Tu comprendras quand tu s'ras grand de Janry Tome - 6 critiques
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Par :
cycy
(09 janv. 2002)
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 Je suis déçu par cet album. Les blagues deviennent trop répétitives, portées toujours sur le sexe, il n'y a plus d'histoire sur spirou bébé, les gags sans textes sont quasiments inéxistants, il n'y a pas tous les personnages habituels, et on dirai que le professeur Mégot est devenu le souffre douleur de Tome et Janry. Non vraiment, ce 10ème volume est plutôt décevant. |
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Par :
SébastienP
(24 déc. 2001)
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Quelques lignes pour donner une suite à la précédente critique de Louise. Je trouve moi aussi cette nouvelle cuvée de gags du Petit Spirou très bonne. Et je dis à ceux qui trouvent les gags répétitifs, ceux qui accusent Tome d'exploiter sans cesse les mêmes filons :c'est là le thème d'une série à gags : immaginer des personnages et certaines situatuions et les utiliser à l'infini tout en restant drôle. Franquin l'avait déjà démontré il y a bien longtemps avec Gaston Lagaffe : souvenez de la poubelle à pédale, du trombone à coulisse, des noix, des contrats Demeasmaker, de l'agent Longtarin, du cactus... et j'en passe. Comptez le nombre d'albums parus et regardez combien de fois les mêmes thèmes sont abordés. Et pourtant, on en redemande ! Avec le Petit Spirou, c'est pareil : ce qui fait le succès de la série, c'est la façon d'exploiter contemment les mêmes thèmes. Et je le dis tout haut, c'est une fois de plus réussi ! |
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Par :
Louise
(18 déc. 2001)
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Serais-je davantage séduite par Le Petit Spirou, parec que je suis une femme ? Je ne pense pas. Il est vrai que la série ne fait finalement que parler de "pipi-caca-touche touche pipi et consorts", mais l'univers des petits garçons et petites filles de maintenant n'est pas très différent. Peut-être effectivement que les auteurs appuient un peu beaucoup sur l'aspect coquin des gosses, et peut-être que ceux-ci ont des jeux et des réflexions d'enfants plus âgés qu'eux, mais c'est tellemen mignon. Ils sont à croquer. Que leur reprocher ? De ne pas respecter les sacro-saints principes de la BD jeunesse ? Et pourquoi le devraient-ils ? C'est de la BD-pour-rigoler, pour se DE-TEN-DRE. N'oubliez pas ça, messieurs les gratteurs de critiques, Tome et Janry n'ont pas fait acte de foi de devenir les représentants de la BD au sens noble du terme. Ils font de la BD grand public, OUI. Ils font de la BD qui marche, OUI. Et n'allez pas vous précipiter pour dire : oui, c'est de la BD de grande surface. Il est trop facile de dénigrer une BD parce qu'elle marche et qu'elle intéresse la grande foule. C'est ça le succès non ? Quand ca marce et que vous ne rammassez que des critiques, en générél, c'est parce que vous avez beaucoup de succès !! Bon, passons. Le Petit Spirou Number 10 est sorti. Il est bon, on s'amuse beaucoup, et deux lectures sont possibles, celle des enfants et celle des adultes. Et moi, j'en redemande ! |
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Par :
Yann D.
(17 déc. 2001)
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Le difficile dans les séries d'humour est de bien savoir se renouveler. Or le Petit Spirou n'y arrive plus. La spirale descendante de l'imagination amorcée il y a quelques tomes déjà se confirme malheureusement ici. Il ne semble n'y avoir plus aucune surprise, les mêmes thèmes sont rabachés encore et toujours. Pour ceux qui découvriraient la série, cet album arrachera quelques sourires, les autres le feuilleteront, le refermont et n'y penseront plus. |
Par :
Thierry Bellefroid   
(16 déc. 2001)
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« Tu comprendras quand tu seras grand », le Petit Spirou N°10, par Tome et Janry. Chez Dupuis. Que dire encore du Petit Spirou ? Le succès exponentiel de la série est indéniable. Comme pour Titeuf, on flirte avec les 600.000 exemplaires à la nouveauté. Les ingrédients n'ont pas changé, les personnages secondaires non plus. Tome se fait le chantre d'une polissonnerie qui a décapé le petit personnage de groom du siècle dernier. On aime ou on déteste. On le trouve mignon ou vulgaire. On apprécie ou non cet humour « vu par le trou de la serrure » qui véhicule davantage de vices que de qualités dans le chef des personnages principaux (le Pépé obsédé sexuel, le prof de gym alcoolo au dernier degré, les maîtresses d'école aux tenues si serrantes que les boutons sont toujours prêts à craquer...) mais qui présente malgré tout un monde sympathique et potache à souhait. Quoi qu'il en soit, il est une chose qu'on ne peut reprocher aux auteurs, c'est de tromper sur la marchandise. Avec cette couverture osée (et plutôt vulgaire), ils affichent clairement leur propos en tête de gondole de l'hypermarché du coin. Les rares parents qui ne savaient pas à quoi s'en tenir sont désormais au courant : le Petit Spirou évolue très loin du monde de Franquin... |
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Par :
Schtroumpf Sombre
(14 déc. 2001)
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Alors là , c'est le Pompom!! C'est album est nul, nul, nul et re-nul!! Premièment un humour scatologique répetitif sans aucune innovation! Deuxièmement une qualité visuelle en chute libre!! Rien à ajouter si ce n'est : "Poubelle"!! |
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