Aristophane

Les 43 commentaires sont triés des plus récents aux plus anciens .



43. Alaindelombre - 21/08/19 13:48 - (en réponse à : ratafiole )
Bonjour je recherche le livre d'Aristophane Conte démoniaque, si Ratafiole ou une autre personne serait disposé a me le vendre je met ci joint mon adresse mail :

Alaindelombre666@gmail.com

Merci, Cdt.

42. ratafiole - 13/02/06 19:55
Les démons sont pareils à des généraux d'armée, intriguant pour des histoires de pouvoir en enfer... C'est pas des cornes et des ailes qui les différencient de nos militaires et politiques. Je ne suis pas rentré dans ce trip.

41. nemOrtel - 13/02/06 18:07
Trop intello?

40. ratafiole - 13/02/06 18:03 - (en réponse à : orteil)
Bah, je n'ai jamais eu l'envie d'en reprendre la lecture à zéro.
Passé une intro fulgurante, j'avais été très vite décontenancé par une histoire qui commencait à m'ennuyer et un dessin qui ne me parlait plus.

39. nemOrtel - 13/02/06 15:31 - (en réponse à : rata)
Why?

38. ratafiole - 13/02/06 15:23
Si quelqu'un cherche Conte démoniaque en occase, je l'ai pas en double mais je le vend.

37. Quentin - 13/02/06 13:19 - (en réponse à : quentingausset@yahoo.fr)
Si quelqu'un recherche Logorrhée d'Aristophane, en occasion, je l'ai en double.

36. marcel - 13/02/06 11:52
Et encore, y a des trucs que j'ai regrette apres de pas avoir pris ! Faut que j'y repasse !

35. Coacho - 13/02/06 11:44
Héhéhéhé ! Mais je comprends que tu te sois gavé dans ce carton, y'avait plein de bonnes choses ! ;o)

34. marcel - 13/02/06 11:22 - (en réponse à : Coach')
Chais pas pourquoi, je savais que c'etait toi qui avais remonte ce sujet...

33. Coacho - 13/02/06 09:45
Hmmmm... Ce WE, mon libraire niçois faisait des cartons avec les invendus, ou les trucs abîmés, ou encore les trucs qu'il sait qu'il ne vendra jamais...
Et dedans, PAF, Aristophane laissait de façon posthume un de ses albums, et pas des moindres, "Conte Démoniaque".

Je me suis empressé d'acquérir le bouquin, que j'offrirai prochainement, pour la modique somme de... 1 Euro ! O__o

Sinon, une autre bonne nouvelle qui devrait ravir les amateurs de beaux livres, Ego comme X fait part de son intention de rééditer le sublime "Soeurs Zabîmes", un livre à ne manquer sous aucun prétexte...

Voilà, lisez, découvrez Aristophane, un auteur parti trop tôt...

32. yancomix - 11/07/04 23:02
Un petit texte hommage signé Loïc Néhou.

31. yancomix - 25/06/04 10:26
> Quentin
« …je ne me souviens plus de cette question de savoir s'il faut accepter Dieu ou pas. »
Il me semble que le livre n'apporte pas de réponse.
Ou plutôt que la réponse n'a aucune importance!

> Marc Lizano
Merci pour le lien! :)

30. Quentin - 25/06/04 10:20
On peut dire que c'est Aristophane qui m'a introduit au monde des indépendants. J'ai acheté les soeurs zabîmes, lors d'une expo sur Aristophane organisée par Brüsel. J'ai été conquis par cette histoire toute simple mais si touchante d'une journée des trois soeurs, et par les dessins extraordinaires - qui m'ont ouvert à d'autres choses que ce que j'avais l'habitude de voir jusque là. Donc je peux remercier Aristophane de m'avoir ouvert l'esprit et fait découvrir une autre bande dessinée, qui m'a ravi.

Pour les contes démoniauqes, j'ai longtemps hésité. Je me suis laissé convaincre par le libraire de Sans Titre qui trouvait ca GÉ-NIAL (40 euros pour une BD, effectivement, ca donne à réfléchir). Perso, je n'ai pas trouvé ca génial, et même si j'y suis arrivé à bout, je rejoins les réserves de Pat-Boon. Le début est très bien et accrocheur. Mais je trouve que ca tire en longueur, et ca devient lassant. Ca devient très confus également. Je devais à un certain moment écrire les relations entre les démons sur une feuille de papier à part pour essayer de suivre le récit, tellement c'était embrouillé. J'ai lu la fin en vitesse, et je ne me souviens plus de cette question de savoir s'il faut accepter Dieu ou pas. Ou alors j'ai fait un blocage là-dessus car cette question m'énerve profondément. Bref, je ne recommande pas.

J'ai trouvé le "faune" récemment (en même temps que l'album de Frank sur le même sujet, qui ne lui arrive pas du tout à la cheville!), et ca m'a bien plu. C'est quelque part entre les soeurs zabîmes et les contes démoniaques. Quelques épisodes de la vie d'un faune relativement immoral mais pas trop méchant (ou alors il l'est sans le savoir, puisqu'il n'a pas de morale). Sujet intéressant mais qui n'est pas toujours bien développé dans les différents chapitres. Je suis resté un peu sur ma fin. Sur le même sujet, des auteurs comme Sfar ou Jouvray ont été plus conséquents ou systématiques, à leur manière. Mais j'ai trouvé "faune" très bien quand même, et je suis très heureux d'avoir eu la chance de trouver cet album.

29. marc.lizano - 25/06/04 07:12
http://www.coconino-world.com/sites_auteurs/aristophane/index.html

28. yancomix - 18/05/04 22:47

27. pm - 18/05/04 20:37 - (en réponse à : NemOrtel)
je veux juste dire que mort d'un arrêt du coeur c'est un peu mort parce qu'il est mort(ou aveugle parce qu'il ne voit plus...).
je n'ai lu que les soeurs zabymes et j'avais beaucoup aimé. Je n'ai jamais osé m'attaquer aux contes démoniaques.
Mes condoléances à tous ses proches.

26. nemOrtel - 18/05/04 17:52 - (en réponse à : pm)
C'est le tien qui s'est arrêté ou quoi?

25. pm - 18/05/04 17:50
Ce qui, par définition, n'avance pas beaucoup...

24. Pat boon - 18/05/04 17:33
D'un arrêt du coeur.

23. Chan Yu - 18/05/04 10:10
J'adore le conte démoniaque, entre l'apocalypse de Jean et Dante. Est-ce que quelqu'un a écrit de quoi est mort Aristophane, à moins que ce soit indiscret ? En tout cas quel dommage. Mes condoléances à sa famille.

22. Glotz - 15/05/04 16:17
dommage...

21. Pat boon - 14/05/04 19:19
Merci, de toute façon il faudra que je le reprenne depuis le début.

20. yancomix - 14/05/04 19:06
>Pat Boon
«Faut-il mieux avoir lu les livres qu'il cite ?»
Je ne pense pas que ce soit indispensable.
Personnellement je n'ai jamais jamais lu Dante.
Et les références de l'auteur ne s'arrêtent pas à ces 2 ouvrages. Les noms de certains démons nous renseignent sur la connaissance qu'a Aristophane de traditions diverses: hébraïque, japonaise, flamande, et d'autres peut-être qui m'ont échappées.

«Faut-il être particulièrement intéressé par l'enfer pour rentrer dedans et accrocher ?»
Non plus. Ce n'est pas un sujet qui, à priori, m'intéresse particulièrement.
C'est vraiment ce que Aristophane en a fait qui accroche mon attention.

«mais très rapidement voilà les démons et leur luttes intestines pas très claires,»
Je ne peux que te conseiller de poursuivre ta lecture.
Aristophane, en cela effectivement inspiré par Dante, imagine un enfer qui est un monde vaste et divisé en de nombreuses provinces commandées par des démons, bras droit du diable. En l'absence du maître, ses subalternes se délitent en luttes intestines, puis en affrontements et en guerres de plus plus violentes et grandioses.
Dépasses la page 79, tout cet imbroglio titanesque grandit comme un souffle, tout devient très clair dès que chaque personnage nous est devenu "familier". Peut-on devenir familier d'être aussi abjects? Je ne sais pas, mais force est de constater que certains deviennent attachants. L'évolution au fil de l'histoire de démons tels Lilith ou Marduk est impressionnante, inattendue, et m'a marqué durablement.
C'est vrai que dans les premières pages les démons paraissent presque ridicules à se disputer de la sorte, on est presque dans une comédie de mœurs, mais très vite tout ça se transforme en carnage et règlements de compte sadiques.

«d'autant plus que le dessin, que je trouve au début parfait, me paraît devenir indécis / moins précis et pas toujours évident à lire.»
Pour ma part, je pense exactement le contraire.
Le dessin d'Aristophane au tout début (pages 1 à 48) est encore un peu hésitant. Voir par exemple la première apparition de Gad, assez peu convaincante (page 23, case 3) et le même, sensuel et démoniaque page 214 (dernière image) ou page 229 (case3). Puis, dès la page 49, début du deuxième chapitre, le dessin devient plus appuyé, plus sombre aussi, délaisse la ligne au profit de la tache, et de plus en plus jusqu'à une fin où l'empreinte de l'encre sert à exprimer ce qu'un dessin plus "clair" n'aurait su dire (et qui me rappelle certaines abstractions de Breccia).
Il faut noter que le premier chapitre est le seul a être daté et signé, et se compose de 48 pages tout rond. Je l'ignore encore aujourd'hui, mais je m'étais demandé si Aristophane n'avait pas voulu, dans un premier temps, proposer son projet à des éditeurs classiques (album de 48 pages), et si de fait il ne s'était pas écouler un certain laps de temps entre la page 48 et la page 49…
Alors oui, tu as raison Pat Boon de dire que le dessin devient moins précis. Il se transforme sans cesse en fait, terriblement mouvant. La différence de représentation entre le démon Resheph (être de lave, rougeoyant malgré le noir et blanc) et le maître de Lilith (métallique, glacé et machinique) est à ce point remarquable.
Alors oui, l'illisibilité guette sans cesse, comme les ténèbres guettent les âmes en peine qui fuient ce monde incompréhensible et trop grand pour eux. D'ailleurs, à de nombreuses reprises, Aristophane joue avec cette difficulté de lisibilité: les taches de l'encre sont tour à tour fumée, lave, tourbillon, rocher. Mais aussi en jouant avec les rapports de taille, un démon (page 192) en apparence normal, pouvant s'avérer gigantesque!
Les représentations des hommes et des femmes (des âmes perdues plutôt) sont étonnantes: primitives, douloureuses, belles aussi. J'ai pensé à Gauguin parfois (pour l'anatomie notamment), mais aussi à certaines images de Auschwitz…

J'espère ce petit texte improvisé lisible et pas trop hésitant…
Mais il y a tant à dire sur "Conte Démoniaque", que je pense y revenir plus tard…

19. jean-no - 14/05/04 15:51 - (en réponse à : en passant)
Est-ce que quelqu'un sait où trouver les "soeurs zabîme" ? Le livre est épuisé chez Ego Comme X.

18. Pat boon - 14/05/04 15:39
Extrait interview Jade :

Quelle est la genèse de Conte démoniaque et que représente-t-il pour toi ?
C’est en lisant La divine comédie et Les chants de Maldoror que j’en ai eu l’idée. J’avais vraiment envie de faire quelque chose d’aussi épais et d’aussi narratif, de développer de nombreux personnages en parallèle. À partir de ces deux livres, j’ai pu construire un univers à moi, qui n’est pas vraiment à la hauteur des deux livres d’ailleurs. Au point de vue du concept, ça m’a aidé à me situer sur le plan personnel. C’est difficile pour moi de parler de ce que ça représente vraiment. Ce n’est pas un défouloir. Certains psychologues parlent de réaction, c’est-à-dire quand on a des choses à l’intérieur de soi et qu’on les exorcise en écrivant, ou en peignant une toile… J’ai l’impression que c’est un peu ça. Le processus a été identique avec Faune.

Que raconte Contes démoniaques ?
Pendant tout le récit, on peut suivre la pérégrination de différents personnages à travers l’Enfer. Les âmes mortes le découvrent, des démons s’affrontent, il y a des luttes de pouvoir, mais ce n’est pas que cela. C’est une sorte de spirale de plus en plus longue, et à la fin, la spirale explose. C’est aussi un choix entre savoir si on accepte Dieu ou si on ne l’accepte pas. Jusqu’à l’avant-dernière partie, je n’avais pas fait de choix.

Voilà. Moi, j'aimerais bien que des gens qui l'ont vraiment lu nous parle des oeuvres d'Aristophane, en particulier de Conte démoniaque. De manière approfondi, autrement qu'en restant dans le flou artistique.
Dans l'interview, l'auteur nous donne quelques pistes concernant Conte démoniaque.
Faut-il mieux avoir lu les livres qu'il cite ? Faut-il être particulièrement intéressé par l'enfer, les démons, pour rentrer dedans et accrocher ?
J'ai ce titre. Mon marque-page est encore à la page 79, moment ou je me suis lassé de ces intrigues entre démons (j'ai décroché petit à petit).
Alors que pour moi tout avait si bien commencé. Il m'avait suffit de lire les deux premières planches pour me décider à débourser presque 40 Euros.
L'intro de Conte démoniaque est formidable. Vous êtes embarqué dans la barque en même temps que les âmes. mais très rapidement voilà les démons et leur luttes intestines pas très claires, d'autant plus que le dessin, que je trouve au début parfait, me paraît devenir indécis / moins précis et pas toujours évident à lire.

17. jean-no - 14/05/04 13:11
L'éclipse de la carrière d'Aristophane (huit ans sans rien produire et sans donner de nouvelles à ses éditeurs alors qu'il partait pour devenir un des futurs grands classiques de la bd "indé") a suscité des question et des rumeurs... Je ne pense pas avoir caché que je ne savais rien de l'authenticité des bruits en question, je ne fais que m'interroger. Tu me sembles bien renseigné, pourrais-tu s'il te plait en dire plus ? Qu'a fait Aristophane toutes ces années après son accident ?

16. marineris - 14/05/04 09:37
Jean no sauf ton respect tu dis beaucoup de choses non vérifiés ce qui m’oblige à intervenir.

Aristophane dessinait toujours
Il faisait de la peinture
Des sculptures
Il écrivait aussi

Et il n’était pas dans une secte

Parmi ses ouvrages : faune +le cheval sans tête (chez amok), les sœurs abîmes + ego comme x, lapin, conte démoniaque ( l’association), logorrhée + le lézard, avoir 20 ans en l’an 2000 (autrement), illustration de « dans la jungle avec Thani »(je lis des histoires vraies), banana, tu rêves lili (casterman)

15. yancomix - 14/05/04 00:05
Et un livre pour enfants, "Tu Rêves Lili" (sur un texte de Christiane Renauld) chez Casterman en 1993

14. Appollo - 13/05/04 21:44
Une histoire courte aussi dans Le Lézard n°12 (L'autobiographie en question) intitulée "Les sept fantômes". En fait, il semble qu'il s'agisse d'une série, mais je ne trouve pas mes autres Lézards pour vérifier.

13. jean-no - 13/05/04 17:57

12. nemOrtel - 13/05/04 17:44 - (en réponse à : hommage à l'inconnu)
Juste une pensée compassée, pour ses proches.

11. jean-no - 13/05/04 17:22
Bananas est un peu l'ancètre de Critix. Il s'agit d'un journal A4, courageusement sorti en kiosque par Evariste Blanchet, qui mêlait critique sérieuse et publications de BDs de, notamment, Fabrice Neaud et Aristophane (et aussi quelques strips américains de derrière les fagots). Le journal n'a pas duré bien longtemps.

10. michael le galli - 13/05/04 17:11
Il existe un dossier ARISTOPHANE (pages 36 à 66) dans le numéro 2 de la revue CRITIX (hiver 1996-1997):
Aristophane par Aristophane page 36
Conte démoniaque : la fin des temps par Fabrice Neaud pages 37 à 53
Conte démoniaque : de la mort à la mort par Renaud Chavane pages 54 à 64
Les soeurs zabîme par Evariste Blanchet pages 65 et 66

ce qui est incontestable c'est que CONTE DEMONIAQUE est un CHEF D'OEUVRE (encore méconnu) qui restera dans l'histoire de la bande dessinée

9. yancomix - 13/05/04 17:05
Il existe un (court mais intéressant) entretien en ligne, sur le site de Jade.

8. yancomix - 13/05/04 16:56 - (en réponse à : jean-no)
Tu cites la revue "Bananas".
Ne la connaissant pas du tout, aurais-tu quelques précisions à me donner, SVP?
(Je la connais simplement de nom en fait, Fabrice Neaud la cite dans son "Journal")…

7. jean-no - 13/05/04 16:53
Encore un complément (biographique cette fois), selon le site d'Ego Comme X, Aristophane est né sur l'île de la Gouadeloupe.

6. yancomix - 13/05/04 16:41 - (en réponse à : Petits compléments à la bibliographie)
Histoires courtes dans Lapin n°8, 9, 11 et 12.
Et aussi dans la revue Ego Comme X n°1, 5 et 6. Une première version des "Sœurs Zabîme" dans les n°2, 3 et 4.

5. spip - 13/05/04 16:14
Je suis dans le meme cas que Jean-No:je connaissais de vue le trevail de cet auteur mais n'avait jamais vraiment lu de ses BD....Je lui trouvais une petite parenté graphique avec Baudoin...En tout cas,cela est bien triste et j'adresse mes sincères condolèances à ses proches et à sa famille...

4. jean-no - 13/05/04 16:02
J'aurais du mal à me lancer dans de très sincères condoléances, je n'ai pas connu Aristophane et même, je n'ai lu que quelques pages éparses dans le mensuel "Bananas" au début des années 90. Ces pages m'ont toujours attiré et repoussé à la fois, repoussé parce qu'elles semblaient denses à tout point de vue, et attiré pour les mêmes raisons, on sentait bien que cet auteur ne travaillait pas en diletante, qu'il était personnellement impliqué dans ce qu'il racontait. Tant de sérieux fait presque peur et j'ai remis ma lecture de "conte démoniaque" à plus tard.
Au delà de l'oeuvre, il y a le personnage sur qui ont courru des rumeurs : un accident ménager l'aurait rendu incapable de dessiner (rumeur vérifiée depuis), mais il aurait malgré tout manifesté son intention de continuer (non vérifié), enfin il serait entré dans une secte (rumeur non vérifiée) et aurait demandé à ses éditeurs d'ôter ses travaux de leur catalogue (non vérifié, mais en tout cas il n'est plus au catalogue de ses éditeurs)... Et a présent, il vient de décéder à trente six ans (d'après "Le bande dessinée en France", de Thierry Groensteen, edité par le ministère des affaires étrangères, Aristophane est né Firmin Aristophane Boulon, 1967).
Ses oeuvres (même source) : Logorrhée (Le Lézard, 1993), Faune ou l'histoire d'un Immoral (Amok, 1995), Conte démoniaque (l'Association 1996), Les soeurs zabîme (Ego comme X, 1996) ainsi qu'une participation à "avoir vingt ans en l'an 2000" (Autrement, 1995)... Courte bibliographie.
Il est terriblement indécent de s'intéresser aux faits anecdotiques tels que la vie privée des auteurs, mais je ressens un fort besoin d'en savoir plus... Pour cette raison, si quelqu'un connait des références d'Interviews, ou si des amis et connaissances peuvent ici, un peu, raconter Aristophane, il me semble que ce serait intéressant (et pas seulement pour moi), voire utile.

3. pm - 13/05/04 15:52
Merde, je n'ai lu que les soeurs Zabîmes que j'avais beaucoup aimé car Contes démoniaques m'a toujours fait peur mais merde vraiment! Je crois qu'Aristophane avait arrêté la bd depûis quelques temps d'après ce qu'en disait Neaud(il me semble).

2. Enzymïx - 13/05/04 14:53
............................

1. yancomix - 13/05/04 14:27
Cela fait un petit moment que je rêvais d'ouvrir un sujet sur Aristophane.
Ses bandes dessinées ont été pour moi un très très grand choc;
En premier, un choc visuel!
Ses images me bouleversent; son encrage, sombre, profond, sensuel, terriblement mouvant et vivant.
Ses histoires ensuite…
Terribles et magnifiques… Je ne suis pas sûr d'avoir le moindre talent pour en parler convenablement.
"Conte Démoniaque", "Les Sœurs Zabîme", "Faune"…

Et aujourd'hui, je reçois ceci:

Un message de Loïc Néhou, d'Ego Comme X.

Chers tous,

Je suis le porteur d'une très funeste nouvelle.
Aristophane, est décédé la semaine dernière.
Ceci m'a été confirmé par son frère Lucien Boulon, qui en a fait l'annonce
hier sur le site de la MDABD ( http://www.mdabd.com/viewtopic.php?t=971 ).
J'ignore encore dans quelles conditions ce triste événement s'est produit.

Nous allons dans la journée mettre en ligne un livre de condoléances ou
d'hommage à disposition sur notre site (www.ego-comme-x.com) que nous
transmettrons à sa famille.

Bien à vous.


Ce sujet, donc, pour ceux qui désireront évoquer son œuvre impeccable…




 


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