Que venez-vous de lire et qu'en avez-vous pensé? (19)

Les 1501 commentaires sont triés des plus récents aux plus anciens .



401. froggy - 23/06/18 18:50 - (en réponse à : Murakami)
Tu ne les achetes plus?

400. Piet Lastar - 23/06/18 14:41
Je ne sais pas, je ne l'ai pas encore lu. Bientôt les vacances :)

399. Murakami - 23/06/18 08:41 - (en réponse à : froggy)
Je ne sais pas. Car je ne l'ai pas acheté...

398. froggy - 22/06/18 17:00 - (en réponse à : Piet, Murakami)
Alors? Le nouvel Aldebaran, ca vaut quoi?

397. totom - 21/06/18 21:51
Je me relis qq Cartland et m'aperçois que certains sont nettement mieux dessinés que les jeunesse de blueb
L'avant dernier, l'enfant lumière, qui se passe ds les neiges indiennes et même très bon
Dommage pour blueb du coup

396. suzix@bdp - 19/06/18 19:25
395. Quentin - 19/06/18 19:07
Tu devrais lire les albums de ta fille


Je vais plutôt lire le dernier Walking Dead ! (;o)

395. Quentin - 19/06/18 19:07
Le 5e et dernier tome est sorti. Chaque album est excellent en soi, et les 5 tomes font ensemble une très belle histoire où chaque tome a sa place et sa contribution. Le scénario est du grand art. Tout y est pesé et à sa place. Le dessin est très réussi également. Tu devrais lire les albums de ta fille

394. suzix@bdp - 19/06/18 18:36
J'offre "Les carnets de Cerise" à ma fille depuis le tome 1.
Bon là, elle commence à plus trop avoir l'âge ... au prochain tome je lui poserai la question.

393. Quentin - 19/06/18 17:35
Si vous voulez lire un chef d'oeuvre dans la BD pour enfants/ado, ne ratez pas "Les carnets de Cerise". Ca c'est de la toute bonne, que dis-je, de l'excellente BD, y compris pour les adultes. C'est vraiment très, très fort, très émouvant, très beau. Une des plus belles découvertes de ces dernières années.

392. Quentin - 19/06/18 17:32
Tout le génie de cette série est de faire miroiter des explications qui n'arrivent finalement jamais. Au contraire, le tout devient de plus en plus confus. Le tome 10 est un troisième cycle qui commence (sur du grand nimporte quoi), alors qu'on n'a toujours quasi pas de réponse aux questions soulevées par les cycles 1 et 2. Je trouve ca du foutage de gueule. Mais mon fils est accro alors je suis bon pour acheter le tome 11 qui vient de sortir.

391. herve - 19/06/18 16:51 - (en réponse à : marcel)
idem pour moi.
Je me suis arrêté au bout de 5 ou 6 volumes.

390. helmut perchu - 19/06/18 16:19 - (en réponse à : marcel)
Je peux pas te dire je me suis arrêté à la fin du premier cycle (tome 5 ou 6 donc) dont la fin m'a laissée pantois (d'ailleurs je m'en souviens plus).

389. marcel - 19/06/18 15:47
J'ai lu le tome 10 de Seuls (oui, je sais, j'ai du retard, mais c'est a cause des recueils de Spirou).
Euh... Comment dire ?... C'est moi ou il ne se passe plus rien dans cette serie ?... Et pas seulement sur ce dernier album.
J'ai l'impression que, passe le premier cycle, Vehlmann navigue a vue, et distille les informations au compte-gouttes. Rien de surprenant, rien d'attachant, d'autant que le groupe d'origine est maintenant separe depuis bien trop longtemps.
Vraiment, j'ai l'impression de lire des péripéties sans en avoir plus rien a foutre. Déjà, dans ce dernier, il y a quand meme la moitie ou les deux tiers occupes par les conneries du plus petit (j'ai déjà oublie son prenom) dans un magasin de jouets. On s'en tamponnerait pas un petit peu ?... Tout ca pour une petite revelation finale qui risque de ne pas avoir d'incidence avant deux ou trois albums.

Chuis tout seul a avoir cette impression ?...

388. pm - 19/06/18 00:39 - (en réponse à : froggy)

Bien sûr que c'est le livre que j'ai trouvé émouvant, comment pourrait-il en être autrement? Livre qui parle d'un personnage ...émouvant.

387. froggy - 19/06/18 00:16 - (en réponse à : Philippe et Marcel)
J'ai l'impression que je vous ai mal compris. A relire vos interventions, il me semble que c'est le livre que vous avez trouve emouvant et non la personne de Charlie Schlingo ainsi que je l'avais interprete. Me trompe-je?

Auquel cas, vous avez raison, il l'est mais pas assez a mon gout ainsi que je me suis explique longuement dessus.

386. herve - 18/06/18 22:01
Avec Les folles nuits de Cryptée Ardem a enfin les honneurs de la collection cartonnée des éditions "Dynamite". Il suit en cela le chemin d'Igor et Bocère avec La pharmacienne à cette différence près que pour Ardem, il s'agit là d'une réédition. Dans son "encyclopédie de la bande dessinée érotique" (édition "la Musardine"), Henri Filippini souligne que "le nom d'Ardem apparaît la première fois avec la publication des "Folles nuits de Cryptée" dans la collection des "Marquis" des éditions Glénat", toute une époque !
Je possède un certain nombre de bd signées Ardem, comme "Vidéos privées", "Chantages" ou encore"Tournage amateur", pourtant, je suis assez étonné de la maitrise du scénario par Ardem (alias Alain Mounier) sur son premier album de près de 64 pages. Car, contrairement à de nombreuses bd dites pour adultes, il y a une histoire, certes ponctuée de scènes pornographiques souvent crues - fellations, sodomies, doubles pénétrations...tout y est- , illustrée par un dessin de qualité. Même les récitatifs sont légions dans cette bande dessinée !
D'ailleurs l'histoire débute comme un film de Francis Leroi ( réalisateur entres autres de "Je suis à prendre" avec Brigitte Lahaie en 1978) où se côtoient, dans un décor luxueux, Maître et valets, majordomes, et servantes. Bref, un album témoin d'une époque révolue, celle où les films pornographiques n'avaient pas encore débouché sur le "Gonzo".
Avec cet opus, Ardem annonce sa marque de fabrique: soumission des femmes,un certain goût pour le chantage, le tout sur fonds d'histoire familiale.

Lecture réservée à un public très averti, il va s'en dire.

note: 4/5

385. herve - 18/06/18 21:30 - (en réponse à : froggy)
content que tu aies aimé "Extases"
Quant au journal d'Anaïs Nin, je l'avais dévoré il y a une vingtaine d'années. Très bons livres -il y a au moins 8 ou 9 volumes de mémoire- (il faut aussi se procurer le journal "expurgé")Son œuvre m'avait fait découvrir toute l'univers d'Henry Miller.

384. marcel - 18/06/18 20:49
On juge un livre pas autre chose.
Schlingo était probablement insupportable, m’aurait amusé 1/4h et exaspéré très rapidement mais ça n’a pas grand chose à voir.
Je comprends que tu ne puisses pas te détacher d’une situation personnelle vécue mais reconnait que c’est hors sujet.


J'allais ecrire a peu pres la meme chose...

383. froggy - 18/06/18 18:45
Tripp, Extases

Attention! Chaud dedans!

C'est sur les conseils avises d'Herve que j'ai acquis cet album bien que les BD de cul ne soient pas vraiment ma tasse de the. Entre un Crepax et un Blueberry, je n'hesite pas. Parce que pour etre un BD de cul, Extases l'est indubitablement. Mais si il fallait utiliser uniquement ce qualificatif, cela ne serait pas lui rendre service car c'est beaucoup mieux que cela.

A part celui d'Anais Nin, je ne pense pas avoir lu un journal intime car Extases n'est rien d'autre que cela. Le heros est donc JeanLouis Tripp lui-meme qui raconte sa vie sexeuelle, des premiers emois au moment de sa puberte jusqu'a sa vie d'adulte. J'ai cru comprendre que cela devrait comprendre 2 ou 3 tomes en tout. Tripp s'y met a nu aussi bien au sens propre qu'au sens figure mais egalement ses partenaires nombreux et nombreuses qui l'accompagnent dans ses decouvertes. Tripp ne baise pas, il fait l'amour, ce qui est completement different et ne fait pas de ce livre une BD pornographique. c'est pour cela que le titre est si bien choisi, Extases et que la couverture est si bien reussie egalement, le paradis artificiel de l'auteur n'est ni la drogue, ni l'alcool, c'est l'orgasme qui met en transe quiconque en ressent un. En psychanalyse, on appelle l'ejaculation masculine, la petite mort. On peut dire que Tripp est mort 1000 fois au moins mais ce sont toutes des belles morts et il nous les fait partager.

La deuxieme chose qui differencie cet album d'une BD pornographique est l'humour. En effet, si cela n'etait qu'une enfilade de scenes de sexe, le livre n'aurait aucun interet, il faut un ton, un point de vue. Et l'auteur a adopte celui qui me plait le plus, celui de l'humour auquel je ne peux pas ne pas reagir quand il est aussi bien maitrise que Tripp le fait. Il semble qu'il ait aussi adopte comme principe de vie la citation de Fontenelle, "Il ne faut pas prendre la vie trop au serieux car de toute facon, vous n'en sortirez pas vivant". Cet humour allege tellement l'ouvrage qu'il en rend la lecture aussi savoureuse et delectable qu'un excellent champagne bien frais (cela me fait penser que 'il n'a pas encore essaye la celebre turlutte au champagne de chez Mme Claude... Souvenirs, souvenirs. Mais je m'egare. LOL). Tripp se regarde et regarde son passe avec distance et le sourire aux levres. "Je me suis bien amuse" nous dit-il, "A votre tour d'en profiter"

Pour en revenir a nos moutons, Tripp avec une totale absence d'impudeur se met en scene et il le fait d'autant mieux qu'il n'est pas toujours a avantage a certains moments. Cela cree evidemment une empathie de la part du lecteur. Je pense que n'importe quel homme se reconnaitra un peu ou beaucoup dans les emois pubertaires de l'adolescent qui prend conscience de la gente feminine.

Je n'avais rien lu de l'auteur jusqu'a present et j'ai bien aime le dessin qui est realiste avec un tout petit peu de caricature, ce qui va evidemment de pair avec l'humour. J'ai beaucoup aime certaines trouvailles graphiques qui reenforce le ton de l'ouvrage et font bien rire. Et puis, il y la metaphore du satyre a l'enorme sexe qui accompagne JeanLouis qui fait avancer le recit pour les moments d'introspection. Pour le reste, comme le heros fait l'amour (et souvent), Tripp dessine l'acte sexuel comme il est, c'est a dire aux corps nus aussi bien masculins que feminins tendus et alanguis de desir et acceptant avec joie les caresses et autres choses que l'on peut faire dans de tels moments. Il est evidemment que cette BD n'est pas pour les prudes et les begueules, les autres y trouveront leur compte.

Je ne peux enumerer toutes les autres choses qui remplissent cette BD et en rendent la lecture tres distrayante.

Note finale; 69/100. Intimissime

382. pm - 18/06/18 18:12 - (en réponse à : Froggy)
On juge un livre pas autre chose.
Schlingo était probablement insupportable, m’aurait amusé 1/4h et exaspéré très rapidement mais ça n’a pas grand chose à voir.
Je comprends que tu ne puisses pas te détacher d’une situation personnelle vécue mais reconnait que c’est hors sujet.

381. froggy - 18/06/18 16:34
Pour en finir avec le Cestac & Teule, je ne sais pas si vous avez un alcoolique dans votre entourage, il se trouve qu'une personne qui m'est tres proche et tres chere l'est et je peux vous assurer que cela n'a rien de la vision amusante qu'en donnent les auteurs au sujet de Schlingo. C'est franchement epouvantable et cela ne prete pas a rire, bien au contraire. Tout l'entourage de cette personne en souffre.

Et puis, il y a aussi le fait qu'il ne se lavait pas. Franchement, je ne vois rien d'emouvant dans un type alcoolique et qui sent mauvais. Cela a peut-etre un cote charmant et boheme pour celui qui voit cela de loin ou le lit dans un livre, mais pour celui qui le cotoie au quotidien, c'est tres different. Il n'empeche que Schlingo etait surement quelqu'un de tres interessant, en cela, Cestac et Teule lui ont rendu justice.

380. torpedo31200 - 18/06/18 12:58 - (en réponse à : pm - post # 379)
Pareil pour le Zep.

379. pm - 17/06/18 11:37
je veux juste qu'on me raconte une bonne histoire.

Pas mieux.

Et je ne sais pas si c'est moi qui devient vieux et grincheux mais ça me semble de plus en plus rare. Je viens de lire le dernier Zep, "The End", tout le monde a l'air de trouver ça génial, j'ai trouvé ça juste pas mal. L'idée n'est pas mauvaise, les sentiments sont bons, le dessin est correct mais c'est quand même du vite lu et ça manque un peu de souffle.

378. marcel - 17/06/18 02:05
Et pour Schlingo c'est émouvant parce que le livre est bon, parce qu'on s'attache à ce personnage ultra farfelu, ce qui est la qualité du livre, et pas spécialement parce qu'on sait que ça finit mal.
Pas mieux.

Pour ce qui est de la veracite, je ne disais pas qu'il y avait des trucs mensongers, hein, je disais juste que, si c'est le cas, si Schlingo racontait des conneries a ses potes pour les faire marrer, ca ne rendrait pas le bouquin moins bon.
Personnellement, je me fiche des biographies dessinees ou filmees, je veux juste qu'on me raconte une bonne histoire.

Si la légende est plus belle que la réalité, imprimez la légende.

377. pm - 17/06/18 01:35
Et pour Schlingo c'est émouvant parce que le livre est bon, parce qu'on s'attache à ce personnage ultra farfelu, ce qui est la qualité du livre, et pas spécialement parce qu'on sait que ça finit mal.

376. pm - 17/06/18 01:32
J'ai aimé le Gainsbourg de Sfar que je n'ai pas trouvé décevant. Ce n'est pas réellement un biopic tout en étant très inspiré de la vie de Gainsbourg mais il se passe pas mal de choses dans ce film qui comporte de très beaux passages, surtout dans ses deux premiers tiers.
Le film d'Hazanavicius je ne l'ai pas vu mais je ne suis pas très fan de ce cinéaste, j'avais trouvé The artist sans doute malin mais finalement pas très intéressant. Mon rapport à Godard est complexe, il me parait difficile de voir autre chose que ses films de la grande époque. J'imagine qu'Hazanavicius a dû faire un truc un peu vintage et à charge et ça ne risque de ne pas m'intéresser.
Dans le genre biopic que j'ai détesté, et que la critique a aimé, le film d'Amalric sur Barbara. J'adore Barbara, le film je l'ai trouvé raté du début à la fin, le cinéaste n'arrivant jamais à atteindre les objectifs de son projet. Le film dans le film est un des trucs les plus casse gueule qui soit, c'est presque toujours raté ou alors une partie prédomine nettement sur l'autre ( la Nuit américaine).

375. froggy - 17/06/18 01:10 - (en réponse à : Philippe)
C'est emouvant parce que l'on sait comment ca finit. Mal.

C'est l'histoire d'un loser, un type qui n'a jamais eu beaucoup de chances dans la vie. Je ne demandais pas une success story a l'americaine mais j'attendais quelque chose de plus substantiel de cet album. Il me faut avouer que j'attendais beaucoup de cet album, j'ai ete decu, je me repete. C'est bien mais pas autant que ce que j'en esperais.

A la reflexion et j'avais ecrit cela l'annee derniere, je me demande si la biographie dessinee ou filmee ne devrait pas s'arreter a raconter un moment charniere de la vie de la personne que l'on raconte. C'est le choix qu'a fait Colonnier pour son Caillebotte avce la reussite que l'on sait alors que le Colette de Goetzinger etait rate parce qu'elle a voulu couvrir une periode trop longue de la vie de l'ecrivain. Au cinema, il n'y pas photo entre le Gainsbourg de Sfar et Le redoutable d'Hazanavicius sur Jean-Luc Godard, le premier est tres decevant car on va de l'enfance a la fin alors que le deuxieme est plus reussi et surtout plus interessant dramatiquement parlant puisqu'il ne s'arrete qu'aux annees 1967 et 1968 qui marque le basculement du cineaste vers une radicalisation politique et intellectuelle qui l'a remis en cause completement.

Il semblerait donc que l'exercice de la biographie complete ne peut etre accomplie avec succes que par un livre qui ferait 500 pages.

374. pm - 17/06/18 00:38
Personnellement j'ai beaucoup aimé le livre de Cestac et Teulé sur Schlingo que j'ai trouvé drôle et émouvant, plus émouvant que drôle en fait. Je ne l'ai lu qu'à sa sortie mais c'est le sentiment qui prédomine.
Les détails qui gênent froggy rélèvent pour moi du pinaillage qui te fait passer à coté de l'essentiel et me rappellent ce qu'un spectateur avait dit à la sortie du beau film de Pollack ,Jérémiah Johnson, "Ce film est incohérent car on ne voit jamais Redford aller rechercher des munitions en ville".

373. froggy - 16/06/18 23:58
370. marcel - 15/06/18 17:42
Apres, Schlingo était peut-être un peu mytho quand il racontait ses histoires, je ne sais pas, mais je ne trouve pas ca bien important.


Tu me permettras de tiquer sur ta phrase, s'il te plait. Je considere au contraire cela tres important.

Je ne sais pas si tu ne penses qu'a ce livre en ecrivant cela considerant qui etait Schlingo. Mais je trouve qu'une biographie au sujet de qui que ce soit doit etre 100% vraie lorsque le biographe relate et les faits et gestes ou alors il faut ecrire une fiction en partie inspiree par. C'est la difference entre Gringos Locos de Schwartz & Yann et Caillebotte, un rupin chez les rapins de Colonnier.

Si Schlingo etait mythomane et aimait raconter des histoires qu'il auraient soi-disant vecues, si les auteurs sont serieux dans leur travail, ils devraient avertir le lecteur que certains evenement racontes dans l'ouvrage sont sujets a caution a cause de cela, c'est une question d'honnetete intellectuelle. Cela aurait au moins le merite d'apporter un eclairage nouveau et revelateur sur la personnalite de Schlingo. Ce qui est ce que je demandais dans ma chronique de lecture.

Ou alors, il faut citer Boris Vian quand il disait, "Cette histoire est vraie puisque je l'ai inventee".

372. froggy - 16/06/18 23:39
Je mettrais bien cela sur le compte de la faute de frappe mais il n'en est rien, j'avais completement oublie que Dodo etait une femme. On en avait beaucoup parle a l'epoque ou elle travaillait avec Ben Radis.

Je suis desole Madame et si vous nous lisez, je vous prie de bien vouloir accepter mes excuses et remerciez Marcel qui est un veritable gentleman.

371. Stefan - 16/06/18 01:15 - (en réponse à : Marcel et Froggy)
Ah ben tiens, je n'avais pas fait le lien. C'est effectivement la même Dodo que Dodo et Ben Radis.

370. marcel - 15/06/18 17:42
Dommage pour le Cestac et Teule, je pensais que ca te plairait plus.
Il faut dire aussi que j'ai pas eu du tout les memes freins que toi. D'abord, le fait que ce soit en gros-nez ne m'a pas du tout derange, et j'ai trouve tous les personnages que je connaissais parfaitement fidèles dans la caricature (apres tout, c'est pareil dans Mastodonte, il suffit d'un ou deux signes distinctifs).
Ensuite, je crois qu'on n'en apprend pas plus sur "le vrai Schlingo" parce qu'au fond, personne ne le connaissait vraiment. Teule nous montre a voir, a travers ces anecdotes, un "personnage", manifestement en representation permanente, et je ne crois pas du tout que son ambition était de faire un biographie, mais bien une evocation-hommage de ce personnage.
Et je pense que tout est vrai, ou du moins tout ce qui a des témoins. Apres, Schlingo était peut-être un peu mytho quand il racontait ses histoires, je ne sais pas, mais je ne trouve pas ca bien important.
J'ai un souvenir assez clair d'une sequence diffusee par Teule dans sa chronique de l'epoque sur Canal + ou Schlingo racontait son "auto-pipe". J'avais trouve ca tres drole et hallucinant en meme temps, diffuse vers 19, 20h. Je crois me souvenir que c'est repris dans la BD.
Enfin, pour ce qui est de lire du Schlingo, je dois avouer ne jamais vraiment avoir accroche. Je garde un bon souvenir de sa collaboration avec Rosse sur N comme Cornichon, mais j'ai lu ca il y a longtemps, peut-être que c'est pas bien a la relecture.


369. marcel - 15/06/18 17:22
A propos, est-ce le meme Dodo de Dodo et Ben Radis?
LA meme Dodo, c'est une femme.

368. froggy - 15/06/18 17:11 - (en réponse à : Stefan)
Tu ecris tres bien sur Une histoire corse. Cela donne envie.

A propos, est-ce le meme Dodo de Dodo et Ben Radis?

367. stefan - 15/06/18 01:38
Une histoire Corse par Dodo et Glen Chapron, éditions Glénat.



Histoire d’amour impossible, enfants cachés, mafias, secrets de famille, terrorisme, indépendantisme, politique et omerta, une histoire Corse nous plonge, comme son nom l’indique en plein cœur de la Corse et de ses singularités. Le dessin impeccable de Glen Chapron nous fait voyager sur l’île de beauté, et donne corps à ce récit qui s’étend sur les 6 dernières décennies. Un récit qui semble parfois improbable et qui est pourtant inspiré de vies et de destins bien réels, de chemins tortueux dont la Corse a le secret.










366. froggy - 15/06/18 01:32
Cestac & Teule, Je voudrais me suicider mais j'ai pas le temps

Je ne sais plus pourquoi je n'ai pas achete cet album quand il est sorti en 2009. Voila donc un oubli supplementaire repare.

Le livre est une biographie de Charlie Schlingo, l'auteur meconnu de BD tout aussi meconnues si ce n'est plus. Je ne le connaissais que de nom comme la majorite des amateurs de BD car ses albums n'ont eu aucun succes. Les deux auteurs de cet album etaient parmi ses amis et ont eu l'idee de raconter sa vie en BD car le moins que l'on puisse dire est que le personnage etait en couleurs. Etait car il est decede tragiquement dans un accident domestique le 17 juin 2005 pour ceux qui ne le savaient pas.

Ne en 1955, le jeune Jean-Charles Ninduab a deja un patronyme de naissance qui est un gag en soi-meme. Tres jeune, il contracte la polio dont il gardera des sequelles physiques et mentales toute sa vie ainsi que le livre nous le raconte. Durant sa maladie, il est oblige de garder le lit et sa grand-mere lui offre des albums de bandes dessinees, c'est un virus d'un autre genre qu'il attrape donc, c'est decide, il fera des BD quand il sera plus grand. Cela n'ira pas sans mal car l'homme est devenu assez fantasque, et c'est un euphemisme.

Fidele a son style, Florence Cestac a dessine cet album facon gros nez que j'aime bien d'habitude mais pas dans ce cas la, son style a des limites et ici, elle les a atteintes et depassees. Je trouve, en effet, que son style se marie mal avec celui qui convient mieux a une biographie dessinee. Je ne demande pas un dessin ultra-realiste mais un minimum aurait ete de meilleur aloi. Le probleme est que cela accentue le cote comique du personnage principal et ce au detriment de son cote tragique car la vie de Charlie Schlingo est une veritable tragi-comedie selon les auteurs. Et le recit oscille constamment entre les deux, on y passe du rire aux larmes et inversement a une vitesse folle. Charlie Schlingo etait un personnage plus que pittoresque, tres excentrique qui ne pouvait pas plaire a tout le monde, surtout qu'il ne le demandait surtout pas.

Je voudrais me suicider mais je n'ai pas le temps nous revele ce qui se passe dans les bureaux du monde de la BD et nous apprend entre autres que le Professeur Choron, un des fondateurs de Charlie-Hebdo et d'Hara-Kiri n'etait pas toujours d'une honnetete scrupuleuse vis-a-vis de certains de ses auteurs dont il abusait des faiblesses et ne les remunerait pas toujours. C'est aussi le probleme que j'ai rencontre durant ma lecture lorsque Cestac croque les personnages aux visages plus connus que ceux de Schlingo, Choron donc mais aussi Wolinski sont a peine identifiables. Le cote comique ainsi exacerbe et volontairement bien sur du fait meme du style entache la credibilite de cette histoire. Est-ce que tout y est vrai? Car certaines choses que Schlingo aurait faites semblent difficiles a croire pour ceux qui le decouvrent seulement grace a cet album. Il en est ainsi d'avoir marche sur les mains de Paris a Argenteuil soit 12kms pour aller chez ses parents.

Il faut dire que l'autre probleme de l'album est le scenario de Jean Teule. Il reste superficiel ne s'attachant qu'aux frasques du personnage sans aller plus au fond. Le lecteur ne voit que la partie emergee de l'iceberg qu'est la vie de Schlingo quand evidememnt c'est celle immergee qui est la plus interessante considerant le personnage qu'il etait. Le recit est construit comme une suite d'anecdotes qui s'ajoutent les unes a la suite des autres de maniere chronologiques sans prendre le temps de gratter un peu plus et sans faire de pauses. On reste a la surface et a la fin on ne sait evidemment pas qui etait vraiment Charlie Schlingo. On n'en a qu'une vague idee et c'est bien dommage car le le personnage etait vraiment interessant.

Je vous mets en lien l'article d'Actuabd consacre a son deces et les reactions de ceux qui l'ont connu:

Deces de Charlie Schlingo

Note finale; 2,75/5. Une deception donc, j'attendais plus. C'est un album que j'aurais adore adorer grace a la personnalite du heros et qu'il parle des coulisses du petit monde de la BD. L'avantage est que maintenant, je vais aller voir ses ouvrages mais je ne sais pas si j'aimerais. On verra bien

365. stefan - 15/06/18 01:29
Feya tome 1 par Marc Lataste, éditions Vide Cocagne, collection Grand Souk.



Seconde Bande dessinée du label jeunesse « Grand Souk » de Vide Cocagne, Feya, adopte un ton très manga pour raconter les aventures d’une héroïne, dernière représentante de la race humaine dans un monde post apocalyptique et mystique, peuplé d’animaux et de créatures étranges. Un pur récit épique plein d’humour, de combats et de rebondissement pour cette histoire en deux parties qui met en place un univers riche et varié.








364. stefan - 15/06/18 01:15
Le chantier par Fabien Grolleau et Clément C. Fabre, éditions Marabulles.



Comme il l’explique au début du livre, avant de se lancer dans la BD, Fabien Grolleau a été architecte, grosso modo, le truc le plus « sérieux » qu’on peut faire quand on a envie de gagner sa vie en dessinant. Bien qu’il se soit assez vite rendu compte que ce qu’il voulait vraiment c’était raconter des histoires et qu’il ait assez vite changé de voie, Fabien a gardé une certaine tendresse pour ce métier d’architecte malgré ses galères.
C’est de ce métier qu’il avait envie de parler dans cet album. C’est ce qu’il fait ici, à travers l’expérience d’une jeune architecte dans un cabinet prestigieux à Barcelone, qui va mener de bout en bout un projet de maison individuelle pour une cliente passionnée et exigeante.



Si le but du livre est quand même de mettre en avant la beauté de ce métier, en suivant un projet qui va plutôt bien se passer, il nous laisse quand même entrevoir toutes les galères potentiels qu’un architecte va croiser sur sa route : Clients exigeant et lunatiques, collègues, jaloux, ouvriers peu consciencieux, artisans indociles, litiges, délais à tenir… viennent donner du piment à l’aventure et permet aussi au lecteur imaginatif d’envisager l’enfer que peut parfois devenir ce métier quand les choses tournent mal même si ce n’est pas le chemin que prend ce récit.
Pour raconter son histoire, avec légèreté et précision, Fabien Grolleau à trouvé en Clément C. Fabre un partenaire idéal, il livre une prestation parfaite qui met autant en valeur les construction que les humains qui les conçoivent.


363. stefan - 15/06/18 01:02
Jamais par Bruno Duhamel, éditions Bamboo, collection Grand angle.



Après le très ambitieux « Le Retour » Bruno Duhamel se lance ici dans quelque chose de plus léger. Normandie, un village imaginaire en bord de mer, Madeleine, une nonagénaire aveugle vit avec son chat dans sa maison au bord d’une falaise sur le point de s’effondrer. Le maire du village tente de la convaincre de déménager, mais Madeleine refuse de croire au danger.



Sur un ton léger, drôle et doux amer, Bruno Duhamel suit cette petite vieille attachante et aborde de nombreux sujets : la vieillesse, la solitude, le temps qui passe, le foyer, le déracinement, le handicap, le deuil, l’écologie, le changement climatique, la défiance vis-à-vis des autorités… oui, bien sûr, avec Bruno Duhamel, léger et moins ambitieux est bien loin de rimer avec complétement creux. (et son dessin franco-belge ultra détaillé est toujours aussi virtuose)


362. stefan - 15/06/18 00:51
Mon petit ponant par Nicoby, éditions Vide Cocagne, collection Soudain.



Mon Petit Ponant est un recueil de trois histoires :
– Ouessant (publié en 2010 aux éditions 6 pieds sous terre sous le titre «?à Ouessant dans les choux?», version en bichromie, couverture souple)
– Sein (inédit)
– Le paradoxe îlien (inédit).



Invité en résidence sur l’île d’Ouessant puis sur l’ile de Sein, Nicoby avec son humour caustique et son sens de l’auto dérision nous décrit ces lieux un peu en dehors du temps, à la fois si proche et si éloignés où la société de consommation peine à étendre son emprise. C’est à la fois drôle, poétique, instructif, agréable à lire et riche en matière à réflexion.



361. stefan - 15/06/18 00:36
Féministes Collectif, éditions Vide Cocagne.



Qu’est-ce qu’être féministe ? 16 autrices, 16 réponses différentes. Une fois n’est pas coutumes, avec ce livre dont la gestation a commencé il y a plus de deux ans, les éditions Vide Cocagne se retrouvent à la pointe de l’actualité. La plus grande réussite de ce livre est peut-être, dans ce milieu très masculin qu’est la bande dessinée française, de présenter 16 récit aboutis, maitrisés, aussi bien d’un point de vu graphique que d’un point de vu narratif. 16 styles différents et éloignés des clichés d’une pseudo BD féminine. Il y a là quelques récits engagés, quelques récits didactiques, quelques récits humoristiques et franchement drôles, quelques témoignages sincères et touchant. Le livre évite l’agressivité gratuite ou le misérabilisme, il met juste en évidence de façon claire et simple certaines injustices qui existent encore aujourd’hui quand on est une femme et montre que contrairement à ce que certains voudraient faire croire, être féministe aujourd’hui a encore, malheureusement un sens.
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360. froggy - 14/06/18 01:32
Tyler Cross 3, Miami

Cette fois ci, le tueur est implique dans une operation immobiliere bien pourrie bien sur qui a lieu en Floride et dans laquelle la mafia joue un role important. Bien entendu, qui dit immobilier dit politicards achetes, flics plus ou moins honnetes etc. C'est donc dans un nouveau panier de crabes que Tyler est plnge, et un panier a prendre aussi bien au sens propre qu'a celui figure. Inutile de dire que tout le monde n'en sortira pas vivant et que mourir dans son lit est un luxe qui n'est pas offert a tous dans le monde impitoyable de Tyler Cross.

La serie s'est immediatement inscrite dans le genre noir des son premier album et elle ne devie pas de cet axe. Nury ecrit des scenarios tres references, on est bien sur du cote de chez Hammett et Chandler et pas du tout de celui d'Agatha Christie a part le cote whodunit chere a la romanciere ou on ne trouve le coupable qu'a la fin, en l'occurrence, celui qui tire les marrons du feu et/ou tire les ficelles. Ceci mis a part, je pense que Nury a ecrit ici son meilleur Tyler Cross. L'intrique n'est certes pas tres originale, elle ne l'est pas du tout pour l'ecrire crument, elle est cependant tres bien menee et tres bien developpee. Le chapitrage donne un bon rythme a l'ensemble et l'action ne faiblit pas. Il n'y a quasiment aucun temps mort, l'attention du lecteur est maintenue de la premiere a la derniere page.

J'aime beaucoup le dessin de Bruno. Son stle est tres efficace entre stylisation extreme, le profil cabosse du visage de Tyler Cross, ses yeux de felins sur un visage cache dans l'obscurite, yeux qui donnent l'impression qu'il porte un masque tel Le Fantome, le heros de Lee Falk, est-ce un hommage de la part du dessinateur allemand? J'aime particulierement ces cases qui accentuent le fait que l'homme est tres dangereux et n'est enclin a aucune pitie. A l'inverse, le dessin peut etre aussi tres precis, certains personnages importants dans cette histoire sont bien detailles, le promoteur, sa secretaire et assistante. Il en est de meme pour les decors. Souvent, lors de ma lecture, son dessin m'a fait penser a celui de Berthet grace au traitement des ombres, a certains rendus des visages, a certains effets graphiques mais un Berthet qui serait beaucoup plus sensuel. C'est le cas des femmes de Bruno qui ont des levres charnues alors que chez Berthet les femmes sont souvent froides comme des icebergs. pour en revenir a Bruno, je trouve ce melange de stylisation et de precision particulierement harmonieux et donne plus d'impact a certaines scenes, notamment celles de violence.

Note finale, 4,25/5. J'ai sincerement beaucoup aime cet album. Il est franchement excellent. J'espere que les suivants seront de la meme eau.

359. herve - 13/06/18 22:13
Male Call Club Emilio Van Der Zuiden

J'ai découvert cet art-book presque par hasard. La couverture m'intriguait et le nom à rallonge de l'auteur me disait quelque chose. Ah, oui! il s'agissait bien du dessinateur des deux premiers volumes de "les enquêtes auto de Margot", ouvrages qui rendaient hommage à la ligne claire et que j'avais beaucoup apprécié pour son côté "vintage".
Grand amateur de Pin Up, j'en collectionne les livres de Romain Hugault, à Sébastien Pernet, sans oublier Félix Meynet (avec son art-book "From Paris with love")
Ici Van Der Zuiden nous offre tout l'étendue de son talent dans plusieurs domaines: des hommages à Frank Miller, à Forest, aux affiches publicitaires, en passant aux projets non aboutis comme Mata Hari, ses dessins sont magnifiques. Avec comme point commun,sa vision de la femme, sensuelle, bien en chair, à la poitrine généreuse, bref Emilio Van Der Zuiden nous donne sa propre vision de la pin-up, sans aucune vulgarité, même si 2 ou 3 pages flirtent avec le sado-masochisme.
En parcourant ce livre, j'ai la furieuse envie de découvrir une de ses séries, que je n'avais pas vu passé à l'époque, "Mc Queen"

Un très bel ouvrage à contempler sans modération.

note:4/5

358. suzix@bdp - 13/06/18 15:05
je lis rien en ce moment. J'interviens même peu ici c'est dire si j'ai la tête à autre chose, même pendant mes "pauses Milka" ...

357. marcel - 13/06/18 14:59
Suzy : Ah, sorry, j'ai pas fait gaffe.
Tu l'as pas encore lu, j'imagine ?...

356. marcel - 13/06/18 14:57
Pour l'instant, j'ai lu que les deux premiers épisodes US d'Oblivion, et je me fais chier severe.

355. marcel - 13/06/18 14:55
3) On peut vraiment considérer les deux premiers tomes comme de l'exposition, ça passe carrément à la vitesse supérieure à partir du 3 et du 4
4) Ces albums 3 et 4 lancent aussi des incursions dans l'univers étendu (cf l'histoire de la nonne, hyper bien racontée au passage) et ça donne une autre ampleur à la série


Ah ben ca me rassure, alors.

7) Oui ça a des relents d'écriture de série TV actuelle, mais n'est-ce pas l'écriture comics qui a inspirée au départ les scénaristes de séries TV ?

Ah mais je suis carrément d'accord sur ce point.

354. bert74 - 13/06/18 12:14



353. bert74 - 13/06/18 12:08 - (en réponse à : Danyel)
Mais dans le genre décevant, Jupiter's Legacy n'est pas mal non plus. Là encore, le dessin rehausse l'ensemble.

Plus mesurément je dirais que le deuxième tome, avec sa construction plus classique et basique, refroidit un peu après les promesses du 1er tome et sa déconstruction narrative voulue et maîtrisée.
Après ça m'étonne pas que tu apprécies le dessin : jamais Quitely n'a autant assumé son penchant Moebiusien, en particulier dans ce deuxième tome...

352. bert74 - 13/06/18 12:02
Alors pour Lazarus :
1) Oui, le dessin de Lark est excellent
2) Le scénar de Rucka est aux petits oignons et à apprécier sur le long cours
3) On peut vraiment considérer les deux premiers tomes comme de l'exposition, ça passe carrément à la vitesse supérieure à partir du 3 et du 4
4) Ces albums 3 et 4 lancent aussi des incursions dans l'univers étendu (cf l'histoire de la nonne, hyper bien racontée au passage) et ça donne une autre ampleur à la série
5) T'inquiète: les cliffhangers et autres twists arrivent à profusion
6) Il y a notamment un twist scénaristique de toute beauté en fin du tome 4 qui présente une profondeur insoupçonnée en première lecture
7) Oui ça a des relents d'écriture de série TV actuelle, mais n'est-ce pas l'écriture comics qui a inspirée au départ les scénaristes de séries TV ? C'est pas parce que c'est de la très bonne BD qu'il faut voir ça comme un potentiel pour autre chose.
8) L'univers étendu a sa propre série (x+66) et vient enfin de sortir en VF (pas encore acheté) : il y a du matériel, quoi ! Miam !

PS : concernant les BD qui tendent vers une "écriture de série TV", à mon sens il faut distinguer celles qui sont si bien écrites qu'elles peuvent aisément y faire penser (scénario et univers solides, multiplication des personnages, qualité des dialogues, maîtrise du fil rouge,... Type Lazarus), de celle qui visiblement sont écrites à la va-vite en pensant faire comme-si et visant plus l'adaptation que le lecteur de comics (type le très décevant Oblivion)



 


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