Tchiii-tchaaa: du pop corn caramel dans le Gesamtkunstwerk .

Les 1501 commentaires sont triés des plus récents aux plus anciens .



901. pierrecédric - 18/01/17 10:02
Euh ouiiiiiiiiiiiiiiiii.
Je ne te comprends pas des masses là.

900. froggy - 18/01/17 07:46 - (en réponse à : pc)
La colline des bottes? En 69?

Tu veux me faire mourir de rire, c'est bien cela?

899. pierrecédric - 17/01/17 22:53
Je ne sais pas ce que donne la réplique originale de Terence Hill (en Italien) mais celle que donne Jacques Thébault en français est excellente, la fameuse réplique:
Y'a que le pantalon.
^^

898. Victor Hugo - 17/01/17 22:40
Bud spencer était dans Quatre mouches de velours gris de Dario Argento, son 3ème de la trilogie animale après L'Oiseau au plumage de cristal et Le Chat à neuf queues. Film que je vous conseille pour Jean-Pierre Marielle en flic italien.

897. pierrecédric - 17/01/17 21:05
Ah, faut le prendre au second degré, oui bon...
J'ai trop souvent tendance à le prendre trop au sérieux ce dommage que.

896. stefan - 17/01/17 21:01
Non, pas un argument. Une petite pique taquine. Faut pas prendre ça au sérieux.

895. pierrecédric - 17/01/17 21:00
Bon, moi aussi j'utilise le "dommage que" pour autres choses...

894. pierrecédric - 17/01/17 20:54
Superbe argument...

893. Stefan - 17/01/17 19:54
Dommage qu'ils aient jamais fait de comédie musicale.

892. pierrecédric - 17/01/17 18:59
Scène mémorable:^^

891. pierrecédric - 17/01/17 18:03
Raoul Delfosse dans Salut l'ami adieu le trésor, ça ne valait pas Claude Bertrand (super doubleur franchement) mais on faisait avec.

890. pierrecédric - 17/01/17 17:17
En vieillissant il a assez changé physiquement mais on reconnait quand même le gars.
Ils en ont fait 17 ensemble:
1994 : Petit papa baston
1985 : Les Super-flics de Miami
1984 : Attention les dégâts !
1983 : Quand faut y aller, faut y aller !
1981 : Salut l'ami, Adieu le trésor
1979 : Cul et chemise
1978 : Pair et Impair
1976 : Deux super-flics
1974 : Les Deux missionaires
1974 : Attention, on va se fâcher !
1972 : Maintenant on l'appelle Plata
1971 : On continue à l'appeler Trinita
1971 : On l'appelle Trinita
1970 : Le corsaire noir / Deux loustics en bordée
1969 : La colline des bottes
1968 : Les 4 de l'Ave Maria
1967 : Dieu pardonne... moi pas !

Les deux/trois derniers (années 80/90) ne sont pas les meilleurs mais ça restait assez amusant.^^

889. froggy - 17/01/17 17:10
J'ai du voir 2 films du tandem Terence Hill/Bud Spencer dans les annees 70 au cinema en bas de chez moi un samedi soir quand il n'y avait rien d'autres et traine par les copains, c'est te dire les circonstances.

Ce qui fait que la derniere fois que je l'ai vu, il ressemblait a ca:

Image result for photos de bud spencer

Plus du tout la meme chose!

888. pierrecédric - 17/01/17 10:20 - (en réponse à : froggy)
Le comparse de Terence Hill, Bud Spencer (Carlo Pedersoli), je suis un tout petit chouïa étonné que tu ne le reconnaisse pas.

887. nem° - 17/01/17 01:16
Blockbuster a été inventé suite aux Dents de la mer de Spielberg, succès inattendu à l'époque. Je viens de faire un tour sur la Wikipedia, et je me rends compte que ça fait plus de vingt ans qu'Hollywood fait de la merde, les grands films se comptant sur les dix doigts. Je classe les indés à part.

886. froggy - 17/01/17 01:04 - (en réponse à : pierrecedric post #870)
Qui est-ce? Ou plutot qui etait-ce?

885. froggy - 17/01/17 00:46
Je ne sais pas quand le terme "blockbuster" a ete utilise pour la premiere fois. mais de films tels que Blanche-Neige et les 7 nains (1937). Autant en emporte le vent (1939), Les 10 Commandements (1956), Ben-Hur (1959), Psychose (1960), La melodie du bonheur (1965), Docteur Jivago (1965), Le laureat (1967) furent tous des enormes succes commerciaux quand ils sont sortis. Ce qui est amusant, c'est que ce sont tous des films qui restent dans les memoires et certains sont des chefs d'oeuvre. De nos jours, qu'en est-ils des films calibres et concus pour etre des blockbusters? Qui s'en souvient 2 jours apres en avoir un?

884. nem° - 16/01/17 23:21
Je serais con pas descendant alors puisque je vais voir les films SW ou Marvel! Non mais je dis pas que c'est con, gras oui, un peu, mais comment te dire? C'est le genre qui veut ça. SW c'est du space-opéra, de l'aventure de l'espace. Les superhéros c'est des gens costumés qui se tapent dessus. Donc c'est pas que c'est pas du cinéma, c'est du genre. Ta réflexion revient à critiquer les films policiers parce qu'il y trop de coups de feu, ou les drames parce que les couples s'y déchirent et c'est triste.
Critique le genre, c'est ton droit, mais ne décrète pas que c'est pas du ciné parce que t'aimes pas!

883. Philhary - 16/01/17 22:31 - (en réponse à : nem°)
Ben non, Les Dents de la mer, Inception, Starship Troopers, Mad Max : Fury Road, Aliens ou Une journée en enfer, ce n'est pas juste du "gros cinoche qui tache", il y a des réalisateurs doués derrière, des auteurs donc, qui ont du style et de l'ambition, qu'on les apprécie ou pas, et ce sont des blockbusters.
Rien à voir avec les films de commande que sont les productions Marvel.
Et précisément je dis que les Star Wars de Lucas sont l'oeuvre d'un auteur, ceux de Disney le produit d'une multinationale. Ça n'est donc pas dans la "nature" d'un blockbuster de n'être pas artistique. Encore cette opposition binaire art/commerce. C'est plus compliqué que ça, surtout dans le cinéma américain.

Vraiment étrange cette idée selon laquelle un film à grand spectacle devrait forcément être con ou gras. Et Kubrick , c'était pas du grand spectacle ? Et John Ford ? Et Chantons sous la pluie ? Et Metropolis ? Et Chaplin ?

Et je ne comprends pas. Tu me dis que c'est être pédant de décréter que certains blockbusters ne sont pas du cinéma, mais tu ajoutes que c'est "du gros cinoche qui tache", de la "kermesse", que c'est "pas du Mozart" et que c'est leur nature. Tu es bien plus condescendant que moi !


882. nem° - 16/01/17 22:05
D'ailleurs je trouve un peu vain de se chamailler sur la qualité relative des blockbusters. Ce sont des blockbusters, c'est du gros cinoche qui tache, c'est fait pour ça, c'est ce qu'aime le public. Reprocher à ces films de ne pas ètre assez artistique, ce serait comme reprocher à Lynch de faire des films étranges. C'est la nature de ses films. Si t'aimes pas Star Wars ou Marvel, libre à toi, personne te force à les voir. Décréter que c'est pas du ciné, je trouve ça arrogant, voire pédant. Mais surtout à coté de la plaque. Quand tu vas à la kermesse, tu rales pas parce qu'on passe pas du Mozart.

881. nem° - 16/01/17 21:57
Bay est clairement un auteur. Un mauvais auteur.

880. Philhary - 16/01/17 20:37
Tiens, un parfait exemple, extrême je le reconnais, de vendeur de jouets qui a pourtant un style propre : Michael Bay. Je trouve ses films insupportables, mais si être un auteur c'est imprimer sa personnalité dans son oeuvre, alors c'est un auteur. En tout cas l'argumentaire de cette vidéo me convainc. Et encore, on ne parle que de réalisation, Bay n'écrit pas ses films, contrairement à Lucas :



879. Philhary - 16/01/17 20:25 - (en réponse à : Kikôm)
Je ne trolle pas du tout. Etre un auteur et être cynique ne me paraît pas incompatible, sauf à verser dans une version romantique de l'artiste pur.

Gare à l'illusion rétrospective : ne jamais oublier que le premier Star Wars était un pari risqué pour le studio. Lucas a demandé à toucher de l'argent sur les produits dérivés parce qu'en échange il avait renoncé à une partie de ses profits sur les entrées. La Fox pensait donc que le contrat était largement à son avantage. Lucas a ensuite créé sa société et financé lui-même le deuxième film.
Qu'il ait ensuite tiré tout le profit qu'il pouvait de cette oeuvre ne change rien à l'affaire.

J'oserais presque dire qu'avec Star Wars Lucas a opéré ce que Bourdieu appelait une révolution symbolique : une révolution qui a si bien réussi qu'elle a produit les schémas à travers laquelle nous la percevons. Autrement dit, ce qui était neuf a si bien triomphé que nous ne savons plus voir où était la nouveauté, que nous nous figurons la révolution comme une évidence, une nécessité.
Or, si manifestement le premier Star Wars a provoqué une telle sidération chez les spectateurs qui l'ont vu, et une sidération si durable, c'est bien qu'il y avait là du jamais-vu, et ce jamais-vu, il a bien fallu la force d'un créateur pour l'imposer.

La prélogie porte la patte de Lucas, pas celle d'une multinationale. Je pense même que c'est pour ça que c'est si mauvais. Rogue One c'est insipide, on sent le conseil d'administration derrière le film, la prélogie est carrément gênante, parce qu'il y a un type aux commandes à qui personne n'a eu le courage de dire qu'il n'avait peut-être pas que des bonnes idées. Il a écrit et réalisé ces films, et a même attendu pour le faire que les technologies nécessaires soient suffisamment avancées pour développer ce qu'il avait en tête.

Je ne pense pas que l'opposition entre auteur intègre et habile businessman soit (toujours) très pertinente. Personne ne nie que Coppola est un auteur, et que Le Parrain est son, ou l'un de ses, chef-d'oeuvre. Eh bien Le Parrain est adapté d'un best-seller contemporain, sur un sujet racoleur, a bénéficié d'un gros budget et d'une distribution massive sur un grand nombre d'écrans dès sa sortie, contrairement à ce qui était en usage au début des années 70 (la sortie d'un film était échelonnée en trois temps). Le Parrain est considéré comme étant le premier blockbuster de l'histoire du cinéma, avant Les Dents de la mer.
Coppola -Lucas, même combat : se battre pour réaliser un film qui corresponde à son ambition, savoir en tirer profit ensuite. De toute façon, pour faire du grand spectacle, il faut bien trouver de l'argent quelque part. Mais je trouverais curieux qu'on dénie à ces réalisateurs de cinéma à grand spectacle - James Cameron, Steven Spielberg, George Miller (encore que lui, il est plus pur), Christopher Nolan - le qualificatif d'auteur : ils ont leur style, leurs thèmes, leurs obsessions; ils savent aussi faire du business.
(Spielberg aurait dit à Shia LaBeouf, l'acteur des Transformers, qu'il produit : "Il y a un temps pour l'art et un temps pour vendre des voitures." Ça résume bien les choses. Je ne dis pas que ça me réjouisse hein...)






878. Kikôm - 16/01/17 18:59
il a imposé sa vision, sa vision était ridicule, mais c'était la sienne. Ce sont des navets, mais pas des bidons de lessive. Ça reste du cinéma en quelque sorte, du mauvais cinéma, mais pas un produit d'usine

Attend.. tu parles bien de Lucas là? De George Lucas? Le mec qui le 1er a eu l'idée révolutionnaire d'indexer la quasi intégralité du contenu de ses films sur le merchandising qui en était tiré en quantité industrielle et inauguré la dégénérescence du cinéma en pharaonique espace publicitaire pour des jouets, des peluches et des slips dark vador?
Rassure moi, tu trolls là..

877. Philhary - 16/01/17 18:44 - (en réponse à : nem° / Disney)
Ah ah ! J'avoue avoir forcé le trait sur la conclusion. D'ailleurs j'aime bien les films d'animation Disney en général (Zootopie par exemple).

Mais leur Marvel et leur Star Wars, ce n'est pas possible, ça sent la mort. Doctor Strange par exemple : chouette personnage, chouette casting, mais qu'est-ce que le film est balisé, prévisible, sans saveur ! Et c'est pourtant le haut du panier des productions Marvel.
Quand on a vu un film Marvel, même s'il n'était pas déplaisant, on n'a plus jamais envie de le revoir (amha évidemment). On sait aussi que de toute façon on retrouvera la même formule dans un autre film de la franchise. Ce n'est pas du cinéma.

876. Philhary - 16/01/17 18:39 - (en réponse à : nem°)
Ouaip, pas exclu que ça devienne une série d'ailleurs.

Je parlais de David Fincher, il prépare justement une série pour Netflix (sur des flics qui traquent des tueurs en série), de même que Refn (un polar apparemment, pour Canal +), et les frères Coen aussi.
Steven Soderbergh a réalisé l'excellent The Knick, David Lynch revient cette année avec une troisième saison de Twin Peaks, Jane Campion avec Top of the lake... C'est à la télévision que ça se passe.

875. nem° - 16/01/17 18:36 - (en réponse à : Philhary)
Disney, c'est le mal.

C'est ballot, t'avais un bon argumentaire là, et pis paf, la conclusion digne d'un ado en crise.

874. nem° - 16/01/17 16:26
Ils devraient faire des séries, c'est devenu bcp trop compliqué les films. C'est plus prestigieux, mais limite infaisable pour certains projets.

873. Philhary - 16/01/17 15:25
Denis Villeneuve veut adapter Dune, et Nicolas Winding Refn veut adapter L'Incal. Ça m'intéresserait plus de voir ça. (David Fincher, hélas, a abandonné son projet d'adapter Rendez-vous avec Rama.)

872. Philhary - 16/01/17 15:20 - (en réponse à : Kikôm)
Malgré la prise au piège de ses propres codes et l'écrasant cahier des charges, Abraams (et ses comédiens surtout) avait su tirer ses marrons du feu, jusqu'à commenter la situation dans laquelle se trouve SW, sans pour autant flinguer l'aspect de conte et le 1er degré du film.

J'ai l'impression que l'aspect méta t'a tellement plu qu'il a embelli ta vision globale du film. Parce que passé un prologue plutôt sympathique et bien filmé, à partir de la scène d'apparition d'Han Solo, le film part complètement en torche et n'en finit plus de chuter. Difficile d'adhérer au conte quand le conteur se contente d'envoyer des signaux de reconnaissance à son public en lieu et place d'une intrigue un tant soit peu soignée. (Un simili-Yoda, une simili-Etoile noire, des blagues sur la Force, Han Solo qui fait coucou au spectateur... c'est pratique le méta, ça permet d'empiler des scènes dont la seule cohérence sera assurée par la connivence d'un spectateur déjà conquis par la marque).

Je reviens sur ce que tu disais plus bas, à quoi je n'ai pas répondu :
Je pense effectivement que ses personnages/scénarios/mis en scène sont médiocres ou quelconques. Ses qualités sont tout autres. C'est une fabrique à icône plutôt, faite de trouvailles visuelles et sonores ingénieuses, parfois géniales. Typiquement, dans la trilogie originale, Dark Vador n'est pas un personnage, mais le design d'un costume, d'un casque, une voix, un bruit de machine. Et en définitive, c'est Williams qui enrobe tout ça et l'empêche de tomber en petits morceaux. Franchement sans sa musique, SW ressemble plus à grand chose..

Le design d'un costume, qui donne des informations implicites sur un personnage, fait partie de l'écriture d'un film, de même que le design sonore. Et les trouvailles visuelles font aussi partie de la mise en scène.
Où sont-elles les trouvailles visuelles dans le film d'Abrams ? Où est-il le sentiment de découverte, de sidération, de merveilleux, que devrait typiquement procurer ce genre de film ?
Je vais m'arrêter là, avant de radoter pour de bon (parce qu'en plus, à la base, Star Wars m'indiffère un peu), mais vraiment, dire que la trilogie originale est mal écrite, pour ensuite faire l'éloge de la version indigente d'Abrams, qui n'existe que comme parasite de l'original, ça dépasse l'entendement pour moi. Et puis même en terme de mise en scène, Abrams c'est vraiment pas la joie.

Et George Lucas est, de fait, un auteur. Cynique, sans doute, mais Star Wars c'était son bébé. C'est sans doute pour cela que la prélogie est aussi nimpesque d'ailleurs : il a imposé sa vision, sa vision était ridicule, mais c'était la sienne. Ce sont des navets, mais pas des bidons de lessive. Ça reste du cinéma en quelque sorte, du mauvais cinéma, mais pas un produit d'usine comme le sont les Star Wars et les Marvel de Disney.

Disney, c'est le mal.

871. Kikôm - 16/01/17 13:24 - (en réponse à : froggy)
Anti TFA, quesaco?

L'épisode 7 de Star Wars "The Force Awaken", la Force se réveille, a la tête dans le cul, se lève, prend du lait bleu demi-écrémé avec son muesli d'Alderaan, etc.

870. pierrecédric - 16/01/17 10:21
Une petite pensé pour ce gars mort il y a quelques mois,*snif:

869. TILLIERTON - 16/01/17 01:16 - (en réponse à : Froggy)
Arrête avec tes clins d'œil à ton Laurent

868. Kikôm - 16/01/17 00:35 - (en réponse à : Anazgul Skywalker)
Sinon c'est quoi le délire avec Dark Vador? Il fait de la thalasso au Mordor maintenant?

867. Kikôm - 16/01/17 00:32
Nan mais ce qui est navrant dans le fond c'est pas le fan service systématisé, c'est l'absence complète de chaire et d'âme. Malgré la prise au piège de ses propres codes et l'écrasant cahier des charges, Abraams (et ses comédiens surtout) avait su tirer ses marrons du feu, jusqu'à commenter la situation dans laquelle se trouve SW, sans pour autant flinguer l'aspect de conte et le 1er degré du film. Possible que ça n'ait été qu'un coup de bol en fait. Je suis inquiet!

866. froggy - 16/01/17 00:27
Laurent; je ne connaissais pas l'exidtence de ce livre. Merci du tuyau.

Kikom; Alors Rogue One: effectivement, c'est l'anti TFA.. Anti TFA, quesaco?

865. nem° - 16/01/17 00:16 - (en réponse à : kiki)
En mème temps c'est juste un side movie. Tu l'auras pour Noël prochain ton vrai Star Wars.

864. Kikôm - 16/01/17 00:01
Entre les clins d'oeil combinés à la trilogie originale, aux prequels, à Clone War et à Rebels, y'a pas une seule scène sans fan service. Jusqu'à saturation. Comme s'il fallait à tout prix compenser l'absence de jedi.

863. marcel - 15/01/17 23:32
il n'y a pas une scène sans une référence, un easter egg, un clin d'oeil, de manière beaucoup plus envahissante et mécanique que dans l'ep 7.
Sérieux ?... On a pas vu le meme film. C'est exactement le contraire.

862. Kikôm - 15/01/17 22:27
Alors Rogue One: effectivement, c'est l'anti TFA. Assez lamentable. Produit industriel, intégralement désigné en usine aseptisée, sans coeur, sans le supplément d'âme qui faisait l'émotion et l'intérêt du film d'Abrams. Acteurs consternants. Le scénar.. non mais c'est une blague. (il y en a sérieusement qui arrive à affirmer qu'il s'agit là d'une histoire euh.. originale? Z'avez pas un peu les genoux qui tremblent quand même?) Mise en scène atroce. Il n'y a pas UN SEUL plan de plus de 2,5 secondes, ça m'a tellement obsédé que je me suis mis à compter les secondes de tous les plans jusqu'à la fin, pendant 2h15! L'enfer. Même la musique est insipide, et il n'y a pas une scène sans une référence, un easter egg, un clin d'oeil, de manière beaucoup plus envahissante et mécanique que dans l'ep 7. Comme il n'y rien à regarder dans le film lui-même, ça devient assez vite insupportable.

Gel gachis. Surtout avec les belles idées visuelles de décors qu'ils ont eu. L'étoile de la mort dans un ciel azur, les AT-AT se vautrant sur des atolls paradisiaques c'était bien vu. Même si ça sent un peu le comité de set designers et d'execs en cravate armé de velleda qui bossent à 30 sur un tableau blanc. Mais la mise en scène est tellement pitoyable, il n'en reste rien, de toute façon.

En gros Rogue One c'est des acteurs qui n'en ont rien à branler de leurs personnages, un réalisateur qui n'a rien à branler de ses acteurs, de son histoire et de ses décors. Pure machine à fric enrobée dans du sous-williams de supermarché. Un contrat juteux exécutés par une bande de mercenaires cachetonnant sans honte pour l'Empire du Rat. La force s'est rendormie d'un coup là.

861. Victor Hugo - 15/01/17 21:45
Pour ceux qui ont aimé Kate Bush dans Babooshka, encore plus fort, Salma Hayek dans Une nuit en Enfer!


860. Victor Hugo - 15/01/17 20:49
Je ne la trouve pas orwellienne l'affiche française, mais très moche (ça me fait plus penser à Little Nemo ce lit).

Je sais pour les aleas de ce film à l'époque.
Tu as lu l'autobiographie « Gilliamesque » sortie récemment? Bon bouquin, drôle, instructif et plein de documents inédits.

859. froggy - 15/01/17 19:59 - (en réponse à : Laurent)
La francaise met l'accent sur le cote orwellien du film alors que 'americaine appuie sur l'aspect du reve dans le film, elle est plus optimiste.

Je ne sais pas si tu sais mais aux USA, le film avait ete completement remontre contre l'avis de Terry Gilliam par les pontes de la Universal, distributeur du film ici. C'est un film completement different, 50mn plus court et avec un happy end que les spectateurs ont vu ici. Si on s'interesse a la question de l'importance du montage dans la fabrication d'un film, ce film est un remarquable exemple. La version officielle (le director's cut en bon francais) a ete distribuee seulement plus de 15 ans apres dans quelques salles de repertoire dans les grandes villes. Cependant, on le trouve ici dans un superbe coffret Criterion avec 3 DVD, le premier est la version officielle du film, celle que j'ai vue en France a sa sortie, le deuxieme contient un documentaire sur la bataille de Brazil, et c'etait une bataille duraille et enfin le troisieme DVD a la version americaine et optimiste qui permet de voir la difference. Je ne sais pas si un tel coffret existe en France.

858. Victor Hugo - 15/01/17 19:08
Pour moi l'américaine.

Un bel aperçu des trouvailles et de l'esthétique du film.


857. nem° - 15/01/17 19:05

856. froggy - 15/01/17 18:46
C'est ce que j'ecrivais dans mon post disparu sur le film, il y a plus d'imagination et de creativite dans les 5 premieres minutes de Brazil que dans tous les films Marvel reunis, passes, presents et a venir.

A propos, quelle affiche preferez-vous? La francaise? Que voici:

Image result for affiche francaise du film brazil

Ou l'americaine? Que voila:

Brazil (1985 film) poster.jpg

Pour moi, c'est la francaise.

855. nem° - 15/01/17 18:16

854. Victor Hugo - 15/01/17 16:14

853. marcel - 15/01/17 14:57
Ah ! Ca y est, j'ai enfin compris pourquoi je ne me souvenais pas de Kate Bush ! En fait, elle chante Brazil, tout simplement. Il me semblait bien que la seule chanson du film etait celle-ci, mais j'ignorais que c'est elle qui chantait !

852. lobabu - 15/01/17 09:47

Non, mais je savais que çà

 photo ET_zpssmeglnut.jpg

venait de ça, hin, hin...

 photo La cration dAdam - Michel-Ange_zps1gunl7jl.png



 


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