dupuis-média participations

Les 75 commentaires sont triés des plus récents aux plus anciens .



75. Lien Rag - 11/02/09 17:12
C'est dommage pour Aire Libre tout de même, collection pour laquelle j'avais un certain attachement affectif et irrationnel...

74. froggy - 08/02/09 19:28
Ce a quoi je pensais principalement est au fait que les auteurs en question ne viendront pas soumettre leurs projets chez Dupuis en premier et les proposeront ailleurs.
Cela signifie que Dupuis proposerait moins de nouvelles series.

73. Willerban - 08/02/09 01:06
Il y a deux sortes d'auteurs, ceux dont les lecteurs suivent la série et ceux que les lecteurs suivent en temps qu'auteurs. Ces derniers peuvent naviguer d'un éditeur à l'autre, pour les premiers c'est plus aléatoire.

72. froggy - 08/02/09 00:31
Sur un autre forum concurrent mais neanmoins ami, quelqu'un avait lance un debat sur la question fondamentale dans le petit monde de la BD: ou va Dupuis?

Force nous est d'admettre la pertinence de cette question quand on constate que depuis le depart de Claude Gendrot il y a deux ou trois ans alors qu'il etait le directeur de la collection Aire Libre, Dupuis ne va pas tres loin. Gendrot etait parti avec quelques uns de ses auteurs chez Futuropolis qui a publie certains titres manifestement concus pour etre publie chez Aire Libre a l'origine. Je pense au Sommeil de Leo et Lulu Femme Nue entre autres. Mais peut-etre me trompe-je au sujet de ces deux albums.

Est-ce que ce nouveau depart va entrainer une nouvelle hemorrhagie d'auteurs? Auteurs qui manifestement ont beaucoup d'estime pour l'ex-directeur de la collection a en croire leurs interventions parues dans le site Actuabd.

Suspense!

71. herve - 06/02/09 20:43
sur actuabd, j'ai vu qu'il y avait certains remous chez Dupuis....

70. Lien Rag - 27/06/06 15:31 - (en réponse à : torpédo)
Pas compris ta question?

69. torpedo31200 - 27/06/06 14:26 - (en réponse à : Lien Rag - post # 66)
C' est un fake ?

68. Odrade - 27/06/06 14:18
Quand on est enfant, tout à l'air simple.

Pour être riche (et heureux), on n'a qu'à déménager dans une ville où il y a un travail qui paie bien, avec toutes les commodités dont on a envie aux alentours.

Résultat : j'ai déménagé avec bonheur à la campagne, j'ai un mi-temps qui me permet tout juste de survivre financièrement pour pouvoir dessiner le reste du temps.

Et pourtant, je peux dire que je suis (plus ou moins) satisfaite de ma vie. (même si je trouverais bien un éditeur, que je gagnerais bien à la loterie et que j'aimerais avoir une piscine olympique dans mon jardin)

Etre auteur, c'est économiquement illogique.


O.

67. krazy kat - 27/06/06 12:48
et pourtant, les auteurs sont trop payés, c'est bien connu.
surtout chez Dupuis, ou (le croirez-vous ?) ils sont DOUBLEMENT payés ! quelle horreur.

66. Lien Rag - 26/06/06 16:21
Une autre analyse économique...
J'aime bien la conclusion de l'article!

65. un intervenant - 25/06/06 17:21 - (en réponse à : Mister Georges)
Yo man ,total respect!

64. Mr Georges - 25/06/06 16:25
C'est vrai qu'en 38 la vie était facile pour tous le monde...

63. francois - 25/06/06 11:41
Donc avoir de l'argent n'est pas une tare, et réussir n'est pas injuste. Lombard, Dargaud, Dupuis, Soleil, Delcourt et autres ont tous commencer par le bas. Respect pour la réussite.

La maison Dupuis était déjà vieille de 40 ans quand elle s'est lancée dans la bd (1938) avec une bonne assise financière (édition du Bonnes Soirées et du Moustique entre autres...).

fd

62. horto - 24/06/06 23:17
C'est le principe même de l'économie: grandir, grandir, et quand on devient trop grand, il y a de nouveau de la place pour des structures plus petites, plus proches du client, où travaillent des passionnés alors que l'organisation dans les grands groupes devient lourde,avec des frais de gestion importants, des contacts plus impersonnels, etc. Cela existe dans tous les secteurs, banque, alimentation, métallurgie, ... et édition.

61. Mr Georges - 24/06/06 23:09
Les petites structures existes et cela va durée.
Pourquoi? tout simplement qu'elles sont dirigées par des gens qui veulent ce faire et donner du plaisir à la lecture des albums qu'ils éditent. Les problemes financiers sont certes importants mais ne concerne l'édition que de 2 ou 3 albums au plus au même moment (et c'est déjà beaucoup).
Quand on sait toutes les difficultés que L'Association a eu avec la réussite Persepolis. D'une moyenne de vente de 1000/1500 ils sont arrivé à plus de 200.000... A ce moment là, la réussite peut aussi produire une faillite...de justesse.
Donc avoir de l'argent n'est pas une tare, et réussir n'est pas injuste. Lombard, Dargaud, Dupuis, Soleil, Delcourt et autres ont tous commencer par le bas. Respect pour la réussite.

60. Gill - 24/06/06 17:48 - (en réponse à : Pierre-Paul)
Dimitri Kennes, patron d'aéroport ?
Moui... L'édition n'était donc pas sa préoccupation fondamentale, alors (à moins qu'il ne soit "grillé")... Et que devient Claude Gendrot, qui a fait des pieds et des mains pour maintenir Kennes dans la course "Dupuis" et qui n'envisageait rien sans lui ?

D'un autre côté, un cadre est un cadre et peut bosser dans n'importe quelle branche. Et le duo avec Gendrot n'avait de sens que dans le contexte Dupuis.

C'est Sébastien Gnaedig qui s'en sort le mieux, finalement, lui qui a réagi dès l'achat de Dupuis sans attendre des preuves de ce que pourrait devenir une entreprise "fillialisée" dont les cadres affirment "on va respecter l'esprit de l'entreprise". Il suffit simplement d'en être conscient dès le départ, c'est tout : "quoiqu'elle dise, une entreprise qui en achète une autre ne respectera que les impératifs économiques et ceux des actionnaires. Il n'y a jamais d'exception."

Ceci dit, Maëster soulève un point important : comment concilier impératifs économiques et artistiques dans une structure éditoriale ?
Peut-on faire confiance aux équilibres économiques pour préserver la liberté de penser ? Après tout, une maison d'édition, même "indépendante", obéit à des règles macro-économiques, non ? Et l'obligation d'être rentable, dans l'édition, passe forcément par l'obligation de dénicher des artistes qui plaisent, donc, aussi des artistes libre-penseurs... Comment se passe l'alchimie, dans ce cas ? Toujours de la même façon : les véritables créateurs sont d'abord engagés par des petites structures avant de s'épanouir dans les grandes qui les "achètent" (= achètent leur public) ? Mais qu'adviendra t-il lorsqu'aucune petite structure ne pourra se monter ou se promouvoir si freinées dès l'oeuf par la masse imposante des multinationales ?

59. herve - 22/06/06 14:07 - (en réponse à : Maëster)
un petit coup de main? c'est

58. Maëster - 22/06/06 14:03
Lire à ce sujet l'article suivant (désolé, je ne sais pas faire de lien direct) :
http://www.politis.fr/article1264.html

57. un intervenant - 22/06/06 14:01
Merci Maëster pour vos propos...

56. Maëster - 22/06/06 13:58 - (en réponse à : Mr Georges)
"Quand deux destin se croisent c'est normal qu'une collusion ce produise.les tentatives de prises de pouvoir ce produisent tous les jours dans le monde du travail."

Vous vouliez sans doute dire une "collision", à moins que je n'aie pas saisi l'ironie de votre message, une "collusion" étant l'entente secrète entre deux personnes pour nuire à une troisième...

Il me semble plutôt que ce sont deux conceptions différentes du travail de l'édition qui se sont heurtées ici ; l'une dédiée en priorité aux actionnaires et pour laquelle les livres sont un moyen et non une fin, l'autre dédiée en priorité aux oeuvres et aux auteurs pour laquelle les livres sont la fin. Quelque soit la valeur et l'investissement des personnes dans leur travail, il est évident que l'appartenance à un grand groupe sous actionnariat favorise la première option. Il serait faux de croire que c'est la seule viable, même si c'est ce qu'on essaye de nous prouver.

Je schématise, bien sûr, mais on peut trouver la peinture de cette évolution du monde de l'édition dans le livre d'André Schiffrin, "l'édition sans éditeur" (La Fabrique).

55. Gasoil - 22/06/06 12:10
Bonjour la promotion ;)

54. Pierre-Paul - 22/06/06 11:43
Pour ceux que cela intéresse, Dimitri Kennes pourrait devenir... le patron de l'aéroport de Charleroi. Source: L'Echo.

Cela n'a l'air de rien, mais Charleroi / Brussels South Airport est la tête de pont de Ryanair en Belgique et cela marche à fond !

Ce n'est pas le seul candidat, il y en a un second.

53. Mr Georges - 08/06/06 21:25
Je suis complétement d'accord avec toi.
La vie d'entreprise continue, cela va être dur pour certain qui ont pu croire l'instant de quelques jours qu'ils allaient devenir co-patron avec leurs patron.
ce qui est dommage ou formidable (cela dépend dans quel situation on ce trouve) ce que cette affaire a eu une grande partie affective. On ne trouve pas cela partout!
Mais j'insiste, avant tout, c'est une affaire d'homme à homme.
Quand deux destin se croisent c'est normal qu'une collusion ce produise.les tentatives de prises de pouvoir ce produisent tous les jours dans le monde du travail. Mais Dupuis est toujours vivant (la maison) les employées ont du travail et donc un salaire, et quelque part c'est pour eux et leurs familles le plus important.mais il ne faut pas dire que maintenant que Dupuis c'est fini ou qu'il ne font plus rien. C'est faux.
j'ai le programme des parutions pour Septembre et vous allez avoir de belles surprises.

52. Gill - 08/06/06 19:29 - (en réponse à : Pierre-Paul)
Je comprends ce que veut dire Pierre-Paul, mais je ne pense pas que le mot "éthique" convienne pour le monde des affaires (dans ce contexte) :
- il y a, certes, une "logique" économique qui maintient naturellement un certain équilibre, mais ce mécanisme est *automatique* dès lors que l'on suit les règles capitalistes.
- "l'éthique", elle, implique une *réflexion* humaine et sociologique, en dehors de toute règle officielle.

En ce sens, l'éthique aurait tendance à s'opposer à la logique économique (qui pousse, par exemple, les pêcheurs à vider la mer de ses ressources. Dans ce cas, l'éthique impose un moratoire que seuls les gouvernements peuvent faire respecter car les entreprises en sont incapables).

Dans notre cas (l'édition de BD), c'est la *logique* économique qui pousse les propriétaires de l'entreprise à gérer au mieux ses ressources (humaines et matérielles), à rester maîtres de leur entreprise, à orienter ses objectifs vers une progression économique, à satisfaire la clientèle, à encourager les auteurs gros vendeurs, rassurer les autres...
...mais il n'est nulle question d'éthique, en l'occurrence. La véritable éthique éditoriale voudrait, par exemple, qu'on n'abandonne pas un auteur qui a passé toute sa carrière dans l'entreprise même s'il ne vend plus, à respecter une "culture d'entreprise" qui maintient le lien entre les divers collaborateurs, etc... En fait, l'éthique à un coût, elle impose des règles contraignantes qui ne sont pas économiques... qui ne font pas partie de la "logique" économique.

En dehors de ça, Pierre-Paul a parfaitement raison : le fonctionnement *logique* de Media Participation voulait qu'elle prenne des décisions fortes. Tout simplement parce qu'une entreprise, n'est pas une coopérative ni une association... Mais ce n'est pas parce que la "structure" en elle-même est redevenu saine que les hommes qui la composent n'ont plus d'états d'âmes. La "récréation" est peut-être terminée, mais les boucs émissaires en veulent toujours aux chefs de bandes en culotte courte ;-) ! Et ça, ce sera plus dur à faire oublier... Autrement dit, en termes d'entreprise : il va falloir multiplier les "stages de motivation", les séminaires destinés à améliorer "l'esprit d'équipe" (canoying, saut à l'élastique, théâtre, etc ;-)... là où un dialogue un petit peu plus ouvert au tout début aurait pu simplifier les choses.

Les maisons d'éditions ? C'est vrai, oui, il y a des différences de comportement. On pourrait s'amuser à réfléchir pourquoi, mais bon... il suffit d'en être conscient et d'agir en conséquence, en bon chef d'entreprise pragmatique ;-) !

51. Bert74 - 08/06/06 19:24 - (en réponse à : Pierre-paul)
quand cela arrive dans l'édition on en fait un immense foin

C'est vrai, ça. Je l'ai remarqué assez souvent aussi.

Mon hypothèse est que les boites d'éditions sont à part, car elles sont les seules entreprises à contractualiser sur le long terme des "artistes" (ou déclarés comme tels).
Quoiqu'on en dise c'est une catégorie de travailleurs, les artistes, assez a part et difficilement gérable. Qui plus est avec une tribune médiatique et "un public" sans équivalent dans les autres catégories...
D'où le décalage.

(sans compter que l'honni entreprise odieusement capitaliste touche là à la sacro-sainte culture)

Dans le bouquin sur les éditeurs de Bellefroid paru l'année-dernière chez Niffle, Claude Saint-Vincent, qui provient d'un tout autre sérail, tenait une remarque amusée à ce sujet, sur l'importance que se donnait lui-même le milieu de la BD, importance toute relative dans le monde des affaires...

50. un intervenant - 08/06/06 19:16
Sitcom porte bien son nom.

49. Sitcom - 08/06/06 17:29 - (en réponse à : Pierr paul)
un truc dans ce genre là ? :

48. Pierre-Paul - 08/06/06 17:17 - (en réponse à : La parole du jour)
Pas grave, c'est le risque des forums, et la chaleur ne doit pas aider à calmer les frustrés mal éduqués de son genre.

allez, a+


47. La parole du jour - 08/06/06 17:08
un intervenant = troll pas drôle

46. un intervenant - 08/06/06 17:04 - (en réponse à : la parole de son Maître)
ouais,youpi.

45. La parole du jour - 08/06/06 17:02 - (en réponse à : Pour Pierre-Paul)
Bravo!!!
Dupuis ce n'est pas juste 3 mecs. C'est toute une équipe qui travaille pour la maison.
Tous le monde n'a pas le rêve ni l'argent d'avoir sa propre maison d'édition.

44. un intervenant - 08/06/06 16:58 - (en réponse à : l'autiste financier)
C'est plutôt toi le troll,pauv'gars...
Enfin,bon,tu as une vision du monde qui ne doit pas trop te donner de migraine le soir au coucher.

43. Pierre-Paul - 08/06/06 16:55 - (en réponse à : un intervenant post 40)

>>> Tiens, un troll !

comment on fait pour insérer un smiley où je lui montre mon arrière-train ?

42. un intervenant - 08/06/06 16:54
Affligeant de connerie et de suffisance...

41. Pierre-Paul - 08/06/06 16:51 - (en réponse à : krazy kat)
Ben, si le calme revient et que Verhoest fait bien son boulot je vois pas trop pq ils seraient encore démotivés, les auteurs ? Ni pq ils partiraient ?

Ce qui moi me fait rigoler c'est que dans le monde des entreprises actuel (et je crois qu'une majorité des bdparadisiens en font partie) ce genre de mouvement dans la direction est chose assez courante. Dans neuf cas sur dix tout le monde s'en sort très bien (sauf les directeurs virés, bien sur, quoique avec les parachutes dorés... :-/) et quand cela arrive dans l'édition on en fait un immense foin.

Bref, même si je comprends très bien que l'incertitude est dfficile à vivre pour les auteurs, à présent qu'il y a une nouvelle équipe éditoriale très valable, qu'il y a un directeur général qui connait bien la distribution et suffisament chevronné pour ne pas confondre ses ambitions personnelles et l'intérêt du groupe dont il fait partie, la récréation est terminée, et retour au boulot.

D'aillerus moi-même j'ai encore du travail, zou ! a+ ciao et bien le bonsoir PPV

40. un intervenant - 08/06/06 16:42
Cet imbécile de Pierre-Paul-Jacques ,comme d'habitude,parle de ce qu'il ne connait pas.Ici ,des dessous de l'affaire Médias-participations-Kennes-Gendrot...
Un avantage toutefois:pendant ce temps là,il ne scénarise pas.

39. krazy kat - 08/06/06 16:28 - (en réponse à : pierre-paul)
vous me faites marrer avec votre "éthique des affaires", surtout si vous croyez qu'elle est du côté de média.(cf : licenciements abusifs, mensonges répétés, méthodes d'intimidation)

maintenant, ils ont ce qu'ils veulent : une boîte vidée de sa substance et des auteurs pas archi-motivés qui, de toute façon, samara ou pas samara, iront ailleurs si ils le peuvent.
y a pas de clause de non-concurrence qui tienne. aucun auteur n'a de contrat d'exclusivité intégrale avec un éditeur (ou alors il se fait salement entuber) et il reste évidemment libre de signer ailleurs pour autre chose.
et claude gendrot n'a pas encore pris sa retraite.

38. La parole du jour - 08/06/06 16:27
Samara = Mort de rire

37. La parole du jour - 08/06/06 16:27
HA HA HA HA HA HA HA HA !!!!

36. marcel - 08/06/06 16:10 - (en réponse à : Pierre-Paul)
J'ai lu les deux. Malka est aussi l'avocat de Charlie Hebdo. Un journal de gauche. Section financiere, du meme, est lisible mais moins reussi quand meme.

Mais le Denis Robert etait bien, j'attends la suite.

35. Pierre-Paul - 08/06/06 16:03
lis plutôt "le code ciceron", le scénariste est avocat et défend précisément Clearstream dans une affaire de délit (? présomption d'innocence ;-)) de presse. C'est bon, assez pompé sur "Les Maitres de l'Orge" de Van Hamme, mais je donne 4 étoiles pour le tome 1. Pas encore lu le tome 2.
Ah oui, c'est pas le bon sujet. a+

34. marcel - 08/06/06 15:57
Ca doit etre ca... Dis Pierre-Paul, tu m'expliques l'affaire ClearStream ?... Nan, je deconne.
Tiens ! D'ailleurs faut absolument que je relise la BD de Denis Robert chez Poisson Pilote, des fois qu'a l'aune de cette affaire, elle prenne une autre saveur.

33. Pierre-Paul - 08/06/06 15:47 - (en réponse à : marcel)
c'est parce que tu n'y connais rien-heuu !

;-)

32. torpedo31200 - 08/06/06 15:26 - (en réponse à : Pierre-Paul - post # 30 )
Je précise que je ne parlais que de Dupuis.
Les autres vont essayer de faire un petit mois sur les 2 premières semaines de Juillet... Et un bon mois d' Aout sur la dernière semaine !

31. marcel - 08/06/06 15:25
l'éthique des affaires

Les deux mots ensemble, ca fait bizarre.

30. Pierre-Paul - 08/06/06 14:59
Rigolo, pas de nouveauté en juillet ? Je reviens d'un libraire et il y a une ch.ée de nouveautés en juin, un tsunami de nouveautés !!! Alors si juillet est plus calme, appelons cela le repos du guerrier ;-)

Pour Samara, zut pour ceux qui ne comprennent pas comment marchent les clauses de non-concurrence et l'éthique des affaires (qui n'est pas forcément l'éthique du sens commun), mais tout cela est bien naturel. Tant pis pour eux, back to business, fin de la récréation et bonne chance à Baert & Verhoest & leur équipe.

29. torpedo31200 - 08/06/06 14:20 - (en réponse à : froggy - post # 25)
C' est comme en décembre, ce sont les 2 mois où ils ne sortent rien. Ils se rattrapent en août/septembre et en janvier...
Rien d' anormal.

28. Lien Rag - 08/06/06 09:48

27. cubik - 08/06/06 09:07 - (en réponse à : a froggy)
c'est ptet aussi du au fait que le mois de juillet est traditionnelement pauvre, voire même vide pour certains editeurs, un peu la treve estivale

26. francois - 08/06/06 08:34
Pierre-Paul évoquait dans son post du 01/05 une nouvelle maison d'édition créée par Kennes et Gendrot. Il semblerait que cette belle aventure - portant le doux nom de Samara - ait pris fin suite aux menaces de multiples procès de la part des hautes sphères MP contre le duo rebelle et plus particulièrement DK qui jette donc le gant.
La récré est donc bel et bien terminée, les auteurs peuvent reprendre leurs crayons et pinceaux et continuer comme si de rien n'était.
fd



 


Actualité BD générale
Actualité editeurs
Actualité mangas
Actualité BD en audio
Actualité des blogs des auteurs
Forum : les sujets
Forum : 24 dernières heures
Agenda : encoder un évènement
Calendrier des évènements
Albums : recherche et liste
Albums : nouveautés
Sorties futures
Chroniques de la rédaction
Albums : critiques internautes
Bios
Bandes annonces vidéos
Interviews d'auteurs en videos
Séries : si vous avez aimé...
Concours
Petites annonces
Coup de pouce aux jeunes auteurs
Archives de Bdp
Quoi de neuf ?
Homepage

Informations légales et vie privée

(http://www.BDParadisio.com) - © 1996, 2018 BdParadisio