LES DIRECTEURS DE COLLECTIONS...

18. Comics world - 12/06/01 14:44

A Jet :
La liste que tu cites est un copier/coller de notre article (par ailleurs cité par Serge) : ce n'est pas un problème, mais nous préférions le préciser... Certains mouvements ont eu lieu depuis (le texte date du 4 août 2000).

Bonne continuation !

17. Sylvain - 12/06/01 10:04 - (en réponse à : Humanoïdes Associés)

Dupuy et Berberian sont effectivement depuis l'été 2000 les directeurs éditoriaux de la collection Tohu Bohu.

16. Cyrille - 12/06/01 08:45

Pour Tohu-Bohu aux humanos c'est Dupuy-Berberian, non ? Quant au reste, c'est l'excellent Sylvain, qui nous tient au courant des sorties sur BD Paradisio, qui assure ce job, me semble-t'il ...

15. B. - 12/06/01 08:16

Cher Perre-Paul, je n'ai pas dit que Delcourt acceptait n'importe quoi, ils sont peut être plus ouverts que d'autres. C'est tout ce que j'ai dit.

14. François - 11/06/01 21:14 - (en réponse à : à Jet)

enfin quelqu'un de constructif !

13. Jet - 11/06/01 19:19

les voici :
Chez Dupuis, le directeur éditorial Claude Gendrot chapote une équipe composée de Sébastien Gnaedig (qui vient de quitter les Humanos pour diriger les collections " Repérages " et "Aire Libre") et Laurent Duvault qui se penche sur " Humour libre " et les séries tout public.
Chez Glénat, Jean-Claude Camano dirige "Zenda" et "Tchô !", Henri Filippini surveille "Bulles noires" et "Vécu", Rodolphe Blin régit les comics et Dominique Burdos également secrétaire général de Vents d'Ouest s’attèle aux mangas. Quant aux collections "Caractères" et "Graphica", tout le monde met la main à la pâte. En effet, une collection peut être dirigée par plusieurs responsables. C'est le cas chez Vents d’Ouest où Laurent Galmot, Thierry Cailleteau et Alain David (qui dirige également sa propre maison d'édition, Rackham) se répartissent les albums selon leurs coups de cœur. François Forcadel est arrivé récemment pour s'intéresser de plus près au dessin de presse, alors que Jacky Goupil se consacre aux guides (voir notre interview).
Aux Humanoïdes associés, depuis le départ de Sébastien Gnaedig, on recrute un directeur éditorial, tandis que Bruno Lecigne et Philippe Hauri se partagent le travail pour l'ensemble de la production, à l'exception de la collection "Tohu Bohu" dont le directeur sera nommé dans les prochains jours.
Chez Delcourt, François Capuron, Thierry Joor (également libraire en Belgique) et Guy Delcourt lui-même se partagent les tâches, pendant qu’Olivier Vatine et Fred Blanchard supervisent leur label "Série B".
Pour Casterman, le travail collectif est également de mise, Laetitia Denier, Nadia Gibert et Arnaud de la Croix se répartissent leur rôle d'éditeur avec l'aide de Guillaume Prieur, directeur artistique. Louis Delas, directeur éditorial et transfuge de Vents d'Ouest, a par ailleurs renforcé l'équipe de collaborateurs occasionnels, en embauchant Alain David, Laurent Galmot et Jacky Goupil. "Mais qu'un projet soit amené par un éditeur ou arrive par la poste, il a les même chances quant à la décision finale" précise Laetitia Denier.
Plus au sud, du côté de chez Soleil, l'irremplaçable patron Mourrad Boudjellal s'est enfin adjoint un directeur de collection, Jean Wacquet. Mais ce dernier ne s'occupe que des beaux livres et des adaptations de comics.
Et pour finir, chez Dargaud, tous les projets passent entre les mains d’un comité de lecture présidé par Guy Vidal. Plusieurs directeurs de collection se partagent également les séries : François Le Bescond se charge, entre autres, des séries pour la jeunesse, Philippe Osterman veille plus particulièrement sur " Blake et Mortimer " (il remplace depuis peu à ce poste Didier Christmann et dirige également d'autres collections), Yves Schlirf (encore un libraire bruxellois) orchestre " Kana " et Dargaud Bénélux, tandis que Jacques Pessis s'occupe des collections intégrales. Dans le même groupe, Yves Sente est le seul responsable éditorial du Lombard.

Voilà les personnes à démarcher pour être publié (sans oublier la quantité d'éditeurs plus modestes mais passionnés). Si toutefois votre travail ne trouve pas preneur, ne vous découragez pas, il faut souvent de longues années de labeur et de conviction pour qu'un auteur devienne complètement professionnel.

12. Pierre-Paul - 11/06/01 17:14

désolé de revenir avec cela mais comme j'ai déjà dit sur un autre sujet, les éditeurs/directeurs de collection ne sont pas des bons samaritains qui vont publier n'importe quoi: il faut qu'ils jugent que ce que vous leur proposez valle la peine d'être publié et surtout ait des chances de se vendre. une publication, cela suppose un investissement aussi de la part de l'éditeur et c'est lui d'ailleurs qui en supporte tout le risque financier. Il doit donc avoir le feeling qu'il va au moins rentrer dans ses frais. Et je ne crois pas que Delcourt pense autrement que les autres.

11. Serge - 11/06/01 17:10

L'article date, mais c'est complètement le sujet :

http://comics.mkm-wpe.com/index.php3?Art=00000531

10. Baloo à Yacine - 11/06/01 14:00

Si tu es Yacine, celui de Yacine & Devos, tu as vu qu'un dessin à toi a été publié dans le vrai journal?

9. B. - 11/06/01 09:36

Merci à Grobed et Pascal pour leurs conseils d'auteurs chevronnés.
Lc. Tu as raison mais la réalité est parfois tout autre.
Yacine, il faut peut être observer les collections des différents éditeurs et cela peut te donner une idée de ce qu'ils aiment ou de ce qu'ils cherchent. Il y a des choses qui tombent sous le sens: un projet intimiste n'a aucune chance dans la troisème vague lombard. Pq ne pas essayer chez Delcourt? Ils sont ouverts à pas mal de choses. Cela dit pavillon rouge propose une manière "idéale" de présenter un projet.

8. lc - 09/06/01 20:47

je sais ...le mail est parfois brusque...on desire ne pas trop casser et c'est mal dit alors on se braque....e vais faire doucement...quoique....
avec un raisonnement marketing comme le tien, on doit pouvoir bosser pour danone....
le livre doit etre un ouvrage et non un produit marketing...l'auteur est maitre de son boulot...l'éditeur ne doit influencer l'auteur sur l'ouvrage de l'auteur....
l'auteur n'est pas un mal necessaire pour l'editeur mais un auteur...pas une mchine à faire des histoires

7. lc - 09/06/01 20:47

6. Two Sixty Six - 09/06/01 18:24

Les directeurs de collections et les éditeurs ne sont pas des robots, il me semble. Leur avis et leurs réactions ne sont pas prévisibles et heureusement... Je ne pense pas que travailler dans le but de plaire à quelqu'un soit la meilleure des méthodes. C'est se brider autant l'imagination que le plaisir.

5. Grobed - 09/06/01 17:52

sujet complètement débile : tu penses que les directeurs de collections vont venir tout guillerets t'offrir sur un plateau les ficelles de leur métier, leurs habitudes et attentes ? Pour se voir ensuite emmerder par 200 types qui leur proposeront la même chose, même histoire, même canevas, mêmes dessins....
Réfléchissez avant de lancer des sujets aussi sots !

4. Pascal - 09/06/01 17:50 - (en réponse à : à David)

merci pour ta franchise, ta politesse et ton conseil. Il est clair que lorsqu'on est aussi désagréable que toi, ça doit être difficile de dénicher du boulot. Dommage :-(

3. David - 09/06/01 17:40

je ne suis pas d'accord avec toir Pascal ! et si tu ne vois pas l'intéret vas voir ailleurs... merci ! je suis jeune auteur et j'ai déjà eu affaire à certains directeurs de collections et si j'en avais su un peu plus sur eux je n'aurais fait certaines "erreurs"... alors moi aussi ça m'intéresse de mieux connaitre ceux qui vont me donner ou non ma chance...

2. Pascal - 09/06/01 17:08

je ne vois vraiment pas l'intérêt ? tu veux en venir où ?

1. yacine - 09/06/01 16:36 - (en réponse à : yacine93@everyday.com)

l'idée serait de dresser la liste des différents directeurs de collections : (Camano, Fillipini chez Glénat par exemple) puis de donner leurs gouts, leurs attentes ou leurs méthodes de travail. Tout cela pour aider les jeunes auteurs ( et les moins jeunes) à "cibler" le directeur de collection pour un projet précis (et ainsi éviter de perdre son temps, son argent, son énergie et ses nerfs), à se préparer à les "rencontrer", à connaître leurs "tics", leurs travers, leurs points forts, etc. Il s'agit ici d'être constructif : les auteurs et surtout les directeurs de collections sont donc invités à venir présenter leurs points de vue... (il ne s'agit pas non plus de faire la "promotion" de telle ou telle maison d'édition : essayons d'être "honnête" !)
merci