À quand une revue de B.D. québécoise

Les 101 commentaires sont triés des plus récents aux plus anciens .



101. brigand - 23/10/06 21:13 - (en réponse à : Et une pillule jaune, une!!)
Ratta!

100. Golem - 23/10/06 09:32
YATTTAAA !!!

99. Borgne - 15/08/99 19:01
Il est temps de déménager: rendez-vous au forum "Magazine québécois de B.D." Beaucoup de choses restent à dire...

98. Borgne - 13/08/99 06:22
Voilà exactement le fond de ma pensée, William! Je souhaite que l'on s'unisse à un seul et unique magazine qui, je n'en doute pas, saura répondre aux critères de qualité que l'on se doit de s'imposer. Ce qui m'a toujours attristé de la production Québécoise, c'est la présence de quelques productions médiocres dans à peu près toutes les publications d'ici. TITANIC, CROC, SAFARIR, ZEPPELIN, ICEBERG, PIGNOUF, TOUS ont présenté de belles oeuvres. Malheureusement, TOUS ont publié aussi du plus "bas de gamme". Je crois que le directeur artistique doit être capable de refuser les oeuvres médiocres, les "beaux-dessins-sans-texte-potable" comme les "affreux-dessins-aux-textes-géniaux".

Je suis persuadé qu'une telle revue nous permettrait de revoir nos petites "success story" Québécoises: les Red Ketchup, Capitaine Kébec, les Pixies, les Jérôme Bigras, etc...

Ces auteurs auront probablement envie de s'embarquer dans une pareille aventure si elle présente aux lecteurs une qualité indéniable. Et quelle plaisir ce sera de présenter le fruit de ce travail aux Européens. QUI SAIT ???...........

97. William - 13/08/99 04:13
Je suis vos discussions depuis plusieurs semaines et vous allez finir par faire quelque chose sinon je me dis que vous aurez brassé ben d'la marde pour rien. Relisez-vous, relisez vos échanges sur ce forum, les copains, y manque pas grand'chose pour que vous vous mettiez à travailler ensemble POUR UNE FOIS !!! Dans l'expérience d'un magazine, ça se fait pas seul. C'est beau d'être l'artiste dans son coin qui trippe tout seul, c'est pratique de jouer l'artiste incompris, mais on est - malheureusement - dans une économie de marché et on doit le prendre en considération, ce marché. Alors, pour écouler un magazine de bande dessinée sur un marché ultra-saturé de publications sur n'importe quel support médiatique, faut se lever de bonne heure et faire preuve de beaucoup d'imagination. Et vos échanges, ça sert à ça ! Comprenez-moi bien, j'ai pas dit répondre aux exigences du marché, mais de le prendre en considération et d'évaluer ses tendances, ses hantises. Vous visez un magazine grand public ? Oubliez Demers et compagnie; les gamins fuient ça en décampant ! Faites pas non plus la vulve-éclatée-sous-la-pine-d'un-E.T.-vert-fluo-malade parce que ça, c'est simplement de mauvais goût. L'erreur, à mon sens, de la plupart des diffuseurs artistiques (télé, radio, théâtre, cinéma, revues, etc.), c'est de prendre le public pour des cons finis. Faut juste se dire que l'intelligence d'une histoire - j'ai pas dit une histoire intello ! - va faire son chemin et trouver son public. C'est une histoire de démarche. Continuez à échanger; la bande dessinée est sur une bonne voie.

96. Borgne - 12/08/99 09:03 - (en réponse à : yan.england@videotron.ca)
Voici mon adresse de couriel, Monsieur Salvador. Au plaisir de discuter avec vous.

95. sculder - 12/08/99 09:01 - (en réponse à : fan de creature multi-bite)
dommage ca avait l'air bien comme magazine :(

94. Borgne - 12/08/99 08:59
Advienne que pourra, le processus est enclanché. Apparaîtra dans quelques mois ( ou années, il faut le paufiner, quand même...) un nouveau magazine vrainment tous-publics. 100% exempt de, et je cite, "grosses-vulves-dégoulinantes-qui-se-font défoncer-par-des-créatures-multi-bites-pleines-de-piquants-et qui-viennent-de-l'espace!..."

93. Salvador - 12/08/99 02:54 - (en réponse à : salvador@globetrotter.qc.ca)
Le problème avec la vente en kiosque c'est qu'une partie trop infime de la vente revient à la revue. On le voit bien il y a une clientèle assez nombreuse intéressée par BD au Québec, entre 11000 et 17000 copies ce n'est pas rien. Si l'on tient compte qu'un abonné est beaucoup plus rentable qu'un acheteur en kiosque ça veut dire qu'une banque de 7000 abonnés pourrait probablement faire vivre une revue tout en payant bien ses auteurs.

92. Robert - 12/08/99 02:50
... Et comme ce temps partiel est déjà occupé, dans mon cas, à travailler pour Exil, à grapiller sur des projets personnels qui n'avancent pas et à apprendre des logiciels (faut bien s'éduquer)... Il faudra sortir les billets verts pour me faire embarquer dans un pseudo-journal grand-public. Et le cash aura intérêt à être sur la table avant que je commence à dessiner, pas le contraire, parce qu'au fil des ans, on s'écoeure de servir de cheval pour des Don Quichotte qui ne visent pas les mêmes moulins que nous. La majeure partie de l'année de l'artiste, elle est passée à faire des sous, comme le reste du peuple, afin de payer le loyer... Et dans mon cas, à m'"acheter du temps", parce que de la qualité, ça demande du temps, et que les éditeurs payent rarement suffisamment pour subvenir à ses besoins primaires. Alors faut s'acheter des "petits boûts d'année" à soi, dont on se sert pour faire progresser ses petites affaires personnelles. Pour ce qui est du contenu des magazines, faut juste mentionner que lorsqu'un dessinateur passe sa journée à barbouiller des histoires imbéciles mettant en vedettes des osties de chiens qui parlent, et qui se déplacent dans des autos en forme de nuages et vivent dans des maisons en forme de coeurs entourées d'arcs-en-ciel...et bien ce dessinateur, quand il retourne chez lui, il a rien qu'envie de dessiner des grosses vulves dégoulinantes, qui se font défoncer par des créatures multi-bites pleines de piquants et qui viennent de l'espace!... C'est pas en me faisant raconter les histoires amusantes de "Krikmekrok le pirate au pays de la crème glacé" qu'on me fera embarquer dans un journal commercial grand-public. Le problème avec les Exil et consort, ce n'est pas nécessairement une histoire de marché, de public-cible et autre gnangnan de technocrate véreux et inimaginatif, c'est une question que la qualité ne s'y retrouve pas! Les auteurs ne sont pas assez exigeants avec eux-mêmes et s'imaginent qu'en dessinant un épinette les gens penseront que c'est un sapin, parce qu'ils sont trop paresseux pour aller tchèquer dans un livre de référence de quoi ça a l'air un vrai sapin. Et quand leur demie-BD ne se vend pas, ils jouent les artistes incompris. Je suppose qu'il va falloir continuer à jouer le jeu du marché absent... Il faut juste se souvenir que la BD est une forme d'art, et que l'art n'est pas une question de marché mais de discipline et d'expressivité. Vous pouvez tous arrêter de dessiner si vous êtes tannés de ne pas être lus, mais quoi que vous fassiez (ou que vous ne fassiez pas), la terre continuera toujours de tourner, avec ou sans votre participation. Pour ma part, je pense avoir encore quelques belles choses à donner, que ce soit par le biais d'Exil, de travail de design ou d'albums de BD... Et que ça paye ou non, que ça vende ou pas, je m'en kâlisse. Ça finira toujours par s'infiltrer dans la masse, et rejoindre quelqu'un...

91. Michel - 12/08/99 01:43 - (en réponse à : paledoux@total.net)
Titanic vendait entre 11 000 et 17 000 copies par numéros mais son seuil de rentabilité était de 30 000 copies VENDUES. Même si ses ventes étaient un bon succès (c'était plus que Pilote, Charlie, Métal, Circus et compagnie réunis) ce n,était pas suffisant pour survivre. Il faut dire aussi que Titanic payait ses auteurs selon les barèmes européens de l'époque (entre 150$ et 225$ la page). Ça peut paraître cher mais si tu veux les meilleurs auteurs dans ta revue tu dois les payer. Tu ne peux pas toujours compter sur le bénévolat sinon, comme le disaient Éric et Robert, la BD sera à temps partiel...

90. Salvador - 12/08/99 01:17 - (en réponse à : salvador@globetrotter.qc.ca)
D'abord en réponse à Michel Croyez vous qu'Exil et Zine Zag peuvent accueillir plus de créateurs et quels sont les critères pour y être publié? En ce qui concerne le Zine Zag il est encore possible d'accueillir d'autres auteurs, je prévois d'ailleur augmenter le nombre de pages dans les prochains numéros (52 ou 56) afin de pouvoir publier plus d'auteurs. Pour ce qui est des critères de sélection c'est d'abord la qualité de ce que j'ai sous la main qui prime, le tout étant fonction de l'espace disponible, si j'ai une excellente histoire de 4 pages et qu'il ne me reste que 2 pages de disponibles, l'espace pourrait être accordé un truc un peu moins bon de 2 pages... En ce qui concerne cette histoire de tirage et de distribution dans l'ensemble du Québec, les propos d'Éric ne sont que trop véridiques, et cette réalité constitue une barrière énorme, voir infranchissable, pour une nouvelle revue. En ce qui concerne le Zine Zag j'ai plutôt l'intention d'y aller petit à peit avec une formule d'abonnement, ou une plus large part des profits reviennent à la revue. Quelle forme prendra une éventuelle campagne d'abonnement? À cette heure rien de vraiment défini, bien entendu il y aura les inévitables cartes d'abonnements insérées mais ça prendra surement plus que ça... En passant le Zine Zag #3 sera disponible à Montréal d'ici vendredi au plus tard... désolé des délais c'est encore là une grosse histoire de budget... En passant Borgne Fontaine, est-il possible d'avoir accès à ton adresse de courriel? J'aurai quelques trucs à te jaser...

89. Eric - 11/08/99 20:01
Faut pas mélanger "tirer 11000 copies" et "vendre 11000". C'est pas du tout la meme chose. Pour vendre 11000, il faut imprimer 5 fois plus de copies. Pour qu'un distributeur fasse une job adéquate, il doit etre capable de mettre une couple de copies dans tout les dépanneurs du Québec. Le niveau de perte est incroyable. Il faut avoir les reins tres solide pour payer la facture d'imprimerie avec les ventes d'un cinquieme de son tirage. Et ca, c'est si ca fonctionne. A ce niveau la, Titanic était un succes y'a pas de honte a le dire. La seule facon de couvrir le Québec a ce prix est d'etre tres riche. Québécor peut se le permettre, possedant ses propres imprimeries. Regardez qui publie les magazines Québécois: généralement des imprimeries. Les comic Archie y compris (Payettte et Simms).

88. Borgne - 11/08/99 15:59
Je reviens avec l'exemple de Titanic. Maintenant que je sais qu'il tirait à 11 000 copies, je comprends un peu mieux certaines choses. C'est évident qu'un magazine de la sorte ne peut se permettre de distribuer ses profits ( maigres ) aux auteurs dès le départ. Avec le temps, peut-être cela deviendra-t-il possible, mais, en attendant, la "paye" serait de participer à une belle aventure de la B.D. Québécoise dans le troisième millénaire. Un magazine doit aussi être accessible. Ce n'est pas tous les potentiels acheteurs qui se rendent à des endroits comme "Fichtre!" à Montréal ou "L'imaginaire" à Québec. "ProviSoir" et "Couche-Tard" sont probablement plus accessibles. Je sais que Benjamin, distributeur provincial, se prend environ 45 % des profits. Peu importe, le magazine a la chance de se faire connaître de Gaspé au Temiscamingue. Ainsi, qui sait, peut-être aurions nous la chance de découvrir des talents d'ailleurs que Montréal et Québec. Enfin, avec un support de qualité, le magazine pourrait être avantageusement présenté en Europe. Peut-être que Monsieur Dupuis s'intéressera à nos Bergeron, Côté et Goulet. Peut-être que Monsieur Dargaud souhaitera joindre à sa troupe les Rivard, Thériault et Goldstyn... En présentant autre chose que des photocopies brochées, on ne sait jamais. ( On n'a qu'à penser à l'exemple de Monsieur Goulet qui, via un album de bonne qualité publié ici, a réussi à se démarquer de la pile probablement impressionante qui stagne sur le bureau de Monsieur Dupuis. Je remarque aussi que Godbout a su vendre son grand talent via de beaux albums CROC et que Gargouille est publié sous de belles couleurs(...).

87. Éric Thériault - 11/08/99 06:55 - (en réponse à : veena@cam.org)
Pierre Fournier m'a assuré à plusieures reprises que Croc n'est pas mort à cause de Safarir comme bien des gens aimeraient bien le penser. Croc a simplement disparu apres que la récession et la TPS soient venu siphoner ses réserves, faisant baisser ses tirages mois apres mois...Il ne faut pas oublier non plus que tout cela se passe dans un environnement (T.V., Festival de l'Humour) où l'humour n'est plus aussi spécial qu'avant...Il y en tellement des humoriste que ce n'est plus drole. Et pourquoi est-ce que le meme sort n'est pas arrivé a Safarir? Parce que c'est un magazine à la remorque de la culture TV/Hollywood/Musique Pop. Ils s'adressent plus aux ado qu'aux adultes et non jamais développés de créneau propre. C'est pas là qu'aurait pu naitre Red Ketchup quand meme.

86. Michel - 11/08/99 04:43 - (en réponse à : paledoux@total.net)
D'après ce que j'en sais, Titanic vendait entre 11 000 et 17 000 copies selon les numéros et malgré cela était un véritable gouffre financier pour l'éditeur (je crois que le déficit atteignait le quart de million). Il faut dire que Titanic était une véritable revue professionnelle (pages couleurs, auteurs payés, distribution à l'échelle de la province, etc). Tu vois Borgne il faut en vendre en #%&*$*!! de la copie pour réussir à survivre! Tu peux aussi penser à Pignouf qui tentait de rejoindre un vaste public et qui a également fermer ses portes malgré d'évidentes qualités (plusieurs séries sont d'ailleurs reprises par Mille-Îles). Quand à la faillite de Croc je n'ai pas vraiment d'informations là-dessus. Disons que l'éditeur s'était lancé dans pas mal de projet qui n'avaient rien à voir avec la BD (Radio-Croc, Le Monde selon Croc à la télé, etc).
Nous avons déjà discuté longuement de la possibilité d'existence d'une revue de BD de qualité (dans un vieux BD Québec qui doit être disparu depuis) et ce n'est pas évident que le marché québécois soit assez grand pour la supportée à moins d'être abondamment subventionnée par le gouvernement.
Je reviens à mon idée et je crois qu'il faut tenter d'améliorer les revues existantes plutôt que de se lancer dans une nouvelle aventure. Zine Zag pour la BD tous public (humour et aventures), Exil pour la S-F et le fantastique et Spoutnik pour la BD alternative (ou d'auteur) sans compter plusieurs zines excellent comme Tabasko.
Ce qui est sûr pour moi c'est qu'il y a assez de talents au Québec pour faire une sacrée bonne revue.

85. Borgne - 10/08/99 20:28
D'après ce que j'ai entendu, CROC et Titanic sont disparus étant donné la gourmandise et l'ambition de son éditeur. Est-ce vrai? Connaissez-vous la raison de ces deux disparitions? J'attends de vos nouvelles...

84. Forgne Bontaine - 10/08/99 20:25
Je feuilletais tout récemment quelques numéros d' EXIL. On y trouve, sans l'ombre d'un doute, beaucoup de talent. Reste que quelques exceptions font de ce magazine quelquechose de pas du tout accessible aux jeunes. Je crois qu'un magazine qui enrayera des B.D et illustrations osées pour faire de la place à autres choses pourrait réussir. Je reviens avec les propos de GAG: Pif Gadget offrait des B.D. de tous les styles. Il est possible d'offrir aux lecteurs des histoires courtes, quelques histoires "à suivre..." et des gags en une ou deux planches. J'imagine qu'un tel magazine pourrait, en étant exempt de "vulgarités gratuites", être distribué partout, dans les biblios, les écoles...
Je reviens avec l'exemple de Gargouille, un personnage qui vend dans toute la francophonie, sous l'éditeur P et T. À part Robert, Godbout et Fournier, peu de bédéistes d'ici peuvent se vanter d'avoir traversé l'Atlantique. Gargouille, que plusieurs jugent de qualité médiocre, a déjà vu son magazine publié à quelque dix milles exemplaires, à travers la province. Safarir, malgré les récentes baisses, a un tirage intéressant. Je ne crois pas que ce qui attire les lecteurs de SAF soit l'aspect "écriture". C'est plutôt le coup de crayon humoristique, les B.D., les caricatures et, sans doute, les pages en couleurs. Bon nombre des auteurs de SAF sont des bédéistes de talent ( Goulet, Daigle, etc.) qui, je crois, sauraient attirer les lecteurs dans un support B.D. de qualité. Voilà ce en quoi je crois, à vous de me répondre...

83. Robert - 10/08/99 06:39 - (en réponse à : dumbfounded.)
Peut-on donc d'emblée conclure qu'une personne de plus de 63 ans se retrouve automatiquement avec un âge mental d'un kid de 13 ans et moins?... Pourrait-on aussi établir un rapprochement entre la composition chimique du Ritalin et du médicament contre l'Alzheimer?...

82. borgne - 10/08/99 06:18
Monsieur Salvador, je vous appuie. 13 à 63 ans, c'est le public-cible idéal. En passant, je viens tout juste d'acheter le 3 de Zine Zag. Bravo, c'est de la qualité. LONGUE VIE.

81. Salvador - 10/08/99 04:21 - (en réponse à : salvador@globetrotter.qc.ca)
Bonjour à tous, Je crois qu'il est temps que je me joigne à ce sujet de forum, en fait les derniers commentaires devance à peine mes intentions car je m'apprettais justement à faire un appel pour trouver quelqu'un qui serait intéressé à s'impliquer dans le Zine Zag dans la région de Montréal. Je suis persuadé que le succès d'une éventuelle revue n'a pas le choix de passer en partie par la métropole et j'avoue qu'une des faiblesses de mon zine est justement le manque d'un ou de représentants à "temps plein" à Montréal, que ce soit pour trouver du financement ou la recherche de talents. Je suis d'accord avec Michel qu'il faudrait éviter de ce nuire et essayer d'unir nos efforts, non pas que ma revue soit menacer, car je peux assurer que dans sa structure actuelle la revue sera là pour la prochaine année et avec régularité en plus. Sauf que 225 copies s'est bien peu et j'aimerais voir croître le bébé... En ce qui concerne l'aspect très grand public, je crois que le sujet mérite une analyse sérieuse et qu'il ne faut pas oublier que dans une telle vision il y a un risque réel de dilution de l'intérêt du lecteur par rapport à l'ensemble du produit. À mon avis il peut être utopique de viser un public 7 à 77 ans. Je crois plutôt qu'il faille viser une clientèle du genre 13 à 63 ans... ou quelquechose du genre...

80. Eric - 09/08/99 23:38
Je crois que Zine Zag recherche une personne pour s'occuper de la distribution a Montreal. Faire un magazine pour tout le Québec ca pourrait commencer par la?

79. Borgne - 09/08/99 19:08
Je suis tout-à-fait d'accord avec GAG. Les séries d'un nouveau magazine ne devraient pas trop être À suivre et devraient proposer un éventail de styles.

Par rapport à EXIL et ZINE ZAG, j'appuie beaucoup. Ces magazines sont de grandes qualité mais je ne crois pas qu'ils rejoignent un public de tous les âges. En plus, ils sont assez difficiles à trouver... Je les ai tous et je les vénère, comme certaines copies de BAMBOU, TITANIC, ZEPPELIN... BRAVO ET LONGUE ROUTE À EUX. Maintenant, je crois qu'il y a de la place pour un nouveau mag TOUS-PUBLICS.

78. Michel - 08/08/99 22:31 - (en réponse à : paledoux@total.net)
Salut!
Vous parlez tous de créer une nouvelle revue de BD de qualité. Il me semble que Zine Zag et Exil publient justement de bonnes choses. Alors pourquoi vouloir créer une autre revue de plus? Pourquoi ne pas tenter plutôt de participer à celles qui existent déjà? On devrait plutôt essayer de trouver les fonds (commanditaires) pour que ces deux revues puissent paraître plus souvent. Je crois qu'une (je dis bien une) des clés du succès pour une revue est de paraître régulièrement, pas une fois de temps en temps. En voyant souvent apparaître dans les kisques le titre d'une revue un lecteur potentiel pourrait finir par être attiré.
Tout ça pour dire qu'avant de diviser nos énergies une fois de plus avec un Xème projet, il faudrait peut-être voir ce qu'on peut faire avec ce qui existe déjà, non? Qu'en pensez-vous Salvador et Robert? Croyez vous qu'Exil et Zine Zag peuvent accueillir plus de créateurs et quels sont les critères pour y être publié?

77. Gag - 07/08/99 15:32
Le magazine qui m'a marqué le plus dans mon enfance est Pif Gadget... il m'a permis de découvrir un paquet d'auteurs, il y a avait tous les styles: humour, S-F, aventure, fantastique... il y avait une section jeu, le gadget... bref, il y en avait pour tous les goûts! Un magazine avec le même genre de structure aurait beaucoup de chance de survivre... La plupart des trucs n'étaient pas à suivre, je crois que c'est mieux ainsi... pour ce qui est des auteurs, la liste est longue et j'ai peur d'en oublier! Le problème c'est pas le talent, c'est de bien choisir les auteurs selon le type de revue! Une des grosses faiblesses des jeunes auteurs, c'est de croire qu'ils peuvent tout faire, scénario et dessin... les bons scénaristes de BD sont rares, les bons dessinateurs sont plus nombreux, heureusement... Un copain dessinateur (dont je tairai le nom) m'avait suggéré un jour de faire un magazine pour adultes... en faisait un tour rapide, à ma grande surprise, j'ai découvert plusieurs auteurs intéressés par le sujet!!! Dans ce cas-ci, les scénarios peuvent se permettrent d'être moins bons... Le plus difficile dans ce genre d'entreprise, c'est de maintenir une cohésion entre tous ces artistes habitués à travailler tout seul à la maison... ...bref, plusieurs égos pas toujours égaux!!!

76. Borgne - 07/08/99 06:23
Messieurs Gag et Robert, que feriez-vous comme magazine de B.D.? QUI, QUOI publieriez-vous ? (les autres aussi peuvent répondre...)

75. Elvis - 07/08/99 04:50
Les américains ils l'ont l'affaire eux-autres!

74. Robert - 07/08/99 04:43 - (en réponse à : l'éternel négatif.)
Pour ma part, à chaque fois que je lis "public cible", je pense à l'école polytechnique... Je suppose que "public cible élargi", ça veut dire "plus de victimes"... Think Big.

73. Gag - 07/08/99 03:08
Public cible élargi... dans le sens de «épais»... ou bedon «obèse»???

72. A. D. Lard - 06/08/99 21:01
À quand une revue de B.D. québécoise au public cible élargi et de qualité ? BIENTÔT.

71. Robert - 05/08/99 17:09 - (en réponse à : bdrivard@colba.net)
Étant donné qu'on parle de magazine de BD, voici un petit message aux créateurs: Il reste de l'espace à boucler pour le prochain numéro du magazine EXIL (No.5)... Si vous avez des idées ou des planches déjà faites, vous pouvez les soumettre au comité de rédaction, qui se fera un plaisir de vous dire qu'elles ne sont pas bonnes... (Hahaha! Quel farceur je fais!!). Non, c'est juste qu'on essaie de ne publier que de la qualité et des auteurs à la démarche sérieuse, donc il y aura forcément une sélection. Souvenez-vous seulement qu'EXIL est un magazine à saveur fantastique, ou qui du moins, publie des histoires qui ressortent de l'ordinaire... Mais faites vite! Le deadline final est le 15 novembre, car l'équipe veut présenter le magazine à Angoulême... Raison de plus pour faire de la qualité! Nous ne prendrons pas les illustrations (pin-ups), car EXIL a une vocation essentiellement BD, mais une histoire de deux pages bien ficelée ferait l'affaire. Vous pouvez nous contacter par fax aux numéros suivants: Dominique Desbiens :(514) 721-0721 Simon Dupuis: (514) 527-1885 Ou moi-même à mon adresse email (voir ci-haut). À vos crayons!

70. Monsieur Jean - 05/08/99 17:01
Dites donc, y a un gars sur l'acide qui sévit en ce lieu. Encore un petit effort et Rozon te fait une place à son prochain festival.

69. Borgne - 05/08/99 16:36
Merci pour les conseils, les visions... J'en prend note. Tout ce que je peux dire, c'est qu'un projet de magazine se doit d'être "mâché" longtemps avant d'être "craché" en dépanneurs et boutiques. Moi, je m'y met. Je débute quelques projets B.D et on verra bien...

68. Dr.Batman - 05/08/99 13:34
Je me suis mal exprimé dans mon premier message.En fait , peut être que c'est pas très clair dans ma tête.Mais en gros ce que je voulais dire , c'est ; Pourquoi pas faire de la BD tout simplement.Cela ne voulait pas dire exclure l'identité ou la culture Québécoise , mais de la faire passer à travers d'autres perspectives , d'autres niveaux de langages , etc...Jean Larose (écrivain , pamphlétaire , professeur de littérature ) disait que certains de ses collègues profs ont enlevés Camus , Diderot , Sartre , etc...de leurs programes , parce'que ça ne correspondait plus à la réalité de leurs étudiants...Merde , ça veut dire quoi ? La capacité d'abstraction , c'est fini ? Il faut absolument que tout soit conforme à ce que je vis , sinon ce n'est pas interessant ? Au niveau du public cible , je suis tout à fait d'accord avec Robert.La création ce n'est pas un truc , une formule , pour avoir un lectorat le plus vaste possible.C'est une aventure , un besoin , une necessité...J'ai fait quelques scénarii de BD à une certaine époque et j'ai tout plaqué , quand le rédacteur en chef a changé un mot à une phrase , sans même me consulter... Le truc Borgne , c'est de formé un comité rédactionel , de solliciter des BD , et de faire vos sélections , selon votre politique éditorial , pas le contraire.

67. Lien Rag - 05/08/99 11:31
La Bd africaine, franchement, à part Glez elle a pas encore décollé. Et encore Glez est plus un caricaturiste, même s'il a un "style Bd". Y a bien T.T Fons au Sénégal, mais c'est assez hermétique (la moitié des mots en Wolof - avec traduction d'accord) et surtout très limité par la qualité d'impression locale. Soumaïl Adigun a un bon coup de crayon, mais pas de scénario. Et quand à ce que j'ai vu comme BD congolaise (il y a 15 ans dans Spirou), c'était carrément du plagiat.

66. Robert - 05/08/99 07:31
...Ou d'un Québécois colonisé qui souhaite mieux que ce qu'il a connu pour ses enfants. ...Mais je suppose que celà se construit, plus que ça ne se souhaite. Non, ce message ne peut pas être d'un Québécois.

65. Borgne - 05/08/99 07:03
Y'a de bonnes chances, en effet.

64. Eric - 05/08/99 07:00
Ce texte est surement l'oeuvre d'un terroriste congolais qui déteste la Belgique.

63. Hein? - 05/08/99 06:42 - (en réponse à : Vous avez lu ça!!!)
Arthur
01/08/99 - (38915)
La Belgique prétend avoir fondé la bande dessinée. En réalité, elle l’a simplement assise, mais dans le fauteuil de la paresse.
Les auteurs dits classiques de ce pays étriqué, loin de perdurer et d’influencer les vrais auteurs actuels paraissent aujourd’hui bien désuets, figés dans leurs petits codes.
Hergé ? Cet auteur qui n’eut pas la sagesse de cesser de produire, dont le graphisme stagna dans les années cinquante pour ne plus jamais évoluer, ce qui pourrait expliquer son ennui.
Jacobs ? Cet auteur refoulé, le roi du « Par Horus » et du tourbillon au-dessus de la tête, dont les personnages sont tellement figés et qui n’a réussi qu’à produire une dizaine d’albums poussifs au cours de sa vie.
Qui aujourd’hui lit encore Paape sinon quelques collectionneurs obtus ?
Qui a encore envie de découvrir Jijé ?
Les quelques amateurs subsistants dont l’objectivité s’est étiolée avec le temps, voudraient à tout prix nous faire avaler que leurs lectures de jeunesse sont devenues des classiques. A lire Luc Orient qui pourrait les croire ? Ces funestes amateurs encensent aujourd’hui les Carin (V. Sackville), Zanon (H. Dickson), Ted Benoit et autres Juillard, piètres décalqueurs de prétendus maîtres.
Depuis trente ans, le renouveau de la bande dessinée ne passe plus par la Belgique. La France a un moment suscité quelque espoir bien vite étouffé par de faméliques tentatives de bandes dessinées intello-autobio.
On pouvait espérer un certain renouveau en provenance du Japon. Hélas, à cause de croisades imbéciles et d’éditeurs frileux, les Japonais n’ont jamais pu nous sauver du marasme.
Les Américains ne s’intéressent qu’à leur nombril.
Mais alors d’où viendra le renouvellement salvateur de la BD francophone ?
Pas des quelques auteurs provenant du continent africain qui, quel que soit leur talent supposé, restent confiner dans les limbes des solderies (pour ceux qui parviennent à être publiés).
L’étendard du renouveau peut légitimement être brandi aujourd’hui, actuellement dans un seul endroit au monde. Seul le QUEBEC recèle assez de talents pour dépoussiérer la bande dessinée francophone.
Larguons dès à présent les amarres ! Coupons le cordon avec cette bande dessinée en état de décomposition avancée.
Oublions les Tintin, Alix et autres Blake et Mortimer.
Quittons le moule de la BD belge !

62. Borgne - 05/08/99 06:25
À l'époque, nous étions 10. Chacun avait investi 250$ dans l'aventure. Tous ont rattrapé ce montant. Aucun profit, mais nous n'avions même pas cherché de commenditaires. Si c'était à refaire, il n'y aurait qu'à cogner à des portes, on ne sait jamais. Je sais que lors de la réalisation du numéro deux, nous avions brièvement tenté d'en trouver. Les réponses étaient positives mais n'impliquaient pas de sommes d'argent. À CKOI, on nous promettais du temps d'antenne pour en faire la promotion et PEPSI fournissait son sucre brun à volonté pour un lancement. Du côté de Benjamin, l'entente était la suivante: 55% à nous et 45% à eux.

61. Borgne - 05/08/99 06:19
Oui, la plupart continue à dessiner: dessin animé, jeux électroniques. Je sais que certains d'entre eux seraient très intéressés à repartir un projet.

60. Borgne - 05/08/99 06:17
Peut-être passé inapeçu car non-distribué chez les boutiques habituelles à ce genre de revues...Sais pas.

59. Eric - 05/08/99 06:15 - (en réponse à : veena@cam.org)
BD à Bord? Ca explique donc pourquoi le courrier que j'ai envoyé dans les premiers temps où j'étais sur l'internet sont restés sans réponses. J'avais l'intention de me proposer comme pont entre cette nouvelle gang et le reste de la communauté BD. En effet j'ai un carnet de téléphone inestimable dans le milieu BD Québécoise....J'y ai pratiquement tout le monde. Mais bon, est-ce que ces artistes ont continué à dessiner? Malgré les répercussions dont tu parle, ce journal me semble avoir passé completement inappercu.

58. Robert - 04/08/99 21:10 - (en réponse à : Pas toujours fier d'être Québécois.)
En fait, ces "oeuvres mémorables" ne sont pas des BD (comme j'ai dit, y'a pas que ça dans la vie)... Pour ne nommer que deux exemples, il y a mon copain Michel Gagné, Québécois vivant maintenant en Californie, et qui sur la période de quatre ans, a réalisé un court-métrage animé de science-fiction intitulé "Prelude to Eden". Ce film a eu un franc succès dans les festivals et a pas mal aidé à sa carrière... Shirley Walker (l'orchestratrice de Dany Elfman) a d'ailleurs signé la musique du film et l'ami Michel a eu les c@uilles et l'initiative de s'associer à une compagnie de logiciels d'animation (Animo) pour matérialiser son produit final. Chapeau! Michel est aussi directeur des effets spéciaux d'animation pour Warner Brother (il a travaillé avec Claire Weindling) et a récemment publié un très beau livre pour enfant en auto-édition. La deuxième personne, c'est mon pote Dave Kupczeck, un ontarien aussi installé en Californie. Il a été animateur à Disney pour les trois ou quatre derniers longs métrages et travaille présentement pour Dreamworks, le studio d'animation de Spielberg. Il travaille depuis bientôt cinq ans sur un livre d'illustrations intitulé "A Hundred and One Twisted Rabbits", et le résultat est complètement hallucinant! Il est présentement à la recherche d'un éditeur, mais je ne doute pas que son livre sera un succès! Je pourrais en nommer d'autres, mais je n'aime pas étaler la vie des gens sur l'internet sans leur consentement. Je pourrais aussi être avec eux et partager une vie similaire à la leur, mais je ne peux pas supporter les Américains, je veux vivre en français, et j'aime la neige. La culture, ça n'a jamais été une question de "pulic-cible", de "marché", et encore moins de copies vendues. Les idées n'ont pas besoin de l'approbation d'un relevé de ventes pour faire leur chemin. La création n'est pas démocratique et se passe volontier du tampon "Approved" de la majorité pour avancer. Car le marché ne se nourrit que de lui-même et le processus de l'évolution humaine en est exclus. Mr Robin, t'as une attitude de cr@tte de nez et t'es c@n en pas pour rire. Ton comportement relève tout au plus de la stagnation et ce n'est sûrement pas avec des boulets comme toi que le Québec se dotera d'une assise assez solide pour construire sa cathédrale culturelle. T'auras beau me badigeonner de ta v@missure, ça ne m'affectera jamais et ça ne m'empêchera pas de dire ce que j'ai à dire ou de faire ce que j'ai à faire. La médiocrité, c'est dans ton miroir qu'il faut la trouver. Bon, en espérant seulement que les paroles intelligentes des rares intervenants sérieux qui fréquentent ce forum puissent se rendre aux oreilles de ceux qui cherchent des réponses, et qui veulent assumer leur créativité au maximum de leur potentiel...

57. Borgne - 04/08/99 20:20 - (en réponse à : yan.england@videotron.ca)
J'ai oublié d'ajouter les critères que je juge essentiels:

1- Pas de vulgarité gratuite
2- Pas de sujet strictement adulte
3- Pas de nudité injustifiable

À part de ça, CARTE BLANCHE !!!

P.S.: N'allez pas croire que je suis prétentieux. Je suis prêt à travailler fort sur le projet mais je crois qu'une revue de la sorte se doit d'être dirigée par des connaisseurs de B.D, qualifiés pour des titres tels que "directeur du marketing", "rédacteur en chef"... Je propose que ceux qui ont la plus vaste expérience prennent les rennes du projet. Monsieu Rivard, peut-être ? Gag, peut-être? Allez, unissons-nous et croyons en nos forces.

56. Borgne Fontaine - 04/08/99 20:14 - (en réponse à : yan.england@videotron.ca)
Tu as raison, Éric. Sans ces infos, je n'ai aucune crédibilité. Les voici donc:

Je suis bédéiste-à-temps-partiel, passion que je combine à mon travail d'étudiant à temps plein et de dessinateur pour quelques contrats ici et là.

La B.D., j'en mange, et ce, depuis longtemps. J'étais de l'équipe de la direction du fanzine B.D. À BORD. B.D. À BORD n'aura connu qu'un seul numéro, à cause d'un conflit interne. Imprimé à 1500 copies, 1000 d'entre elles ( environ ) ont trouvé preneur et ce, sans aucun système de distribution valable. B.D À BORD a suscité un certain intérêt auprès des médias: on avait fait la une ( sans blague, mais alors en cartouche seulement, quand même... ) de La Presse. Un article dans La Jeune Presse, avec dessin en couleurs et tout. Aussi, l'émission Salut, Bonjour!, à l'antenne de TVA, nous a interviewé à ce propos.

Pendant la préparation du numéro deux, nous en étions venu à un accord avec les messageries Benjamin ( les distributeurs no.1 au Québec ) et nous avions eu une entrevue exclusive du défunt groupe d'humoristes les Bleu Poudre. Malheureusement, cette joyeuse aventure a pris fin abruptement. La raison n'est pas une faillite. Non. La raison est que nous n'avions pas bien cerné le public-cible. Résultat: des bédéistes nous proposaient des B.D. de style "Pipi-Caca" que je me refusais de publier. Regardez en librairie ou en biblio, les lecteurs sont en grande partie les jeunes. Pourquoi s'étonner du succès de Gargouille ?
Comme je n'ai pas réussi alors à faire accepter mon idée de B.D pour tous, je me suis "flushé" moi-même du projet pourtant si excitant. Aujourd'hui, je regrette cette époque et je me donne pour défi de revenir avec un autre projet. Ceci étant dit, j'ai réussi à convaincre l'administrateur-ami de se joindre au projet. Il ne me reste qu'à trouver des bons bédéistes, prêts à relever le défi. Moi, je le suis.

55. Dr Robin - 04/08/99 20:02
Robert, où peut-on admirer les oeuvres "mémorables" de tes amis? Je serais curieux de voir.

54. Monsieur Jean - 04/08/99 19:54
Ce serait bien un magazine de BD québécoise. S'il y en avait un de qualité je m'abonnerais, mais jamais je ne l'acheterai par patriotisme.

53. Eric - 04/08/99 19:50 - (en réponse à : veena@cam.org)
Borgne, Si tu veux sérieusement travailler sur l'idée d'un nouveau magazine, tu devrais te présenter pour qu'on te connaisse un peu mieux. Est-ce que tu dessine? Depuis combiens de temps est-tu intéressé à la BD Québécoise? etc. Aussi tu devrais inclure ton e-mail.

52. Forgne Bontaine - 04/08/99 15:23
Je viens tout juste de prendre conscience de l'implication de Vidéotron dans la grande et belle aventure de BD Québec. AHA !!
Peut-être tenons nous là un commenditaire éventuel !



 


Actualité BD générale
Actualité editeurs
Actualité mangas
Actualité BD en audio
Actualité des blogs des auteurs
Forum : les sujets
Forum : 24 dernières heures
Agenda : encoder un évènement
Calendrier des évènements
Albums : recherche et liste
Albums : nouveautés
Sorties futures
Chroniques de la rédaction
Albums : critiques internautes
Bios
Bandes annonces vidéos
Interviews d'auteurs en videos
Séries : si vous avez aimé...
Concours
Petites annonces
Coup de pouce aux jeunes auteurs
Archives de Bdp
Quoi de neuf ?
Homepage

Informations légales et vie privée

(http://www.BDParadisio.com) - © 1996, 2018 BdParadisio