Discussion avec Luc Brunschwig ...

Les 301 commentaires sont triés des plus récents aux plus anciens .



251. dalexandre - 18/04/13 12:26 - (en réponse à : luc)
Ah ben chuis bien content de pas être complètement gâteux et d'avoir repéré ZE référence!

Me voilà tout ragaillardi pour la journée!

Je dis youpi!

250. froggy - 17/04/13 22:28
Je suis partage entre mon impatience de le lire car j'ai vraiment envie de savoir ce que Luc Brunschwig a imagine pour conclure la serie et de retarder sa lecture au maximum parce que justement c'est et ce sera le dernier et qu'il n'y en aura plus jamais de nouveau.

Cruel dilemme!

De toutes facons, on doit me l'amener ici sous quinzaine en principe. Je me demande combien de temps je tiendrai quand je l'aurai sous la main.

249. luc Brunschwig - 17/04/13 18:17 - (en réponse à : Dalexandre)
Peut-être pas une coïncidence, oui ;-))) Je l'avais sous le coude au moment de l'écrire.

248. dalexandre - 17/04/13 10:25
Je rejoins l'avis général de M Degryse sur ce dernier album de Lloyd Singer.

J'ai apprécié d'être mené progressivement vers un drame familial alors que la série présageait tout autre chose à ses débuts. Un détournement intéressant pour une bd qui aurait pu sembler être du simple mainstream au premier abord et qui s'est révélée être bien plus complexe.

Je déplore certains défauts de dessin d'Olivier Martin, et plus particulièrement les expressions des visages, comme dans cette scène de strangulation où les traits du tueur ont plus en rapport avec une gargouille de Notre-Dame qu'avec un homme pris de folie. Le côté grotesque est trop accentué à mon goût. Dommage, cela nuit un peu à ce point pivot de l'histoire. Pour le reste, Olivier Martin s'en sort de manière très honorable. Il pâtit essentiellement de la comparaison avec les premiers tomes.

J'ai été agréablement surpris par ce final, même s'il lui manque une coda, une ultime respiration avec ne serait-ce qu'un flash forward sur les évolutions des divers membres de la famille Singer.

Et enfin, j'ai beaucoup aimé le traitement du twist central de l'intrigue. *SPOILER* Je ne sais pas si c'était intentionnel, mais le montage de cette scène m'a fait penser à celui de la réalisation par Laurie de l'identité de son père dans "Watchmen", lors de la fameuse séquence sur Mars. Alors, hommage conscient ou inconscient? *SPOILER*

247. Mr Degryse - 17/04/13 10:04
Acheté, lu dans la foulée et grandement apprécié la fin du cycle 3 et malheureusement dernier album de la série Lloyd Singer.

Je persiste à dire que c'est une grande perte pour l'amateur de bd que l'arrêt de cette série. Ici, Mr Brunschwig conclue brillamment la psychanalyse de la famille Singer entreprise dans le volume 7. Pas par des séances chez le psy cette fois çi mais par la confrontation au tueur en série apparu dans le tome 1 qui va faire réapparaitre de nombreux traumatismes enfouis dans l'inconscient de la famille Singer. Encore une fois si vous n'aimez pas l'art narratif de Brunschwig fait de multiples aller retour dans le temps sans que le passage d'une époque à l'autre soit toujours clairement identifiable alors passez votre chemin. C'est incroyablement fluide et maitrisé. Tout semble avoir été écrit au cours des autres cycles pour en arriver là. Et pourtant qui aurait deviné à la fin de la lecture du cycle 1 qu'on arriverait au cycle 3 à la psychanalyse d'un drame familiale. Très fort. J'apprécie aussi grandement la vision pessimiste que Brunschwig a des héros masqués. Des héros traumatisés laissant exploser leur colère refoulée comme un exutoire quand il endosse leur identité sécrète. C'est marrant d'ailleurs car c'est aussi une thématique qui ressortait de ma lecture précédente Codeflesh de Adlard et Casey.

Passons aux quelques défauts car la critique est plus aisée et parfois constructrice que les louanges :

- Même si Olivier Martin se sort plutôt bien du dur exercice de reprendre des personnages et une série qu'il n' a pas créer, je lui réitère les mêmes reproches déjà fait au tome précédent : les personnages ont des visages qui varient trop d'une case à l'autre. Pas facile de toujours se repérer.

- On est parfois à la frontière du too much dans les malheurs qui s'abattent sur la famille Singer. C'est pas possible que des gans est tant la poisse. Même la famille Ingalls dans la petite maison dans la prairie parait plus chanceuses que les Singer.

- Très bon final de cycle mais ce n'est pas un final de série selon moi. C'est peut être pas plus mal, cela laisse aux lecteurs le loisir d'imaginer la suite des événements de la famille Singer mais dans l'état, c'est la frustration qui prédomine. On a appris à l'aimer cette famille et on aimerait encore avoir de ses nouvelles. Chers éditeurs, on compte sur vous........

- Petite question perso : j'espère que tous ces traumatismes familiaux sont une invention de votre part et non pas une projection de votre vécu. Si dans toute oeuvre de fiction se trouve une part de l'auteur alors je vous plains. La vision des parents est très dure. D'ailleurs essentiellement les mamas juives. La grand mère et la mère de Singer sont horribles. On en vient presque à excuser le père, c'est dire.

PS: ils ont fumé chez Futuropolis. Ils ne savent même pas vérifier que le nom de leur auteur est correctement orthographié. C'est quand même une énorme boulette sur l'intégrale du sourire du clown.

246. Danyel - 31/03/13 16:19
Je partage en tous poins l'avis de Luc concernant Bendis. C'est un faiseur, brillant, mais un faiseur. Tout son art consiste à dissimuler les artifices scénaristiques dont il use et abuse sous le cliquant des dialogues.
C'était déjà visible sur les Daredevil. Mais son récent Scarlet est pour moi ce qu'il a fait de plus odieux dans le genre putassier, un brûlot démago qui ne brûle rien.

245. Raphael30 - 29/03/13 21:52 - (en réponse à : Mr Degryse)
Ouainonetatcheuch!!!, Fais quand même gaffe, Luc habite le tréfond de nos belles campagnes. Il s'est peut-être transformé en bouseux de l'Indre et Loire et qu'il aime ça. (rien de péjoratif)

244. suzix@bdp - 29/03/13 15:23 - (en réponse à : PC)
Effectivement.

243. pierrecédric - 29/03/13 15:23
Boh, remarque...

242. suzix@bdp - 29/03/13 15:12 - (en réponse à : Mr D.)
C'est pas graave! C'est l'émotion!

241. Mr Degryse - 29/03/13 15:04
JE LES LIS.

Ptain la honte je parle à un écrivain et j'écris comme un péquenot des campagnes.....

240. Mr Degryse - 29/03/13 15:02 - (en réponse à : Mr Brunschwig)
Je sais je l'ai lis souvent avec attention même si je ne suis pas toujours. Cf le nao de Brown.

239. suzix@bdp - 29/03/13 15:01 - (en réponse à : PC)
Damn'd, je suis découvert!

238. pierrecédric - 29/03/13 14:57
On dirait que tu le fais exprès...

237. suzix@bdp - 29/03/13 14:47 - (en réponse à : Le gars on lui dit?)
Allez tous en choeur :

Luc, si tu tiens à tes dents, ne surprends jamais Suzix en parlant Comics de façon intempestive!

236. luc Brunschwig - 29/03/13 14:45
Pour peu que ça intéresse, je fais aussi des critiques Comics pour le site PlanèteBD sous mon nom... pas tendre, toujours, mais défenseur avec apreté quand il se doit.

235. suzix@bdp - 29/03/13 14:39
Au vu des anciens posts de Luc Brunschwig, je lui donne raison de s'être exprimé ainsi. Qu'il ait raison sur le fond ou non n'est pas le problème. Il a indiqué son ressenti. Il en a tout à fait le droit en tant q'homme. Il a même pris des gants et il l'a fait à visage découvert. Et il s'est attaqué à un "gros". Moi je dis Luc Brunschwig mérite la médaille d'Horreur de BDP. Il est dorénavant Pirate de BD à part entière. Frère de lecture. Nous nous devons de ne plus jamais le laisser derrière nous!

234. Mr Degryse - 29/03/13 14:08 - (en réponse à : Mr Brunschwig)
Heureusement qu'on peut encore dire ce qu'on veut tant qu'on argumente......

Je crois que j'avais déjà dit la même chose à l'époque. J'étais juste dans ma période manga et comics et plus trop franco belge.


Maintenant je suis drogué aux trois. Je ne sais pas si c'est mieux pour l'état de mes finances

233. kikôm - 29/03/13 13:46
Visiblement, un jour Luc a dû piquer le dessert de Jean-Eude à la cantine.

232. Thierry - 29/03/13 13:42 - (en réponse à : pas Bellefroid)
mais tu dis du mal (ou du bien) de qui tu veux, tant que tu argumentes.
Ce n'est pas parce que tu es un auteur que tu dois être tenu à un droit de réserve. Ne pas aimer un auteur ne témoigne pas nécessairement de la jalousie supposée envers un confrère qui a mieux réussi que soi, et dire du bien sans réserve d'un autre ne tient pas nécessairement du copinage éhonté pour machin avec qui tu joues à la belote tous les dimanche, sur ta terrasse en bois précieux en savourant un Dom Pérignon millésimé 1921.
En fait, pour moi, le meilleur Bendis reste "Fortune & Glory" qui raconte son expérience à Hollywood, alors qu'il tentait de vendre Torso pour en faire un film (toujours dans les limbes 15 ans après, voire tout-à-fait mort). C'est savoureux dans mon souvenir.

231. luc Brunschwig - 29/03/13 13:29
Je terminais en disant que je n'y retoucherais plus et j'ai tenu parole. Effectivement, j'ai tapé un peu fort, avec de la morgue, je le concède, mais je croyais que BDParadisio était le dernier endroit où l'on avait le droit de s'exprimer... si il faut fermer sa gueule, alors je peux repartir sur d'autres forums...

230. luc Brunschwig - 29/03/13 13:25 - (en réponse à : c'est parti de là)
Je viens de lire la critique de Thierry Bellefroid concernant "Torso"... et j'avoue ne pas partager son enthousiasme, même si je l'avais espéré de tout mon coeur en découvrant l'objet (massif), le sujet (passionnant) et une mise en page que l'on qualifiera de novatrice. Pourquoi ? Parce que contrairement à Thierry, je suis exaspéré du pseudo talent que l'on prête à Bendis. A chaque fois que j'ouvre un de ses albums, je sais que je vais être déçu... mais j'entends tellement de gens dire du bien de cet homme, que je finis toujours par me laisser piéger (commercialement parlant), pour finir par être consterné (par ma lecture). Qu'est ce qui peut bien reprocher au grand Michael, le Brunschwig ? Je répondrais : le fait d'être incroyablement négligeant dans sa structure scénaristique (la plupart des éléments de ses dénouements tombent comme des cheveux sur la soupe), sa piètre dramaturgie, ses personnages, qui à force de tous parler de la même façon, finissent par tous se ressembler, ses kilomètres de dialogues (fort brillants au demeurant), mais qui fichent en l'air tout rythme, qui noient l'histoire, qui font se confondre le futile avec l'essentiel, et ce d'une façon qui ne se renouvelle absolument pas d'un album à un autre, d'un sujet à un autre. En résumé, quelque soit son histoire, Bendis noie le tout dans une sauce qui a toujours le même goût... ce qui nous cache (pour ne pas dire "nous gâche") les vraies saveurs de sujets pourtant fort alléchants. Encore une fois, avec Torso, on pouvait s'imaginer le meilleur. On se contentera d'applaudir aux dialogues de Bendis, sans vraiment en savoir plus sur Eliott Ness, sans avoir vibré pour qui que ce soit dans cette histoire qui se déroule sans ennui, mais sans surprise, jusqu'à une révélation finale qui (curieusement) offre des dialogues proches de l'indigent (trop en tous cas pour être réellement touché par le désarroi du personnage). Je le jure ici solennellement, je ne toucherai plus jamais au plat de maître Bendis. Juré, craché.

229. Mr Degryse - 29/03/13 13:23
En fait pas que quoi s’énerver. J'avais oublié ce sujet. Ptain j'intervenais déjà

228. Thierry - 29/03/13 13:18 - (en réponse à : grand archéologue)
Pour faire plaisir à Jean-Eudes, j'ai retrouvé le sujet ou Luc Brunschwig a parlé de BM Bendis

c'est ici, BENDIS

Si vous n'avez pas envie de vous fader les 250 interventions, je résume très vite en disant que ce sujet a été créé par Luc Brunschwig avec l'intervention suivante:


Je n'ai pas l'habitude de dire du mal de mes petits camarades, surtout en public :-))), mais là trop, c'est trop... Bendis a vu 3 de ses séries nominés à Angoulême en deux ans... et cette année, on l'a carrément intégré à la catégorie meilleur album. Alors, je demande : les gens qui font ça savent-ils lire ? Qu'aiment-ils chez Bendis ? Pour moi, ce type est une calamité scénaristique : dialogues abondants mais creux qui servent de cache-misère, absence total de rythme dans la narration, incapacité à créer une histoire qui se tienne de bout en bout (ses dénouements sont ahurissants de naïveté, quand monsieur consent à nous en donner un).
Lisez le Daredevil nominé pour le meilleur album de l'année... il y a une idée, une seule... et apparemment Bendis n'a même pas su quoi en faire, puisque son idée n'aboutit à rien... par contre, il nous la tartine sur plus de 200 pages.
Je ne sais pas trop pourquoi je lance ce sujet, mais j'en avais un urgent besoin... comme une soupape, un cri lancé dans la nuit... un besoin de cracher ma bile.



et il développe un peu plus dans un post suivant (j'ai un peu coupé parce qu'il y avait aussi une réponse à une autre question qui n'a rien à voir avec le sujet... de toute façon, si vous voulez avoir une idée claire, autant lire tout le sujet, j'ai essayé autant que faire ce peu d'extraire des parties qui donnent une idée le plus objective possible de la teneur des propos de LB)


Pour finir, et tenant quand même à expliquer mon coup de sang... contrairement à certain qui n'ont lu qu'une ou deux de mes séries, j'ai quasiment lu l'intégralité du travail de Bendis et y est toujours retrouvé un sentiment d'inachevé et de duperie (dans le sens où tous ces personnages parlent sensiblement de la même façon, ce qui n'est pas, selon moi,la meilleure façon de caractériser un personnage). Autre problème, le sentiment de lire des histoires qui n'ont pas véritablement de fond... on fait monter la mayonnaise pour découvrir souvent que le scénariste n'a pas franchement donné de bases solides à son histoire. Si vous tâter du scénario, vous vous rendrez compte que le plus difficile est d'emmener son histoire vers quelque chose : ce que Bendis ne fait quasiment jamais... et que le plus facile est de faire artificiellement monter la sauce, parce que n'ayant pas de véritable base, on pourra tout expliquer par une pirouette.
Pour finir, les raisons de mon coup de gueule (voir post d'origine) est le fait que Bendis ait vu son travail nominé trois fois en deux ans aux alph-art... après lecture de Daredevil, je peux vous dire qu'il y a quelque chose d'insultant pour les auteurs franco-belge à imaginer que le jury n'a pas trouvé au moins une BD européenne supérieure à ce qu'a fait Bendis.



et encore plus loin


Encore un mot sur Bendis... si je ne considérais pas que c'était quelqu'un d'important dans le métier, je ne m'attaquerai pas à lui avec autant de force (même si bon, je suis tout à fait prêt à aller boire un pot avec ce garçon, moi)... c'est juste que justement, son talent me paraît un peu surévalué... un bel (très bel) univers, nous en sommes tous d'accord, mais une totale incapacité à donner de la crédibilité ou du fond ou ce que vous voudrez à ses histoires...
C'est d'autant plus navrant que sa façon d'écrire donne beaucoup de réalisme à des sujets qui n'en ont pas toujours, alors que le fond de ces histoires tiennent parfois à deux bouts de ficelle mal raccordées entre elles.



227. suzix@bdp - 29/03/13 13:16 - (en réponse à : Jean-Eude)
et sinon cela t'arrive-t-il de répondre aux questions des autres BDParadisiens ou bien fais-tu une fixette sur Luc?

226. Kipkool - 29/03/13 13:12
Si tu m'crois pas hé, t'ar ta gueule à la récré!

225. Mr Degryse - 29/03/13 13:02
ouaip c'est bon, on a compris........

224. jean-eude - 29/03/13 12:56
luc, tu as lu la serie alias, tu as lu powers?
Y a t'il un archeologue du site pour retrouver avec quelle morgue luc critiquait bendis?
je n'ai rien a priori contre luc en plus, les personnages du pouvoir des innocents, ils sont toujours en train de chialer, donc question dialogues c'est du lourd effectivement...
Dans urban tu situes ton approche des dialogues à quel niveau, je veux dire sans prendre en consideration l'aspect cliché...
Ouééé, sinon je pense que t'es un bon faiseur des familles, tu sais t'entourer, mais en tant que lecteur exigeant question scenarios je te trouve bidon ^__^

223. suzix@bdp - 29/03/13 12:23
Excuse refusée.
Et gaffe! Y'a prie que la planche ou l'île déserte!
Y'a le crabe dans le calbute!

222. luc Brunschwig - 29/03/13 12:17
halala
Si je mène mes "amis de FaceBook" à la baguette, je vais passer pour le vilain prétentieux qui se prend pour le pâtre sacré... et si je fais rien, je suis pas un bon copain... fichtre !!!

221. suzix@bdp - 29/03/13 12:13 - (en réponse à : Luc)
Je profite de ton passage aujourd'hui pour te faire une critique!
Tu as peut-être twitté que tu es reviendu sur BDP mais cela ne semble pas avoir créé d'émulation de la part de tes followers! Parce que nous ici, on n'a vu personne sonner à la porte!
Alors, je veux pas te mettre la pression mais faudrait t'impliquer de façon un peu plus sérieuse en faveur de notre site de pirates de la BD! Sinon c'est la planche ou l'abandon sur une île déserte pour toi!

yek yek yek!





(;o)

220. Mr Degryse - 29/03/13 12:07
Bah oui chacun fait avec ses capacités.

Je me répète je ne connais aucun auteurs, dessinateurs, musiciens, peintres, architectes dont j'aime toute la production.

219. Mr Degryse - 29/03/13 12:05
Ah bah non totalement le droit de critiquer Bendis qu'on soit génie ou non, scénariste ou non, etc.

C'est juste qu'en tant que scénariste vous pouvez pointer des détails sur les techniques d'écriture qu'un arracheur de dents comme moi est moins prompte à détecter.

Pour Jean Eude, on n'arrête pas d'essayer de pondérer ses propos mais même si on s'y mettait à un million cela ne le ferait pas changer d'avis.

Il est remonté comme un coucou suisse. Il doit être de la famille de Bendis.

218. luc Brunschwig - 29/03/13 11:40
Hmmm... j'ai dit quelque part que je faisais des chefs d'oeuvre ? Si oui, faut me retrouver le post que je l'encadre ;-))). Donc, je suis un scénariste petit, moyen, grand selon les gens et c'est très bien ainsi, je ne prétends pas pouvoir satisfaire tout le monde et je fais avec mes capacités que je ne crois pas illimitées. Est ce que pour autant je n'ai pas le droit de critiquer Bendis ? Parce que si c'est le cas, en quoi jean-eude s'arroge-t-il le droit de me déboulonner de la sorte ? Si il faut être un génie pour se permettre de critiquer les gens,certains feraient mieux de se taire.

217. Mr Degryse - 29/03/13 11:33 - (en réponse à : Suzyx)
pareil

216. suzix@bdp - 29/03/13 11:19
Ai-je déjà lu un chef d'oeuvre?
Je ne crois pas.
En ai-je déjà vu dans le domaine de l'art?
Je ne crois pas non plus.
Par contre, j'ai déjà vu des chefs d'oeuvre architecturaux : Notre-Dame, la Tour Eiffel, le Golden Gate ... non je ne me suis jamais rendu à Rome ...

215. suzix@bdp - 29/03/13 11:16
Un chef d'oeuvre est forcément rarissime.
Et surtout un chef d'oeuvre doit être une évidence. Au moins pour ceux qui le considèrent comme tel. S'il y a le moindre doute ...

214. Mr Degryse - 29/03/13 11:13 - (en réponse à : suzy)
pour moi un chef d’œuvre est quelque chose qui fait l’unanimité pour lui.

Je dis juste les oeuvres que j'aime et celles que je n'aime pas.


Je constate que comme 2 personnes déjà ici n'aime pas Urban on ne peut donc lui attribuer le terme de chef d’œuvre.

Il en de même pour le pouvoir des innocents vu que j'ai déjà lu des critiques de gens qui n'ont pas apprécié. Je comprends leur point de vue même si je ne le partage pas.

J'ai déjà dit que je n'accrochais pas à Urban mais que je pouvais comprendre qu'il plaise car il a des qualités auxquelles malheureusement je n'accroche pas.

213. Raphael30 - 29/03/13 10:56
Tiens, il parait que le tirage est épuisé. Pas forcément un gage de qualité, mais la preuve que ça a bien plu aux lecteurs, alors que pour cette BD rien ne prédestinait à de telles ventes....

212. suzix@bdp - 29/03/13 10:54 - (en réponse à : Jean-Eude)
De quel "Urban" parles-tu?

211. jean-eude - 29/03/13 10:42
On en revient à a question initiale, luc, realises tu qu'avec urban tu as fait un truc mauvais, clichesque et fade?
Ta lucidité sur bendis exclut elle la tienne?

210. suzix@bdp - 29/03/13 10:41
"209. Mr Degryse - 29/03/13 10:28
Surtout qu'on peut aimer des oeuvres des deux auteurs sans être un fan absolu de toutes leurs productions.

Chez Brunschwig : j'adore le pouvoir des innocents, Lloyd Singer. J'apprécie le pouvoir des innocents, Angus Powerdrill.

Je n'aime pas Urban.

Bref personne ne fait que des chefs d'oeuvres."



LoooOOOOLLL
Donc je résume : puisque tu n'aimes pas Urban, ce n'est pas un chef d'oeuvre. Par contre "Le pouvoir des innocents" en est un puisque tu as apprécié!

Faut absolument que tu fasses partie des sélections d'Angoulême pour les aider à détecter les "chefs d'oeuvre de l'année".

209. Mr Degryse - 29/03/13 10:28
Surtout qu'on peut aimer des oeuvres des deux auteurs sans être un fan absolu de toutes leurs productions.


De Bendis, j'adore Alias, Powers, Goldfish. J'apprécie certains ultimate x-men, Torso, Sam and Twich, House of M.

Par contre je déteste New Avengers, Secret invasion,Secret Wars en autres.

Chez Brunschwig : j'adore le pouvoir des innocents, Lloyd Singer. J'apprécie le pouvoir des innocents, Angus Powerdrill.

Je n'aime pas Urban.

Bref personne ne fait que des chefs d'oeuvres.

208. suzix@bdp - 29/03/13 09:27
Laisse béton Luc.
On peut trouver à redire de toute oeuvre, même les plus divines.
Pour une raison qui lui est propre, Jean-Eude s'est senti ahressé par tes propos sur Bendis. Il répond en renvoyant la balle plus fort avec de l'ironie, des bons mots et une bonne dose de mauvaise foi.
Il a peut-être raison de défendre cet auteur face à tes avis postés mais il a tort de dire que tu es un mauvais scénariste. Ce n'est pas vrai.

207. luc Brunschwig - 29/03/13 09:04 - (en réponse à : jean-eude)
Jean-Eude, si je comprends que tu prennes la défense de Bendis, est ce une raison pour me dégommer dans les grandes largeurs en déformant mes propos et en donnant de la fin de la première version d'Urban une interprétation qui t'ait toute personnelle ? En effet, je ne suis pas fan de Bendis... je ne dis pas que ce qu'il fait est lamentable, je pointais juste le fait qu'on met très souvent en avant son talent de dialoguiste alors que moi, je note que la plupart voir 100% de ses personnages parlent de la même façon, ce qui est tout sauf l'expression d'un talent de dialoguiste. Ensuite, ces scénarios sont parsemés de pures erreurs... mais bon, ça ne te convaincra pas que je suis un meilleur scénariste que lui ni que je suis simplement un scénariste qui mérite d'être lu. Alors, j'arrête là ! par contre, ce que je ne te permets pas, c'est de donner une version "à ta sauce" de la fin d'Urban Games qui a été particulièrement difficile à vivre pour moi... pas parce que j'ai le melon, mais parce que j'y ai perdu un ami. En effet, ce n'est pas moi qui ait mis fin à la série, mais le dessinateur Jean-Christophe Raufflet qui a trop souffert dessus pour avoir envie de continuer. Il a été difficile de faire la part des choses entre l'amitié et les difficultés financières dans lequel son investissement dans Urban Games l'a finalement placé. On se parle encore, on se voit la semaine prochaine, mais après ça plus rien n'a été comme avant.

206. suzix@bdp - 26/03/13 23:13
J'oubliais?
- des déguisements ridicules pour tous les habitants?
- des combinaisons anti-jet? (;o)

205. suzix@bdp - 26/03/13 23:12 - (en réponse à : Jean-Eude)
Le début de Urban est difficile à suivre. Puis cela s'enchaîne super bien avec d'excellentes idées bien mises en place et exploitées de façon remarquable.
Qu'est-ce que tu avais déjà lu en BD? Par ordre de fréquence:
- la ville close? ... hum sans aucun doute mais c'est tellement fréquent
- une ville gérée par un ordinateur superpuissant et invasif ? ... du classique.
- une ville-état? ... même chose mais ce sont les classiques de la SF
- une ville de plaisir et de jeu? ... pareil. Impossible de dire à qui cela pourrait être pompé.
- un jeu urbain où l'on parie sur la mort?
- la "désinfection" des arrière-cours? hum ...
- un type qui parle avec un super héros imaginaire? ... serait-ce de cela dont tu parles? Chez qui tu l'as lu?
- des femmes tatouées avec des noms de marques? d'autres exemples?
- peut-être des ... robots! ... (;o)

Sans déconner. Je manque de littérature alors je veux bien que tu me dises pour que je me rende compte de ce qui est juste de la SF classique de ce qui aurait pu être pompé.

204. Raphael30 - 26/03/13 22:20
Relecture du tome 7 de Lloyd Singer terminée. On essaye d'assembler les pièces du puzzle, à savoir tous les éléments disséminés par Luc Brunschwig avec son scénario à tiroirs. L'imagination ne mène à rien et gageons, que tel qu'il nous l'a mentionné , il nous ménage quelques surprises (imprévisibles ?)dans sa construction.

203. Odrade - 26/03/13 20:59
Oui et tu as bien raison de t'exprimer.
Je te répondrai plus brièvement et avec moins de panache : "Je ne suis pas d'accord avec toi".
:o)

Je n'essaie pas d'excuser LB, c'est son boulot de s'expliquer, s'il le veut, mais personnellement je ne trouve pas que dénigrer un autre auteur diminue la qualité du travail de l'auteur.

On avait discuté d'Hermann qui a un caractère de sanglier (des Ardennes) mais dont la qualité de l'oeuvre est indiscutable. On pourrait donner plein d'exemples d'artistes dont on préfère dissocier l'oeuvre de la personnalité.

Perso je n'ai pas lu Urban et d'autres albums plus récents. Mais je sais que j'avais apprécié la plupart des scénarios que j'ai lus de LB.

Bref. Voilà voilà.


O.

202. jean-eude - 26/03/13 19:53
Il sert a quoi ce forum?
Exprimer son point de vue, autant le faire avec panache...



 


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