Que venez-vous de lire et qu'en avez-vous pensé? (19)

Les 1501 commentaires sont triés des plus récents aux plus anciens .



51. suzix@bdp - 12/02/18 10:22
oup's mauvais sujet ...

50. suzix@bdp - 12/02/18 10:21
Rien trouvé ce week-end.
Cette fin janvier/début février est calme niveau sorties.

49. suzix@bdp - 12/02/18 09:30
Lu Une aventure de Spirou & Fantasio par ... #HS3 de Cossu & Sentenac & Bocquet chez Dupuis (janvier 2018)

Cet album de Spirou joue avec l'ambi guïté héros de BD / aventuriers réels, personnages fictifs / personnes réelles. Le premier quart est vraiment réussi en parvenant à susciter l'intérêt sur une situation ambi güe, Fantasio tentant de se faire embaucher pour jouer son propre rôle! La seconde partie est bcp moins inspirée mais cela se laisse lire.
Note 4/5.

48. herve - 10/02/18 17:28 - (en réponse à : copié/collé dans bon sujet)
lu "Shi"#2 de Zidrou & Homs

Un dessin toujours aussi élégant au service d'une histoire singulière, sur fond de fantastique.Le tout relevé par l'apparition de la Reine Victoria dans cette étrange aventure qui se déroule sur deux période différentes.
Un bon album

note:3/5

47. marcel - 09/02/18 10:25
J'ai lu avec beaucoup de retard America's got powers, de Bryan Hitch et Jonathan Ross. Mouif. Ca se lit bien, l'idee de base est marrante, mais c'est un peu longuet pour rien. Et la sorte de revelation finale est un peu faible.

46. Quentin - 09/02/18 09:29
Mouahahaha! Tu es trop drôle.

Divers pseudo?

Continue Laurent, tu me fais vraiment rire :-)

45. Victor Hugo - 09/02/18 00:46 - (en réponse à : suzix)
Laisse tomber ce gros connnard de quentin, sous divers pseudos il fait du copier/coller d'autres messages (là de PM), c'est juste un pauvre type.

44. herve - 09/02/18 00:18 - (en réponse à : torpedo31200)
Je vais récupérer mon exemplaire demain.

43. torpedo31200 - 08/02/18 15:09
La décharge mentale, Bastien Vives, BDCul 17, Requins Marteaux.
Après Les melons de la colère, Vives revient dans la collection et est encore meilleur, plus drôle et subversif (premier de la collection à être sous film plastique).

42. Suzix@bdp - 07/02/18 08:39
Laurent a lu le Fauve d'Or et il ne semble pas avoir aimé. Humour ou pas , je vois pas ce que cela change sur le bouquin. (;0)
Tu devrais te lancer dans la politique Quentin. Tu ferais une belle carrière ! (;0)

41. Quentin - 07/02/18 08:07 - (en réponse à : Suzix)
Ce qui est incroyable, c'est que tu n'as pas l'air de te rendre compte qu'il y a beaucoup d'humour derrière cette pseudo agressivité affichée.

Continue Laurent, tu me fais vraiment rire, j'aime bien ton sens de l'humour!

40. froggy - 07/02/18 01:30
J&P est une des meilleures series du FB de tous les temps. Exemplaire a tous les niveaux et je pense completement indemodable.

39. Victor Hugo - 06/02/18 22:39
Je suis hyper mainstream moi, j'ai relu Johan et Pirlouit dernièrement, c'est excellent, même les tous premiers.

38. Suzix@bdp - 06/02/18 20:01
Attention Laurent ! Tu te mainstreamises!
(;o)
Bon alors si je comprends bien j'ai bien fait d'ignorer les conseils de Quentin et de Bert sur Grimrrrrrr !?

37. Victor Hugo - 06/02/18 18:57
Lu "Bug" de Bilal.
Le dessin est à chier. Comme il ne camoufle pas on voit bien que Bilal n'a jamais su dessiner. Néanmoins, la narration est bonne et l'histoire prenante, c'est donc un bon moment de lecture malgré le lettrage informatique moche et pénible à lire. Mais franchement le dessin est dégueulasse, c'est du foutage de gueule.

36. Victor Hugo - 06/02/18 18:55
Ah oui j'oubliais, le lettrage informatique est dégueulasse en plus, c'est quoi ces "majuscules" en italique? Quand on écrit en capitale il n'y a pas besoin de majuscules, c'est débile.

35. Victor Hugo - 06/02/18 18:53
Lu « La Saga de Grimr » de Jérémie Moreau.
J'avais croisé le bouquin à la médiathèque sans le prendre (faut dire que ça donne pas envie). Comme il a eu le Fauve d’or d’Angoulême 2018 je me suis dit que c'était peut-être bien. Et bien pas du tout. Non seulement le dessin est d'une mocheté abyssale mais il n'arrive pas à montrer ce qu'il est censé montrer, l'auteur doit avoir recours au texte pour expliquer ce qu'on est y censé avoir compris en voyant le dessin. La narration est nulle, le texte est mal écrit (que font les éditeurs? En même temps c'est des vrais cons chez Delcourt, ils ne doivent même pas savoir lire) bref c'est une purge.

Alors pourquoi ce truc indigeste a-t-il eu le Fauve d'or? Une réponse sur Actuabd:"Il faut dire que le tout jeune auteur est un habitué des podiums d’Angoulême : Prix de la bande dessinée scolaire en 2005 et Prix Jeunes Talents au Festival d’Angoulême de 2012. Le voici maintenant Fauve d’or.".
Il est donc comme Hanneke ou les frères Dardenne à Cannes, il n'y a pas de raison.

34. suzix@bdp - 05/02/18 11:15
Lu Duke #2 de Hermann & Yves H. chez Le Lombard (janvier 2018)

J'ai relu le tome 1. Je pensais qu'il s'agissait d'un dyptique!? Et bien non! Et ce 2e et non "second" tome est excellent. Yves H. et Hermann ont plus de temps pour développer (un peu) la psychologie des personnages. C'est appréciable. Cela fait moins "cheveu sur la soupe" comme scénar. Un excellent western à suivre donc.
Toujours des dessins et gueules de trabioles (jambes trop courtes!) mais je crains qu'il me faille me faire. Cela est compenser par de grandes cases de paysages qui ressemblent presque à des tableaux impressionnistes. Hermann a changé son style pour les paysages et c'est du super boulot.
Une très bonne lecture. Note 4/5.

33. suzix@bdp - 05/02/18 11:01 - (en réponse à : marcel)
les derniers Kriss m'ont moins plu que les premiers.

32. Quentin - 04/02/18 19:06 - (en réponse à : pm et Lobabu)
J'ai pris autant de plaisir à lire Peter Pan qu'à regarder un film de Besson. Mais si la comparaison vous déplaît, à quel réalisateur de cinéma compareriez vous Loisel?

31. marcel - 04/02/18 15:50
J'ai rattrappe mon retard sur les Thorgaux.

- La jeunesse : Encore bien aime le dernier, j'attends la suite.
- Louve : Bon final qui boucle bien tout. Un cycle tres legendes scandinaves, ca m'a plu.
- Kriss : Sur le precedent, Dorison etait revenu a quelque chose de plus proche de la serie-mere. Ici, j'ai ete tres decontenance, je pense que c'est un cas assez unique : on suit une aventure de Kriss (assez reussie) sur 30 pages et puis... On part sur une histoire completement differente avec Jolan. Si bien que j'ai mis un moment a comprendre qu'on n'etait plus dans le monde parallele que parcourt Kriss mais bien dans le monde reel, tellement c'est absolument pas introduit ni explique. Pour moi, il y a la un enorme probleme editorial : soit on montrait les deux actions dans deux albums separes, soit on entrecoupait les actions des deux sequences pour qu'on comprenne. La, ca fait bordel, genre "on sait pas trop comment terminer les deux intrigues, on fout ca comme ca, au hasard Balthazar".
Pour la partie Jolan, cependant, on sent encore une fois, comme sur le precedent Thorgal, qur Dorison doit d'abord se debarrasser de l'intrigue de Sente, en meme temps qu'il revient vers une trame moins bassement historique (ce que je reprochais aux derniers Sente, justement). De ce côté-là, il s'en sort pas mal.

30. Lobabu - 04/02/18 15:33
Besson, c'est plutôt du gros œuvre, genre tacheron !

29. pm - 03/02/18 19:57 - (en réponse à : quentin)
Le tout reste sans conteste une belle et grande oeuvre, mais il lui manque quand même quelque chose pour être un chef d'oeuvre à mes yeux. A titre de comparaison, je dirais que Loisel est le Luc Besson de la BD

Je suppose que tu plaisantes ou alors tu n'es pas du tout cinéphile, parce qu'il y a une sacré contradiction dans tes propos. Besson étant absolument incapable de réaliser une grande oeuvre comme tu dis. Ce n'est d'ailleurs pas son objectif.

28. Quentin - 03/02/18 16:39
Intégrale Peter Pan, de Loisel. Je crois bien que c'est la première fois que je vais au bout de la série (que je n'avais jamais lu les 2 derniers tomes - ou alors j'ai oublié).

Il s'agit à l'évidence d'une BD d'excellente facture, dans laquelle Loisel a dépensé des trésors d'énergie pour bichonner son casting, sa mise en page, et son scénario. Il nous livre sa version de la vie de Peter Pan qui précède le roman de James Barrie. Une vision très noire et très dure, à l'image de la paupérisation de Londres du début du 20e siècle, mais néanmoins pleine de poésie et d'évasion.

Un plaisir pour les yeux, même si Loisel y développe déjà son penchant pour faire traîner ses histoires en longueur - ce qui est sans doute son plus grand défaut. Son infantilisation artificielle des enfants est également gnan gnan et irritante. Le tout reste sans conteste une belle et grande oeuvre, mais il lui manque quand même quelque chose pour être un chef d'oeuvre à mes yeux. A titre de comparaison, je dirais que Loisel est le Luc Besson de la BD. Il en met plein la vue et on passe un bon moment de lecture, mais ce n'est jamais bien profond non plus.

27. Quentin - 03/02/18 16:24
Olympe de Gouges, de Catel et Boquet. J'ai longtemps différé la lecture de ces énormes pavés de Catel, étant un peu rebuté par le volume et les petites pages en N&B. Mais la lecture d'Olympe de Gouges m'a véritablement emballé. On plonge dans la vie quotidienne de l'aristocratie du 18e siècle, dans la condition féminine de l'époque, et on traverse également le siècle et tous ses événements sociaux et politiques. Il s'agit d'une des meilleures BD historiques que je connaisse. Quand on pense qu'il y a à peine 5 générations, les femmes étaient encore les propriétés de leurs pères et maris qui pouvaient les faire enfermer à vie pour des broutilles... On revient de loin.

Excellente BD, à la fois légère et profonde, érudite et sensible. L'histoire d'Olympe est édifiante - une des premières écrivaines jouée à l'académie Francaise, qui lutta pour l'´mancipation des femmes et celle des esclave, et qui vécu au centre des grands événements du siècle - jusqu'à finir sur l'échafaud. La lecture est très fluide et on ne s'emmerde pas une seconde. Je met donc les autres albums du même duo d'auteur en haut de la pile des prochaines BD à lire.

26. froggy - 31/01/18 04:51
Le Janitor 5, La creche de Satan

Cet album conclut finalement ce triptyque. Finalement car le premier tome est sorti en 2009 et le deuxieme en 2011. Il aura donc fallu six ans d'attente pour aboutir a un resultat tres, tres moyen. Et c'est le moins que l'on puisse dire.

Je me permets de rappeler que le Janitor est un membre d'une branche du Vatican qui a la charge de regler des affaires tres speciales. C'est James Bond sans les gadgets dont M serait le pape. C'est donc un heros plutot interessant et novateur que Boucq et Sente avaient cree en 2007, date de sortie du premier album. Le cycle en cours le fait confronter a une organisation de nostalgique du nazisme qui dotee de gros moyens (tel Spectre dans la serie de films tires des romans de Ian Fleming) tente de creer une armee d'hommes devoues a cette cause. L'intrigue principale tourne autour de savoir comment cette armee sera creee. Parallelement, notre Janitor, Vince, de son prenom, tente d'en savoir plus aussi bien sur ses origines que sur ses 2 freres jumeaux. Evidemment, ces deux intrigues sont liees.

C'est un thriller que Sente a acheve de maniere decevante apres 4 albums que j'avais trouve bons pour le genre. Ils ne revolutionnaient pas le genre certes mais il y avait de l'action, du suspense. Cet album-ci remplit le cahier des charges etabli par les auteurs eux-memes de maniere satisfaisante a priori. Mais, a posteriori, cela ne l'est plus. Tout d'abord, le fait que ce delai de 6 ans entre les 2 derniers tomes est tellement long qu'il n'y plus urgence. Il faudrait decouvrir cette longue histoire aujourd'hui et lire les 3 albums d'affilee tel un long roman a la Da Vinci Code. N'ayant pas relu les 2 premiers tomes et ayant fait confiance a ma memoire et surtout au talent des auteurs de me replonger dans le bain des les premieres pages, je pensais que j'eprouverais beaucoup de plaisir et ce ne fut pas le cas. Le rythme du debut est assez lent et surtout, Sente a fait entrer du paranormal avec les visions du Janitor qui n'etant pas Sainte Bernadette Soubirous, ne voit pas la Sainte Vierge, mais une petire fille qui va l'aider a reussir sa mission. Qui est cette petite fille me demandais-je durant ma lecture. Vous le saurez en lisant cette histoire. Du paranormal, pourquoi pas me direz-vous. Le melange des genres ne me derange pas tant que cela mais dans l'univers tres codifie du thriller d'espionnage dans lequel la serie s'inscrit manifestement, il n'y a pas sa place. J'ai trouve que c'etait une facilite scenaristique et surtout un moyen tres pratique pour Sente de sortir son heros des embuches qu'il avait creees pour lui. On sait que le Vatican est la premiere administration mondiale en charge de juger des miracles car c'est bien de miracles que la petite fille octroie a Vince, mais je ne crois pas que ce soit ce genre de miracles qu'un college compose d'episcopaux divers ait a qualifier de tels.

Le dessin de Boucq est egal a lui-meme, excellent. Ses personnages vivent litteralement sous son crayon. Il allie cela a une tres grande richesse de details dans les decors. Je crois que je l'avais deja ecrit precedemment au sujet d'un de ses albums chronique ici-meme, je vais donc peut etre me repeter mais j'aime les dessinateurs qui ne sont pas avares de leur talent et n'ont pas peur d'offrir a leurs lecteurs des cases bien fournies. On sent qu'il aime dessiner et cela se voit. En cela, il me rappelle Giraud/Moebius bien que son style soit different, mais peut pas autant que cela en definitive quand on sait que Giraud avait pense confie a Boucq une serie derivee de son heros, Blueberry qui se serait appelle Blueberry 1900. Son prix d'Angouleme est largement merite.

Note finale, 2,5/5. C'est seulement la moyenne grace au dessin qui sauve l'ensemble. J'ai trouve le scenario assez paresseux, ce qui fait que je me suis ennuye durant ma lecture

25. froggy - 29/01/18 18:02
Tramp 11, Avis de tempete

Il est toujours delicat de critiquer le dernier album d'un dessinateur qui a eu le malheur de deceder en cours d'elaboration d'un album. Comme vous le savez tous, c'est le cas ici, Patrick Jusseaume est mort en laissant cet album inacheve et c'est son scenariste, Jean-Charles Kraehn, fort heureusement dessinateur aussi, qui l'a termine.

Cela faisait 5 ans que nous attendions la suite des aventures de Yann Calec, capitaine de la marine marchande, qui vit de belles histoires dans le monde de l'apres 2e Guerre Mondiale. Dans le cas present, il sera confronte a des trafiquants d'armes qui sevissent en Mer Rouge et le Golfe d'Aden, un point chaud du globe, et je ne parle pas seulement des temperatures locales. Yann a sa femme et sa fille avec lui et elles seront un des enjeux de la feroce partie qui va s'engager entre les adversaires.

Le titre de l'album est bien trouve car si l'histoire commence par une tempete qui va declencher les evenements, la suite demontrera qu'une tempete d'un autre genre peut aussi bien survenir entre des personnes liees par l'affection et le mariage. Je ne sais pas encore si il y aura une suite des aventures de Yann Calec, mais il est certain que les choses seront bien differentes pour lui. Kraehn, le scenariste, a tres bien concocte son histoire en reliant avec aisance les differents elements qui la composent. Je ne me suis pas du tout ennuye en lisant cette histoire, il y a beaucoup d'action entrecoupee de moments au tempo plus lent qui ont leur necessite pour la bonne comprehension de l'histoire, il y a du suspense bien sur, et meme un nouveau fait qui change ce que l'on pouvait penser de certains protagonistes importants. Et puis, le cote depaysement est assure par le cadre exotique dans lequel l'histoire se deroule.

Comme je l'ecrivais au debut, il est difficile de juger des dernieres planches d'un dessinateur tombe malade. Cela se ressent a la lecture de la premiere partie, celle dessinee par Jusseaume. Je n'ai pas retrouve ce que j'appreciais tant chez lui dans les titres precedents de la serie. Manifestement, il peinait beaucoup a accomplir son labeur. Le contraste avec la deuxieme, celle dessinee par Kraehn, est saisissant et il faut bien admettre que celle-ci est mieux dessinee que la premiere.

Note finale; 3,25/5. Si vous vous voulez vous evader de la grisaille quotidienne, cet album est pour vous. Il est seulement dommage qu'il fut realise dans de si tristes circonstances.

24. herve - 29/01/18 09:50
lu Traquemage #2
Autant le tome 1 m'avait fait sourire autant je me suis ennuyé sur celui-ci...que j'ai même pas terminé c'est dire!
Album parfaitement dispensable

23. suzix@bdp - 29/01/18 09:35
Lu Essence de Flao & Bernard chez Futuropolis (janvier 2018)

Surprise ... j'ai acheté en pensant à un post-apo puisque les premières pages montrent des ba^timents déserts et délabrés avec un type qui cherche de l'essence ... Et puis pas du tout! Surprise il s'agit d'un "voyage" fantastique (pour ne pas éventer le sujet principal) et mystique. A moitié chemin avec un (en)quête intérieure. Flao parsème son album d'illustrations sublimes avec des couleurs chaudes. Je me suis demandé si j'allais aller au bout ou si même je n'allais pas rapporter cet album ... et puis non. Je le garde. J'aime bien. Bon, par contre si qq'un peut m'éclairer sur l'épilogue, je prneds! (;o)
Note 3/5.

22. totom - 28/01/18 20:13
J'avoue que David eau au lieu de Davodeau je passe pour un con
Ma tablette devait être bourrée je vois pas dautre explication

21. froggy - 28/01/18 17:51 - (en réponse à : Piet)
Ca vaut un tweet de Trump.

Peut-etre que c'est Totom qui les ecrit en definitive.

20. Piet Lastar - 28/01/18 15:54 - (en réponse à : totom)
Plait-il ?

19. totom - 28/01/18 15:40
J'ai du mal à voir ou la série lancée par le revue dessinée avec David eau va
Si le public c les lecteurs de la revue dessinee (que hevtrouve un peu criant à lq longue) et de Marianne ( que japprecid tjs) pourquoi pas
Si ils veulent aller plus loin , c raté

18. froggy - 28/01/18 01:49 - (en réponse à : Herve post#15)
J'aime beaucoup Davodeau mais cet album ne me dit strictement rien. J'ai trouve les premieres pages que j'ai lues ici meme, si mes souvenris sont bons, completement idiotes.

17. herve - 27/01/18 18:51
Kriss de Valnor #7: la montagne du temps

Kriss de Valnor" est le seul spin off de la série "Thorgal" que j'apprécie. Cet opus fait écho au "Maître des montagnes" de la série mère. avec les voyages dans le temps.
Mais j'avoue avoir été assez déstabilisé par le découpage de cet opus, Kriss de Valnor au début, puis Jolan en seconde partie (j'ai eu un faible pour cette partie, plus facile à suivre). Ce choix de Dorison est assez déroutant, il faut dire.
Mais il est tout de même temps de mettre fin à ce spin off qui a du mal à avancer depuis deux ou trois albums.

note:3/5

16. herve - 27/01/18 17:24 - (en réponse à : oups)
4/5

15. herve - 27/01/18 17:09
lu "Histoire dessinée de la France - La Balade Nationale" de Davodeau & Sylvain Venayre.

J'avais eu le dossier de presse en main en septembre, et je n'étais pas vraiment convaincu par ce premier volume de cette nouvelle série dédiée à l'histoire. J'ai donc emprunté cet opus avec un apriori négatif.
Et bien, je dois avouer qu'au fil des pages, j'ai été agréablement surpris. Certes le procédé de réunir Jeanne d'Arc, le Maréchal Pétain,le général Dumas, Molière et Marie Curie autour de Jules Michelet pour un tour de France peut paraître saugrenu mais on y apprend plein de choses au final.
Le scénario repose sur une nouvelle approche de l'histoire, assez éloignée de "l’histoire de France en bande dessinée"(Larousse) que je suivais quand j'étais gosse.
Bref, l'auteur nous offre une pile de connaissance , sur un ton parfois humoristique, bien servi par le dessin de Davodeau.

Surprenant, instructif et bien fichu.

note:4/4

14. totom - 27/01/18 01:22
Androïde 4 chez soleil très bien conseillé par suzy, album bluffant car on croit à u scénar branqueballent au milieu mais la fin nous éclairci sous une vision androïde loyal
4/5
Matteo 4
Beaux dessins Scénar insignifiant
2/5 autant faire un artbook

13. froggy - 27/01/18 00:21
Gibrat, Matteo 4e partie

Apres la 1e Guerre Mondiale, la Revolution Russe de 1917 et le Front Populaire de 1936, Gibrat emmene son heros en Espagne durant la guerre civile qui y sevit de 1936 a 1939. Considerant le personnage, Matteo ne peut faire que partie d'une Brigade Internationale. Il se retrouve en Catalogne ou lui et les autres membres de la Brigade doivent reprendre un petit village des mains des franquistes. Cela ne sera pas facile et la bataille du village constitue la majeure partie du recit. 2 femmes interviennent, une brune assez piquante, Amelie, dont Matteo se verrait bien le poulain, et une blonde, polonaise, qui doit prendre des boissons d'hommes (avec de la pomme) au petit dejeuner car le moins que l'on puisse ecrire a son sujet est qu'elle n'a pas froid aux yeux.

Je n'ai pas trouve que Gibrat se soit dechaine sur le scenario. Cela s'apparente plus a une chronique qu'autres choses et le fait que le personnage principal, Matteo, ne soit pas tres sympathique n'incite pas a l'empathie. Il se passe des choses car il faut bien qu'il y ait une histoire mais le scenariste rallonge les scenes et oublie un element important dans un scenario. Meme si l'objet d'une histoire n'est pas important en soi, il faut qu'il soit crucial pour ses protagonistes, c'est le fameux MacGuffin hitchcockien. Ici, l'enjeu, est la prise du village, mais il semble, selon le scenariste, que cela n'ait pas une importance demesuree pour Matteo et son equipe, ou alors, le scenariste n'a pas insiste sur cela, mettant l'accent sur les tensions qui s'exercent au sein de la Brigade et tous les problemes de logistique qu'ils rencontrent. Une fois de plus, le miracle du Sursis n'a pas eu lieu.

Si j'ai des reserves sur le scenario, il n'en est plus de meme pour le dessin qui est une fois de plus superbe. J'aime beaucoup ses hommes qui ont tous des trognes interessantes, Matteo en tete. Mais la ou Gibrat se dechaine, c'est sur les femmes. Apres Cecile dans Le sursis et Jeanne, sa cousine, dans Le vol du corbeau, il nous offre deux femmes aussi belles l'une que l'autre, la brune et la blonde. "Est-ce que les femmes sont magiques?" faisait demander Francois Truffaut par la bouche de Jean-Pierre Leaud dans La nuit americaine. Oui, repond Gibrat et je le prouve. Comment ne pas leur succomber quand elles sont si jolies, adorables et mignonnes avec leurs beaux yeux si bleus qu'ils ressemblent a des saphirs de la plus belle eau, avec leurs robes a fleurs ou salopettes et avec leurs airs de sainte-nitouche auxquels il ne faut pas se fier car ce sont des femmes de caractere. Gibrat aime manifestement les femmes, et en les dessinant comme il le fait, il leur rend un bien bel hommage.

Note finale, 3.25/5. Cet episode est beaucoup mieux que le precedent mais Gibrat devrait s'apesantir sur sa qualite a ecrire un roman graphique sur une trame historique de la meme maniere qu'il le fait pour dessiner une femme

12. Stefan - 26/01/18 23:18
Les Chiens de Pripyat 2, Les enfants de l’atome, Par Aurélien Ducoudray et Christophe Alliel, Collection Grand Angle chez Bamboo.



Conclusion du diptyque, les chiens de Pripyat, avec Aurélien Ducoudray et Christophe Alliel toujours aux manettes. S’il y a quelque chose qui m’a frappé, quand je suis arrivé au bout de ces deux bandes dessinées, c’est qu’elle à quel point la menace nucléaire est finalement passée au second plan dans notre société cynique.



Attention, je ne dis pas que l’on n’a plus conscience du danger. Mais il y a quand même quelque chose de troublant, quand on jette un œil sur les fictions durant la guerre froide, les communications d’états, les gros titres des journaux, d’Hiroshima, à la fin de la guerre froide, en passant par la crise des missiles de Cuba et Tchernobyl, la menace nucléaire était évoquée partout. Pas un film d’espionnage sans une bombe nucléaire détournée. Des X-Men aux films de propagande expliquant comment se cacher sous un bureau en cas d’attaque, en passant par Akira ou Homer Simpson, deux générations ont grandi dans l’ombre de cette menace…



Et depuis la fin de la guerre froide, petit à petit, cette menace est moins omniprésente et est clairement passée derrière la menace terroriste dans les préoccupations quotidiennes et les menaces virtuelles. Pourtant, ce n’est pas comme si elle n’existait plus cette menace. Bien au contraire, entre la catastrophe de Fukushima, les centrales vieillissantes un peu partout dans le monde, les provocations Russes ou Iraniennes, et les concours de zizi de Trump et Kim Jong-Un, elle n’a peut-être jamais été aussi concrète, aussi probable. Oui mais voilà, cette menace, elle n’est pas portée par un vrai méchant. Trump aussi fou soit-il est sensé être notre allié, Poutine cultive l’ambi guïté, Kim Jong-Un semble petit et lointain malgré sa mégalomanie, l’Iran semble chercher un peu de stabilité. Les centrales nucléaires sont notre faute à nous, on va pas s’accuser nous même, Les vrais méchants qui nous font peur n’ont pas (encore) accès à des armes nucléaires.



Cette longue introduction pour souligner le côté paradoxalement un peu désuet et assez original de sortir aujourd’hui une œuvre sur un tel sujet. Et pourtant, quelle richesse encore à exploiter à y trouver.
Les chiens de Pripyat nous replongent dans cette époque, dans cette zone autour de Tchernobyl. Dans ce second volume, on se rend compte que cette zone est loin d’être aussi morte qu’on aurait pu le croire. La vie n’a pas abandonnée la zone, bien au contraire, nombreux sont ceux que les héros de l’histoire vont croiser.



Mais si la vie n’a pas quitté la zone, la civilisation, elle, a définitivement abandonné les lieux et la survie dans ce milieu est une lutte quotidienne. Ducoudray fait monter avec une grande habileté la tension au fil des pages en accumulant les menaces autour des personnages plongés dans un monde ou plus aucune règle ne semble pouvoir s’appliquer.
Avec beaucoup de précision et de virtuosité, Christophe Alliel continue de soigner ses décors pour nous plonger concrètement dans cet enfer très réel. Mention spéciale à la petite mais efficace introduction de ce second tome qui en posant les versets de l’apocalypse sur des images froides et soignées de la centrale et de ses alentours nous met instantanément dans l’ambiance.



11. torpedo31200 - 26/01/18 11:15 - (en réponse à : totom - post # 8)
Je comprends que Les Vieux Fourneaux 4 ne plaise pas, puisque le postulat de base est que chaque personnage définit sa vision du monde en fonction de ses intérêts. Mais je persiste à penser que c' est le meilleur des 4.

10. herve - 26/01/18 10:11 - (en réponse à : suzix)
Pour les "Vieux fourneaux", pareil que toi.
Je l'ai réservé à la médiathèque.
On verra donc si cela me plait

9. suzix@bdp - 26/01/18 10:06
pas surpris par ton commentaire sur Les Vieux Fourneaux. J'ai arr^été la série. L'effet de nouveauté est passée depuis la fin du tome 1 ...

8. totom - 26/01/18 09:49
Lu le dernier Vieux fourneaux
On a en effet une page doublée au niveau des dessins mais avec des textes différents
Globalement déçu par cette bd par rapport aux autres de la série
Une histoire de zad qui colle à l'actu mais qui manque d'intérêt ici
2/5

Lu également la série Esteban classée en rayon jeunesse en bibli
Un must à tous les niveaux
5/5

Lu le tome 10 de Seuls
Rien compris
1/5

Lu deux premiers volumes de lady mechanica en comics
Sympa, bonne ambiance
3/5

7. froggy - 25/01/18 00:15
Meta-Baron 5, Rina la meta-gardienne

Cet album commence un nouveau cycle de (mes)aventures pour l'infortune Meta-Baron. C'est le dessinateur du premier cycle, Valentin Secher, qui s'y recolle. Je presume que le dessinateur du deuxieme, Niko Henrichon, aura la charge du prochain quatrieme cycle sur lequel il doit deja etre en train de plancher considerant la frequence de sortie de ces albums, frequence non modulee et plutot soutenue. Je trouve cela plutot bien en defintive, beaucoup mieux que ce Glenat et son auteur Giroud avaient fait avec la serie Destins dont on pouvait reprocher, entre autres nombreuses choses, le flagrant manque d'unite graphique entre les albums surtout quand ce sont les memes personnages qui interviennent le long de la serie.

Apres la catastrophe qui a detruit son vaisseau spatial et la planete de ses ancetres et apres avoir echappe aux sbires du techno-cardinal, le Meta-Baron atterrit sur Algoma, une nouvelle planete qui regorge d'epyphite, la souce d'energie la plus convoitee de l'univers et dont l'extraction a ete la source la fortune de la caste des meta-barons (voir le tout premier episode de la serie en question, Othon le Trisaieul). Il y rencontre une femme tres belle, (bien sur), Rina, dont il tombe eperdument amoureux. Malheureusement, la civilisation techno-techno le retrouve. Et notre pauvre Meta-Baron devra choisir entre l'amour et le devoir. Ou Corneille dans l'espace.

On le sait, le scenariste, Jerry Frissen, ecrit ces nouvelles aventures sur la base d'un synopsis du createur du heros, Alexandro Jodorowsky. A la lecture de cet album, il semble qu'on arrive au bout de ce synopsis car toute la premiere partie n'est pas tres jodorowskienne, la deuxieme l'etant plus avec l'iruption des techno-technos et le cruel dilemme auquel notre heros est confronte. J'ai trouve cette premiere partie un peu lente, le scenario retrouvant de l'allant dans la deuxieme. Je me demande si cette histoire n'aurait pas ete meilleure en definitive si elle avait ete en un seul tome un peu plus long que les 54 planches qui la composent.

Curieusement, j'ai trouve que le dessin de Secher me plaisait moins qu'avant. Le passage de son dessin a celui d'Henrichon s'etait fait sans problemes, le retour l'est moins, Est-ce parce que j'ai trouve l'histoire moins prenante que celle du premier cycle? C'est possible. J'ai trouve que les personnages etaient tres figes, ils parlent et bougent mais ils sont tous tres raides, meme quand Rina se met sur l'orbite du Meta-Baron. Ce qui ne devrait pas etre le cas.

Note finale, 2.75/5 Une legere deception apres les bons albums precedents


6. froggy - 24/01/18 23:16
1485. torpedo31200 - 23/01/18 18:26 - (en réponse à : froggy - post # 1483)
Je répète ce que j' avais dit il y a quelques années, et désolé pour le hors-sujet.
Hors caisse, si 80% du temps est lié à la manutention, on peut estimer entre 10 et 15 % la préparation de rendez-vous représentants ou manifestations/accueils d' auteurs et/ou communications avec clients. Le reste, c' est du renseignement de courtoisie (les gens perdus ou qui ne trouvent pas ce qu' ils cherchent, parfois car pas encore parus ou traduits) ou nettoyage (entretien de la surface ou vitrine extérieure).


Je reprends ce que tu as ecrit dans le forum precedent, 18eme du nom.

Je ne pense pas que tu fasses de l'hors-sujet. Il faut dire qu'il est vaste et qu'il ya de quoi dire qur la question.

Tout depend en fait de comment tu geres ton temps et comment ton equipe est formee. Je travaille pres de 65% de mon temps sur la surface de vente a faire de la manutention, refaire un departement entier, recevoir les livreurs etc, et le reste dans la reserve ou dans le bureau. Or, quand je suis sur la surface a faire quelque chose sur cette surface, des que je vois un client, je luis dis bonjour avec mon plus beau sourire Ultra-Brite et luio demande si il a besoin d'assistance. Oui, non. Si oui, j'aide, si non, je n'aide pas mais offre a la personne que je suis a sa disposition si elle en aurait besoin. C'est tout, ce n'est pas complique. Et j'ennuie mon equipe en permanence a faire la meme chose en me citant en exemple, je sais que cela parait presomptueux, mais j'ai eu des patrons qui me disaient regulierement ce qu'il fallait que je fasse mais ne le faisaient jamais eux-memes. Et je deteste les gens qui disent "Faites ce que je dis, mais ne faites pas ce que je fais" C'est pour cela qu'a mon equipe car je tiens a me faire respecter, je leur dis, si je le fais, vous pouvez le faire. Je crois que la je suis dans l'hors-sujet. Desole.

Sinon, et comme suzix l'a ecrit fort justement, tout depend de l'employe. En France, j'ai de nombreux exemples aussi bien positifs que negatifs a la FNAC par exemple. Tout depend sur qui on tombe. Une des raisons pour laquelle j'allais a la maintenant feue librairie Dupuis etait que les 3 employes y etaient absolument adorables et charmants.

C'est la meme chose ici. J'ai parfois recu un service excecrable. sans compter une amabilite digne d'un gardien de prison. Le pire exemple vecu et je garanti l'authenticite de cette anecdote est un jour dans un magasin a New York, la fille a la caisse scanne les articles de la cliente devant moi sans mot dire, met tout dans un sac, prend la carte de credit, rend le ticket de caisse et la carte toujours sans ouvrir la bouche. La cliente, assez interloquee, lui dit qu'elle pourrait au moins dire merci. Reponse de l'employee: "C'est ecrit sur le recu".





5. longshot - 24/01/18 15:44 - (en réponse à : mon « venez-vous de lire » est très relatif)
Certaines lectures remontent à l'été dernier, mais pfft, tant pis.

Dirty biology, La Grande Aventure du sexe, par Léo & Thomas Grasset — de la bonne vulgarisation sur un sujet qui il est vrai, s'il peut être traité de manière aride par les scientifiques, a de quoi piquer la curiosité du lecteur le moins porté sur la chose. Mais quand c'est aussi bien fichu on en redemande. Je vais peut-être enfin me rappeler comment fonctionnent les figuiers... Quand même eu l'impression sur la fin que le manuscrit avait dû être un peu raccourci et ça rendait certains passages un peu confus. Rien de gênant pour la compréhension générale du propos, mais j'aurais été curieux de voir la version longue.

Darwin, T. 2 par Clot, Bono et Fogolin. Centré autour du fameux voyage de Darwin autour du monde sur la Beagle, plus quelques passages au moment de la publication de l'origine des espèces : autant dire qu'il y aurait eu de quoi remplir plus de deux albums. Mais ça se lit très bien, et c'est quand même moins aride que le récit qu'en a fait Darwin lui-même.

Gustave Caillebotte de Laurent Colonnier : qu'ajouter à ce que d'autres ici-même ont si bien dit avant moi ? En plus j'ai appris plein de trucs.

Le Chat qui n'aimait pas les croquettes — Nuits blanches, par Odrade. Drôle d'album, pas désagréable et plutôt joli, mais j'avoue que je ne sais pas trop quoi en penser ni où le ranger. Faudra que je le relise — c'est en soi une qualité.

Axolot, t. 1, par Patrick Baud et collectif. Je ne sais pas comment j'ai pu passer si longtemps à côté de cette série, qui réunit plein d'auteurs dont suis pourtant le travail (Boulet, Libon, Capucine, Guillaume Long et d'autres) autour d'un thème de vulgarisation scientifique ? Faudra que je me commande les autres volumes.

Astérix et la transitalique, par Ferri et Conrad. Bof, pas emballé par cet album.

Les brumes de Sapa, par Lolita Séchan. Agréablement surpris par cet album dont je n'attendais pas grand chose. J'avais bien lu quelques pages en ligne, mais n'en avais gardé qu'une impression de déjà vu, de tranches de vie aussi originales et aussi banales à la fois que tant d'autres. Mais c'est un récit qui court sur plusieurs années, et pris dans son ensemble, plus riche que ce que quelques pages isolées m'avaient laissé penser. Sans parler des brêves apparitions des parents de l'autrice, évoqués avec pudeur mais qui donnent néanmoins une vision personnelle d'un certain Monsieur S. Bref, une bonne surprise.

Nerval l'inconsolé, par Vandermeulen, Casenave et Champion. Biographie de Nerval en BD, je connaissais à peine l'auteur et encore moins le personnage, je me suis régalé. J'aime beaucoup Vandermeulen et Casenave, découverts dans la revue dessinée, mais je n'avais encore rien lu d'autre de leur part. Bien envie d'en lire plus, maintenant.

4. torpedo31200 - 24/01/18 14:08 - (en réponse à : suzix@bdp - post # 1500 (vol 18))
Par raisons extérieures, j' entendais un point de vente dont le prix fluctuait trop en 12 mois. Certains prétendent vouloir vendre mais ils mourront avec.

3. torpedo31200 - 24/01/18 14:04 - (en réponse à : Danyel - post # 2)
On a peut-être le tort de ne pas situer les anecdotes dans le temps. Les marchands de journaux ont énormément périclité depuis une dizaine d' années en France. Environ - 4%/an pendant 8 à 10 ans, à partir de 2005 je crois bien.

Et vu que certains ouvrent 90h/semaine, il n' est pas impossible que tu sois tombé sur une remplaçante très occasionnelle.

2. Danyel - 24/01/18 07:18 - (en réponse à : Quentin et Pm.)
J'ai bien entendu donné la liste des livres que je voulais commander.
170 €, c'est ce que je laisse tous les deux mois à BDnet, dont le service est impeccable.

Ce qui m'agace, avec Go4Books, c'est que les types derrière leur écran ne se demandent pas un instant si je suis un client qui va recommander où quelqu'un de passage. S'ils étaient un tant soit peu malin, vu la variété du contenu de ma commande, ils pourraient déduire d'eux-mêmes que j'entre dans la première catégorie.

Ça me rappelle une anecdote très révélatrice d'un certain esprit des boutiquiers français.
Un jour, j'entre dans une librairie (de journaux-magazines) à Neuilly. Je vois une employée assise au bout qui est en train de lire. Je cherche le dernier Casemate en vain dans les rayons. En désespoir de cause, je me résous à demander à l'autre glandeuse. Elle me regarde d'un air ahuri, me fait non de la tête (non de la tête, c'est le geste préféré des vendeurs français) et repique du nez dans son magazine. Je ne sais pas trop comment interpréter ce "non.
Sceptique, je retourne dans les rayons où je finis par trouver le magazine. Je l'apporte et le mets sous le nez de la vendeuse. Aucun mot d'excuse de sa part, pas un merci, rien. Elle voulait tout simplement ne pas bouger son gros cul.
Après, on vient me dire, oui, mais pourquoi faire des efforts pour gagner 0,50 €. D'accord. Mais dans ce cas, pourquoi tenir un magasin ? On grappille ce qu'on peut dans un magasin. Si on veut gagner plein de pognon en une seule fois, on devient trader.

Contre exemple aux Etats-Unis.
Cody, Wyoming. De passage dans la ville fondée par ce vieux Bill, je vais dans une boutique Pendleton. Je vois un super-gilet western en laine, fabriqué dans l'Oregon, comme tout ce que produit cette marque ancestrale. Malheureusement, il est bien trop grand pour moi. Le vendeur est désolé. Je lui achète une grande couverture et lui laisse mon nom et un numéro de tel, à tout hasard.
Deux semaines plus tard, rentré en France, je reçois un coup de téléphone en pleine nuit. C'est le vendeur de Cody (le type n'avait aucune conscience du décalage horaire). Il me dit qu'il a commandé à l'usine Pendleton un gilet à ma taille pour moi et qu'il peut me l'envoyer par la poste ! J'ai bien sûr accepté. Le gilet n'était pas très cher, et en plus, le magasin prenait les frais d'envoi à sa charge.

J'ai eu d'autres expériences similaires avec des petits magasins d'uniformes de la cavalerie US, situés dans des trous perdus, où j'ai commandé sur catalogue des boutons modèle 1886. Je parle d'une époque où Internet n'existait pas et où tout se faisait par correspondance, y compris les demandes de renseignements (là j'avais dû leur demander un descriptif précis des boutons). J'aurais pu commander la selle Mac Clellan réglementaire, cela n'aurait fait aucune différence. Business is business.

Au Japon, le service est encore meilleur.



 


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