Pour toi, public

Les 25 commentaires sont triés des plus récents aux plus anciens .



25. artur - 19/05/05 18:12 - (en réponse à : en passant ..)
.. puisque la réference est evidente je gerbe sur le pauvre gars dont les sketchs s' intitulent comme ce sujet . c'est tout . paix en suisse

24. larry underwood - 19/05/05 18:08 - (en réponse à : s'insurge et rapplique)
ah oui, mais là à force de pinailler (et comme je vous comprends parce que c'est vrai que c'est amusant), vous semblez oublier un détai lessentiel dans cette affaire de "running moi le fond du danger que je te dise mon prix" : c'est que le bouquin de King, effectivement paru en 1982 sous le pseudo de Richard Bachman, a en fait été écrit bien avant ça ! Eh oui... Bachman n'a commencé à publier des livres qu'une fois la notoriété de King déjà installée grâce à Carrie, Salem et Shining... eh eh : en créant Bachman, King y voyait l'opportunité publier ses premeirs romans qu'il aimait particulièrement mais que les éditeurs lui avaient jusqu'alors refusé. Le manuscrit de Running Man date d'un week end fiévreux de novembre 1977... alors après, je ne connais pas la date du Silverberg dont il semble s'inspirer d'après vous... (à noter cela dit que King n'est pas grand amateur de Silverberg, je me demande donc s'il la lu... Running Man est plus proche selon moi d'un Phillipe K Dick... King a d'ailleurs écrit ce livre en trois jours, en pleine crise de fiève due à une mauvaise grippe, abruti de gnôle et de médicaments... il ne garde aucun souvenir de sa rédaction.)

J'aime épaissir les choses en faisant mine de les clarifier ! ;o)

23. Bert74 - 19/05/05 16:31 - (en réponse à : Gillix)
Pardon, maître...

22. Gillix - 19/05/05 16:26 - (en réponse à : Bert74)
Arrête de faire souffrir un scénariste comme ça parce que je te pile au Bullepursuit depuis un mois... ;op

J'm excuse M'sieur Brunschwig, mais je le tient maintenant, c'ests bon.

Calme, Bert, calme... ;op

21. luc Brunschwig - 19/05/05 16:06
Aaarargh...

20. Bert74 - 19/05/05 16:03 - (en réponse à : Luc)
Ouais, je trouvais qu'il y avait pas mal de la cité-puit dans la ville que tu as écrite. Et le présentateur aux grandes oreilles me faisait fortement penser à celui qui s'adresse à ses "chers télé-adds", dans l'Incal, dans son comportement devant la caméra.

Mais ça ne m'a pas empêché de bien apprécier Urban Games quand même ([Mode couteau dans la plaie On] C'est con, hein ?[Mode couteau dans la plaie Off])

19. luc Brunschwig - 19/05/05 15:40
A l'Incal ???

18. Bert74 - 19/05/05 15:32
Dans Idoles, ça tiens plus de la télé-réalité que du jeu télévisé (pour peu qu'on fasse encore une distinction dans la bouillie télévisuelle qu'est devenue la programmation cathodique actuelle, inspirant les pires développements aux scénaristes d'anticipation).

En le lisant je n'ai jamais fait le rapprochement avec Urban Games (que pourtant j'ai en 2 exemplaires chez moi, si, si). Tiens maintenant qu'on en parle, bien que ce soit apparement douloureux pour Luc B. de l'évoquer (mais c'est pas moi qu'ai commencé), Urban Games ça m'avait fortement fait penser à l'Incal, quelque part....

17. champignac - 19/05/05 15:19 - (en réponse à : un footballeur?)

16. Coacho - 19/05/05 15:12 - (en réponse à : Champi')
OJ Simpson ! Dho ! ;o)
Il me semble pourtant que cette affaire précise est postérieure à l'écriture de Running Man ?...

15. champignac - 19/05/05 15:10 - (en réponse à : LB)
Homer Simpson?

14. Coacho - 19/05/05 15:06
QUOI ? IL Y A POMPAGE ? PROCES ? ATTAQUES NEVROTIQUES ET TOUT LE TOUTIM ?



C'est vrai quoi, pourquoi on l'emmerde pas avec des histoires de ce genre lui ?! O__o

A part ça, vous vous en foutez un peu de ce que j'écrivais plus bas ? Oui ?... Bon... Pas grave, je vais aller par là... Oui, je sens de l'air ! ;o)

13. zarkham - 19/05/05 15:01 - (en réponse à : précision)
C'est un peu du "copier-coller" mais j'ai vérifié sur différentes sources :
Le film n'est pas adapté de Stephen King mais d'une nouvelle de l'écrivain de science fiction Robert Sheckley, "The prize of peril" (publié en 1958).
Stephen King, grand amateur de SF connaissait évidemment son "grand ainé" et reprit son idée (avec son accord ou non...) pour écrire son roman "The running man" (en 1982, sous le pseudo de Richard Bachman).

12. luc Brunschwig - 19/05/05 14:52 - (en réponse à : à champignac)
Lui-même inspiré de la fuite de ce footballeur dont je ne me rappelle plus le nom et qui était accusé d'avoir buté sa femme... fuite filmé par la TV américaine depuis un hélicoptère... pas besoin tu vois d'aller chercher midi à quatorze heures. Pour finir, Le prix du Danger est inspiré d'un livre de Silverberg (si mes souvenirs sont bons)antérieur au Running Man de King.

11. labonneblague - 19/05/05 14:49
il est si vieux que ça le bouquin de King ?

10. champignac - 19/05/05 14:46
En fait c'est plus compliqué. Le prix du danger s'inspirait du bouquin de King, "Running man", mais est bien plus fidèle à l'oeuvre que la version américaine qui lui est postèrieure et reprend des astuces du film français.

9. labonneblague - 19/05/05 14:42
Running Man est tiré d'un bouquin de Stephen King. Mais il est fort possible que King se soit inspiré du film avec Lanvin ou bien que King ait la même source d'inspiration que le film avec Lanvin....

8. champignac - 19/05/05 14:35 - (en réponse à : LB)
Lui-même inspiré de "Running man", qui s'inspirait du "Prix du danger"?

7. Coacho - 19/05/05 14:33
Pas encore lu l'album mais Gabella m'a tout l'air d'être un talent très prometteur.

Après le remarqué tome 1 de "La chute", j'ai eu la chance par un ami d'un ami d'un ami d'un ami (faut bien perdre les pistes !), de lire une bonne partie de son scénario des "Mesures du temps".
Et bien je dois avouer que là encore, ce scénariste me bluffe !
La construction, l'intérêt, et le soin porté à la narration de son histoire sont exemplaires...

Donc effectivement, la question est posée sur le formatage des albums...
Mais quelle est la meilleure solution ?
Dans tous les formats actuels, nous trouvons des albums enthousiasmants (Pouvoir des Innocents, Le Tueur, Marquis d'Anaon, Journal de Neaud, etc...) et qui donnent beaucoup d'émotions au lecteur.(oui, je sais, il y a beaucoup plus de daubes que de bons livres, et dans tous les formats aussi ! ;o))

Je vois certains dire que les éditeurs ont leur part de responsabilité. Oui, et non !

Entre les séries formatées pour la vente, les "produits" bien calibrés à la Van Hamme (sans rentrer dans un énième débat stérile mais en soulignant que son efficacité est tout de même redoutable), et les autres, qu'en est-il de cette responsabilité, surtout à la lumière de la lecture du livre de Thierry Bellefroid ?

Une définition propre à chaque éditeur de sa propre fonction permet de dire qu'ils utilisent les mêmes mots mais ne font pas le même métier, mais ce que je vois au bout du compte, c'est tout de même la production de livres (tiens, cette histoire de grammaire commune pour un même but ne s'appliquerait-elle pas à Manu Larcenet ?!).

Entre critères de rentabilité et vraie création dans un espace de liberté offert par l'éditeur, il ne faudrait pas croire que le tout soit régenté !

Car cela sous-entendrait que les scénaristes sont à disposition de l'éditeur, ce qui me semble réducteur.
Ne serait-ce que parce que ceux-ci créent, écrivent, produisent, et n'hésitent pas à vendre leurs histoires à divers éditeurs...
De là à imaginer qu'ils seraient capable de torpiller un album pour nuire à l'image d'untel etc, ça ferait une belle paranoïa que je réfute ! ;o)))

Comment donc responsabiliser l'éditeur ? C'est une vraie question hein ?
Alors oui, éviter les histoires bateau ou bidon (mais qui ont sûrement des lecteurs si on en croit les ventes de certains éditeurs spécialistes du genre !), mais comment être sûr du niveau de qualité d'écriture de chacun de ces acteurs ?

Doit-on les cantonner dans une certaine forme de récit (Callède par exemple ?), ou leur ouvrir d'autres horizons ?
Cela entre-t-il dans le champs d’action de l’éditeur en question ?

L’éditeur doit-il mettre tout son crédit entre les mains d’une poignée de scénaristes et leur donner ainsi les clés d’une certaine forme de pouvoir, et du risque de voir son image figée au énième scénario d’untel qui fait du untel ?

Bon, j’ai volontairement dérivé des propos initiaux tenus avec lucidité par Laurent Rullier dans un sujet annexe.
Je me permets d’ailleurs de reproduire son post ici, en bonne place et en italique.

87. L Rullier gasoil - 19/05/05 11:28 - (365657)
Gasoil, je suis en partie d'accord avec ton post 81. En partie seulement car quand tu dis que les éditeurs galèrent pour trouver de bons scénaristes, tu as, à mon humble avis, tord. Les éditeurs sont en grande partie responsables de cet état de fait. En effet, il est quasiment impossible pour un scénariste sans dessinateur de voir aboutir un projet. De même un bon dessinateur sans scénario ne peut espérer se voir publier. Beaucoup trop d'éditeurs ne prennent pas la peine de faire la jonction. Ils exigent scénario et dessins. Donc cela aboutit bien souvent à la situation qu'un dessinateur doué mais sans talent de scénariste se fasse écrire un vague scénar sur commande à un copain qui lui tricotera une histoire bringuebalante pour lui faire plaisir. Le dessinateur restant "maître" du projet, la rigueur scénaristique est souvent mise de côté.
Il faudrait qu'à la lecture d'un projet sans dessinateur, l'éditeur, si ça lui plait, puisse dire : "OK, on va chercher un dessinateur qui pourrait coller". De même, quand un dessinateur présente de belles planches mais un avec un scénario inepte, ce même éditeur est le cran de lui dire : "Tes dessins, supers. Mais ton scénar nul, on va trouver un scénariste." Ce n'est malheureusement pas assez souvent le cas.
Ajoute à cela le manque de suivi flagrant chez bon nombre d'éditeurs où il n'y aucune relecture critique des projets. C'est oui ou c'est non, trop rarement : "Oui mais… là tu vois, tu devrais revoir ta narration, retravaille tel rebondissement, etc…". Un éditeur des Humanos me racontait récemment qu'ils avaient eu entre les mains un projet, scénar et dessins, très prometteur mais perfectible. Il proposait donc d'accepter le projet, mais il faudrait le retravailler. Le ou les auteur(s) ayant soumis leur travail à un concurrent qui lui prenait sans discuter, ont préféré aller chez ce concurrent tout en ayant conscience qu'au final les Humanos avaient raison. Mais il(s) aurait(ent) à moins à bosser chez l'autre pour obtenir le but rechercher, à savoir, un album tout imprimé-broché.
C'est le manque de rigueur qui va finir par tuer la bande dessinée.


C’est tout à fait intelligent en ce sens et place mieux l’éditeur dans ce rôle essentiel qu’il devrait tenir. Et ce malgré les remarques judicieuses de Champignac qui n’hésitait pas à souligner une possible arrogance de jeunes auteurs persuadés d’être les meilleurs.

La rigueur devrait être à l'esprit de chacun des acteurs non ?

Donc cette discussion est vaste, à n’en point douter, mais comme nous avons la chance d’avoir des gens du milieu, scénaristes (Laurent Rullier, Luc Brunschwig…) et éventuellement un éditeur souvent de passage (Pol ?), peut-être pourrions-nous avoir la chance d’une ébauche de dialogue par le simple échange de point de vue éclairé que vous pourriez apporter ?! Ca serait bien non ?! ^___^

6. luc Brunschwig - 19/05/05 14:12
Pas encore lu... même si je suis curieux de voir les points communs entre cette histoire et une de mes séries avortées après un premier tome Urban Games...


5. Bert74 - 19/05/05 13:38 - (en réponse à : Voila ce que j'ai mis dans un autre sujet)
304. Bert74 - 16/05/05 10:49 - (365148)

Idoles

Nouvelle série de science-fiction de chez Delcourt et j'ai trouvé ça pas mal du tout. j'ai bien aimé les dessins très détaillé des personnages et des décors, un peu à la Geof Darrow, certaines mises en scènes (explosions, fusillades) étant particulièrement réussies.
Du côté de l'histoire, c'est sympa aussi : comment une France un tantinet totalitaire se met à à produire pour l'armée des êtres génétiquement modifiés, des "super-héros". On suit en parralèle l'histoire d'un flic héros de show de télé-réalité ultra-violent. Ce qui fais la grande force du récit, c'est que les auteurs n'ont pas cherché à placer l'histoire sur un plan international, galactique ou même de la faire se dérouler aux US, comme on le voit souvent, mais ont volontairemnt conservé un contexte bien franchouillard. Du coup les références et clins d'oeil, (exemple : un perso s'appelle San Kukai, un autre Ulysse 31), ne tombent pas à plat mais fond partie intégrante du scénar.
Un petit bémol : peut-être que c'est du à un premier tome d'exposition, mais le développement de l'histoire se fait de manière assez lente. C'est sûr, on prend bien le temps de savoir qui est qui et fait quoi, mais, d'un autre côté, on avance pas beaucoup

4. champignac - 19/05/05 13:32 - (en réponse à : larry)
Non, c'était pour avoir un avis justement. Mais j'ai jetté un oeil sur la fiche du scénariste, vide hélas, et sur ses autres albums. Intéressant, très intéressant!

3. larry underwood - 19/05/05 13:19 - (en réponse à : Luc et champ')
Vous avez lu cet album ? C'est vraiment bien ? J'hésite à l'acheter depuis une semaine, mais on s'est tellement fait avoir avec tous les machins styles Chroniques de Sillage ou Carmen et Travis Les récits, que je sais pu comment faire la différence...

2. luc Brunschwig - 19/05/05 13:12
On ne doute pas tant de l'émergence de jeunes talents que de la place que leur laisse les éditeurs plus préoccupés à s'assurer que les bons dessinateurs seront pris en mains par leurs scénaristes maisons garantis 20 ans d'âge.

1. champignac - 19/05/05 13:05
Il semble que, contrairement à ce qui se dit ici ou là, de jeunes scénaristes talentueux émergent. Encourageant?




 


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