Les festivals BD ont ils encore un intérêt ?

10. Odrade

- 07/09/06 11:50

Marcel HAHAHAHAHA
Le pif, je croyais que c'était le NEZ !
hahahaha

...

OK je sors
;o)

O.

9. Coacho

- 07/09/06 11:28 - (en réponse à : Vas-y Marcel, avec ce costume, tu vas y arriver à me toucher le nez !)

8. marcel

- 07/09/06 11:02

C'est pas dur pour me trouver : chuis pile poil au niveau qui permet de te coller un coup de boule dans le pif sans effort. Mais pas dans le plexus, facon Zizou, ca c'est vilain.

7. Coacho

- 07/09/06 10:58

Ben ça permet de voir les potes quoi !
Des auteurs sympas, discuter, passer une bonne journée en parlant BD, forcément, mais pas seulement !
Si on y vient que pour la dédicace, je crois qu'effectivement, la journée peut-être longue, voire même ennuyeuse, mais dans un autre esprit, plus décontracté, c'est bien !
Je vais voir Angus, ça fait longtemps que je n'ai pas vue sa famille agrandie !
Je vais voir Marcel !
Enfin... Pour voir Marcel, faut au moins les yeux de Steve Austin mais bon, une fois trouvé, il est sympa comme tout Atchoum ! ;o))
Tiens, ben on verra Stan aussi, l'homme aux cocktails qui tuent ! ^____^

6. stanprozak

- 07/09/06 10:23 - (en réponse à : phillaire2002@yahoo.fr)

Pour ou contre les festivals ? Que voilà une bonne question, mon gentil Seigneur !
En premier lieu, il faudrait peut être définir ce qu'est un festival. Un festival, c'est un endroit où vont être rassemblé des auteurs, soit mais aussi et surtout tout ce qui vit en marge de la BD :
expositions
bds d'occase et/ou de collection
petits éditeurs bien souvent inconnus du grand public car non présents à Carrouf ou relégués sur l'étagère du bas au fond de la librairie spécialisée
fanzines - tout le monde s'accorde à dire qu'ils sont l'avenir de la BD mais qui leur donne les moyens d'exister, de continuer à sortir un n° de plus ?
paraBD qui peut comprendre des marchands de statuettes mais aussi de vrais artistes
..........
Voilà ce qu'est un festival.
Dans ce cas, oui, il faut continuer d'en faire pour les organisateurs et les personnes qui distribuent les deniers publics (en n'oubliant pas que dans "festival", il y a "fête". Et oui, il faut que le public continue à venir
Si par contre, le festival se limite à n'être qu'une "librairie géante", dans laquelle des files de sac attendent un auteur qui est tenté de faire comme Beckett, ..........
Et puis là, je vais précher pour ma paroisse : allez dans les festivals ( ou vaux), découvrez de jeunes auteurs, des initiatives d'éditeurs courageux qui ne regardent pas forcément leur bénéfice mais qui font leur boulot de "découvreurs" et/ou de "gardiens de la mémoire" de la BD. Je me souviens d'un temps pas si lointain que ça où Tarquin s'emmerdait royalement en festival. Personne devant lui ...........
"Mode subliminal ON" Rendez vous à Roquebrune sur le stand du Gang Editeur "Mode subliminal OFF"

5. sep

- 06/09/06 15:15 - (en réponse à : pernetseba@aol.com)

Merci Helmut pour ta réponse. Tu marques un point, les festivals sont effectivement l'occasion d'exposer des fanzines, et aussi parfois de dénicher, par l'intermédiaire des libraires d'occases, la BD recherchée depuis tant d'année. D'ailleurs, depuis deux ans, je passe au moins autant de temps devant les standes de livres d'occasion qu'à attendre une dédicaces. Je viens avec ma liste de bouquins recherchés, et je chine jusqu'à avoir trouvé mon bonheur. Donc, effectivement, pour ça, les festivals demeurent un bon truc. Quelqu'un a d'autres arguments ?

4. sep

- 06/09/06 15:10 - (en réponse à : pernetseba@aol.com)

C'est vrai que j'ai la chance d'être dans une région ou les libraires se bougent et invitent souvent des auteurs qui m'intéressent. Mais ça ne remet pas en cause ce que je disais tout à l'heure à propos des festivals. Personnellement, j'en arrive à guetter des scéances de dédicaces (hors festivals) qui se passent parfois à 250 bornes de chez moi, voir plus, et je sais qu'un jour je franchirai le pas, pour voir un auteur qui ne sera jamais venu dans ma région, de me rendre aussi loin pour quelques dédicaces et rencontrer un auteur.

3. helmut perchu

- 06/09/06 15:06 - (en réponse à : sep, c'est pien)

Perso :

> une dédicace ne m'intéresse pas si j'ai plus d'un quart d'heure à attendre (ce qui explique que j'en ai trés peu),
> je trouve que la BD "s'expose" trés mal alors mis à part les expos avec une réelle scénographie,
> les endrois clos, bruyants et pleins d'une foule pleine de gens, c'est pas trop mon truc,
>>> bref tu pigeras que les festivals c'est pas trop mon truc.

Mais :

> je trouve en général intéressant, sympa et accessibles (et inventifs) les espaces fanzines et amateurs.
>>> donc des fois les festivals c'est un peu mon truc.

Bref, demmerde-toi avec ça (smiley rigolard) !

2. marcel

- 06/09/06 14:04

Ben, dans le sud-est, y a tres peu de dedicaces en librairie et souvent des auteurs a la con (comprenez "de chez Soleil") alors les festivals (pas forcement Mandelieu mais plutot Roquebrune, Carros, Valberg, etc...) permettent encore de rencontrer des auteurs interessants (Yslaire, Berberian, Trondheim, etc...).

1. sep

- 06/09/06 13:57 - (en réponse à : pernetseba@aol.com)

Les festivals BD ont ils encore un intérêt ? C'est la question que je me pose de plus en plus. En effet, il nous est de plus en plus souvent donné de rencontrer des auteurs en librairie. Ainsi, pour seulement cette année, et sur les deux librairies BD que j'ai dans ma région, à savoir celle de Chambéry et celle de Annecy, j'ai obtenu plus de 20 dédicaces, avec les auteurs suivant : Mitton, Meynet, Ribera, Tito, Girod, Lapeyre. Il y a deux gros intérêts à ces rencontres organisées par des libraires : la gratuité de l'événement, alors que le prix d'entrée des festivals est de plus en plus cher, et la disponibilité des auteurs, avec qui on peut avoir de vrais échanges. Loin du stress d'un festival, ceux-ci sont en effet plus disponibles. C'est au point que j'hésite, cette année, à me rendre au festival de Chambéry,qui se déroule pourtant près de chez moi. D'autant que ce festival est chaque année un peu plus contraignant pour divers raisons d'organisation. Le public n'y est pas spécialement bien accueilli, les auteurs ne sont pas toujours bien installés, le contrôle, l'éttiquetage des livres personnels et l'achat des livres neufs sont mal organisés. Bref, au risque de me répétrer, j'hésite beaucoup à me rendre sur ce festival, que je n'aurai pourtant manqué sous aucun prétexte il y a quelques années. Alors, s'il vous plaît, donné moi avis : pour ou contre les festivals ?