sera très mécontent. Et forcément violent !
Mais l'assassin n'en démord pas et ça lui vaut une chaise dans la gueule de la part de Zarfo. Ensuite, il lui plante son aiguille dans les fesses. Tandis que le tueur se plaint, Zarfo hors de lui prend sa mallette et lui enfile les 11 autre ! Le mec geint et la foule viennent à son secours : Il ne fait que son travail !! À une grosse dame virulente, Zarfo dit en regardant le bon de commande du tueur que son mari est le prochain sur la liste. Tandis qu'elle s'en va en hurlant, eux partent dans l'autre sens pour essayer de savoir qui est le commanditaire. 4/10

6 /
Extérieur jour
- Dans une ruelle de derrière la morgue, endroit sinistre et sombre (autel de pierre avec petit animal mort dessus) dans laquelle il y a un téléphone public, Zarfo regarde le bon. Reith se dit que c'est peut-être Dordolio le commanditaire. Le Lokhar lit (131) et veut tenter un stratagème. Il appelle et apprend qu'il s'agit en fait d'Helsse (131-132) !!! 1/11

7 /
Intérieur jour
-Reith retrouve ses amis à l'auberge alors qu'ils sirotent un drink sur la terrasse. Il leur demande comment s'est passé le retour et Traz dit que Helsse n'a guère pipé mot. Il les a laissés en leur donnant rendez-vous ces soir au palais pour une collation, son chauffeur passera les prendre. Reith espère qu'Helsse leur donnera de l'argent ce soir... Il leur parle de ce qu'il a appris. 1/12

8 /
Extérieur soir
- Le véhicule dépose nos héros devant la petite porte du palais où Helsse les attend. Reith ne parle pas de ce qu'il sait à propos des assassins. Cabotin, Reith refuse d'entrer par là et veut passer par la grande porte ou alors c'est Cizante qui viendra les voir dans la taverne du coin. Helsse doit céder et nos amis font le tour du palais pour entrer. 1/13

9 /
Intérieur soir
- Ils sont dans une salle de réception assez grande, perdus au milieu, à côté du buffet. Cizante entre, en grand habit noir de deuil (135). Il est solennel et tout en jouant avec un bâton d'encens, il leur apprend que finalement, il ne donnera rien. Il dit que ses paroles n'étaient en fait destinées qu'à ses gens. Anacho s'énerve et dit qu'ils savent qu'ils ont mis Reith sur un contrat. Traz enchaîne en disant que c'est Helsse qui a passé la commande.
Cizante semble surpris et il questionne son homme de main. Il semble très indisposé par ce manque de courtoisie (137). Le seigneur prend son homme à part et s'en va. Helsse revient et dit que le seigneur leur propose 10000. Anacho fait des tractations et finit à 50000 (138).
Ils partent avec l'argent en disant qu'ils quitteront la ville le lendemain. Helsse les conduira à une station de transports publics hors de la ville vers midi. 2/15

10 /
Extérieur nuit
- Ils rentrent à l'hôtel sur l'Ovale quand Reith se fait tirer dessus. La balle lui frôle la tempe. Ils chopent le tireur (139) et Reith reconnaît un attentiste ! Il explique la raison de son geste (139). Ils le laissent partir avant que la patrouille ne l'arrête. 1/16

11 /
Intérieur soir
- Ils prennent leur clé de chambre en disant qu'ils ont hâte de quitter cette ville de fous. Anacho fait son malin et disant qu'il avait prévenu !
L'homme aux clefs d'or leur dit que quelqu'un les attend. C'est un membre de la guilde qui dit que pour avoir malmené un agent (sauvé de justesse), il leur doit 18000 sequins. Sans quoi il sera tué. Et interdiction de quitter la ville.
En voyant ça, Reith se marre devant ses amis ébahis. Pour lui, c'est trop, ça en devient comique !!! 1/17

12 /
Extérieur matin
-Zarfo arrive en premier et veut voir l'argent. Reith lui montre et le Lokhar est prêt à le suivre au bout du monde. Il veut garder l'argent pour plus de sécurité, bien entendu, Adam refuse (143-144).
Helsse arrive à son tour et remarque que des assassins surveillent. Pourtant, il a enlevé sa commande de contrat. Le Terrien lui explique le nouveau problème (142). Helsse hésite, s'il aide Reith, il risque d'être associé à son évasion. Zarfo dit que ce n'est pas grave, en avant. Les assassins essayent de les arrêter mais nos amis les mettent au tapis. Ils s'enfuient avec le landau d'Helsse qui est désespéré : s'il revient en ville, il sera tué, c'est sûr !! (145-146) 2/19

13 /
Intérieur / EXtérieur jour
- Ils roulent jusqu'à ce que le landau tombe en panne dans un grand décor de mine abandonnée. Ils se demandent où aller et partent à pieds. (148-149) 1/20

14 /
Extérieur jour
- Ils trouvent une trace de pas de Pnume (150). Ils montent en haut d'un terril et regardent le paysage : le voyage à pied ne sera pas du gâteau. Grande dernière case !!! 1/21

15 /
Extérieur jour
- En longeant le lac noir, ils arrivent en vue d'un village Hoch Hars vide. Tandis qu'ils le traversent (pas le choix, montagne d'un côté, lac de l'autre), Traz entend des gens autour d'eux. Reith n'entend rien et pourtant, ils sont bien surveillés... Et se retrouvent vite entourés par des hommes armés.
Ils demandent s'ils sont des espions de Yaos, leurs ennemis jurés. Si oui, ils les tueront tous. Helsse dit que non, ils sont seuls et perdus. Dans le groupe, tout le monde s'interroge du regard. Helsse continue en disant qu'ils vont à Kabasas. Zarfo demande un bateau et du ravitaillement. Les pêcheurs sont pauvres depuis que les Yaos ont fermé les mines, c'est la misère ici (tu vois le message, même si tu n'es pas du nord). Reith propose des sequins et ça les gêne parce que l'argent n'est pas très utile vu qu'ils vont rarement en ville (152). Cependant, les femmes en arrière acceptent et les hommes cèdent. 2/23

16 /
Extérieur jour / soir
- Ils prennent du ravitaillement et la barque. Tsutso leur explique le trajet en off (châteaux hantés, ne pas y dormir sous peine d'être souillés, arrivée au grand caillou où le Jinga prend sa source, attention à la grande pente entre les parois rocheuses à pic, une fois la mousse passée (nos amis en ont partout), il suffit de suivre le fleuve, c'est plus calme) tandis qu'on les voit se battre contre les éléments déchaînés (152-155). Puis ils quittent le village en disant au revoir. 1/24

17 /
Extérieur jour / nuit / etc...
- Scène de voyage, tu connais le truc maintenant : On gagne de la place en faisant des petites scènes très différentes. Ici, c'est un peu mieux que sur le bateau parce que le décor autour change pas mal !!
Les à-pic s'évasent pendant qu'ils naviguent de jour. / Dorment sur une petite île, avec plein de bruits autour. Ils ne dormant pas de peur, sauf Anacho qui en écrase grave ! / Ils longent une jungle avec des sortes d'araignées/singes qui crachent vers le bateau. Zarfo dit que c'est un signe de gentillesse. Reith assure que chez lui, c'est le contraire. Helsse demande où c'est chez lui. Reith ne répond pas vraiment (155-156). / Ils dorment sur une île tranquille. Anacho n'arrive pas à dormir alors que tout le monde roupille. Il peste contre ce silence !! / Ils parlent de leurs motivations pendant qu'ils sont dans les marais. (156/157) / Ils dorment sous le bateau sous la pluie. Helsse prend la première garde, Anacho est content des bruits de gouttes sur la coque (158). 3/27

18 /
Extérieur jour
- Au réveil, Helsse a disparu !! Il n'a réveillé personne pour la garde !! Ils l'appellent et doivent repartir ! 1/28

19 /
Extérieur / intérieur jour / nuit
- Ils terminent le voyage, prennent un plus gros bateau et arrivent à Kabasas (160-161). 1/29

20 /
Extérieur jour
- Ils découvrent la ville et les habitants (description 161). Traz regarde une très belle femme qui se met à hurler et à lui sauter dessus. Sous le regard ébahi de nos amis, d'autres femmes (un fagot) arrivent pour battre Anacho qui ne pige rien. Nos héros le sortent de ce chantier tandis que d'autres hommes arrivent pour se battre avec les femmes. C'est un sacré chantier !! Zarfo explique (161-162).
Anacho se moque de Traz en disant qu'il n'a pas de chance avec les femmes décidément. Traz fait la gueule et Anacho fait ses excuses. Ils arrivent dans une nouvelle auberge : Le Dragon de mer. Elle est construite sur un promontoire rocheux qui ressemble à un dragon se jetant dans l'eau ! 2/31

21 /
Intérieur soir
- Après s'être baigné, Reith tombe dans l'hôtel que Helsse, comme hypnotisé. Celui-ci s'en va sans rien dire !
Zarfo arrive alors avec un marin nommé Horstilfe qui a un bateau : le Pibar. Avec lui, ils iront à Smargash en passant par Zara. Le temps de se remettre de la surprise de voir Helsse, il présente le type. Zarfo veut 5000 sequins pour le voyage, il en aura 300 !! Reith est dur en affaires ! (165-166) 2/33

22/
Extérieur jour
- Sur le bateau, nos amis se débarrassent des gredins de Horstilfe et prennent la mer. (167-170) 2/35

23 /
Intérieur / Extérieur nuit / jour
- Voyage (tu connais le principe).
Nuit d'orage. / Ils achètent des fringues à Zara ;) / Croisent des Niffs (172). Ils dorment alors qu'ils dansent sur les rives. / Ils arrivent au bout du fleuve. Ensuite il faut prendre une caravane sur 500 kms. Zarfo échange le bateau contre le voyage en première. / Passent au large d'un reptile à tête de tigre qui dévore une carcasse, entouré de sorte de petits marsupiaux sur leurs pattes arrières. / Ils arrivent à Smargash, les femmes sont le contraire des hommes : Blanches avec cheveux noirs (175).1/36

24 /
Intérieur jour
- Zarfo arrive avec 5 mecs qu'il a recrutés pour la mission. Il leur montre la belle maison (176) que Reith a loué (juste parce qu'il en avait marre des auberges) pour les convaincre de l'aider (montrer que le patron est dispendieux).
Il les présente à Reith qui leur explique la mission ! Les mecs sont un peu inquiets mais Zarfo aide le Terrien à les convaincre pour de bon. (177-180) 3/39

25 /
Intérieur soir
- Pour fêter ça, ils vont à l'auberge tous ensemble et tombent sur Helsse qui regarde les danseurs d'un œil torve ! Zarfo pense à le soigner en allant voir un rebouteux Dugbo. Il explique qui ils sont (181). 1/40

26 /
Intérieur nuit
- Chez le rebouteux Dugbo, Reith et Zarfo le regardent désenvoûter Helsse en lui faisant respirer de la fumée et en lui pinçant le nez pour l'hypnose (Helsse louche quand il est hypnotisé), dit-il. Ils apprennent qu'il est un espion Homme-Wankh. Ils comprennent pourquoi le Hoch Hars ne lui ont rien fait !!
Mais il ne dit pas ce qui lui est arrivé après qu'il ait disparu, cette nuit là. Au contraire, il retombe en arrière et le Dugbo dit qu'il est mort. (182-184) 2/42

27 /
Extérieur jour
- Tous nos amis arrivent en 6x6 en vue d'Ao Hidis et longent la ville. Tout en surveillant aux jumelles, ils parlent des Hommes-Wankhs qu'ils n'aiment pas, même si Zarfo les admire pour leur facilité à capter les harmonies Wankhs (188). Anacho est content de voir que les Hommes-Dirdirs. Un Lokhar dit qu'ils sont malins parce qu'ils ne font rien à part traduire pour les Wankh. Ils sont malins !!
Enfin, ils se garent dans un endroit discret. De là où ils sont, ils peuvent surveiller le spatiodrome ! Celui-ci n'est pas très gardé, les Wankh n'ont pas peur. Il y a deux petits vaisseaux et un paquebot. Ce dernier est un modèle peu connu des gars qui préfèrent prendre un des deux autres, même si Reith est de l'avis contraire. Il accepte leur verdict et ils attendent la nuit. 2/43

28 /
Extérieur / Intérieur nuit
- Nos amis se glissent sur le terrain pour se rendre compte que les deux petits vaisseaux sont en réparation ! Ils doivent aller vers le gros mais le connaissent mal !! Tant pis, pas le choix.
Pendant que nos amis préparent le vaisseau, un véhicule approche. Ils ne le voient pas !! Dedans, un Wankh et des Hommes-Wankhs !!
Nos amis ne sont pas prêts à décoller mais soudain entre le Wankh. Ils sont surpris mais Reith réagit vite. Il ferme les portes et donnes l'ordre de décoller. Le Wankh est coincé avec eux mais les Hommes-Wankhs n'ont pas le temps d'entrer. Ils ne peuvent même pas tirer sur le vaisseau pour ne pas tuer leur chef !!
Le vaisseau s'éloigne vite !! (191-192) 3/46

29 /
Intérieur nuit
- Les types ont du mal à piloter. Le vaisseau tangue quand Reith fait s'asseoir le Wankh. Finalement, à la suite d'une fausse manœuvre, ils tombent vers la mer. C'est un amerrissage en catastrophe ! décidément se dit Reith, j'aurais tout connu en crash sur cette planète. Au moins sont-ils vivants...
Reith ouvre la porte du vaisseau pour voir qu'ils sont au milieu de l'eau. Dans la brume, Zarfo reconnaît la ville de Ao Khaha, ils sont donc sur le lac Falas.
Les réparateurs viennent dire à Reith qu'il n'y a rien à faire et le Wankh profite d'un moment de calme pour pousser tout le monde et sauter à l'eau. Reith demande à Zarfo ce qui se passera s'ils sont chopés par les Homme-Wankh après leur larcin, Zarfo répond qu'ils seront exécutés. (192-199) 4/50

30 /
Intérieur / Extérieur aube
- Il y a de la brume sur le lac, un vaisseau de soldats Homme-Wankh arrive vers le paquebot qui flotte. Dedans, un des Lokhars réveille les autres en disant qu'ils arrivent. Fatalistes, ils se rendent aux hommes en armes. Ces derniers les font mettre en rang et de dos pour les fusiller. Reith essaye de motiver ses troupes mais ils sont sauvés au dernier moment par le Wankh qui ressort de l'eau et fait des harmonies. Tristes, les Hommes-Wankhs emmènent nos amis. (199-200) 2/52

31 /
Intérieur nuit
- Nos amis sont en prison en ville. Ils attendent mais ne savent pas quoi... S'ils ne sont pas tués, ils seront employés aux mines, ce qui est pire (Pnumes et Pnumekins y font leurs razzias !).
Puis la porte s'ouvre et entre... Helsse, en soldat !! On voit bien que c'est un Homme-Wankh maintenant. Il est suivi par quelques soldats en armes. Reith tente de lui parler mais Helsse est froid et semble détester Reith (208-209). Il faut mettre les hommes dans un coin de la pièce et se met à pousser une étrange harmonique. Les cristaux changent de couleur et la pièce s'agrandit, se transforme en sorte de tribunal.
Alors entrent trois Wankh, Reith semble reconnaître celui du vaisseau. Helsse commande un interrogatoire de Reith. Visiblement, si ça ne tenait qu'à lui, il les aurait tués mais les Wankh veulent savoir des choses. (210-211)
Les Wankh posent des questions que Helsse traduit mais nos amis sentent qu'il traduit mal les réponses. Zarfo harmonise "faux" mais ça ne sert à rien. Alors Reith saute sur Helsse et lui tord le nez pour l'hypnotiser (Helsse relouche) !! Et il le force à traduire normalement !!
Du coup, il apprend aux Wankh ce qu'il voulait faire (il est originaire de la Terre et veut y retourner, parle de sa mission), et aussi que les Hommes-Wankhs profitent d'eux (211-213) !!
Les Hommes-Wankhs démasqués mais en armes regardent leurs maîtres avec appréhensions et après un petit conciliabule, ils visent leurs maîtres !! Heureusement, Reith et ses amis leur sautent dessus et les désarment.
Les Wankh émettent des harmonies et Helsse (qui n'a pas participé au combat) ramasse une arme au sol. D'un air très froid, il tue ses compatriotes (on croit au début qu'il va tirer sur nos amis).
Et les Wankhs s'en vont sans plus rien dire. Nos amis restent comme autant de ronds de flanc X 2.
À un moment, Reith se décide et demande à Helsse de lui rendre ses affaires et de les mener hors de la ville !!
Puis une fois libre, il désenvoûte Helsse (214) et tout le monde s'en va sans bien comprendre ce qui s'est passé ! 4/56

32 /
Intérieur nuit
- Dans leur maison de Smargash (6X6 garé devant la porte), Anacho, Reith et Traz regardent les jeunes danser sur la place. Ils voient Zarfo arriver.
Devant des boissons fraîches, le Lokhar leur explique ce qui se passe entre les Wankhs et les Hommes-Wankhs (216-217). Ils devisent de leurs exploits : Une fois ils ont aidé des humains exploités par une race et une autre fois, ils ont puni des humains qui exploitaient une autre race ! Mais pas de vaisseau.
Anacho dit qu'ils peuvent en trouver chez les Dirdirs, mais ça coûte cher ! Ils n'ont pas assez de sous. Zarfo lance alors de l'argent à Reith, une somme qu'il a investie lui a rapporté ça. Il tient à la donner. Reith est content du geste mais refuse.
En tout cas, Anacho, veut aller voir la Terre. Reith n'est pas contre mais à pied, c'est impossible. Il ne sait pas où trouver tous ces sequins. Anacho et Traz non plus... 3/59

Fin du tome 4

33. JDMorvan - 15/08/01 10:12
Je dirais 3 ou 4 pages.
Mes présentations de dossiers aujourd'hui font à peu près 5.

32. dominum - 15/08/01 02:17 - (en réponse à : A jean David Morvan)
Il faisait combien de pages le scénario du tome 1 de la manduerre???Je parle juste au niveau écriture ,si t'enleve les dessin et crocquis .

31. JDMorvan - 14/08/01 19:55
Je voulais juste rajouter qu'un scénariste ne travaille pas POUR un dessinateur mais AVEC !
Le truc, c'est de faire un projet où les deux s'y retrouvent. Pour ça, il faut donc communiquer de toute les manières possibles, mais bien !!
Gommer au maximum l'égo pour donner toute son importance à la BD. MAis aussi savoir ce quon veut raconter et POURQUOI on le fait afin de le défendre !

30. JDMorvan - 14/08/01 19:51 - (en réponse à : à Florent)
J'ai lu le livre et aussi j'ai vu le film. Pour des raisons différentes j'aime les deux.
Il y a plein de films où des jeunes partent à le guerre, contre des Aliens ou pas. Mais je ne renie pas l'influence.
Cependant, je n'y avais jamais pensé en le faisant. Mais comme tu n'es pas le seul à me le dire, il doit y avoir quelque chose.
En fait, je vaux parler dans cette série des différents moyens de voir ou d'imaginer la guerre. Mon histoire part de ma passion pour la guerre de 14 et de ce que j'ai imaginé être la vie des soldats... Et de ceux qui vont l'être. Car avec lacensure, combien de futurs poilus pensaient que c'était aussi horrible.
C'est ce choc que je recherche. Et les Allemands à cette époque, je crois que les gens devaient un peu les imaginer comme des Mandis : horribles et sanguinaires. Voilà, ce n'est après tout qu'une petite métaphore.
Mais la guerre en tant que sujet me passionne. Da'utres séries ou histoires vont tourner autour dans le futur.

29. Florent - 14/08/01 17:21 - (en réponse à : Pour JDM)
Merci pour cet presentation de la Mandiguerre. Apres cette lecture, on remarque quand meme quelques differences avec lespremier tome de la BD.
Cependant en lisant le resume (surtout la suite de l'histoire avec des jeunes embarques dans une guerre) je ne peux m'empecher de voir une ressemblance avec Starchip Troopers (le film ou mieux pour ceux qui connaissent le livre Etoiles Garde-a-vous en version francaise), est-ce volontaire ?

28. Sp|ne - 14/08/01 16:20
Je vais faire le chieur en répondant à sa place ;-)
le premier chiffre représente le nombre de pages qu'occupe le descriptif et l'autre le total cumulé.

27. Shayin - 14/08/01 16:17 - (en réponse à : À JDM)
Une simple question un peu bête mais j'aimerais savoir ce que signifie les numéros au bas des paragraphes 4/5, 3/8 etc...
Merci!

26. Jeff-et-des-points - 14/08/01 16:06 - (en réponse à : Jeff@zerezo.com)
MERCI JDM!!!!!!!!!!!!!!

25. Datavinn - 14/08/01 15:54
Tout à fait, merci bcp !

24. Sp|ne - 14/08/01 15:44
De mon côté (et je suis pas un pro), je pense qu'il n'y a pas UNE panacée pour l'écriture des scénars. Je pense qu'il faut une bonne entente entre le scénariste et le dessinateur. Certains dessineux aiment être fort "dirigés, d'autres moins. Et puis certains scénaristes savent également dessiner et donc peuvent rajouter des croquis. Par contre je pense qu'il faut du talent, savoir tenir compte des impératifs techniques, bien user de l'ellipse et trouver des dialogues sympas.

23. Liza - 14/08/01 15:36 - (en réponse à : c.tabart@noos.fr)
C'est peut-être long à lire, mais c'est drôlement intéressant...
Merci JD
;o)

22. Babar - 14/08/01 14:23
Eh ben c'est long à lire

21. JDMorvan - 14/08/01 11:49
Voilà comment je présente mes projets. C'est un exemple concret d'une série qui se fait chez Delcourt.


LA MANDIGUERRE

MORVAN-TAMIAZZO

L’UNIVERS :
C’est un monde steampunk, proche en tous points de notre dix-neuvième siècle sauf que les humains possèdent des vaisseaux capables de les emmener de planètes en planètes. Ce sont des navires fonctionnant à la vapeur qui doivent, pour avancer, effectuer des sauts de puces entre des astéroïdes sur lesquels se trouve de l’eau.
Les humains ont colonisé de nombreuse planètes peuplées d’extra-terrestres qu’ils considèrent comme des races inférieures. Ils ont entrepris de leur inculquer de force leurs valeurs et leur religion. Ils exploitent sans vergogne les matières premières de ces planètes, ainsi que leurs habitants. Des aventuriers sillonnent sans relâche les vides interstellaires et assoient l’hégémonie de leur civilisation.
Jusqu’au jour où ils se heurtent a une espèce qui leur est légèrement supérieure technologiquement. Une guerre s’engage donc et l’armée humaine, surpris, est obligée de reculer.

Le premier tome se déroule sur une planète humaine consacrée entièrement à la fabrication d’armements. C’est une planète éminemment industrielle désormais seulement peuplée de femmes, d’enfants et d’éclopés depuis que la mobilisation générale a envoyé tous les hommes au front.
Celui-ci se trouve maintenant bien loin derrière elle, rapport à la déroute humaine. Ne voulant pas perdre de soldats ni de matériel en investissant cette planète sur-armée, les aliens ont créé un blocus visant à affamer la population en attendant sa reddition.
Mais les forces humaines profitent d’une tentative d’encerclement de leur planète-mère pour attaquer tout droit. Une des batailles de cette guerre vise à désenclaver la planète d’armement sus-citée.


L’HISTOIRE :
Sur cette planète victime d’un blocus, la population meurt de faim. C’est pour cela que deux jeunes garçons (un ancien riche et un toujours pauvre) passent leurs journées à chasser les rats dans les égouts. Ils les revendent ensuite à un receleur qui se livre à un marché noir très rémunérateur. Si celui-ci leur paye leurs prises, il ne perd pas une occasion de les arnaquer.
Un soir qu’ils refusent de laisser leur chasse de la nuit à un prix bien trop bas, la bataille de libération commence dans l’espace. C’est en tentant de rentrer chez eux qu’ils observent la chute d’une navette alien sur leur quartier, entre deux bombardements.
Dans cette navette se trouve général de l’armée ennemie. Nos deux amis vont passer l’album à le traquer. Celui qu’ils prennent, conformément à la propagande, au début, pour un monstre, se révèle au fur et à mesure une personne normale tentant de tout faire pour survivre. Une fois capturé, u cas de conscience les tenaille : s’ils ne font rien, ils deviennent traîtres à la patrie, mais s’ils livrent leur proie à la vindicte populaire, il risque de se faire lyncher par la foule.
Les E.T., eux, envoient un commando sur place pour tenter de récupérer leur officier et nos deux héros devront demander de l’aide au receleur et à ses margoulins. La bande de brigands viendront à bout des soldats, y gagnant une nouvelle respectabilité, comme des résistants de dernière minute.
Le receleur en profitera pour convaincre un des gamins (le pauvre qui y voit un moyen de promotion sociale) de remettre son prisonnier aux forces terriennes qui viennent de reconquérir la planète. Le second jeune homme n’étant pas d’accord pour le faire si vite, dans cette atmosphère populaire vengeresse, le premier enlève le pauvre type sans lui demander son avis.
Bien entendu, le général ne parvient pas jusqu’au QG de l’armée. Le receleur harangue la foule et l’extra-terrestre est écharpé ans coup férir. Mais le jeune homme qui l’a livré devient bien vite un héros. Managé par le receleur, il va devenir un véritable héros de propagande grâce aux reportages cinématographiques naissants. Un vrai soldat d’opérette que tout le monde souhaite avoir comme gendre.
Son ancien ami, lui, est enrôlé dans l’infanterie basique et il vivra dans la boue ou les navires de guerre, aux côté des armées coloniales et sous des officiers intransigeants la réalité de cette boucherie de guerre.


TOME 1 :

1 /
"Espoir de Byancoor" / Soir
- Au cinéma, le public regarde les actualités de la guerre contre les Mandis. L'un d'entre eux a été arrêté. Dans la cabine de projection, Cousance rêve à un avenir de reporter. 1/1

2 /
Espace
- Un navire de guerre terrien fait le plein d'eau en pompant la glace d'un astéroïde. Il est attaque par une patrouille de chasseurs Mandis. Cloué par des stalagmites, le navire est perdu. Le Pacha ordonne au capitaine D'argonnes de fuir avec un mystérieux paquet. D'argonnes bondit dans son chasseur au moment où le navire principal explose. Il est le seul survivant. 4/5

3 /
Egouts de "Espoir de Byancoor" / Soir
- Dosnon et Tillois sont en train de chasser des rats énormes. Tillois se fait attaquer par l'un d'eux avant d'être sauvé par son ami et son électrocuteuse. Ils en capturent une dizaine puis rejoignent la surface de la cité industrielle construite dans un cratère. Ils croisent des ouvriers (femmes et amputés) qui sortent des usines et parlent du jour où ils auront 18 ans et où ils s'engageront dans l'armée. 3/8

4 /
Espace
- D'argonnes est pris en chasse par les chasseurs Mandis alors qu'il approche de "Espoir de Byancoor". Un ballet aérien s'engage qui montre la supériorité de l'humain. Il détruit deux chasseurs mais le troisième s'accroche. 3/11

5 /
Repaire de Baffu / Soir
- Tillois et Dosnon sont en train de négocier leurs rats morts avec Baffu, le grand coordinateur du marché noir sur "Espoir de Byancoor". Les enfants veulent de la nourriture en échange, mais surtout de l'alcool. Baffu se moque un peu d'eux mais s'inquiète au moment où les sirènes retentissent. Inquiet, il éteint les lumières et vire les gamins. 2/13

6 /
Rue / Nuit
- Tillois et Dosnon sont dans la rue et regardent le ciel où on peut observer les lumières du combat aérien. Ils entendent la voix de Cousance qui les hèle. Elle court avec sa caméra à leur rencontre en disant qu'elle se doutait bien les trouver là. Sans perdre une seconde, elle leur demande de la suivre chez Sermaize Lébain, leur expliquant en route qu'il semble y avoir un duel en l'air et qu'elle ne veut pas le rater. 2/15

7 /
Taudis Sermaize / Nuit
- Sermaize Lébain est un vieux pochtron de tout premier ordre. Sa maison est un véritable musée des explorations coloniale qu'il a entrepris dans sa jeunesse (voir une photo de lui avec Vauclerc). Sermaize est en train de roupiller dans un vieux fauteuil déglingué. Les enfants les réveillent grâce à l'odeur de l'alcool et c'est dans un semi-coma qu'il les conduit jusqu'à son avion crasseux planqué dans un hangar. Tout en buvant, le vieux se met aux commandes aux côtés de Tillois qui dirige réellement les opérations (il veut devenir pilote). Dosnon fait un check-up complet du zinc tandis que Cousance installe sa camera. Et c'est parti, cahin-caha, l'avion décolle et file vers le ciel. Cousance est très excitée et filme les lumières de la bataille spatiale. 3/18

8 /
Espace + atmosphère "Espoir de Byancoor" / Nuit
- À le suite d'une audacieuse figure, D'argonnes parvient à détruire son ennemi. Touché, il se dirige vers "Espoir de Byancoor" afin de se poser. Il entre dans l'atmosphère en pilotant à vue, ses radars étant hors-service. Dans le cockpit de son avion, Sermaize roupille après avoir sifflé presque deux bouteilles. Aucune importance, Tillois s'en sort comme un chef. Il est content de lui et s'auto-flatte lorsque soudain il heurte quelque chose. En fait, il vient de percuter le vaisseau de D'argonnes qui a mal supporté l'entrée dans l'atmosphère et qui pique droit vers les terrains glacés qui bordent la cité. L'atterrissage de D'argonnes est délicat et si le crash total est évité de peu, le chasseur s'en sort en piteux état.
Les enfants (Sermaize dort toujours) se posent à côté des décombres dans un quartier qui est aujourd'hui à l'abandon. Ils récupèrent le capitaine inconscient et remarquent un logement brisé et vide. Ils ont beau chercher, ils ne trouvent personne d'autre. Ils repartent donc sans apercevoir la forme vaguement humanoïde qui, blessée, entre dans un conduit d'égout. 5/23

9 /
Intérieur maison Lébain / Nuit
- Nos amis ont recouché le poivrot qui dort encore comme une masse. Tillois contacte par téléphone la maison de son grand-père. Il est absent mais le majordome dit qu'on va venir le chercher. Les amis se quittent donc en se promettant de ne parler de tout ça à personne sous peine d'avoir de graves ennuis (réparer l'avion pour en avoir un à eux ?). Cousances va développer le film au plus vite tandis que Dosnon rentre à l'orphelinat. 2/25

10 /
Maison des Tillois / Nuit
- Un docteur est aux côtés de D'Argonnes endormi dans une somptueuse chambre. Il finit d'ausculter le militaire puis dit à Vauclerc qu'il s'en sortira si le coma ne se prolonge pas trop. Le docteur part et Vauclerc retourne dans la chambre de D'Argonnes pour trouver son petit fils en train de contempler l'uniforme (de jouer avec l'arme ?). Il lui dit d'arrêter ça de suite. Il sait qu'il n'aime pas l'armée et qu'il n'a recueilli de militaire par charité. Mais ça l'emmerde. Puis il demande à son petit-fils où il a trouvé ce bidasse. Vu qu'un combat aérien a eu lieu (rapport, il est le chef de la planète), il a dû tomber avec son avion et il faudrait retrouver l'appareil. L'autre est bien embêté et dit qu'il ne sait pas, qu'il a trouvé le type errant, titubant, en ville. Vauclerc fait : hmmpf, puis il dit à Tillois d'aller se laver, manger et se coucher. 3/28

11 /
La rue, l'orphelinat / Nuit
- Cousances et Dosnon arrivent en vue du cinéma en discutant avec excitation de ce qui leur est arrivé. En se quittant, Dosnon tente d'embrasser la jeune fille qui le repousse gentiment. Le garçon lui demande si elle est amoureuse de Tillois mais elle ne veut pas répondre. Ils se quittent et il rentre dans les lieux, discrétos, tentant d'aller se coucher peinard au dortoir. Hélas, le surveillant principal lui tombe dessus et le met au trou pour la nuit. 3/31

12 /
Maison de Vauclerc, soupe popu / Nuit
- Tillois mange dans sa somptueuse salle à manger. Dosnon bouffe de la merde enfermé dans un réduit pourri. Tillois dort dans sa belle chambre, Dosnon roupille au trou, avec les insectes. Au milieu de la séquence, Vauclerc envoie un message à l'armée quant à la présence de D'Argonnes. Il parle avec Somsois de l'endroit où il est allé cherché Tillois et ce qu'il dit (maison Lébain) confirme ses doutes quand à l'histoire de son petit fils. Mais il laisse couler. 1/32

13 /
Salle de développement / Nuit
- Cousances est en train de mater ses films et elle se rend compte qu'une forme étrange s'est bien enfuie. Elle trouve ça incroyable. 1/33

14 /
Rue, cinéma / Jour
- Tillois et Dosnon se retrouvent (Tillois attaque sur un angoissé : et avec Cousance, ça s'est bien passé le retour ? Dosnon répond : Hmm… très bien. RAS. Genre langue de bois quoi…) et marchent ensemble jusqu'au ciné. Il y a discussion, Tillois dit à son pote que ça n'a pas l'air d'aller (il se planquent au passage des gendarmes, ce qui n'est pas utile vu que ce n'est pas le couvre-feu). L'autre lui répond que si, pas de problème majeur. Il dit qu'il en a marre de végéter ici et qu'il a hâte de faire son trou dans l'armée. Tillois embraye en disant que ce serait la gloire, les voyages, l'aventure etc… L'autre lui répond qu'il ne rêve que d'une situation stable, mais très doucement. Tillois qui n'a pas entendu lui demande de répéter mais l'autre dit qu'il ne pigerait pas. Tillois n'a pas le temps de se questionner plus avant sur la réaction de son ami car l'autre lui demande comment va l'officier. Pas sorti de sa léthargie dit Tillois. Et ils arrivent au ciné où Cousances leur a donné rendez-vous. Ils entrent dans la salle vide et se demandent où est leur amie quand un immense image floue de Mandi s'affiche, leur faisant peur. Cousances leur cause de la salle de projo, elle a pigé que c'est le prisonnier qui est ici. L'escorte des actus du début était un leurre, la vraie escouade a du passer plus discrétos par ici et avoir un problème. D'un commun accord, ils décident, bien puérilement, de choper la bête. 4/37

15 /
Les égouts / Nuit
- Dans les égouts, une forme erre, voûtée. Elle chope un rat et le bouffe. C'est très inquiétant. 1/38

16 /
Maison de Vauclerc
- Vauclerc reçoit un message de l'armée. Les mecs sont surexcités mais ne veulent pas trop en dire. Ils disent d'attendre l'arrivée de troupes. Le majordome dit que c'est bien le première fois que les bidasses s'intéressent à Espoir de Byancoor, Vauclerc se demande bien pourquoi. 1/39

17 /
Les égouts
- Nos amis traquent la bête avec la tueuse de rats. Ils finissent par l'avoir et sont très contents. On termine sur une question de Cousance qui fait retomber l'ambiance d'un coup : On en fait quoi maintenant ? Presqu'embrassade entre Tillois et Cousance. Mais elle dit non. 6/45

18 /
Maison de Vauclerc
- D'Argonnes se réveille, Vauclerc est à son chevet. Il n'attend pas trop (dit à D'Argonnes qu'il est content qu'il aille bien) pour demander sèchement des explications.

Fin du tome 1


LA SÉRIE :
Partant de cette base de départ, chaque album racontera, à travers les points de vue antinomique de nos héros, la progression de la guerre.
Différentes campagnes sur des planètes d’aspect toujours différent, permettront de garantir une grande diversité de situations.

20. Y.L. - 14/08/01 10:32
Je suis un pro j'ai placé plusieurs projets chaque fois de manière très différente. j'ai indiqué le Pavillon rouge car il me semble que pour les éditeurs, c'était la manière idéale de RECEVOIR les projets.
Maintenant cela peut te faire marrer mais je pense qu'il n'y a aucun mal à demander de l'aide. Quand je ne sais pas quelque chose je demande.

19. Nestor - 14/08/01 10:18
Cela me fait rire ce sujet...
Aucun pro ne donne leur avis, seul des amateurs se perdent en conjoncture ;-)

18. Mac_Shane - 14/08/01 09:58 - (en réponse à : macshane@free.fr)
salut,
moi, j’ecris d’abord de maniere romancé, avec des dialogues pousses et des descriptions de persos et de lieux pas tres courtes non plus, bref, comme un vrai petit roman quoi. D’ailleurs, j’arrive assez vite à un nombre de pages impressionant pour ce type de version !
Ensuite, je mets tout ça dans un tiroir et puis j’attends tranquillement quatre à six mois, voir plus. La, je relis le tout et je me rends compte a quel point certains trucs ne tiennent pas la route, quels dialogues ou sitiuations sont lourds, etc. Donc, je reprends tout ca, et ensuite j’attaque un synopsis de huit a douze page de ce que j’ai ecris. Viens après le decoupage dans lequel j’edulcore les dialogues trop longs et les situations sans importances.
Pourquoi tout ca ? Ben, d’une part parce que je suis un besogneux –quelqu’un de doue n’a pas besoin de faire tout ce travail-, et ensuite, de ne pas fournir juste un découpage et un synopsis au dessinateur, c’est lourdingue je trouve, lui donner un veritable roman (ou presque) bien ecrit (ou pas trop mal) je crois que c’est mieux pour qu’il s’immerge dans l’histoire.
Mac

17. Caligari - 13/08/01 09:16
Il y a un bouquin tres bien fichu sur l'ecriture du scenario qui vient de paraitre aux editions Dixit, en plus les commentaires et les analyses des films sont vraiment tres sympa!

16. John Macadam - 11/08/01 18:38
Le scénario est selon moi indispensable. C,est a cette étape que l'on met la vie dans l'histoire, le dessin est le complement, l'ajout a tout ca...

15. Shayin - 10/08/01 14:53
Pour ma part, j'ai essayé de faire une première version écrite:
Une courte phrase pour expliqué l'idée générale. Ensuite je travaille en mode texte beaucoup plus élaboré: description d'ambiance, lieu, qui sont les personnages (et même les bruits de fond...pour l'ambiance encore). Après, sur "feuille morte", je dessine des cases avec le descriptif que j'ai fait. Je repasse ces cases pour voir qu'elles sont celles qui ne sont pas claire, pas assez compréhensives, s'il ne manque pas de détails pour assurrer la logique entre les cases et l'histoire et j'enlève aussi les cases qui sont inutiles ou redondantes.
Ensuite, j'assemble les cases pour former une page: je choisi le bon format des cases, modifie quelques angles, etc...
À la fin, j'obtiens la page qui me convient et je peux passer à l'étape finale de retravailler mes roughs et de mettre au propre.
Voilà, c'était ma façon de faire pendant un certains temps, mais maintenant je passe directement du synopsis à la création des cases. Ça coupe des étapes d'écriture où je ne me sentais pas à l'aise (j'ai plus de difficulté à decrire une atmosphère en mots qu'en dessins).
Bien sûr, c'est ma façon avec laquelle je me sens à l'aise. Il faut expérimenter pour découvrir quelle est la méthode qui nous convient.

14. John Macadam - 10/08/01 03:25
Regarde bien. J'ai deux scénario en tête. L'un, est plus concret que l'autre. Moi je ne note rien et laisse murir en tête (au risque de perdre de sidées). Mais mon plan est très détsailler

13. Jérémy - 09/08/01 23:13 - (en réponse à : stephanie.jeremy@wanadoo.fr)
Je ne pourrai pas continuer cette conversation de là où je vais, mais lirai tout à mon retour.
Jeff, j'avais déjà lu ce que tu me proposais car j'avais eu la version papier éditer par la Médiathèque de Reims.

Quand à mes scénarios, en vérité, j'ai les idées qui sont à peu prêt toutes notées de ci de là "pareilles à la feuille morte" mais je vais me confronter dès la rentrée à l'organisation de tout ça. En tout cas pour certaines pages j'ai déjà des idées case par case mais pour d'autres c'est le flou (ce flou là me fait un peu peur, comment le présenter au dessinateur).
Je regarde la rubrique de Pavillon rouge à chaque fois avec la loupe pour lire la présentation des scénars reproduites en réduit, ça donne des idées. Quand au contenu de la rubrique, j'aime bien, surtout que ça me remet en mémoire des choses connues et lues notamment dans un petit bouquin sur la BD ed. castor poche/Flammarion ?
On oublie souvent l'évidence.

12. John Macadam - 07/08/01 23:26
Toi Jérémy comment le spense tu tes sécnarios?

11. jeff-et-des-points - 07/08/01 22:24
tu est aller voir ce que je t ai dis??? pasque en plus d etre un "guide" c est un vré extré de scénar... avec toutes les étapes...

10. Jérémy - 07/08/01 15:23
Je te remercie Arzach mais Dallas quoique qu'un peu rude dans sa formulation n'avait pas tort, et c'est vrai que ma question n'est pas simple.
C'est vrai que j'épérait surtout recevoir des extraits envoyés par des scénaristes.

9. Y.L. - 07/08/01 10:11
Dans les numéros de pavillon rouge, il y a une rubrique sur la manière idéale de présenter un scénario à un éditeur.

8. patate - 06/08/01 21:53
le carré est une forme intéressante. Sinon, le triangle est pas mal non plus mais plus délicat à mettre en place !

7. ArzaK - 06/08/01 21:12 - (en réponse à : à Dallas)
Jeremy ne venait pas demander des "trucs" pour faire un scénario mais simplement la manière qui convenait le mieux pour présenter celui-ci.

6. Jeff-et-des-points - 06/08/01 02:05 - (en réponse à : Jeff@zerezo.com)
L atelier 510ttc (composé de Morvan et des ses colaborateurs) a consu un guide (dans le cadre d une association) "la BD de B à D"... je crois avoir compris qu on le retrouvera sur leur site ( www.510ttc.com ), mais celui ci n est pas encore fini... vous pouvez dejas vous faire une idée de ce dont il sagit sur : www.800600.com/look/DBAD.php3 ( c est le site de ceux qui font selui de l atelier 510ttc)
Perso j ai trouver ça trés interessant...

5. John Macadam - 06/08/01 00:58
Moi quand je rédige mes scénario je les pense comme des films... les angles, le scènes etc...



 


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