Festival BD Laval

Les 30 commentaires sont triés des plus récents aux plus anciens .



30. dav - 14/02/03 15:56
Tiens Jean, ça fait plaisir ! :)

29. plouf - 14/02/03 12:48
la liste des auteurs est disponible sur le site de l'association
http://perso.wanadoo.fr/festivalbdlaval/FestiBdLaval.htm

28. JBarbaud - 14/02/03 10:16 - (en réponse à : à Dav)
Salut, Dav !
Expo Luguy prévue.
Olivier Supiot y sera avec une expo "Marie Frisson" et j'y vais avec Lt Mac Fly , si George W ne l'expédie pas chez Saddam d'ici là...

27. Dav - 10/02/03 19:14
Moi j'y vais, mais tout le monde s'en fout.
Par contre je ramène mes copains de Soleil, Donsimoni (le collège Invisible) et Trichet (les arcanes du midi-minuit) et ça vous intéresse peut-être plus qui sait ?!

Sinon je connais pas encore le listing exact...

26. cubik - 10/02/03 16:20 - (en réponse à : cubik@caramail.com)
quelqu'un sait qui sera present cette annee?
parmi les auteurs qui passent sur le forum, quelqu'un y va?

25. Dav - 08/03/02 16:36
Merci beaucoup !

24. minnesota - 08/03/02 15:26
Va sur Opalebd, ils donnent la liste...

23. Dav - 08/03/02 14:49 - (en réponse à : a qui veut bien l'entendre...)
Qui peut me donner la liste des auteurs invités ce week-end au festival ?!

22. Maëster - 26/03/01 11:47
Bon, j'étais pas à Laval, mais je les avais prévenus depuis si longtemps que je devais pas être annoncé...
Cela ne m'empêchera pas de participer au débat sur les Festivaux. Avec un brin de mauvaise foi, certes, et un soupçon de caricature.
Un auteur est régulièrement invité à aller gribouiller des livres aux quatre coins de la France et parfois de la Navarre. Les organisateurs prennent soin de lancer leurs invitations six mois ou un an à l'avance. Arrivé à deux jours du dit festival, l'auteur, qui avait imprudemment lâché un « groumpf, pourquoi pas ? », s'aperçoit avec horreur qu?il est à la bourre sur ses douze planches (pas entamées) à livrer direct à l?imprimerie lundi matin 6h00. Son éditeur, qui lui a concédé une confortable avance de 3,50F, l'attend après livraison avec un chèque plus substantiel. Seulement, il y a ce festival qui l'a gentiment invité à venir dédicacer deux jours (soit entre 4 et 12 heures, voire plus) gratuitement dans une ville charmante dont il ne verra au mieux que la gare, une table sur deux tréteaux et le bar (fermé) de l'hôtel (où y a pas Canal+). Dilemme.
Doit-il aller s'arsouiller gentiment la tronche avec ses collègues qu'il ne croise qu?en ces occasions (ce qui est l'un des attraits de ces raouts sympathiques), au risque de passer la semaine à s'en remettre, ou faire mourir pour la douzième fois sa tante, sa mère, son teckel, toutes raisons ordinairement acceptées par un organisateur pour qu'on aille pas à son festival qui est « le meilleur du Monde » ?

21. général - 26/03/01 09:08
Alors c'était comment Laval cette année? Au dernier moment j'ai pas pu y aller! Les auteurs annoncés étaient là?? Pas trop mercantile? Des expos intéressantes?

20. Bande aDhoc - 17/03/00 16:23 - (en réponse à : a fufu)
Un festival n'est mercantile que par ses organisateurs. A partir du moment où la plupart du temps ce sont des associations 1901 (donc des bénévoles), leur souci est seulement de boucler leur budget.

Les contrats de locations effectivement indiquent toujours aux bouquinistes de ne pas vendre les albums des auteurs invités. Le problème c'est qu'ils ne respectent pas tous cette clause, qu'il est très difficile de vérifier (on va quand même tout fouiller). il s'agit donc d'un problème de confiance.

Pour les animations à proposer sur un festival pour le différencier des autres, il y a deux solutions :
soit tu disposes de moyens importants pour mettre en place en grand nombre des conférences, tables rondes, expos, débats....
soit tu proposes au cours du festival une ou quelques unes des animations précitées, et il est alors très difficile d'attirer le public car il sera attiré principalement vers les dédicaces.

Mais bon , on a déjà parlé avec peut-etre une solution future.

A ce sujet il existe (mais je ne me rappelle plus où) un festival qui propose de montrer les autres facettes des auteurs de BD
(peinture, cinéma...).

19. Sp|ne - 17/03/00 15:29
Je me doit de décliner votre invitation. Surtout en sachant qui est le Prince des IU...

18. Keyan - 17/03/00 15:27 - (en réponse à : Tu ve poruri encore longtemps tous les sujets)
avec tes conneries? deja que ca vole pas tres haut, le forum, mais si en plus, tous les deux ou trois messages, tu viens nous emmerder avec tes Imbecilites ultimes, ca va pas s'arranger.

17. Sp|ne - 17/03/00 15:15
Ben dans les petits festivals c'est pas la gloire en général... soit des petits nouveaux (là OK); soit des valeurs sures de la BD médiocre...

16. Cyr - 17/03/00 15:02
Remarque, si on limitait les Bds à vencre aux auteurs présents seulement, à un festival de daube comme Laval, il n'y aurait rien à vendre, vu qu'on annonce à tout va des grandes pointures, et qu'on se retrouve avec des has-been comme Kiko ...

15. Signé Fufu - 17/03/00 10:27
La limitation du nombre d'albums se fait effectivement... et je ne suis pas vraiment pour. Cela signifie que le festival a avant tout une démarche mercantile.
Interdire aux exposants de vendre des albums des auteurs présents n'est pas qu'un accord morale. Pour Laval (puisqu'on en cause) je crois que c'est directement dans le contrat de location du stand. Cela évite des "ho ben j'étais pas au courant !".
Un festival est fait pour le public, je suis d'accord. Et justement que veut le public ? Que des dédicaces ? Non... le seul problème c'est qu'on ne lui propose que ça. Il ne faut pas prendre en compte les chasseurs de dédicaces qui se déplacent dant tous les salons, mais aussi les lecteurs qui n'y vont jamais car ils ne trouvent pas ce qu'il veulent. C'est aussi à ce public qu'il faut penser. Tout le monde dit qu'il y a trop de festivals (du moins une partie du public, les auteurs, les exposants, les éditeurs), quand on voit le calendrier des manifestations en france, il est difficile de nier l'évidence : il y a trop de festivals et ils font tous la même chose (à quelques exceptions près, comme Bastia et quelques autres). Quelles animations proposer ? Hé, hé, hé... tu ne t'attends quand même pas à ce que je dévoile mes batteries comme ça ? Pour qu'un rigolo qui passerait par là me pique mes idées, merci j'ai déjà donné.

14. Bande aDhoc - 17/03/00 09:34
Non c'est une solution qui peut etre considere comme extreme, cependant elle est déjà pratiquée. Quand tu seras obliger de payer pour avoir une dédicace (soit la dédicace, soit l'entrée sera plus élevée) tu changeras peut etre d'avis.

Il y a une dérive avec les dédicaces qui ne plait pas a tout le monde. A Laval par exemple JC Fournier a refusé de dédicacer un service de presse (vendu par un bouquiniste) et a préféré offrir un album qu'il a dédicacé ensuite (la personne était relativement jeune).

Alors entre la vente des livres d'or , des albums dédicacés, des albums d'occasions des auteurs invités QUE FAIRE?? annuler les dédicaces évidemment non !! interdire les bouquinistes non plus.

13. Brutos - 17/03/00 08:50
Ben voyons, limiter l'entree des albums perso... Tu veux pas que les gens achetent les albums en double aussi ?

12. Bande aDhoc - 16/03/00 17:33
Entierement d'accord.

La vente des livres d'or est l'origine de la décision de ne plus ou presque plus dédicacer de la part de certains auteurs. C'est pourquoi, il arrive de croiser un auteur sur un festival et bon nombre de personnes ne comprennent pourquoi il ne dédicace pas.

J'ai entendu une proposition qui serait un début de solution :
limiter l'entrée des albums perso et de "reglémenter" les bouquinistes, c'est à dire qu'ils ne doivent pas vendre les albums des auteurs invités , sauf ceux épuisés. Cette pratique repose actuellement sur des accords moraux. Les organisateurs devront hélas faire la "police" si c'est le moyen de garder les dédicaces telles qu'elles le sont aujourd'hui.

11. jipe - 16/03/00 11:39
Bon ben moi, j'suis fan de dédicaces! Et rien ne m'empêche de discuter avec l'auteur pendant qu'il me dessine l'original du pauvre : ma dédicace...même si certains auteurs ont du mal à discuter en même temps qu'ils dessinent.
Quant à la vente des albums dédicacés, je trouve cela LAMENTABLE...mais ce qui l'est encore plus, c'est de voir des livres d'or sur le marché d'autant plus que, souvent, les auteurs y font des dédicaces beaucoup plus chiadées que sur les albums...faudrait qu'on m'explique...si t'es vraiment fan, il me semble que tu as les albums, non?

10. Bande aDhoc - 15/03/00 10:19
J'ai comme l'impression de m'être mal exprimé ou que mes propos ont été mal perçus.

Laval est un très bon festival. Le désistement des auteurs est un problème difficle à prévoir et à gérer (j'en parle par expérience). Le problème vient peut-être du fait que les visiteurs veulent voir des têtes d'affiche, qui représentent leurs auteurs préférés. Ces derniers sont très trop souvent sollicités, ce qui explique les désistements. Une solution serait d'indiquer les auteurs absents à l'entrée du festival.

En réponse à Fufu :
- pour les auteurs ce qui importe n'est pas QUI leur propose mais POURQUOI COMMENT. Le nombre de festivals n'est pas trop important si l'on accepte de ne pas avoir que des têtes d'affiches, un festival doit permettre à des auteurs dit moins grand public d'être découvert ( le public doit également l'accepter, allez voir le forum sur Cluny festival BD). Même si un fetival propose quelque chose de différent (LAQUELLE ??) faut il encore que le public l'accepte car un festival est avant tout organisé pour le public et non pour les organisateurs. Un festival sans dédicace ni bouqiniste a peu de chance de pérenniser, il faut juste trouver un équilibre.
- la dédicace payante ne constitue pas une solution, j'ai simplement transmis l'impression que j'ai eu ce Week End au cours de discussions. La vente des albums dédicacés risque de la faire apparaitre (cela existe déjà), ce qui entrainera la disparition d'un certain nombre de festivals. La rétribution des auteurs existe aussi. C'est un phénomène à ne pas négliger. Une solution serait peut-être de réduire le nombre de bouquinistes qui vendent ces albums dédicacés et qui spéculent dessus.
J'aimerais connaître votre avis sur l'événement suivant:
Lors d'un festival, un auteur indique qu'il va arrêter les dédicaces alors qu'il reste des "fans". Un de ces derniers qui vient d'avoir une dédicace propose alors de la vendre pour 200FFrs à ceux qui n'en auront pas. Il a rapidement trouvé preneur.

Pour conclure, je suis totalement d'accord avec David qui préfère discuter avec un auteur sans nécessairement avoir une dédicace. Personnellement en tant qu'organisateur je profite de la chance de pouvoir discuter tranquillement avec un auteur plutôt que de lui demander un dessin et en tant que visiteur une file d'attente de plus de 10 minutes m'emm... c'est dire le nombre de dédicaces que j'obtiens.

9. david - 13/03/00 19:54
ah non, désolé, mais laval 2000 a été un festival génial, je dis bien GENIAL. En tant que dessinateur fanzineux, j'ai en effet été ravi de pouvoir rencontrer en backstage des auteurs comme Plessix, Omond, Vallée, Midam et Borrini afin de leur montrer mon travail. Je pense que discuter de planches avec midam autour d'un café pendant 3 quart d'heures, et avoir une leçon de cadrages avec plessix pendant 20 minutes vaut largement 4 h de voiture aller retour (pour les deux jours je vous l'accorde). J'avais des albums à faire dédicacer, et bien merde, je les ai sacrifié à des rencontres tranquilles et sympas. Sincèrement, un festival ne doit pas se limiter (merci fufu) à des bouquinistes tout les 2 mètres, des collectionneurs avides de dédicaces rarrissimes et à des prix exorbitants, à des dessinateurs sous pression, courbés tout l'après midi sur leur table pour satisfaire la file, la colonne, que dis-je la légion de chasseurs de dédicaces qu'il y a en face d'eux... Non, les dessineux, aussi impressionnant soient-ils, restent des mecs qui aiment parler de bd, et d'autre chose... Tiens, à quand des sortes de rencontres public/dessinateurs autour de sujets aussi divers que son boulot, ce qu'il pense du trafic de dédicaces, la bd aujourd'hui, le temps qu'il fera demain (quoique...), des rencontres sans albums, sans ex-libris, juste avec les mains dans les poches et un verre sur la table... Si gibrat n'était pas là, tant pis, j'm'en fout... j'ai eu plessix et midam pour moi tout seul, c'est suffisant pour que je sois heureux... ps: mon "vent dans les saules" T3 et mon "durant l'exposition les travaux continuent" T1 ne sont toujours pas dédicacé, et sincèrement, j'm'en tape, je les reverrai bien un jour... où y aura moins d'monde...

8. Signé Fufu - 13/03/00 17:38
Laval a, comme tout festival qui a un certain nombre d'invités (une quarantaine cette année), le même problème : les auteurs qu'il annonce 1 mois avant la manifestation ont donné leur accord, puis ont confirmé mais, à une semaine du festival ont un problème ("suis malade", "trop en retard dans mon boulot", "un parent malade (ou pire)"...) sans compter les "j'ai loupé mon train". En un mois, il arrive de compter plus d'une quinzaine d'explications de ce genre, qu'elles soient toutes fondées est un autre sujet.
Il est toujours désagréable pour un organisateur honnête (et les gens de Laval le sont) de recevoir des coups de téléphones d'annulation... surtout quand il s'agit des 2 derniers jours ! Le festival donne la liste des auteurs qui ont confirmé et qui ont reçu leurs billets de train.
Plus on a d'auteurs véritablement prévus, plus le nombre de désistements et important. Tout dépend de la bonne réputation des organisateurs (Laval n'a pas de problème à ce sujet) et de l'inévitable hasard. Il y a des auteurs dont, quelque soit le festival, on ne sait jamais s'ils seront présents, et d'autres qui feront tout pour tenir leur engagement.
Il y a parfois ou on ne peut rien faire pour régler le problème qui se pose quand on auteur ne peut plus venir, et les moyens mis en oeuvre dépendent de l'efficacité des organisateurs. Pour prendre un exemple : il y a quelques années, un auteur venu du sud de la France a loupé son avion... impossible de trouver un autre moyen de transport immédiat. L'auteur a donc pris un autre avion pour une autre destination et au final est arrivé à 22 h dans une gare à 150 km de Laval. Les organisateurs sont allé le chercher en voiture pour qu'il soit présent le lendemain sur le salon ! Si vous appelez ça de l'escroquerie...
Pour la question des festivals, OUI il y en a beaucoup trop, OUI la plupart font tous la même chose, NON la meilleur solution n'est certainement pas de payer les auteurs pour leur venue. C'est la pire solution qui se présente. Le véritable avenir pour un festival est de faire autre chose que ce qui existe, les auteurs choisissent les animations par ce qu'on leur propose et surtout par QUI leur propose. Limiter un festival à des dédicaces et de la vente d'occasion va, petit à petit, faire disparaître ceux qui n'ont pas encore suffisamment de "bouteille". Il faut proposer quelque chose de différent aussi bien au public qu'aux auteurs.

7. Bande aDhoc - 13/03/00 14:16
Concernant le nombre de festivals en France, leur nombre est en augmentation certes mais la production Bd en 1999 a été prolifique (1095 albums je crois). C'est peut etre donc que les visiteurs (ou organisateurs?) souhaitent voir les mêmes auteurs.
J'aimerais par contre connaitre les avis du forum sur la vente de dédicaces (album ou feuille volante). Pour avoir eu plusieurs discussions ce Week End à Laval, la possibilité de voir des dédicaces privées apparaitre augmente de plus en plus ainsi que celle concernant la rétribution des auteurs dans les salons ( beaucoup de "petits" ou jeunes festivals n'y survivraient pas).
Votre avis??

6. Pierrot - 13/03/00 14:09
Ouaip ...mais les organisateurs confondent joyeusement et volontairement auteurs invités et auteurs ayant accepté l'invitation. Il y avait un festival à St Quentin par exemple,au début du mois de mars. Annoncé:Tardi... qui ne le savait même pas.Et aussi d'autres qui ne sont pas venus. Même situation qu'à Laval;il s'agit d'attirer le client qui est bien obligé de rester une fois qu'il est sur place! Ce n'est pas honnête!

5. Gillouf - 13/03/00 13:54
c'est vrai que le festival de Laval fut décevant... Et que ce n'est pas la 1ere fois qu'il y'a des desistements.... Cependant au dela de ça, je crois qu'il y'a un serieux probleme venant du fait qu'il y'a trop de salons.... Et que les auteurs ne peuvent plus vraiment suivre... De Mars à Juin, il y'a plus d'un salon par semaine entre la Belgique, la France ou la Suisse.... Les auteurs invités sont un peu tjr les memes...(Herenguel, Batem, Hausmann,Desorgher etc)... Ils ne peuvent pas se permettre d'aller partout...Il est meme arrivé plusieures fois qu'un auteur soit annoncé à 2 festivals en meme temps (alors qu'ils avaient lieu à des centaines de kilometres...

4. Signé Fufu - 13/03/00 10:29
Si si, les auteurs présents dans le programme se sont réellement décommandés à la dernière limite. Par exemple, Gibrat a téléphoné le vendredi matin pour annoncer son absence. Herenguel et Rodrigue le samedi midi ou après-midi. Que voulez-vous que les organisateurs fassent dans ces cas là ?

3. Cyr - 13/03/00 09:29
C'était nul Laval !!! Toutes les pointures annoncées (Vicomte, Gibrat, Loustal, Walthéry, Mourier ...) avaient soi disant décommandé au dernier moment ! Mon oeil !! C'est limite honnête d'annoncer des pré-programmes comme çà !!

2. goul - 10/03/00 12:55
Halut Est-ce que quelqu'un pourrais me dire ou est précisement la salle polyvalent je ne la trouve pas sur les cartes web

1. Cyr - 10/03/00 11:58
Bonjour, quelqu'un a-t'il un contenu fiabilisé des invités de Laval ce WE ? Presence de Loustal ? Gibrat ? Autres guest-stars ? Merci d'avance ...



 


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