la Collection 32 c'est (déjà) fini

Les 202 commentaires sont triés des plus récents aux plus anciens .



102. Sitcom - 30/10/06 14:45 - (en réponse à : Yan)
Je vois plutôt ça comme l'individu face au marketing, mais bon

C'est bien ce que je dis : balancer une absurdité comme "moi je ne rentre pas dans leur buziness" en prenant la posture supérieur de l'artiste bozareux est d'un ridicule puisqu'il est dans les faits au coeur même du système en publiant son livre.
Brocarder le système américain (très drôle ton lien d'ailleurs) ne discrédite en rien son fonctionnement dans le genre feuilleton qui a fait ses preuves. Ou alors c'est être de mauvaise foi ou complètement aveugle sur ce qui se fait.
Que l'on soit seul ou à plusieurs, le marketing y est bien présent et c'est un tout autre problème.
La qualité ne vient donc pas du fric que ça génère mais de ce qu'on a dire et donc de se donner les moyens techniques et pratiques pour arriver au résultat que l'on souhaite (pour rappel, ici c'est l'idée de l'écriture feuilleton de certaines séries tv américaines.)

101. Yan - 30/10/06 13:37

100. marcel - 30/10/06 13:37
Ben yatta alors...

99. Yan - 30/10/06 13:35 - (en réponse à : Sitcom)
Je vois plutôt ça comme l'individu face au marketing, mais bon...

98. Sitcom - 30/10/06 12:56 - (en réponse à : phicil )
Succès et qualité ça rime en plus ! D'accord avec toi, il n'y a aucune antinomie à ce sujet.

Là où je suis plus dubitatif c'est sur l'envie de l'écriture feuilleton que l'on retrouve dans les séries tv américaines.
Je trouve l'idée excellente mais je pense qu'il est difficile (voir impossible) d'atteindre la qualité des exemples US quand on est seul aux commandes de sa série.
Aucune série tv US (ou de comics d'ailleurs) de qualité n'est écrite par un seul scénariste tout du long.
En fait ça ressemble beaucoup plus à ce qui se fait dans l'anime, c'est-à-dire qu'il y a un directeur d'écriture (souvent à l'origine de la bible de la série) qui gère un groupe de scénaristes.
Le résultat c'est le foisonnement d'idées, un ping pong perpétuel que ne peut évidemment pas générer un scénariste seul.
Bref je doute que l'on puisse atteindre cet objectif sans passer par cette manière de faire qui a fait ses preuves.
D'un autre côté, je doute que les scénaristes traditionnels de BD soient décidés à ce genre d'exercice.
Dans l'anime on n'hésite pas à faire et à refaire plusieurs versions d'un épisode. On ne rechigne pas, on digère et on repart les mains dans le camboui.
Dans la BD, j'entends plutôt : "Mais qui suis je pour retoucher un chef d'oeuvre...".
C'est l'AAAAArtiste versus le faiseur, l'éternel combat franchouillard d'arrière garde pourtant obsolet... (amha bien sûr !)

97. Quentin - 30/10/06 12:49
Mon avis sur la question: en gros, alors que j'achète presque les yeux fermés tout ce qui sort chez "futuropolis hors 32" (une seule vraie déception jusqu'à présent), je n'ai pas été convaincu par la collection 32.

- A quoi ca sert de sortir du sacro-saint 46pp quand c'est pour retomber dans un autre sacro-saint de 32pp? Je préfère le format libre du "futuropolis hors 32"
- Pas cher 5 euros pour 32 pp? Ca ne me semble pas super bon marché non plus (10 euros pour 64pp, prix ni cher ni peu cher)
- Grand format un peu embêtant à manipuler, couverture souple plus fragile que le cartonné, pas vraiment attrayant.
- Auteurs/histoires plus "mainstream" comme il a été dit plus bas. Ca ne donne pas vraiment envie de découvrir. On ne croit pas assez à la bonne surprise.
- Au final, je doutais et je considérais d'acheter quand même, mais lors de la réédition en intégrale. Avec tout ce qui sortait en parallèle, j'avais assez de lecture et j'avais la patience d'attendre.

Je ne fais pas partie de ceux qui pleurent la disparition de la collection. Au contraire, je suis maintenant assuré de la parution d'intégrales :o)

96. St Jo - 30/10/06 10:24
Définissons le mot "mainstream" par ce qu'on trouve aisément en supermarché, et qui s'y vend, voulez-vous ? A noter que ce terme n'indique aucune valeur de qualité ou non-qualité, ni ne définit la démarche de départ. Il détermine ça qui a conquis une majorité de gens. Le terme "mainstream" parle de lui-même : main = la plupart / stream = le courant.

Or "32" n'est pas "mainstream" et n'évoque même pas les ouvrages qu'on trouve en supermarché.

95. phicil - 30/10/06 08:54 - (en réponse à : DTC)
DTC,
pour mon cas precis, quand Luc m'a parlé de certaines series tv americaines (exellentes),
ce que j'ai cru comprendre qui l'interessait c'est "l'idée de l'ecriture feuilleton".

ce qu'il faudrait savoir c'est ce que tu cache derrière ce mot "mainstream".
si c'est : "mainstream c'est mal, ce n'est réalisé QUE pour faire du pognon", je crois que tu te trompes, c'est un peu plus complexe que ça.

Ensuite, on peut etre mainstream rapporté beaucoup de flouz et être de grande qualité ex : Dysney (des 30 premieres années), Myazaki, Hergé, ...ou autre, Mozart, Van Gogh...
si je suis mainstream, je n'en ai pas honte, désolé.
ensuite,
c'est clair que le but d'une collec, d'un livre c'est d'etre quand meme rentable et de au moins, ne pas faire perdre de pognon, on est dans un systeme économique quaund mËme, sortir un album demande un investissement financier,
et c'est également vrai pour les albums de l'Association, Cornelius, les Requins Marteaux (que j'adore), sinon tu mets la clés sous la porte au bou de quelques années.

mais, bon, passé cette optique commercial,
franchement si on voulais faire mainstream, dans la meme idée que la tv , pour se faire un max de pognon, on ferai pas de la bd, On ferai un autre metier qui brasse plus facilement.
je crois quand meme que dans le monde de la bd ya un une grosse majorité de passionnés, parceque vu la masse de travaille que ca demande, aussi bien pour les auteurs que les éditeurs, faut vraiment etre passionnés, lol,
ça les lecteurs ne s'en rendent pas toujours compte.

94. DTC - 29/10/06 16:02
Pourquoi ça pourrait pas s'appliquer à n'importe quel support, quand on cause fictions ?

93. nemO² - 29/10/06 13:18 - (en réponse à : dtc)
Mainstream c'est surtout éditorial non?

92. DTC - 29/10/06 12:54
mainstream= courant dominant, non ?
JDM, Luc Brunschwig ne sont pas catalogué mainstream ? première nouvelle. Les frères Jouvray, qui se sont fait connaitre avec Lincoln, une bd s'inscrivant graphiquement dans une MODE de dessin démarré après Blain, sont mainstream. De même qu'est mainstream le dessin stéréeotypé du monde de Lucie. Quand il me semble avoir lu que Luc Brunschwig souhaiterait voir produit des récits à la mode des séries en vogue, Six feet under etc, c'est s'inscrire dans un courant. Si Six feet under n'est pas mainstream, tout les suiveurs télé ou pire, BD, le seront.
c'est mon avis.

91. jpthali - 29/10/06 00:14
J'ai lu la plupart des 1er épisodes, et la qualité est là mais je pense que l'erreur majeure c'est d'avoir dès le début affirmé qu'il y aurait de toute façon une intégrale à la fin (du genre vous en faites pas si vous n'achetez pas les 32, vous aurez tout à la fin) pire encore à mon avis est l'annonce d'intégrales "intermédiaires", ce qui pousse définitivement à retarder l'achat pour se réserver aux compils.
Bref, contrairement à un intervenant j'espère que ce principe sera renouvelé car ça peut apporter un gros renouveau à la BD franco-belge (les problèmes de rangement dans la bibliothèque étant tellement mineure que c'en est risible).

Seul petit reproche, je trouve que tous les styles graphiques étaient trop proches les uns des autres (crayonnés sans encrage, colorisés informatiquement) même si les délais de réalisation serrés doivent imposer ce genre de travail, ça aurait été pas mal d'essayer d'autres choses).

Bref.

90. Torpedo - 28/10/06 22:20
Vends pseudo, peu servi, mais de plus en plus difficile à porter.

;-) de rigueur

89. torpedo31200 - 28/10/06 21:52 - (en réponse à : Coacho - post # 88)
Ah oui, je ne vois pas les smileys (mais devine ceux de certains) et n' en utilise donc pas sur ce forum.
Et je ne parle pas l' arabe, mais je respecte le titre d' un bouquin, surtout au cas où quelqu' un voudrait faire une recherche Google (ou autre) pour voir à quoi ça ressemble...

88. Coacho - 28/10/06 20:55 - (en réponse à : qui biZ son Gillix à lui qu'il a)
Mon cher Torpedo31200 au pseudo(pas 31200) bientôt plus long à écrire que certaine phrases, je sais que tu as oublié le smiley de rigueur et que je m'étais fait piéger il y a quelques temps !
Cependant, je tenais à préciser, si besoin était, que l'orthographe n'est en rien une phobie chez moi, mais, par on n e sait quelle miracle, chaque faute m'agresse. Comme Marcel, c'est plus fort que nous !
Et la collection Futuropolis en recèle d'énormes.
Quand Luc vient nous parler, je ne sors pas le correcteur orthographique, mais j'avoue avoir beaucoup de mal avec ça !
C'est ainsi...
En revanche, quand j'en parle dans mes retours de lecture, c'est aussi pour en souligner l'importance et l'impact que ces albums ont sur leur lectorat !
Tout le monde n'est pas assez rompu à l'exercice orthographique pour corriger automatiquement toutes les fautes.
Mais surtout, cela conforte les détracteurs de notre passion dans leur dédain d'un art mineur et puéril.
Selon des critères un brin pédants, la faute d'orthographe serait presque normale dans ces lectures d'enfants attardés qui sont pour le moins immatures.
Respectons déjà ça, ça me semble le B.A. BA (pas cool) d'un album de BD.
Le côté éducatif et pédagogique, j'y tiens encore plus.
Je me souviens avoir eu une courte discussion par email avec Lewis Trondheim (Permettez-moi de me prosterner devant Votre splendeur) à ce sujet, en ayant détecté quelques erreurs dans un "Monstrueux...". Il avait réagi positivement à ça et m'avait souligné l'importance capitale de cet aspect pour la mission éducative que peut revêtir un album.

Mais fermons ici cette longue parenthèse que je me suis permise d'ouvrir pour mieux nous recentrer sur ces beaux albums de Futuro, dont certains ont un titre arabe que je ne parle hélas pas couramment ! ;o)

87. torpedo31200 - 28/10/06 18:24 - (en réponse à : St Jo - post # 85)
Je n' ai pas dit que De Crecy se vendait à 2000 ex. avant Salvatore, je sais qu' il vendait à plus.
Je voulais juste dire que la "crédibilité artistique et la notoriété grandissante" de quelqu' auteur que ce se soit, ce n' est pas ça qui fait les ventes.

86. Gillix - 28/10/06 17:55
Je plussoie mon Coacho à moi personnellement.

Pour la fin de la collection 32, je fais partie de la cohorte des déçus. Je l'aimais bien moi cette collection. Et puis elle prouvait qu'il est possible de raccourcir les "introductions" du 48CC à moins de 32 pages (oui, je fais ma langue de vipère là).

Mais je suis d'accord avec tout ceux qui vous font remarquer l'importante probabilité d'échec au départ... la surproduction ambiante en gros plan bien sûr.

J'espère que vous retenterez le coup plus tard, d'ici deux-trois ans lorsque le marché BD ce sera assaini tout seul en nous refaisant le coup de la fin des années 80. Pourquoi ? Parce que j'ai une véritable envie de BD à moins cher (en plus avec nos prix suisses 30% plus cher que chez nos amis français...) et la collection 32 me réjouissait pour cela.

85. St Jo - 28/10/06 17:21 - (en réponse à : torpedo31200 post #74)
A propos du Yslaire, quelles espérances ? Celles des représ qui croient encore que ça se vends comme Sambre ? Là oui, mais sinon le gros des retours a déjà été fait, et ils doivent avoir des chiffres à peu près corrects.

-Non, je ne parle pas du point de vue des représentants. Le Yslaire est un bide, même pas un semi-bide... et honnêtement je trouve ça dommage. Même si ce n'est pas un chef-d'oeuvre, cet album expérimental fait partie de ceux qui font évoluer la BD.

Mais la notoriété et la crédibilité artistique "grandissante", ça ne suffit pas. Ce n' est pas ça qui fait vendre à + de 2000 ex...

-De Crécy vendait déjà à plus de 2000 ex. depuis longtemps, même s'il était loin des ventes de Période glaciaire. Le partenariat avec Le Louvre a fait énormément. Ce coup médiatique a impressionné journalistes et libraires, qui ont senti qu'il fallait suivre. Ca a fait boule de neige. Même si ce n'est pas le meilleur titre de cet auteur, à mon sens, loin de là.

84. Lien Rag - 28/10/06 17:17
Je suis assez d'accord avec Laurent Colonnier quand il parle de la brièveté de l'expérience: vous pensiez réellement qu'un truc aussi novateur dans la forme, sortant dans une période de surproduction, appartenant pour moitié à une maison d'édition sentant le soufre pour la majorité des bédéphiles avertis (ceux susceptibles d'acheter un truc dont le dessin ne ressemble pas beaucoup à Largo), expérimental sans respecter les Saints Canons des Puristes Officiels (loué soit le nom de Menu), pourrait se fair sa place en sept mois? Je n'ai aucune compétence en matière d'édition de BD, mais il me semble évident qu'il fallait prévoir de porter le bébé pendant plusieurs années à bout de bras et sans espoir de retour immédiat sur investissement, le temps qu'il se développe naturellement et remplisse les espoirs placés en lui par ses deux parents. N'est pas Jordy qui veut!

83. torpedo31200 - 28/10/06 17:05
On s' en doute un peu, vu qu' Abdallahi # 2 sort dans 2-3 semaines environ...
(Comme annoncé à la mise en place du # 1)

82. loic - 28/10/06 16:57
entendu plusieurs fois pour des bouquins aussi bons qu' Abdallahi ou Miss pas touche, par exemple...

rassurez vous, Jean Denis Pendanx a fini les planches dut ome 2

81. torpedo31200 - 28/10/06 16:38 - (en réponse à : Coacho - post # 79)
Torpedo parle d'Abdhallalih

Quand je pense qu' il passe son temps à relever qq fautes d' orthographe dans certains bouquins...
(Et je ne parle pas de mon pseudo qui est allégrement confondu avec un autre)

80. torpedo31200 - 28/10/06 16:29 - (en réponse à : luc Brunschwig - post # 78 )
Je ne crois pas qu' il y ait de périodes de parutions plus propice que d' autres, pour tel ou tel bouquin (sauf cycle économique). Je ne crois pas que certains lecteurs s' intéressent plus au sujet qu' au traitement de celui-ci. Et il m' est facile de penser que certains attendent le tome 2 pour acheter les 2 (entendu plusieurs fois pour des bouquins aussi bons qu' Abdallahi ou Miss pas touche, par exemple).

79. Coacho - 28/10/06 16:24 - (en réponse à : qui vient un peu parler des albums)
Je ne sais plus qui disait que les "noms" de Futuro étaient assez connus pour ne pas être considérés comme moteirs d'une quelconque innovation.
Mouais...
Là, BDP et consorts, c'est vachement microcosme.
Parce que même De Crécy, sorti de notre petit monde autiste, je ne suis pas sûr que ça soit la garantie d'un succès phénoménal.
Si ce nouveau Futuro peut permettre de laver la cervelle du grand public en proposant d'autres livres, je ne vois pas en quoi c'est un mal.
Et si les livres sont récompensés, ce n'est pas non plus un hasard, ni une quelconque machination ourdie par Luc et sa secte !

Torpedo parle d'Abdhallalih. Mais c'est un putain de bon bouquin !
Debeurme est connu de nous lecteurs, et oui, son Lucille est plus facile d'accès que ses autres oeuvres. Mais c'est un putain de bon bouquin !
Rabaté est un peu plus connu que les précédents mais il nous propose avec Les petits ruisseaux un album qui n'entrerait dans AUCUN cahier des charges des éditeurs classiques. Et c'est un putain de bon bouquin !
Rabaté scénarise ensuite La marie en plastique, un autre putain de bon bouquin !

Le cas d'Yslaire est effectivement le plantage assuré pour moi car il s'est tué dans son mysticisme et aperdu un peu en route son public à force d'expérimentations.

Quant à Marc-Antoine Mathieu (putain de bon bouquin tout ça) et De Crécy, je pense que le fait d'être commandé par le Louvre a contribué à l'élargissement du public potentiel, notamment celui féru d'Art qui n'aurait plus de complexe à s'acheter cet illustré pour lequel le Musée référence a donné son aval en même temps que sa commande.

Rien que pour ces albums, tout le travail de Luc, et de l'équipe de Futuro, mérite d'être soutenu par notre microcosme plus prompte au sarcasme qu'à l'enthousiasme.

Après, évidemment, si on est passé à côté de ces albums, ou qu'on ne les a pas appréciés, je peux comprendre que l'on doute.

Ceci étant, plutôt que de constamment défendre la Tour d'Ivoire, si on pouvait aider un peu à dresser des passerelles pour que ce qui entoure notre microcosme ait le plaisir de savourer ces bonnes bandes dessinées hein ?... ;o)

78. luc Brunschwig - 28/10/06 16:15
Tu me surprends dans ton interprétation cher Torpédo... il y a des tome 1 qui n'ont pas attendu leur 2 pour marquer une certaine réussite. Je ne veux pas dire que les Français sont racistes, mais que la période de parution du tome 1, n'était pas propice et ne rendait pas le sujet très glamour.

77. torpedo31200 - 28/10/06 16:13 - (en réponse à : luc Brunschwig - post # 75)
Interprétation personnelle, ils attendent le # 2.
Et ton pas, je te laisse le franchir seul...

76. zubb - 28/10/06 16:04
Je crois que le semi-bide de Yslaire tient plus aux déceptions de ses derniers bouquins (le dernier Sambre, mais aussi les deux derniers tomes de XX eme siècle) et aussi de la personnalité de cet auteur (les libraires spécialisés ne semblent plus soutenir son oeuvre) qu' à la maison d'édition.
A titre d'exemple, j'ai acheté autant de Futuro cette année que de Dupuis (sinon plus). J'ai acheté 3 séries des 32 Futuro et tous les livres que Luc a cité (le Kris/Davodeau, la mémoire dans les poches, le Rabaté, plus quelques autres dont le très beau Abdallahi.)
Ces livres, je les achetés après les avoir feuilleté en librairie, alors que je n'avais pas l'intention de les prendre au départ,ils m'ont paru bons, quelquefois j'hésitais et c'est mon libraire (Samuel de Bulle au Mans, Luc le connait...) qui m'a convaincu...
Le Hislaire, j'avais pas envie... trop déçu par ses dernières productions...
Tout ça pour répondre à tous les donneurs de bon conseil après coup "il fallait des gens plus connus au départ pour que les 32 marchent etc..." et bien non, c'est fini, cette époque est révolue, on n'achète plus une BD uniquement sur un nom, surtout pour des collections qui visent un lectorat un minimum exigeant.
Je pense que les 32 étaient une belle tentative de sortir du sacro-saint 48cc, originale et risquée, cela n'a pas marché, mais l'essentiel pour moi reste que les séries soient préservées et les responsables de la collection y paraissent attachés. Les lecteur qui ont acheté les premiers tomes sont respectés puisque les deux autres tomes de la série London Calling (que j'aime beaucoup)vont paraître.
J'aimais bien le concept, mais je crois -entre autres raisons- que le format s'est effectivement heurté au conformisme des amateurs de Franco-Belge comme cela a déjà été dit.

Si ces séries peuvent mieux marcher en volume de 64 ou 96 pages (ce que je crois)alors très bien !

75. luc Brunschwig - 28/10/06 15:53
A propos d'Abdhalahi (et ceci est une interprétation toute personnelle), l'album est sorti en pleine affaire des caricatures de Mahomet, avec un fort vent anti-musulman qui imprégnait un peu-beaucoup notre belle France... de là à penser qu'un album narrant les aventures d'un Français traversant l'Afrique musulmane en se faisant lui-même musulman n'ait pas spécialement attiré les foules, il n'y a qu'un pas que j'ose franchir.

74. torpedo31200 - 28/10/06 15:34 - (en réponse à : St Jo - post # 71)
A propos du Yslaire, quelles espérances ? Celles des représ qui croient encore que ça se vends comme Sambre ? Là oui, mais sinon le gros des retours a déjà été fait, et ils doivent avoir des chiffres à peu près corrects.

Pour le De Crecy, c' est tout simplement parceque c' est un bouquin exceptionnel, que beaucoup citent dans les meilleurs de 2005. Et peut-être parceque beau, pas cher, papier sublime et one-shot.
Après, le fait que ça soit Le Louvre l' a peut-être aidé à durer un peu plus longtemps, mais les bons libraires avaient déjà fait l' essentiel de leurs scores, quand on a commencé à en parler dans divers médias. Et il a certainement bénéficié de l' appel d' air de Salvatore # 1 chez Dupuis (qui était déjà l' album du mois de janvier 2005 - de mémoire - pour beaucoup).
Mais la notoriété et la crédibilité artistique "grandissante", ça ne suffit pas. Ce n' est pas ça qui fait vendre à + de 2000 ex...

Sinon, je suis un peu surpris qu' Abdallahi ne soit pas cité dans les succès de Futuro. J' espère que ça sera réparé à la sortie du # 2 et dernier tome.

73. my name is not Bond - 28/10/06 15:14
pardonnez moi,mais, et au risque de paraitre rétrograde voire passéiste et réactiver un vieux débat, mais il ne me semble pas que le "nouveau" futuro soit d'une créativité et originalité folle au regard de l'histoire de ce nom...comme le rappelle l'un des precedents post, au sujet de De Crecy, je ne vois où se trouve la "prise de risque" ou l'innovation avec un auteur déjà assez largement reconnu!je ne remet pas en cause le bouquin, que j'ao fort apprécié, mais la tentative de nous faire croire que ce futuro 2000 soit innovateur dans quelque forme que ce soit!car du reste l'immense majorité du catalogue est composée d'auteurs déjà reconnus chez d'autres editeurs (j'ai plutot meme l'impression de me retrouver avec des "aire libre" sous une autre forme)...rien de bien neuf dans tout ça!ce label n'a pour l'instant pas vraiment cherché à générer sa propre identité, comme a pu le faire le futuropolis d'origine..;et pour en revenir aux 32, un post le mentionne plus haut, mais la collection ignatz chez vertige graphic me parait plus dans l'esprit de création et de decouverte;apres tout est ce bien, pour cette collection 32 un probleme de presentation?pourquoi pas un probleme de "fond"?car apres tout,rien de franchement original ne ressort de cette (helas ou pas?) moribonde collection!

72. luc Brunschwig - 28/10/06 15:10 - (en réponse à : à St Jo)
Ton analyse de la situation est tout à fait juste et pertinente. Je ne suis pas sûr de te convaincre, mais je vais te dire, ce qui à mon sens, fait la grosse différence entre Futuro et la plupart des maisons d'édition actuelle.
Nous n'appartenons pas à un grand groupe entre culture et industrie dont les actionnaires votent chaque année le ratio qui doit les satisfaire au moment de se voir redistribué les dividendes. Nous sommes entre les mains de deux groupes Gallimard et Soleil qui tous deux appartiennent à leur créateur ou à ses descendants.
Chacun de ses deux groupes fait de l'argent (beaucoup d'argent avec d'autres activités). En relançant Futuropolis, le contrat et l'envie des deux était clair : faire de la BD d'auteurs de qualité en donnant les moyens de réussir ce pari. Je ne dis pas que le but n'est pas de gagner de l'argent, mais c'est avant tout d'amener quelque chose de nouveau, sans trop en perdre dans un premier temps. Or, il se trouve que si Futuro connait quelques revers : le Yslaire (mais bon, un revers de Yslaire, c'est toujours mieux qu'un bide d'un inconnu), les 32... tout cela est contrebalancé par des réussites éditoriales parfois inattendu (le Rabaté, La Mémoire dans les Poches, Un Homme est Mort... qui étaient destinés à des ventes mineurs (voir anecdotiques) chez d'autres éditeurs).
Alors, je crois qu'au jour d'aujourd'hui, notre différence, c'est que nos patrons regardent Futuro dans sa globalité et non dans le détail de ses ventes.
Pas question d'élaguer ce qui ne fonctionne pas au bénéfice de ce qui marche, car eux comme nous ignorent ce qui va fonctionner et ce qui va se planter dans ce qu'on lance, vu que tout ce qu'on fait est fait à la passion et au feeling.

71. St Jo - 28/10/06 13:57 - (en réponse à : Luc Brunschwig et Sébastien Gnaedig)
Bon, là je me fais l'avocat du diable, mais vos réponses ne m'ont pas totalement convaincu.

Luc : Je comprends qu'il est nécessaire de continuer à afficher un bon moral, mais il est assez notoire dans le milieu de l'édition que le Ciel au-dessus de Bruxelles de Yslaire (que j'ai beaucoup aimé) a été une catastrophe commerciale en comparaison aux espérances et au tirage initial.

Sébastien : Concernant De Crécy, il s'agissait peut-être d'un auteur "pas vendeur" mais dont la notoriété et la crédibilité artistique n'arrêtaient pas de croître depuis des années, auprès de la critique, auprès des jurys de festivals, auprès d'étudiants en arts, et même dans le milieu des galeries. Un label élitiste (dans le bon sens du terme) comme Futuropolis a permis de promouvoir au mieux, de façon plus cohérente, un talent comme celui de De Crécy. De plus, le succès de cet album est aussi lié au "coup médiatique" qu'a été ce partenariat avec Le Louvre. Attention, je ne dis pas qu'il n'y avait aucun risque, mais bien que la situation de Période glaciaire est à différencier complètement d'autres titres du catalogue et du lancement de séries signées par des nouveaux venus, ou des auteurs dont le talent n'a pas encore été acclamé.

Et quand tu dis que tu dois refaire tes comptes au bout de chaque album, oui, ça confirme mes craintes en tant que lecteur avant d'entamer la lecture d'une série. Même si tu dis que vos choix de départ ne sont pas faits à la légère.

P.S.: Merci à tous deux de participer à cette discussion publique.

70. Ro - 28/10/06 13:05
Oh, et aussi... je suis heureux (et je félicite l'équipe) que Futuropolis se porte aussi bien. Cela fait plaisir de voir des oeuvres de qualité, et des auteurs plutôt connu des vrais amateurs de BD, produire des albums qui plaisent autant à un large public. Beau boulot qui redore le blason parfois terni de la BD francophone.

Et c'est aussi grâce à ce succès que je pense que la continuation en version cartonnée de la collection 32 a de l'avenir devant elle.

69. Ro - 28/10/06 12:59 - (en réponse à : Luc)
Merci pour ces informations, Luc. Tu as répondu avec largement assez de détails (s'il fallait rentrer plus dans les détails, je te demanderais un tableau Excel avec toutes les données de vente, les coûts, et le salaire de chacun des membres de Futuro ;o) ).

68. Kris - 28/10/06 12:52
Bah, tu sais : on est tous le "mainstream" de quelqu'un d'autre hein...

67. helmut perchu - 28/10/06 11:30 - (en réponse à : Luc B. et Sebastien G.)
N'ayant jamais lu d'album de la collection 32, j'en avais également une image plutôt mainstream (terme qui dans mon esprit n'a rien de dévalorisant mais qui il est vrai ne m'a pas incité à decouvrir cette collection). Cela vient pour moi des auteurs de cette collection qui sont pour moi davantage mainstream : Morvan, Jouvray et même vous Luc. Maintenant il est possible que ma définition du mainstream soit à revoir...

66. luc Brunschwig - 28/10/06 11:08 - (en réponse à : à Ro)
Je ne t'ai pas répondu parce que les réponses sont venues du chef suprême directement. Sébastien Gnaedig répond à toutes tes interrogations dans son intervention. Oui, ça va bien pour Futuropolis, même très bien, si l'on considère que dès la première année nous avons été au dessus de nos objectifs de vente, et ce avec des albums dont nous sommes très fiers et dont la difficulté n'a pas empêché les lecteurs de les rencontrer. Le titre phare reste Periode Glaciaire qui est monté au dela de 30.000 ex... viennent ensuite, le Yslaire, le Rabaté, le Kris-Davodeau qui a été réimprimé dès sa première semaine de mise en vente... mes quelques contributions ne se portent pas trop mal non plus (hors collection 32).
Voila. Ai-je été à la hauteur de ton attente ou te faut-il des détails supplémentaires ?

65. Ro - 28/10/06 10:39 - (en réponse à : Luc Brunschwig)
Je me répête parce que je crains que mes questions n'aient été noyé sous le flot :

Luc,
J'aimerais en profiter pour une question de fond : et concernant le reste de Futuropolis, tout va bien ?
Est-ce que les ventes sont bonnes ?
Y a-t-il des albums qui sortent vraiment du lot (au niveau vente, j'entends, je ne veux pas entrer dans un débat sur la qualité objective ou subjective de chaque album) ?
C'est qu'avec la surproduction BD dont on parle tant, je me demande si les beaux albums de Futuro attirent les lecteurs lambda ou si cela reste reservé aux grands amateurs de BD que nous sommes ?
Bref, la fin de la Collection 32 ne fragilise-t-elle pas l'ensemble de Futuropolis si tant est que cet ensemble serait fragile ?

64. luc Brunschwig - 28/10/06 09:49
Je suis quand même surpris que vous ayez des doutes sur la perennité des séries que nous lançons ??? Ici, nous arrêtons un concept et non une série. Nous cherchons en nous les raisons d'un échec commercial, précisémment par ce qu'il n'est pas à imputer aux séries. Je pensais que ça prouverait au contraire notre respect des auteurs et des lecteurs et notre soucis d'aller jusqu'au bout de l'aventure.

63. luc Brunschwig - 28/10/06 09:47 - (en réponse à : à Torpedo)
Pourquoi aurais-tu besoin de mon feu vert ? Tu es libre de t'exprimer :-)

62. torpedo31200 - 28/10/06 01:17 - (en réponse à : Luc Brunschwig)
Je voulais savoir si j' avais ton autorisation pour donner mon avis sur l' arrêt de la collection.

61. torpedo31200 - 28/10/06 01:13 - (en réponse à : St Jo - post # 60)
En volume global, peut-être que le (ou la) manga continue sa progression. Mais en tirage moyen, j' ai qq doutes...

60. St Jo - 28/10/06 00:46 - (en réponse à : Laurent Colonnier)
Par le passé on ne frisait pas les 3500 nouveautés BD par an. La situation était très différente pour lancer une série. Une nouveauté pouvait rester presque deux mois en exposition selon les moments de l'année. Aujourd'hui, sauf si l'album a eu la chance d'être lu par le libraire (qui ne sait plus suivre) et épinglé "coup de coeur", la durée d'exposition d'une BD est en moyenne 3 semaines. Si durant ces 3 semaines, l'album n'est pas remarqué, il est renvoyé à l'expéditeur. Je ne parle ici bien sûr pas des valeurs sûres dont le libraire a commandé une pile, qui, elle, restera environ 1 mois et demi en évidence, et dont quelques exemplaires seront conservés en rayon.

L'édition est malade. Une période de correction s'est amorcée. Ce ne sont pas les plus gros labels qui en font les frais les plus importants. Tous les secteurs du livre sont touchés par la crise... sauf le manga qui continue sa progression (il y a des mangas que j'aime beaucoup mais là ça devient une invasion)

59. torpedo31200 - 28/10/06 00:04
le broché n'est pas haut de gamme

Ah ?

Et pour l' exemple de Largo Winch... Je ne voudrais pas paraître méchant, mais ne serait-ce pas un signe de bonné santé du marché ?


58. torpedo31200 - 27/10/06 23:58 - (en réponse à : alban - post # 57)
Cette offre pléthorique s' étant accompagnée d' une baisse considérable de la qualité

Ah ?
Et tu le mesures comment ?

57. alban - 27/10/06 23:44
J'ajoute une petite pierre au débat avec l'article consacré à van Hamme dans le nouveau bo-doï où l'on parle de la chute des ventes du fonds et de certains titres phares.
Lui est touché sur les fonds par une baisse de 30% (je n'ose imaginer sur des auteurs moins connus), et par une baisse de 410 000 à 360 000 du dernier Largo Winch.

La collection 32 est tombé au mauvais moment dans un marché saturé et qui à mon avis se cherche actuellement. Je fais partie des "gros" acheteurs mensuels de nouveautés et comme dautres j'ai réduit fortement mes achats car je me suis senti complètement noyé sous les nouveautés (en plus les prix ont encore augmenté ce qui n'a fait qu'accentuer le problème et pourtant je n'ai pas particulièrement de difficultés financières mais il y a un moment où l'on se dit que le total est trop important). Cette offre pléthorique sétant accompagnée dune baisse considérable de la qualité (pas chez Futuro je tiens à le préciser), le phénomène risque de faire des dégâts lannée prochaine & (après la fermeture dune librairie album à Paris, jai lu des rumeurs de fermeture dune autre à Marseille & soit 2 des plus grandes villes françaises donc celles censées avoir la clientèle la plus importante).

Quand la collection 32 est sortie, je n'ai acheté aucun titre car l'annonce de séries en 18 tomes (c'est le chiffre que j'ai retenu psychologiquement) ne m'a pas donné envie de commencer.
Je pense que c'est le premier point sur lequel il y a eu erreur de casting.
Ensuite la production de Futuro, depuis qu'il est revenu, est une production d'albums référencés "haut de gamme" au niveau présentation. Je rejoins l'avis plus bas, le broché n'est pas haut de gamme et est inconservable facilement dans une bibliothèque.
J'aime beaucoup le format du dernier Marc Antoine Mathieu sur lequel je me suis jeté.

Ensuite, j'ai fini par acheter 2 de ces séries, que j'ai trouvé originales mais pas au point de me faire changer psychologiquement en conservant l'idée qu'il allait y avoir une multitude d'albums.
Il y a l'une des deux séries que je n'aime pas et dans laquelle je ne suis pas rentré et que j'aurais arrêté prochainement.
Luc nous expliquait dans un autre débat, dans mes souvenirs, que cétait un avantage pour les lecteurs de savoir ce quils attendaient et quon ne râlait pas quand une série durait des dizaines dalbums, mais la grosse différence cest que le marché de la BD na presque jamais fait dannonces de longues durées de ce type. Je pense quil nest pas prêt même avec un album à « bas prix » (pas si bas vu le prix de revient de la série complète).

Sur votre annonce, je salue le fait que vous continuiez la publication de ces albums (Luc une petite précision sur ma remarque, je sais bien que ces albums sont des nouveautés de ce mois ci mais quand une Fnac se plante volontairement ou pas sur les commandes de nouveautés c'est qu'on peut se douter qu'il y a un problème et l'annonce qui a suivi ne m'a pas étonné). Mais je pense que l'effet est désastreux (psychologiquement), et je souhaite bonne chance à celui qui va tenter de lancer une collection de ce type dans les prochaines années. Les collections brochées à petits prix sont mortes chez les grands éditeurs et pour un bon moment car même si vous vous continuez sous un autre format il n'y a aucune chance qu'un éditeur comme soleil, delcourt, casterman, dargaud ou autre fasse de même si le cas doit se reproduire. Et comme on le sait tous, il ny a aucune chance quon achète de nouveau ce type dalbums.

Jespère que ces quelques éléments vous apporteront peut être de nouvelles idées et que des avis de lecteurs vous aideront à comprendre ce qui na pas marché. Personnellement, je ne pense pas que ces albums dans un nouveau format marchent car maintenant il y aura toujours un doute sur le fait que leur publication aille à son terme.

56. thomaspapa - 27/10/06 23:42
ce post me fout les boules,on à l'impression d'enterrer quelqu'un que l'on connait...

bon sinon pour ma part,la collection m'enchantait beaucoup,tous les titres ne me plais(ai)ent pas mais il fallait lancer l'idee et je ne serais pas surpris qu'elle fasse son chemin pour ressortir peut-etre chez un autre éditeur,qui proposerait du plus grand public.
sinon je rejoins laurent colonnier sur son post ou il s'étonne de la rapidité de l'arret de la série ,7 mois c'est peu et les résultats devaient vraiment etre tres faibles .

enfin bref continuez tous à nous sotir des bons albums ,pour moi la qualité du nouveau futuro ne fait aucun doute et j'espère qu'il me procurera encore autant de plaisir si ce n'est plus.

55. ha ha ha ha - 27/10/06 23:24 - (en réponse à : alias l'homme plein de fiel)

"18. ha ha ha ha alias l'homme plein de fiel - 27/10/06 14:25 - (437323)

en réalité, c'est une question de papier. lorsque vous êtes aux chiottes et que vous vous rendez compte qu'il n'y a plus de pq, il faut que la qualité soit adéquate. "

en parlant de papier, ils en ont de la chance les auteurs!!! il font des économies sur le pq.

mais alors ils puent du c...?

mais non, il leur suffit de venir sur bdparadisio...


54. LaurentV - 27/10/06 23:03 - (en réponse à : Torpedo et St Jo)
Merci.
Si j'ai mis ce message ici, c'est justement en réponse à la plupart des interventions de ce débat qui ne parlent que de l'échec d'un concept formel face à l'inertie des habitudes du public.
Sans nier cet aspect, ce n'est pas forcément le seul, car il y a quand même un certain nombre de lecteurs de BD qui ne sont pas des fétichistes de l'objet BD et sont prêts à accepter un format nouveau, voire même, pour certains, à lui réserver un bon accueil de principe, justement parce que c'est nouveau.
Mais pour ma part, et je ne suis sans doute pas seul dans ce cas, les exemplaires que j'ai feuilletés ne m'ont pas accroché au premier regard et ce que j'en ai lu ici ou là ne m'a pas donné envie d'y revenir voir de plus près. Certains ont d'ailleurs noté ici certaines faiblesses concernant des introductions un peu longues et des récits tardant à se mettre en place.
Je ne dis donc pas qu'il s'agissait de mauvaises séries dans l'absolu, mais simplement qu'elles cumulaient peut-être trop de difficultés de fond et de forme pour trouver assez rapidement un public suffisamment nombreux.

53. torpedo31200 - 27/10/06 22:47 - (en réponse à : St Jo - post # 45)
Tout le monde peut donner son avis.
Et celui de LaurentV (post # 44) n' est pas moins intéressant que beaucoup d' interventions sur ce topic. C' est même probablement un de ceux qui explique le mieux l' échec de l' initiative éditoriale.
(Et ce, même si il y avait peu de "déchet" dans la collection 32...)



 


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