2. pierig - 16/02/03 21:45

Pas facile de répondre à ta question . . . Je dirais que tout dépend du style de bd. 48 pages (ou 44, le plus souvent) est le standard. Bien sûr, il y a des exceptions. Si le scénariste arrive à tenir le lecteur suffisamment en haleine, un nombre plus important de pages ne posera pas de problèmes selon moi. En fait, il m'arrive souvent de m'enfiler d'une traite tous les tomes d'une série lorsque j'accroche vraiment. Maintenant, la question est de savoir comment gérer le découpage de l'histoire et de pouvoir bien doser le déroulement de celui-ci . . . vaut-il mieux en faire qu'un seul tome ou bien mieux vaut-il le scinder en un diptyque, quitte à 'rallonger' l'histoire ? . . . je ne pense pas qu'il y ai de réponse unique à cette question. Dans ce domaine, la subjectivité de chacun d'entre-nous est trop grande ! Outre le nombre de pages, il y a aussi le découpage ou bien encore le format de l'album à penser . . .

1. Gatwick - 16/02/03 20:24 - (en réponse à : fr.barreau@wanadoo.fr)

Pensez vous qu'il soit important qu'une BD se limite à 48 pages environ par album? Il me semble que c'est dans certains cas nécessaire pour que l'intérêt du lecteur ne se relâche pas avant la dernière page. Mais d'un autre côté je suis souvent déçu par certaines BD qui me semble trop courte, avec trop peu de péripéties. Je travaille en ce moment sur les dessins d'une série scénarisée par un ami et notre premier épisode ne s'achève qu'au bout de 70 pages. Cela pose-t-il vraiment un problème de lecture, risque-t-on de lasser le lecteur avant la fin? Alors, doit-on se limiter ou pas?

 

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