Roger Leloup

Les 18 commentaires sont triés des plus récents aux plus anciens .



18. feldoë - 22/11/08 19:44
Son choix concernant le DA mérite effectivement un coup de chapeau!

17. Frenchoïd - 17/11/08 09:39
Le lien n'apparaissant apparemment pas sur le portail, le voici.

16. Frenchoïd - 17/11/08 09:36
Sur Auracan, encore une interview qui me rend Leloup toujours un peu plus sympathique. En substance, il explique s'être rendu malade pour avoir cédé les droits DA de Yoko, sachant que son travail allait être massacré. Finalement, il a récupéré ses billes.
Chapeau bas, Leloup -- et les oreilles des ayants droit de Roba et Franquin devraient siffler des bourrasques...

15. feldoë - 23/12/07 16:14
Je connais Yoko depuis toujours, mais ne connaissais pas R. Leloup ; cette interview montre un vrai auteur, qui se raconte avec beaucoup de sincérité.
Son héroïne est atypique aujourd'hui, mais elle ne l'était pas il y a un peu plus de 30 ans : son trop plein de sensibilité et d'humanité ne colle plus avec le temps présent, malheureusement. Je pense qu'il n'y a plus de personnage aussi droit, dans le monde de la BD du XXIème siècle.
R. Leloup a raison de dire qu'il faut aussi montrer du positif, et donner à rêver. Les adolescents d'aujourd'hui seront des adultes confrontés à des difficultés d'un tout autre niveau que celles affrontées par leurs ainés ; donner un peu de positif peut les aider, on peut l'espérer, au moins les quelques-uns encore réceptifs à ce type de BD. Les Yoko Tsuno sont-ils les "Martine" d'aujourd'hui (son parallèle dans l'interview) ?
Un beau cadeau de Noël pour les 13/15 ans : "les frontières de la vie".
Pour en revenir à l'interview, après l'avoir écoutée, on n'a pas envie de se moquer ; c'est l'esprit de dérision, moderne dans les années 70, qui semble ringard aujourd'hui. Merci à Roger Leloup de continuer à faire ses 70 heures de planche hebdomadaires ; j'espère que son intégrale ne signifie pas que Dupuis souhaite stopper la série.

14. LaurentV - 23/12/07 14:45 - (en réponse à : message n° 12)
Un auteur complet a effectivement plus de connivence avec lui-même, mais comme tout le monde ne peut pas être un auteur complet...

13. Frenchoïd - 21/12/07 16:35
Je n'écrivais pas pour rien "pour la subtilité du raisonnement, vous irez juger sur pièce".
Allons ! peut-être sommes-nous trop superficiels pour une lecture approfondie des dits de Roger Leloup ? Si ça se trouve, faut relire tous les Yoko Tsuno pour découvrir qu'on est toujours passé à côté de quelque chose (sans oublier que Tillieux est intervenu, au début) ?
Mais baste ! je me dédierai pas pour si peu : c'est une bien chouette interview, sincère et émouvante, que donne là Roger Leloup.

12. Laurent CoIonnier - 20/12/07 17:04 - (en réponse à : Marcel)
Je crois surtout que selon lui la double paternité fait que l'oeuvre est moins personnelle et que la surenchère de l'un et de l'autre nuit à l'intime qu'un auteur complet n'a aucun mal à créer.

11. marcel - 20/12/07 17:00 - (en réponse à : Laurent)
Ah voui, mais je parlais du passage sur les duos scenariste/dessinateur en opposition aux auteurs complets. J'ai pas compris son raisonnement quand il disait que du fait qu'ils y avait emulation entre eux, c'etait moins bien. J'avais l'impression que ca justifiait le contraire.
Mais c'est peut-etre moi.

10. Frenchoïd - 20/12/07 16:40 - (en réponse à : Laurent Colonnier)
Tout juste. C'est pourquoi j'ai cru bon d'attirer l'attention sur le sujet. Depuis, je me demande comment Leloup a réagi quand Dupuis lui a proposé (ou plus simplement annoncé) l'intégrale actuellement en cours ; d'après ses propos, on peut imaginer que l'idée même lui en ait foutu un coup...

9. Laurent CoIonnier - 20/12/07 16:04 - (en réponse à : Marcel)
C'est marrant, moi j'ai bien compris ce qu'il voulait dire, qu'il vit avec ses personnages à plein temps, qu'il leur doit quelque chose car sans lui ils meurent en quelque sorte. C'est pour ça que quoiqu'on pense de son travail (et on peut en penser), il est indéniable que Roger Leloup soit un artiste, entièrement tourné vers son oeuvre, pas un artisan ou un faiseur, mais un artiste totalement au service de sa création.

8. Laurent CoIonnier - 20/12/07 15:58
QUOI !!! Ca ne vous a pas manqué les t-shirts à paillettes et les cheveux dégoulinants de gel???

7. Frenchoïd - 20/12/07 15:53 - (en réponse à : marcel)
Oh, j'avais bien remarqué, va, je passais juste porter ta jubilation à son comble.

6. marcel - 20/12/07 15:43 - (en réponse à : Frenchoid)
Ah mais je boude pas, je me rejouis, meme.

5. Frenchoïd - 20/12/07 15:38
Et puis dites, ne boudons pas notre plaisir : Jean-Philippe Lefèvre n'apparaît à aucun moment dans le sujet ; on ne l'entend même pas...

4. marcel - 20/12/07 15:14 - (en réponse à : Laurent)
Justement, c'est notamment sur le point que tu souleves (et quelques autres) que j'ai trouve quelques fois le bonhomme un peu difficile a suivre, voire embrouille. Mais ca vient peut-etre aussi un peu du montage, qui me semblait un peu "serre", comme s'il ne finissait jamais ses phrases, ne prenait jamais sa respiration.

3. Laurent CoIonnier - 20/12/07 14:58
J'ai beaucoup aimé cette émission, on y voit un homme lucide, honnête et très attachant, et un professionnel exigeant (envers lui-même)qui explique parfaitement ce dont j'avais parlé sur un autre sujet, la "supériorité" (ce n'est pas le mot que je cherchais mais je n'en ai pas trouvé d'autre) de l'auteur complet sur le couple scénariste/dessinateur.

2. marcel - 20/12/07 14:49
Je suis globalement d'accord avec Frenchoid, et je retiendrai du reportage une certaine lucidite sur un point precis : Leloup dit qu'il doute de plus en plus, l'age avancant, de la qualite de ses oeuvres. Il dit "Bien sur, il y a les chiffres de vente mais c'est pas parce que ca se vend que c'est bien".
Ca rejoint un peu la conversation sur Asterix, je trouve.

1. Frenchoïd - 20/12/07 14:41
Ouais, je sais, ici c'est plein d'esprits forts (nan, je ne fais pas allusion à toi, PIERRECédric, abstiens-toi par pitié), mais tenez, allez donc quand même voir ça :
http://www.publicsenat.fr/cms/video-a-la-demande/vod.html?idE=56205
C'est une bonne occasion de s'entendre raconter tout un pan de l'histoire de la BD belgo-belge contemporaine (enfin, elle l'était hier encore) par un véritable ancien. Bien sûr, pour lui, Anthony Quinn «ressemble à un singe», et la BD réellement contemporaine est «sinistre» à cause de la bourre que se tirent dessinateurs et scénaristes et c'est pourquoi votre fille est muette et les jeunes lisent des mangas (euh, pour la subtilité du raisonnement, vous irez juger sur pièce), mais bon, c'est une autre génération, aussi, n'est-ce pas ?
En tout cas il est carrément d'une sincèrité émouvante quand il parle de son âge, de ses relations avec Dupuis et avec son personnage.
Il n'est bien sûr pas explicitement question des Hauts de pages de Yann et Conrad, mais quand on assiste à certains lapsus comme «Je n'ai pas confiance - euh, conscience...», on croit bien deviner combien les gamineries vachardes des deux sus-nommés ont dû l'atteindre.
Accessoirement on apprend l'authentique genèse de Yoko Tsuno, que je ne connaissais pas (et pourtant croyez-m'en, j'en connais un nombre certain, de conneries dans ce genre)...
Sans dec, ça dure 28 minutes, et vous ne regretterez pas votre temps (enfin si, peut-être, mais là je peux rien pour vous...).



 


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