26. Barbalala - 28/02/01 04:30

Un éléphant ça trompe énormément...

25. yoyo - 27/02/01 19:18

Cher babar, excuse moi pour mon orthographe, mais il n' y a que sur le web où je me permets de faire des fautes. 1. Je ne suis pas amer et je pense être objectif quand à l'accueil que j'ai recu chez les gars de l'Association. Quand on se fait rembarer, on le sait. Je me suis fait jeté, et je l'assume, peut-être (voire surement) que je ne convenais pas au style de cette maison d'édition... Mais il y a une certaine maniére de le dire, et surtout de le faire. Je ne souhaite évidemment pas une lettre type avec des consignes d'encouragement bidon, mais un peu de respect quand même. Mon travail, c'est du temps, de la sueur, et pas mal de soucis, alors qu'on le sache et qu'on agisse de maniére à ne pas prendre les gens pour des cons. 2- De prés ou de loin, mon style peut se rapprocher de Tardi... Et Tardi a publié chez l'Association. Pas mal comme ligne éditorial. C'est un peu comme s'il disait, "On ne veut pas d'un dessinateur qui fait de la ligne claire, sauf si c'est Hergé." 3- Les renseignements que je donne pour un dossier aux éditeurs ne sont pas de moi, mais d'un livre publié par le CNBDI, qui s'est renseignés auprés de ces mêmes éditeurs. Moi aussi, je pense que le CV et la lettre de motivation sont inutiles pour faire de la BD, mais c'est apparament ce qu'il demande. Dont acte... Si tu penses que ce que je dit n'est pas objectif, desolé, dans ce cas, ce Forum sur les projets refusés n'a pas lieu d'être. Je comprends que tu ne sois pas d'accord avec moi, mais tu dois te dire que j'ai vécu ce moment précis, et que je ne suis pas ici pour raconter n'importe quoi. A+

24. Babar - 27/02/01 00:07 - (en réponse à : le roi des éléphants (et l'ami des petits enfants))

Cher Yoyo, Peut-être ont-ils été effarouchés par ton orthographe alléatoire... Ne te méprend pas, je ne te juge pas mais je pense que pour une évaluation rapide, un premier avis ce type de détails et à soigner... Si tu n'as pas confiance en tes propres capacités, fais appel à un ami ou à un correcteur d'orthographe (sur ordi). Ce n'est pas honteux ; un auteur comme Tabary n'a jamais caché avoir quelques problèmes à ce niveau-là... Ensuite, tu parles de "semi-réalisme" ; je ne sais pas à quoi ca correspond mais si tu penses que tes bandes dessinées peuvent être répertoriées sous ce nom je pense qu'effectivemment elles ne doivent pas exactement correspondre au type de publication que l'on peut lire chez l'Association. Par ailleurs, il faut voir les conditions : les salons et autres foires au cochon ne sont pas exactement le type d'endroit ou montrer tes bandes... Les festivals sont principalement des lieux de promotion. On est tenté d'y présenter ses bédés car c'est le seul endroit ou on est en contact avec les auteurs... M'est avis que si tu as un projet à proposer, mieux vaut l'envoyer, et, si possible, obtenir un rendez-vous... Je pense aussi qu'en abordant les gens de l'Association tu étais conscient que leur démarche est différente ; ce n'est pas comme chez Dargaud ou Soleil un éditeur, mais plutôt un collectif d'auteurs. Ils n'ont pas forcément fait 5 ans d'école de com' et n'ont pas de formation de responsable éditorial. Ce sont avant tout des créateurs ! Du coup, tu peux comprendre qu'ils aient quelque peu rechigné à évaluer ton travail. Tu m'expliqueras aussi l'utilité d'une lettre de motivation ou d'un CV... La bande dessinée n'est pas un métier comme les autres. Si un des dessin a des qualités, elles parleront d'elles mêmes. Si un projet est intéressant, il saura seul capter l'attention des responsables... Après que peut apporter un C.V. dans ce jugement ? Que vient faire une lettre de motivation, et pour dire quoi ("je suis très motivé à travailler en tant qu'auteur de bande dessinée chez Dargaud") ? Cela me rappelle un jeune auteur fraichement engagé et peu informé des usages qui demandait à l'éditeur "je commence à quelle heure lundi ? Ou est mon bureau ?" Je te sens amer suite à ce refus, et je pense que cela influe sur ton objectivité. Enfin, on aura du mal à assimiler objectivement ton témoignage sans connaître tes bandes. Oui, c'est dramatique à dire mais il y a un bon paquet de bandes dessinées dont on peut dire du premier coup d'oeil qu'elles sont mauvaises... Attention, je ne dis pas que c'est le cas des tiennes.

23. Sof - 22/02/01 16:00

Je remonte ce sujet intéressant... Obion et Kris, si vous passez par là, racontez...

22. Miguel - 08/02/01 21:43

moi qui avait été déçu au début du peu de réponses dans ce thread...à présent je suis plus que content : on en sait un peu plus des fonctionnements quand on veut se faire éditer. continuez !

21. yoyo - 08/02/01 19:20

A moi désormais de parler de mes expériences malhereuses: A Angouléme, il y a de cela qqs années déja, je suis allé rencontré les gars de l'Association, réputé pour être des gens super sympa, bien dans le mouv', et à l'écoute de projets novateur et sérieux. Mais voila, alors que j'arrive devant eux, ils se battaient pour ne pas s'occuper de moi... Déja ca commence mal. Ensuite, le pauvre gars désigné par ses collégues pour me répondre, me sort sans quasiment regardé mon travail, que ce n'est pas le style de la maison, qu'il ne veule absolument pas d'une histoire au dessin semi-réaliste, et qu'il faut que j'aille voir ailleurs... Maintenant, quand je lis une interview des mecs de l'Association, et qu'ils parlent du respect du public, des auteurs et de toutes autres choses trés honorables: CA ME FAIT BIEN MARRER. Pour tout ceux qui veulent publier, je conseille un ouvrage, "Le guide de l'auteur de BD", aux éditions du Musée de la BD, qui donne tout plein de conseils pour proposer un dossier: 1- une dizaine de planches photocopiées. 2- un synopsis de 4, 5 pages 3- Une étude des personnages 4- CV 5- Lettre de motivation. N'oubliez jamais de faire protéger votre oeuvre par un notaire. Bonne chance à tous. A+

20. Bof à Mourad - 07/02/01 09:11

Je ne remets pas en question le fait que les planches n'étaient peut-être pas à la hauteur, ce que je vous repproche (ou à certains de vos collaborateurs)c'est l'attitude pas très fair-play que vous avez adoptée vis-à-vis de nous. Tout ce que nous demandions, c'est un contact avec vous (ou votre collaborateur) qui nous explique pourquoi tout d'un coup, ce n'était plus bon. Bon, maintenant, c'est du passé, l'ami avec qui je travaillais à l'époque et moi travaillons toujours ensemble, nous entamons bientôt le troisième tome de notre série, d'autres projets sont en train de se concrètiser. Je sais que ce n'est pas évident de se faire éditer, que les éditeurs reçoivent des brouettes entières de projets, la plupart du temps mal torchés, mais les éditeurs, dont vous, devriez faire un effort avec les débutants qui vous soumettent leur projet, surtout quand plusieurs échanges de coups de fil ou de courrier ont eu lieu, ce qui était également notre cas. Bof est un pseudo que j'utilise pour BDP.

19. Ex débutant - 06/02/01 17:26

Des projets on s'en fait toujours refuser des tas au début. On se dit que les éditeurs ne savnt pas ce qu'ils veulent, mais c'est surtout qu'ils ne savent pas si on est au point ou non ! Ils attendent toujours qu'on progresse, encore un peu... Alors on signe, on refait des pages, et puis ça ne plait pas... Et ça dure comme ca de 3 à 5 ans ! Chez tous les editeurs c'est pareil, et pour tous les auteurs c'est pareil ! Ca s'appelle les débuts... Allez, les pros qui passent, racontez vos premières galères !

18. Anonyme - 06/02/01 16:00

Voila a mon tour ma propre desilusion... D'abord,projet dans les maison d'editiond... Vents d'Ouest dit oui,contract a lire ... ------------- dit non... ------------- dit oui,mais tu laisses tomber ton scenariste... Moi dit oui (je sais,c'est degueulasse,mais si ce scenariste n'avait pas joue les stars,on n'aurrais pas attendu et on aurrais signe !!!) Moi mis en collaboration avc Mr Jacky Goupil (oui,oui,celui de la fameuse epee !!!)Travail 9 mois sur planches,contract signe et tout et tout...(et bien paye parce que moi etre avec Mr Goupil)gentil non!?! Apres Mr de l'epee dit apres avoir dit "oui!oui!Genial ,pendant 9 mois,dit NON! Moi vire,plus paye,collaboration poubelle... Mais Vents d'Ouest dire nous garder toi,mais toi plus travaille avec Mr Jacky(qui depuis,lui plus mon ami...) Moi dire MERDE Vents d'Ouest !!! Moi,faire bd autre part.Elle,sortir mois novembre. Si moi parler petit negre,c'est parce que moi trouver maisons d'editions traiter dessinateur en eux,negriers!!! Voila,c'est tout et c'est deja pas mal.Je n'ai pas mis mon nom car je n'ai pas envie que cette experience aussi desagreable qu'une batte de baseball dans le cul ne me suive . Juste pour prevenir que ce qui c'est passe la peut arriver dans toutes les maisons d'editions . Et que ce faire dire Non pour un projet de 3 planches,ca la fout deja mal,mais alors apres 9 moi,couverture et promo deja en place !!! En passant,ne vous decourages pas trop vite puisse que tout arrive.Exemple,apres ca,il m'a falut 3 jours pour signer un contract autre part...En esperant :1 fois mais pas 2....... Salut.

17. mourad boudjellal - 06/02/01 09:07

bonjour à Bof, désolé mais je n'ai pas souvenir de ton dossier. Par contre c'est certain que nous n'avons pas toujours le temps de passer des heures sur des dossiers,enfin me connaissant il semble surtout que les pages n'etaient pas à la hauteur de ce que j'attendais, néanmoins bonne chance dans ta carriere

16. Bof - 05/02/01 20:39

Rien ne vous interdit de faire les démarches dont vous parlez, mais je pense que c'est de la parano. L'idéal, bien sûr, quand on veut proposer un scénar à un éditeur, c'est d'amener le dessinateur "qui va avec"! Il vaut mieux, sinon vous risquez de voir votre projet dormir quelques années dans la pile des scénars en souffrance d'un dessinateur. A la limite, dessinez-le vous-même!

15. js - 05/02/01 19:34 - (en réponse à : -)

il existe une choses simple quand vous avez rédigé l'idée de votre scénar ou + ! envoiez le vous à vous meme en recommander ! j'ai parler à un avocat à Angoulême ! c'est bon cela passe ! sinon il y a la SGDL, SACD mais c'est 250 ff mini le scénar ! @+ JS

14. Misery - 05/02/01 18:33

La meilleure façon est, peut-être, de l efaire certifier par un huissier et de garder les traces des échanges épistolaires ou webien. Ceci étant dit je ne suis pas juriste mais des amis m'avaient recommandé de faire ça. C'est dingue, on n'en arrive à un point tel qu'il faut maintenant "ne faire confiance à personne". C'st triste à dire mais c'est comme ça.

13. anonyme - 05/02/01 17:51

j'ai envoyé un projet de scénario chez Glenat: ils semblaient +/- interessés mais ce ne sont que des mots. notre échange d'e-mail était cependant suffisament éloquent pour que, si ils me piquent mon idée, j'ai droit à des dommages & intérêts pour plagiat. le conseil d'un copain avocat spécialisé dans les droits d'auteur: gardez bien traces de vos courriers avec des éditeurs, si ils vous envoient promener et que ils utilisent finalement votre idée, c'est du plagiat et vous êtes assurés de gagner un éventuel procès.

12. Bof à Sof (dites-le 10x rapidement) - 05/02/01 15:24

Désolé, Sof, je n'avais pas vu ton post, on a dû se croiser dans les limbes webiennes! En fait, pour répondre à ta question, non, on n'a jamais eu d'explication, on aurait bien aimé, comme je le disais avant, ne fût-ce que pour pouvoir progresser. On était des bleus trop contents de se faire publier. Tu sais, on dit toujours que le premier album, on est prêt à le faire gratos, c'était pratiquement ça! Quant à en parler à Arleston, je n'en vois pas l'intérêt, il n'était pas concerné par ce truc-là (en plus, je te dirai que je le connais, mais que je ne suis pas passé par lui, c'est un autre de mes potes qui travaille pour Soleil qui nous a obtenu le r-v avec Boudjellal). Il faut savoir aussi que les auteurs confirmés ne subissent pas le même traitement que les débutants, que chez certains éditeurs on est plus à l'écoute, plus courtois que chez d'autres. Pour répondre au "régionaliste" <=-)Jérôme Jouvray, nous étions des bleubites et étions prêts à croire tout ce qu'on voulait!

11. jerome - 05/02/01 12:39

En général, un éditeur vous demandera :le scénario fini, avec les dialogues, les 3 premières pages finies, et le découpage de tout l'album vite fait au crayon croquis, pour donner une idée du rythme... Au dessus de ça c'est pas normal de bosser sans contrat...

10. Datavinn - 05/02/01 10:56

ok, je serais curieux d'avoir ton avis sur le sujet: http://www.bdparadisio.com/scripts/ForItems.cfm?IdSubject=0205004208

9. Bof à Datavinn - 05/02/01 10:52

Non, je n'ai jamais "protégé" un projet, l'éditeur (dans la plupart des cas), c'est d'abord un partenaire dans une affaire. Il a autant intérêt que toi à ce que votre truc marche. Il y a une relation de confiance qui s'établit. A partir du moment où tu lui envoies un projet, ça tient un peu du secret professionnel, un peu comme avec ton toubib. Je n'ai jamais entendu dire qu'un éditeur avait piqué un scénar à quelqu'un qui le lui avait soumis. C'est un peu comme une légende urbaine, ce fantasme: j'ai le scénario de la mort, je l'expédie à l'éditeur qui le file à quelqu'un d'autre et je peux même pas prouver que c'est moi qui l'ai fait. Si l'éditeur trouve que ton projet vaut la peine d'être publié, il le fera avec toi, tenant par la même occasion un nouvel auteur intéressant.

8. Datavinn - 05/02/01 10:41

perso, je travail sur un projet bd, pourrais tu me dire si avant de proposer ton projet au éditions, tu as fait proteger ton travail, si oui, comment ?

7. Bof (2) - 05/02/01 09:50

J'enchaîne sur mon post précédent. Nous avons commis une grosse erreur à l'époque: la première rencontre s'est faite à Angoulême. Pour nous, c'était plus que favorable: on voyait les candidats malheureux sortir du stand la tête basse, et nous, on était ok... Notre grosse erreur a été de ne pas aller voir d'autres éditeurs, pensant que notre projet était pour Soleil. Un conseil: si vous avez un dossier à envoyer, ne focalisez pas uniquement sur un seul éditeur, envoyez-le partout, même là où vous ne pensez même pas être pris. Tant que vous n'avez pas signé, ne croyez personne, et encore, plusieurs dessinateurs m'ont raconté comment ils s'étaient fait entuber malgré la signature du contrat qui était bidon chez un éditeur dont je ne citerai pas le nom pour qu'on ne me taxe pas d'esprit revanchard!

6. Sof - 05/02/01 09:50

Ah ben les salopiots!!!! Et encore vous avez eu de la chance qu'ils ne vous volent pas votre projet...c'est très étrange comme attitude. Vous pensez avoir une explication? Pourquoi vous demander douze planches si ils ne voulaient plus? En tout cas, très instructif, je ne pensais pas que c'était aussi "sale" dans le monde de l'édition (surtout pas chez soleil...) Vous devriez mettre un mot à l'adresse d'Arleston sur l'un des sujets sur Lanfeust...il est influent chez soleil, peut-être qu'il pourra vous répondre...

5. Bof - 05/02/01 09:42

A propos de réponse-type, en voici une qu'un ami et moi avions reçu il y a 4 ans de chez Soleil, après des mois de contacts, d'espoirs... On avait franchi pas mal d'étapes: 1. rencontre avec Mourad Boudjellal, qui au vu de notre book nous demande de développer un projet SF ou Héroïc Fantasy, en nous donnant un délai de 3 mois. 2. Envoi du dossier: plein de croquis, de recherches de persos... --> OK? Feu vert: envoyez-nous les 5 premières planches dont 3 encrées + le synopsis (à partir de là, nous avons eu à faire avec un employé de la maison) 3. Envoi des planches et du synopsis --> OK, mais on ne signe pas de contrat avec 5 planches, nous voulons les douze premières pour signer 4. Envoi des douze premières planches 5. Rien 6. Rien 7. On téléphone au bout de quelques jours, voire semaines, et là, pas possible de toucher ni le boss ni le gars qui "s'occupait" de nous. 8. Coups de fil à répétition: rappellez dans 3 jours, 2 semaines,... --> un jour, cette lettre-type, même pas personnalisée. Monsieur, nous vous remercions d'avoir pensé à notre maison d'édition, pour nous soumettre votre dossier que nous avons eu plaisir à découvrir. Malheureusement, nous ne pouvons pas vous donner une réponse favorable, car cela ne correspond pas à notre politique éditoriale du moment. Ne manquez pas néanmoins de nous informer de l'évolution de votre travail. A bientôt, bon courage, et croyez en toute notre sympathie. Soleil Productions ps:merci de nous envoyer une enveloppe timbrée, si vous désirez que votre dossier vous soit réexpédié. 9. nous étions assez indignés, non pas du refus, mais de la façon dont nous estimions avoir été manipulés (tout cela a duré une bonne année et inutile de le dire, c'est la première fois que nous avions un projet avec une grosse boîte) 10. Un jour, nous avons appelé chez Soleil pour parler avec le gars qui s'occupait de nous, simplement pour avoir un éclaircissement afin de savoir ce qui n'avait pas plu dans notre projet, pour rectifier le tir pour un autre projet éventuel, et là, on me dit que le type en question ne travaille plus là et qu'il n'est pas possible d'avoir une suite. 10. Il n'y a pas longtemps, en regardant leur catalogue, j'ai vu le nom du type dans "l'organigramme". Tout cela nous a servi de leçon, depuis, nous nous sommes aguérris, nous commençons bientôt notre troisième tome chez un autre éditeur (plus de la SF!)...

4. jip - 05/02/01 08:28

Votre projet ne rentre pas dans la ligne éditoriale actuelle de la maison. Quant à critiquer le travail et donner des conseils, c'est clairmeent pas notre boulot et si on devait le faire pour tout les projets qu'on reçoit, on ne ferait plus que cela.... Réponse type de chez Dupuis...

3. Bof - 04/02/01 23:19

Généralement, un projet refusé, c'est un échec, quelques soient les raisons pour lesquelles le projet a été refusé. C'est quelque chose sur laquelle on n'aime pas trop s'étaler vu que le but, quand ton truc est refusé partout, à part le suicide et l'abandon du métier, c'est de reproposer autre chose. Perso, un de mes projets envoyé partout simultanément a été refusé partout, chez tous les éditeurs, sauf chez l'un d'entre eux, le seul où je n'aurais jamais osé penser publier. C'est aussi une des surprises qu'on a parfois: celle de se retrouver publié là où on ne s'y attendait pas.

2. Colombine - 03/02/01 10:42

Venez parler des gamelles que vous avez prises.... dur comme sujet ! Etant à Angoulême j'ai eu la chance d'aller sur le stand d'un grand éditeur, dans l'espace réservé. Là 2 personnes recevaient les dessinateurs de tous poils, de tout genre. J'ai pu écouté d'une oreille indiscrète ce qui se disait et jamais je n'ai entendu de critiques négatives du travail des jeunes auteurs. C'était plutôt ferme et ponctué de conseils , tel que :"votre dessin manque encore de souplesse, continuez, vous etes encore jeune, il faut travailler" ou bien "ce n'est pas le style de notre maison allez plutôt chez ...". Jamais une critique acerbe, jamais un refus de conseil. Bref très professionnel comme attitude. Bref, j'aurais envie de dire à tous ceux qui veulent se lancer: Allez-y avec votre courage, vos planches et on ne sait jamais.... au pire ce serait un non mais vous aurez récolté pleins d'infos.

1. Miguel - 01/02/01 00:51

voilà. dans ce thread je propose à tous ceux qui ont un jour présenté à un éditeur un projet bd qui a été refusé, d'en parler. c'est surtout pour savoir si vous avez reçu comme réponse une lettre pré-écrite du style "on vous écrira" :-) ou alors si il y a eu de la part de l'éditeur un VRAI travail de critique, éventuellement des encouragements, bref quelque chose de constructif quoi. façon aussi de mieux connaître les fonctionnements de ces chers éditeurs...

 

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